Ordre du Temple

De Geneawiki
Aller à la navigation Aller à la recherche
Tenue présentée dans la maison templière de Richerenches
Photo B.ohland

Il s'agit d'un Ordre à la fois militaire et religieux né à la suite de la Première Croisade (1096-1099).
Du début du XIIe siècle au début du XIVe, ses chevaliers appelés Templiers se sont illustrés non seulement en Terre sainte mais aussi en Occident.
La puissance de l'Ordre puis sa richesse ont attiré bien des convoitises et des incompréhensions, entraînant sa disgrâce puis sa chute.
Enfin, le mythe de leur trésor est devenu légendaire et a grandement influencé la littérature ou le cinéma.

Fondements et mission

Contexte d'origine

Siège de Jérusalem par Godefroy de Bouillon
Document exposé à Richerenches

L'histoire commence au XIe siècle en Palestine où les pèlerins chrétiens allant vénérer le tombeau du Christ sont malmenés et détroussés par des troupes de brigands.
Le pape Urbain II demande alors aux Chrétiens occidentaux de venir en aide à leurs semblables en Orient et initie en 1095 la Première croisade. Les chevaliers se lançant dans l'aventure sont marqués du signe de la Croix et se rallient au cri de "Dieu le veut". Malgré des tensions entre leurs chefs, les Croisés prennent Tripoli, Bethléem puis arrivent à Jérusalem. Le siège de la ville nécessite plusieurs assauts, mais Godefroy de Bouillon en sort vainqueur le 15 juillet 1099.
Le titre de Roi de Jérusalem est proposé à Godefroy, mais il le refuse, préférant celui d'avoué du Saint-Sépulcre[1], et il met en place l'ordre du Saint-Sépulcre destiné à aider le patriarche.
Mais la protection des pèlerins n'est toujours pas assurée...

Fondation

Germe alors en 1118 l'idée d'une Milice du Christ.
Deux chevaliers respectant la règle des Augustins, le champenois Hugues de Payns (ou Payens), né vers 1070, et Geoffroy de Saint-Omer, proposent au roi de Jérusalem Baudoin II de surveiller et sécuriser un défilé par lequel cheminent les pèlerins. Ils acceptent bientôt l'aide de sept autres chevaliers, et cette valeureuse équipe devient L'Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ.
Le roi les héberge dans une aile de son palais, plus exactement « la mosquée d'Al-Asqua, "la lontaine" »[2]. Les chevaliers s'installent au sous-sol, dans « les anciennes écuries de Salomon »[2], d'une surface d'environ 5 000 m2. Le palais royal se trouve en effet construit à l'emplacement de l'ancien Temple de Salomon. L'ordre chevaleresque devient alors L'Ordre des Chevaliers du Temple. La date exacte de cette fondation se situe « entre le 1er novembre 1119 et le 12 janvier 1120 »[3].
Mais c'est en 1129 que le moine Bernard de Clairvaux, lors du Concile de Troyes, officialise la création de L'ordre du Temple.
Au cours de l'Histoire, plusieurs bulles papales viendront confirmer le bien-fondé de cet Ordre, la première étant celle d'Innocent II en 1139.

Mission

La mission des chevaliers, aussitôt appelés Templiers mais aussi couramment "moines-soldats", est d'assurer la sécurité des Chrétiens venant en pèlerinage en Terre sainte, mais aussi celle des rois ou autres dignitaires lors de leurs croisades.
Parallèlement, ils assurent la garde des Lieux saints[4] mais aussi des reliques lors de leur transport d'un lieu à un autre.
Enfin, il leur arrivera de prêter de l'argent à certains rois et ils ont participé à la rançon exigée pour libérer saint Louis en 1250, à la suite de la 7e croisade.

Templiers et organisation de l'Ordre

Règle

  • La Règle suivie par les Templiers s'inspire à la fois de la règle augustine et de la règle bénédictine, afin de s'adapter autant à leur situation conventuelle qu'à leur mission militaire. La règle initiale établie en 1128 lors du concile de Troyes correspond plus ou moins aux idées de Bernard de Clairvaux, mais est édictée par le pape Honorius et le Patriarche de Jérusalem. Elle comporte 72 articles. Elle est traduite en français vers 1140 et adaptée. Les articles sont par la suite complétés d'environ 600 "amendements" ou « retraits »[5] et « égards »[5]. Alors que les retraits s'adaptent aux nouveaux usages au fur et à mesure que l'Ordre se développe, les égards ont trait à la discipline et aux sanctions concernant les Templiers.
  • L'entrée dans l'Ordre était gratuite et volontaire, ouverte à tous, mais à partir du XIIIe siècle répondait à certains critères : mieux valait être chevalier, noble ou moine, ou encore avoir "une dot" à offrir à l'Ordre.
Il fallait prononcer des vœux de pauvreté, de chasteté et d'obéissance. Mais la seule personne à qui les moines-soldats devaient rendre des comptes restait le pape, ce qui n'a pas toujours été au goût du clergé.
  • Les nombreux articles de la Règle édictaient la vie de l'Ordre avec sa hiérarchie mais aussi la vie quotidienne des Templiers : leur allure physique[6], leur code vestimentaire et leur mode de vie, aussi bien leurs temps de prière[7] ou de silence que leur alimentation avec jours de nourriture ou de jeûne. Ils définissaient aussi la Justice interne à l'Ordre, qui était rendue lors des Chapitres, eux-mêmes organisés en Chapitres ordinaires (hebdomadaires), Chapitres provinciaux (parfois appelés « chambre prieurale »[8]) et Chapitres généraux (comprenant le « conseil du Maître »[8]).

Tenue et emblème

Croix de l'Ordre
  • Les Templiers étaient revêtus d'une tunique ou manteau qui rappelait un peu celui des moines cisterciens. Deux couleurs étaient utilisées :
- le manteau blanc, symbole d'innocence, uniquement pour les chevaliers
- le manteau de bure brune pour les frères sergents d'armes.
Ce manteau appartenait à l'Ordre, et s'il était perdu ou détérioré, la Justice du Chapitre prononçait le renvoi du Templier.
  • La Croix pattée rouge, d'abord portée sur l'épaule, puis sur le torse, a été octroyée par le pape Eugène III en 1147. La Croix faisait bien sûr référence à la Chrétienté ; et la couleur rouge, symbole du sang du Christ, était aussi en rapport avec l'engagement pris de participer à des croisades si nécessaire. Du temps du deuxième grand maître de l'Ordre, Robert de Craon, cette croix devint un insigne universel pour les Templiers.
  • Cette tenue, complétée bien sûr d'une cotte de mailles et d'un heaume, se différenciait nettement de celle des Hospitaliers de Saint-Jean, dont l'ordre avait été fondé en 1113[9], et qui portaient un manteau rouge avec une croix blanche. Elle se distinguait aussi de celle des chevaliers teutoniques qui arboraient une croix noire.
  • La bannière des Templiers, un « gonfanon baussant »[10] arborait les couleurs blanc et noir.

Hiérarchie

Sceau de l'Ordre

L'Ordre du Temple était organisé à la manière des ordres monastiques.
À la tête se trouvait le Maître. Ils furent au nombre de 23 et le dernier fut souvent apopelé "Grand-Maître". Ils étaient élus à vie. Malgré leur statut, ils optaient pour l'humilité et la pauvreté.
Venaient ensuite :
- Le sénéchal, ou maître en second, qui pouvait le remplacer si besoin ou assurer l'intérim avant un nouveau maître
- Le maréchal, chargé du versant militaire (discipline et commandement) et de la logistique
- Le trésorier général, qui sera appelé "Grand commandeur" au XIIIe siècle. Il inventoriait toutes les donations, tous les biens et les butins de guerre
- Le drapier, en charge de la tenue et de l'équipement des membres de l'Ordre, aussi bien leur literie
- Le visiteur, que l'on pourrait qualifier d'inspecteur et qui représentait le Maître en tous lieux,
- Le maître de province, nommé également précepteur, en place pour 4 ans à la tête d'une province, laquelle était divisée en "baillies",
- Le maître de baillie, regroupant parfois plusieurs maisons ou commanderies,
- Le commandeur, ou précepteur de maison, qui en Occident dirigeait la commanderie ou la maison. Le commandeur de la Terre sainte, lui, était le gardien de la Vraie Croix.
- Le procureur, chargé de représenter le commandeur
- Les frères chapelains, qui n'étaient pas nommés par le Clergé, et pouvaient « faire carrière dans l'Ordre »[11]
- Les frères chevaliers, de véritables soldats d'élite, que l'on dénombrait à environ un millier au XIIIe siècle. Deux tiers d'entre eux œuvraient en Terre sainte, le reste parcourait l'Europe,
- Les frères sergents, répartis en deux groupes : les sergents d'armes, cavaliers très actifs, mais non adoubés, et les frères de métiers[12], agriculteurs ou artisans indissociables de la prospérité des commanderies,
- Des serfs et serviteurs.

Premier et dernier Grands-Maîtres :

  • Le fondateur Hugues de Payens, en place de 1119 à 1136. Il voyagea beaucoup, reçut de nombreux dons, retourna en Terre sainte. Il mourut en 1136.
  • Le 23e et dernier Jacques de Molay, maître de 1292 à 1314. Sur la sellette lors du procès de l'Ordre du Temple, il fut emprisonné et condamné au bûcher où il mourut le 11 mars 1314.

Expansion, puissance et richesse

Expansion et puissance

Dès le départ, l'Ordre est accueilli avec enthousiasme. D'autant plus que deux princes importants rejoignent l'Ordre : Le comte d'Anjou, dès 1120, qui se montre particulièrement généreux, et le comte de Champagne, six ans plus tard, « Un des plus riches seigneurs de France »[13]. Le ton est donné : l'Ordre va désormais s'ouvrir à toute vocation et accueillr les dons proposés, avec parfois une surenchère de générosité.
Une partie des Templiers s'installe sur place et fonde quatre états : le royaume de Jérusalem, le comté d'Édesse, le comté de Tripoli, et la principauté d'Antioche.
D'autres essaiment un peu partout en Europe, à commencer par la France, plus particulièrement en Champagne en 1126. Puis ce sera la Bourgogne, les Flandres et la Belgique, la péninsule ibérique et d'autres pays[14]... Ils installent des commanderies et essaient de recruter de nouveaux frères.
De nombreux chevaliers font des dons à l'Ordre. Les Templiers bénéficient aussi du soutien et de donations de la part de souverains ou grands dignitaires. Les commanderies deviennent de grandes exploitations agricoles avec moulins, fours, pressoirs, produisant plus qu'il n'est nécessaire pour nourrir les moines. Peu à peu l'Ordre du Temple devient un très puissant propriétaire foncier, nécessitant des frères aux qualités d'administrateurs et de diplomates ou d'habiles financiers .

Richesse

Les Templiers avaient du succès puisqu'ils se battaient pour une noble cause. Les soutiens furent donc nombreux. Et avant chaque croisade, des chevaliers ou dignitaires faisaient don de leur fortune, pour le repos de leur âme s'ils n'en revenaient pas...
Par ailleurs, les membres de l'Ordre bénéficiaient de privilèges : ils ne payaient pas d'impôt, avaient le droit de percevoir la dîme, pouvaient prendre des gages ou faire payer des amendes. Comme ils voyageaient beaucoup (souvent par la mer) ils faisaient aussi commerce de produits orientaux, comme les épices ou les étoffes. Et un tiers des revenus réalisés dans les commanderies occidentales était réinvesti en Terre sainte.
Bilan de cette vaste entreprise multinationale : l'Ordre du Temple devint riche, au point d'élaborer une solide organisation financière et de devenir un des principaux banquiers de la Chrétienté, pouvant consentir des prêts aux Grands de ce monde ou payer des rançons.
Riche aussi au point de constituer un trésor qui a alimenté l'imagination collective et a fait couler beaucoup d'encre.....

Combats et guerres

Reproduction de la fresque de la chapelle de la commanderie templière de Cressac-Sant-Genis, exposée dans l'ancienne commanderie de Richerenches
Photo B.ohland
  • Les Maîtres du Temple furent de fins stratèges et leurs chevaliers de vaillants soldats. Bien qu'hommes religieux, ils avaient le droit de tuer : comme le formule Xavier Hélary dans son livre[15] , « Quand ils infligent la mort les Templiers ne commettent pas un homicide, mais un "malicide" : ils ne combattent que ceux qui font du mal ».
Ils combattirent sur plusieurs front et lors de plusieurs croisades.
  • En ce qui concerne la péninsule ibérique, ils sont présents au Portugal dès 1145 pour combattre les 400 000 Maures. De même qu'en Espagne en 1212. Puis s'ils délaissent un moment la Castille, ils répondent présents à Majorque en 1228.
  • C'est au cours de la Deuxième croisade (1147-1149), au près de Louis VII, qu'ils deviennent des croisés perpétuels avec l'autorisation de porter la Croix pattée en permanence. Mais en Terre sainte, les succès du début (prise de Gaza, Tortose, Saphet) vont être suivis d'échecs comme la perte de Damas en 1148.
  • En 1169, l'expédition en Égypte se solde par une grosse défaite : nombreuses pertes humaines et chute de Jérusalem, que ne compense pas la petite victoire de Ledda en 1176.
  • En 1187, après la longue bataille de Hattin, où « un Templier enfouit la Vraie Croix dans le sable »[16] environ 230 moines-soldats sont sauvagement tués.
  • Avec la Troisième croisade (1189-1192), ils participent avec Richard Cœur de Lion à la prise de Saint-Jean-d'Acre. La croisade ne réussit pas comme prévu, mais un traité prévoit une paix jusqu'en 1195.
  • En 1198, les Templiers perdent encore des places fortes en Palestine, mais gagnent du terrain en Arménie.
  • Le concile de Latran en 1215 lance la Cinquième croisade (1217-1221) qui, à part la conquête de Damiette, n'est pas vraiment un succès.
  • C'est au cours de la Sixième croisade (1228-1229) que les Templiers réussissent à reprendre Jérusalem en 1228. Mais leurs initiatives de diplomatie ne correspondent pas toujours aux idées de l'empereur Frédéric II qui s'impose dans la Croisade, et qui les critiquera par la suite. De même, il y aura des désaccords avec Richard de Cornouailles dans les combats suivants.
  • En 1244, Jérusalem est reprise par les Musulmans, puis Damas en 1245. S'ensuit la Septième croisade (1248-1254), menée par Saint-Louis. Encore une fois, il y a des divergences dans la diplomatie et des tensions. Mais quand le roi est fait prisonnier, les Templiers acceptent de payer la rançon pour le libérer.
  • La Huitième croisade (1270-1272], qui débute en 1270 et compte encore Louis IX, se solde par la mort du roi et par la chute du "Krak", l'une des plus grandes forteresses orientales de l'Ordre.
  • En 1291 a lieu le siège de Saint-Jean-d'Acre. Le Maître Guillaume de Beaujeu et environ 500 chevaliers sont tués, la ville est perdue. Les survivants se replient en Occident, plus particulièrement en France, et Paris devient la maison générale de l'Ordre du Temple.
  • Le dernier Maître, Jacques de Molay, est élu en 1293. Résidant à Chypre, il partage son temps entre l'Orient et la capitale française.


Déclin de l'Ordre

Contexte

L'élite des chevaliers a perdu la vie dans les derniers combats en Orient. Ceux qui ont survécu, pas forcément les plus vaillants, se sont repliés en Occident. Au lieu de se polariser sur la péninsule ibérique où sévissaient les Maures, ils se sont davantage investis en France, où leur mission de protection était pourtant moindre.
Sans doute l'Ordre a t-il été jalousé à cause de ses privilèges ou de sa richesse. Peut-être aussi, certains chevaliers étaient-ils moins fidèles à la règle. Quelques Maîtres n'ont pas forcément été à la hauteur, certains se sont montrés fort orgueilleux.
Toujours est-il qu'au début du XIVe siècle commence un déclin spirituel et une remise en cause de l'Ordre, avec un coup de théâtre inattendu : de violentes accusations de Philippe le Bel.

Arrestation et procès

Le roi, qui a déjà fait parler de lui pour ses prise de position face au pape ou à des évêques, ou pour ses arrestations des Lombards et des Juifs, s'en prend aux Templiers avec de graves accusations. Et porte un coup d'éclat (sans doute préparé à l'avance) en les faisant tous arrêter le 13 octobre 1307.
Les chevaliers sont surpris et n'opposent pas de résistance. Le pape Clément V, très sceptique, promet d'établir une enquête, mais celle-ci tarde et laisse de la marge au roi pour s'occuper des Maîtres et dignitaires (qui ont avoués sous la torture, sont revenus sur leurs aveux, ont à nouveau reconnu leurs fautes et sont donc devenus "relaps"[17]) et de les envoyer au bûcher en 1310. Les autres Templiers sont enfermés et soumis à la torture, ce qui les amène à avouer tout ce qu'on leur reproche : d'être des renégats, des hérétiques, des idolâtres, des sodomites, etc... Le scandale est total.
Alors que dans d'autres pays où ils ne sont pas torturés, les Templiers ne reconnaissent pas les fautes qu'on leur attribue et sont reconnus innocents, le pape Clément V doit mettre fin à cette situation embarrassante : en 1312, lors du concile de Vienne, il supprime l'Ordre du Temple et en excommunie ses membres, sans vraiment l'avoir condamné. Et aucun des Templiers ne se défend ou ne se rebelle contre l'Église, preuve, s'il en est, de leur innocence...

Fin de l'Ordre

Ainsi, après deux siècles de loyaux services, la noble chevauchée prend fin.
Toutes les possessions du temple sont remises à l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean qui double ainsi sa fortune, sa puissance et sa renommée. Ce qui n'empêche pas le roi Philippe le Bel de s'en attribuer une bonne part et de la conserver jusqu'à sa propre mort.
En ce qui concerne les Templiers, il n'y a qu'en Espagne qu'ils réussirent à survivre. Ils y furent à l'origine de deux nouveaux ordres : l'Ordre du Christ et l'Ordre de Montesa.
Quant au légendaire trésor, une partie en monnaie a été découverte « en 1998 sur le site de la commanderie de Payns »[18]. Pour le reste, mystère...

Patrimoine templier

Outre toutes les forteresses construites en Terre sainte, les Templiers ont bâti de nombreuses commanderies en Occident.
Il en subsiste quelques unes en France, soit en bon état, soit sous forme d'éléments uniques comme la maison ou la chapelle


Bibliographie

  • Pierre Baron, directeur de rédaction, Revue Historia, juillet 2012, n° 787, titré "Le Moyen Âge en fêtes", société d'édition Sophia Publications, 96 pages, ISSN 0018-2281
  • Alain de ARRIBA, La conjuration des Templiers, Nantes, Les sentiers du livre Éditions, 2015, 504 pages, ISBN 978-2-7543-0435-1
  • Laurent Dailliez, Les Templiers, collection "Tempus", Paris, 1972, 1998 et 2003, éditions Perrin, 405 pages, ISBN 978-2-262-02006-4
  • Xavier Hélary, Les Templiers, la vérité sur le plus fascinant des ordres militaires et religieux, Collection "Les dossiers interdits de l'Histoire", Paris, 2018, Éditions First (département d'Édi8, 222 pages, ISBN 978-2-266-29031-9

Autres sources

  • DVD Quelle aventure : le mystère des Templiers, réalisateur Franck Chaudemanche, présenté par Jamy Gourmaud et Frédéric Courant
  • Panneaux d'information dans l'ancienne commanderie templière de Richerenches

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références

  1. Un avoué à cette époque est un seigneur non religieux, en charge de protéger un évêque, ou une abbaye, dans le cas présent le tombeau du Christ
  2. 2,0 et 2,1 Alain de ARRIBA, La conjuration des Templiers, Nantes, Les sentiers du livre Éditions, 2015, 504 pages, ISBN 978-2-7543-0435-1
  3. Laurent Dailliez, Les Templiers, collection "Tempus", Paris, 1972, 1998 et 2003, éditions Perrin, 405 pages, ISBN 978-2-262-02006-4
  4. Bethléem, Nazareth, le Mont des Oliviers, la vallée de Joséphat, le Jourdain, la Colline du Calvaire et le Saint-Sépulcre qui abritait le tombeau du Christ
  5. 5,0 et 5,1 Xavier Hélary, Les Templiers, la vérité sur le plus fascinant des ordres militaires et religieux, Collection "Les dossiers interdits de l'Histoire", Paris, 2018, Éditions First (département d'Édi8, 222 pages, ISBN 978-2-266-29031-9
  6. Obligation du port de la barbe et de la moustache
  7. Les offices s'étendaient de 3 h du matin avec les Matines jusqu'à 22 h avec les Complies
  8. 8,0 et 8,1 Laurent Dailliez, Les Templiers, collection "Tempus", Paris, 1972, 1998 et 2003, éditions Perrin, 405 pages, ISBN 978-2-262-02006-4
  9. Ordre qui deviendra plus tard l'Ordre de Malte
  10. Laurent Dailliez, Les Templiers, collection "Tempus", Paris, 1972, 1998 et 2003, éditions Perrin, 405 pages, ISBN 978-2-262-02006-4
  11. Xavier Hélary, Les Templiers, la vérité sur le plus fascinant des ordres militaires et religieux, Collection "Les dossiers interdits de l'Histoire", Paris, 2018, Éditions First (département d'Édi8, 222 pages, ISBN 978-2-266-29031-9
  12. Également appelés "familiers"
  13. Xavier Hélary, Les Templiers, la vérité sur le plus fascinant des ordres militaires et religieux, Collection "Les dossiers interdits de l'Histoire", Paris, 2018, Éditions First (département d'Édi8, 222 pages, ISBN 978-2-266-29031-9
  14. Allemagne et Autriche ainsi que Bohème et Moravie, Hongrie et Pologne, Angleterre, Écosse et Irlande, Italie et Sicile, Portugal
  15. Les Templiers, la vérité sur le plus fascinant des ordres militaires et religieux, Collection "Les dossiers interdits de l'Histoire", Paris, 2018, Éditions First (département d'Édi8, 222 pages, ISBN 978-2-266-29031-9
  16. Laurent Dailliez, Les Templiers, collection "Tempus", Paris, 1972, 1998 et 2003, éditions Perrin, 405 pages, ISBN 978-2-262-02006-4
  17. Est devenu relaps un religieux qui retombe dans une hérésie après avoir abjuré
  18. Pierre Baron, directeur de rédaction, Revue Historia, juillet 2012, n° 787, titré "Le Moyen Âge en fêtes", société d'édition Sophia Publications, 96 pages, ISSN 0018-2281



^ Sommaire

Cet article a été mis en avant pour sa qualité dans la rubrique "Article de la semaine" sur l’encyclopédie Geneawiki.