Monographie 40e Régiment d'Artillerie

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Présentation

Monographie régimentaire du 40e Régiment d'Artillerie depuis son origine, sa création, sa composition durant la Grande Guerre et son évolution durant l'entre-deux-guerres (jusqu'en 1920).

Historique

à l'origine

période mai 1883 - Septembre 1883 : Création des bataillons d'artillerie de forteresse

  • 15.05.1883 : Projet de loi portant réorganisation des troupes de l'artillerie de l'armée active en vue de la formation d'une artillerie de forteresse.[1]
  • 24.07.1883 : Loi portant sur la réorganisation des troupes de l'artillerie de l'armée active en vue de la formation d'une artillerie de forteresse[2]
  • 20.08.1883 : Décision relative à la composition du personnel (officiers) des bataillons de forteresses et des régiments d'artillerie pour l'application de la loi du 24 juillet 1883, à la date du 1er septembre 1883.[3]
  • 01.09.1883 :
11e Régiment d'Artillerie : 9e et 10e batteries à Saint-Mihiel (vue 4363)[3]
25e Régiment d'Artillerie : 9e batterie à Toul (vue 4374)[3]
  • 01.01.1884 : Batteries stationnées à Saint-Mihiel d'après l'état militaire du corps d'artillerie 1884 :
11e Régiment d'Artillerie : 9e et 10e batteries[4]
25e Régiment d'Artillerie : 9e batterie[4]
5e bataillon d'artillerie de forteresse, 5e batterie au Camp des Romains (Saint-Mihiel).[4]

Période Août 1890- Mai 1894 : Artillerie de la division de Saint-Mihiel

  • 11.08.1890 : L'effectif de chaque batterie de la division de Saint-Mihiel est fixé à[5] :
130 hommes de troupes
22 chevaux de selle
60 chevaux de trait
  • 27.02.1891 : Par décision ministérielle du 27 février 1891, Lieutenant-Colonel SEGONDAT, Lieutenant-Colonel à l'état major particulier, directeur adjoint de l'atelier de construction de Rennes, a été désigné pour commander l'artillerie de la division de Saint-Mihiel.[6]
  • 23.03.1891 : Chef d'Escadron DUCASSÉ (Marc Denis Henri) est nommé commandant de l'artillerie de la 4e Division de Cavalerie à Stenay[7]
  • 12.04.1891 : Corps de santé militaire : Par décision ministérielle du 12 avril 1891, M. ASTIER, médecin aide-major de 1re classe au 15e régiment de chasseurs, a été désigné pour être affecté aux batteries de la division de Saint-Mihiel.[8]
  • 01.11.1891 : Corps de santé militaire :
Par décision ministérielle du 1er novembre 1891, les officiers du corps de santé militaire dont les noms suivent ont été désignés pour les postes ci-après indiquées :
M. ASTIER, médecin aide-major de 2e classe à l'artillerie de la division de Saint-Mihiel, pour les hôpitaux militaires de la division d'Alger.[9]
M.ALVERHNE, médecin aide-major de 1re classe aux hôpitaux militaires de la division d'Alger, pour l'artillerie de la division de Saint-Mihiel[9].
  • 10.01.1892 : Création de la 39e et 40e Division d'Infanterie rattachées au 6e Corps d'Armée[10]
par décision du ministre de la guerre :
La division de Saint-Mihiel prendra le nom de 39e Division d'Infanterie et son quartier général sera transféré à Commercy.
Il sera constitué, d'autre part, au moyen de 4 régiments régionaux d'infanterie stationné sur le territoire de la 6e région (militaire), une nouvelle division qui prendra le nom de 40e Division d'Infanterie et dont le quartier général sera installé à Saint-Mihiel.
40e Division d'Infanterie est composée de 2 brigades:
79e brigade d'infanterie à Verdun
80e brigade d'infanterie à Saint-Mihiel
  • 16.01.1892 : Par décision ministérielle, du 16 janvier 1892, Lieutenant-colonel de SAXCÉ, sous-directeur d'artillerie à Brest (n'a pas rejoint) a été désigné pour commander l'artillerie de la 40e Division d'Infanterie à Verdun[11].
  • 31.01.1892 :
Lieutenant colonel SEGONDAT (Ernest Eugène)[12], commandant l'artillerie de la 39e Division d'Infanterie à Saint-Mihiel.
Médecin Aide Major 1re classe ALVERHNE (Joseph Léon Marie), artillerie de la division de Saint-Mihiel. [13]
Lieutenant colonel de SAXCÉ (Joseph Fernand)[14], commandant l'artillerie de la 40e Division d'Infanterie à Verdun.
Chef d'Escadron DUCASSÉ (Marc Denis Henri), état major particulier, commandant de l'artillerie de la 4e Division de Cavalerie à Stenay[15].
  • 01.02.1892 : Organisation des 39e et 40e Division d'Infanterie indiquée dans la note publiée le 10 janvier courant sera mise en vigueur à la date du 1er février 1892.[16]
  • 01.04.1892 : Mise en œuvre de la Division des Vosges[17] sur le territoire de la 6e Région Militaire[18].
Division des Vosges (Remiremont)
1re brigade des Vosges (Remiremont)
152e Régiment régional d'infanterie (3 bataillons)
19e Bataillon de Chasseurs à Pied
2e brigade des Vosges (Saint-Dié)
149e Régiment régional d'infanterie (3 bataillons)
17e Bataillon de Chasseurs à Pied
  • 31.01.1893 :
Lieutenant colonel SEGONDAT (Ernest Eugène)[19], commandant l'artillerie de la 39e Division d'Infanterie à Saint-Mihiel.
Médecin Aide Major 1re classe ALVERHNE (Joseph Léon Marie), artillerie de la division de Saint-Mihiel[20]
Lieutenant colonel de SAXCÉ (Joseph Fernand)[21], commandant l'artillerie de la 40e Division d'Infanterie à Verdun.
Chef d'Escadron DUCASSÉ (Marc Denis Henri), état major particulier, commandant de l'artillerie de la 4e Division de Cavalerie à Stenay[22].
  • 29.06.1893 : Corps de santé militaire : Par décision ministérielle du 29 juin 1893, M. le Médecin Aide-Major de 1re Classe FRACHE du 4e Bataillon d'Infanterie Légère d'Afrique a été affecté pour ordre aux salles militaires de l'hospice mixte de Verdun pour être détaché aux batteries d'artillerie de la 40e Division d'Infanterie, par permutation avec M. le Médecin Aide-Major de 1re Classe CULTIN[23]
  • 02.08.1893 : Corps de santé militaire : Par décision ministérielle du 2 août 1893, M. ALVERHNE, Médecin Major 2e classe, affecté pour ordre aux salles militaires de l'hospice mixte de Saint-Mihiel et détaché à l'artillerie de la 39e Division d'Infanterie, a été mis à la disposition de M. le sous-secretaire d'Etat des colonies.[24]
Par décision ministérielle du 4 août 1893 :
M. ARRAGON, médecin major de 2e classe au 96e régiment d'infanterie est affecté aux salles militaires de l'hospice mixte de Saint-Mihiel (pour ordre) et détaché pour assurer le service de l'artillerie de la 39e Division d'Infanterie.[24]
  • 01.03.1894 :
Lieutenant colonel SEGONDAT (Ernest Eugène)[25], commandant l'artillerie de la 39e Division d'Infanterie à Saint-Mihiel.
Médecin Major de 2e classe ARRAGON (Henri Joseph), salles militaires de l'hospice mixte de Saint-Mihiel (pour ordre), artillerie de la 39e Division d'Infanterie[26]
Lieutenant colonel de SAXCÉ (Joseph Fernand)[27], commandant l'artillerie de la 40e Division d'Infanterie à Verdun.
Médecin Aide-Major 1re classe FRACHE (Marie Pierre Raymond), salles militaires de l'hospice mixte de Verdun (pour ordre) et artillerie de la 40e Division d'Infanterie[28]
Chef d'Escadron DUCASSÉ (Marc Denis Henri), commandant de l'artillerie de la 4e Division de Cavalerie à Stenay[29].
  • 02.04.1894 : Par décision ministériel du 2 avril 1894, M. ROSSIN, colonel à la disposition de M. le général de division inspecteur général permanent de l'artillerie pour l'armement des côtes a été désigné pour commander l'artillerie de la 39e division d'infanterie à Saint-Mihiel.[30]

Période Juin 1894- octobre 1894 : Création du 40e RAC

  • 29.06.1894 : Loi portant modifications à l'organisation de l'artillerie et du génie du 29 juin 1894[31]
article 1er : Les deux régiments d'artillerie-pontonniers sont supprimés
article 4 : Il est créé dans l'arme du Génie : 2 nouveaux régiments.
article 5 : Il est créé dans l'artillerie : 2 nouveaux régiments.
  • 04.07.1894 : Décret concernant l'application de la loi du 29.06.1894 modifiant l'organisation de l'artillerie et du génie[32]
  • 09.09.1894 : Organisation des régiments d'artillerie dans les conditions indiquées par la loi du 29.06.1894 et le décret du 04.07.1894
Les officiers affectées au 39e et 40e régiments ... devront avoir rejoint leur nouveau poste à la date du 1er octobre
M. ROSSIN, colonel commandant l'artillerie de la 39e Division d'Infanterie est désigné pour commander le 40e régiment d'artillerie[33]
  • 01.10.1894 : Constitution du 39e et 40e Régiments d'Artillerie de Campagne[32]. L'Artillerie comprend 40 régiments d'artillerie de campagne.
Il comprend l'état major, le petit état major et le peloton hors rang (P.H.R)[32]
Il est composé de 15 batteries :
Tableau n°2: Répartition des batteries montées, de montagne et à cheval entre les 40 régiments d'artillerie[32] :
pour le 40e RAC : 12 batteries montées, 3 batteries à cheval.
Il est formé avec des batteries du 15e RAC, 17e RAC, III/24e RAC, 11/25e RAC, 27e RAC, 31e RAC, 34e RAC et 35e RAC[34][35][36] cantonnées à Verdun, Saint-Mihiel, Stenay[36] (Meuse)
emplacement des Groupes[5][37] :
Ie et IIe Groupe : quartier d’Anthouard puis quartier Miribel à Verdun avec le commandant en second, le lieutenant-colonel de SAXCÉ
IIIe et IVe Groupe ainsi que la 13e batterie à cheval : quartier Sénarmont à Saint-Mihiel avec le chef de corps, le colonel ROSSIN
14e & 15e batteries à cheval : quartier Chanzy puis quartier Desvaux Saint-Maurice à Stenay avec le chef d'escadron DUCASSÉ.
dépôt : Camp de Châlons[5][38]

période 1895 - 1897

  • 12.02.1895[39] : Nouvelle désignation adoptée par la Division des Vosges : 41e Division d'Infanterie[40][18]
La Division des Vosges sera dénommée 41e Division d'Infanterie
La 1re brigade des Vosges sera dénommée 81e brigade d'infanterie
La 2e brigade des Vosges sera dénommée 82e brigade d'infanterie
  • 15.02.1895 : Composition Officiers du 40e RAC à Verdun et Stenay[41], 6e Corps d'Armée (secteur nord).
Artillerie indépendante du corps d'armée
Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay , chef d'escadron BESUCHET (Paul Charles Marie) du 40e RAC
nota : il est intéressant de noter que l'annuaire de l'Armée Française n'indique pas Saint-Mihiel comme lieu de casernement en 1895 & 1896
Alors que le journal d'époque «La Meuse» indique les nominations/promotions des officiers pour «la place» de Saint-Mihiel à cette date.
  • 21.04.1895 : Passage de troupes à Saint-Mihiel, 40e régiment d'artillerie[42] (nota : pour recevoir le lendemain leur étendard)
22 officiers, 540 hommes de troupes et 430 chevaux, venant de Verdun allant à Saint-Mihiel
13 officiers, 256 hommes de troupes et 304 chevaux, venant de Stenay allant à Saint-Mihiel.
  • 22.04.1895 : le Général de brigade d'artillerie DECHARME (Louis Ernest) remet l'étendard du 40e RAC en présence des 15 batteries réunies à cette occasion, à Saint-Mihiel sur le terrain de manœuvre de Verzel, après une revue des troupes par le général de division FLORENTIN[43] (Georges Auguste)[44], commandant la 40e Division d'Infanterie[45].
  • 15.02.1896 : Composition Officiers du 40e RAC et emplacements : Verdun[46], Stenay[46] et Saint-Mihiel[47][48], 6e Corps d'Armée (secteur nord)
Portion Centrale[49] au Camp de Châlons[48] , Portion Principale[50] à Saint-Mihiel[48]
1re à 6e batteries : Verdun, LcL Pelletier[47]
7e à 12e batteries : Saint-Mihiel, Col Rossin[47]
13e batterie : à cheval, Saint-Mihiel[47]
14e & 15e batteries : à cheval, 3e division de cavalerie à Châlons[47], chef d'escadron CHATELAIN (Marie Joseph)[46]
Artillerie indépendante du corps d'armée
Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons, chef d'escadron CHATELAIN (Marie Joseph) du 40e RAC[51][46]
[nota][18]: Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay , chef d'escadron FRANCARD (Raoul Charles Marie)[52] du 25e RAC
  • 16.04.1896 : Visite du Président de la République, M. Félix FAURE à Saint-Mihiel (arrivant de Verdun) pour visiter les forts et les établissements militaires[53]
  • 09.10.1896 : Visite de l'Empereur et l'Impératrice de Russie en compagnie du Président de la République Félix FAURE, avec une revue des troupes du 6e Corps d'Armée au Camp de Châlons.[54]
  • 15.02.1897 : Composition Officiers du 40e RAC à Saint-Mihiel[55], 6e Corps d'Armée (secteur nord)
emplacements du 40e RAC : Portion Centrale[49] au Camp de Châlons[56] , Portion Principale[50] à Saint-Mihiel[56]
Artillerie indépendante du corps d'armée
Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons , chef d'escadron CHATELAIN (Marie Joseph) du 40e RAC
[nota][18]: Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay , chef d'escadron FRANCARD (R.C.M) du 25e RAC

Décembre 1897 - avril 1898 : Dédoublement de la 6e Région Militaire : Création 20e Région Militaire

  • 05.12.1897 : Loi portant sur la création d'une nouvelle Région de Corps d'Armée sur le territoire de la France[57]
  • 08.02.1898 : Décret relatif au dédoublement de la 6e Région Militaire et créant la 20e Région Militaire[58][59]
Article 3 : Il est créé une nouvelle région portant le n°20...
  • 15.02.1898 : Composition Officiers du 40e RAC à Saint-Mihiel[60]
6e Brigade d'Artillerie, 6e Corps d'Armée[60][61].
40e Division d'Infanterie :[61] : Général commandant TOURNIER à Saint-Mihiel[61]
Etat-major de la division : Chef d'escadron d'artillerie hors-cadres SCHLEGEL[61]
Artillerie indépendante du corps d'armée
Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons, chef d'escadron CHATELAIN (M.J) du 40e RAC[60]
[nota][18]: Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay, chef d'escadron FRANCARD (R.C.M) du 25e RAC
  • 18.02.1898 : Composition du 6e Corps d'Armée et 20e Corps d'Armée[62]
emplacements du 40e RAC[63] : Portion Centrale[49] au Camp de Châlons[64] , Portion Principale[50] à Saint-Mihiel[64] et (page 1056)[62]
  • 22.04.1898 : Composition du 6e Corps d'Armée et 20e Corps d'Armée[65]
pour le 6e Corps d'Armée[65] :
40e Division d'Infanterie[65] : Général de division TOURNIER à Saint-Mihiel[65].
Chef d'état-major : Chef d'escadron d'artillerie hors-cadres SCHLEGEL à Saint-Mihiel[65].
42e Division d'Infanterie[65] : Général de division d'HUGONNEAU de BOYAT à Verdun[65].
Chef d'état-major : Chef de bataillon d'infanterie hors-cadres MORGAIN à Verdun[65].

période mai 1898 - octobre 1908

  • 11.07.1898 : Par décret du Président de la République, rendus sur proposition du ministre de la guerre sont promus ou nommés dans la 1re section du cadre de l'état major général de l'armée :
Au grade de général de Brigade : M. ROSSIN (Noël Henri), commandant le 40e Régiment d'Artillerie.[66]
  • 11.07.1898 : Par décision ministérielle du 11.07.1898, M. COLARD, colonel est nommé au commandement du 40e Régiment d'Artillerie[67]
  • 29.07.1898 : Les adieux du Colonel ROSSIN au 40e RAC[68]
Mutations Colonel d'artillerie COLARD[69]
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[70]
Artillerie indépendante du corps d'armée
Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons[72], chef d'escadron CHATELAIN[72] du 40e RAC
[nota][18]: Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay[72], chef d'escadron FRANCARD[72] du 25e RAC
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[73][74]
Artillerie indépendante du corps d'armée
Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons, chef d'escadron DARU (M.A.F) du 40e RAC[74]
[nota][18]: Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay, chef d'escadron FRANCARD (R.C.M) du 25e RAC
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[75][76]
Artillerie indépendante du corps d'armée[77]:
Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons, chef d'escadron DARU (M.A.F) du 40e RAC[76]
[nota][18]: Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay, chef d'escadron FRANCARD (R.C.M) du 25e RAC
  • 15.02.1902 : Composition Officiers[78] du 40e RAC et emplacements : Saint-Mihiel & Verdun[78]
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[78]
Artillerie indépendante du corps d'armée[79]:
Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons[80], chef d'escadron DARU (M.A.F)[78][80] du 40e RAC.
[nota][18]: Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay[80], chef d'escadron FRANCARD (R.C.M)[80] du 25e RAC.
  • 01.10.1902 : Par décret du Président de la République, rendus sur proposition du ministre de la guerre sont promus ou nommés dans la 1re section du cadre de l'état major général de l'armée :
Au grade de général de Brigade : Colonel COLARD (C.L.M.R), commandant le 40e Régiment d'Artillerie.[81]
Mutations, Par décision ministérielle du 1er octobre 1902 :
Artillerie : M. de DARTEIN, colonel breveté, directeur à la Rochelle, est nommé au commandement du 40e régiment.[82]
  • 01.01.1903 : Composition Officiers du 40e RAC[83] et emplacements[83] : Saint-Mihiel & Verdun
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[83]
pour le 6e Corps d'Armée[84] :
Artillerie de la 40e Division d'Infanterie à Saint-Mihiel[85]
Artillerie de la 42e Division d'Infanterie à Verdun[85]
Artillerie indépendante du corps d'armée[84]:
Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons[83][85], chef d'escadron DARU (M.A.F)[83][85] du 40e RAC.
[nota][18]: Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay[85], chef d'escadron FRANCARD (R.C.M)[85] du 25e RAC.
[nota][18] : 3 batteries du 7e Bataillon d'Artillerie à Pied (7e BAP) à Reims[85][84]
  • 1904-1905 : Composition Officiers du 40e RAC[86][87] et emplacements[86][87][88] : Saint-Mihiel & Verdun
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[86][87]
Artillerie de la 40e Division d'Infanterie à Saint-Mihiel[88]
Artillerie de la 42e Division d'Infanterie à Verdun[88]
Artillerie indépendante du corps d'armée[88][89] :
[nota][18]: Artillerie 3e Division de Cavalerie à Châlons[86][87][88], chef d'escadron DARU[86][88] du 40e RAC.
Artillerie 4e Division de Cavalerie à Stenay.[86][87][88], chef d'escadron ANTHOINE[86][88] du 40e RAC.
[nota][18] : Un groupe du 7e Bataillon d'Artillerie à Pied (7e BAP) à Reims[88][89][90][91]
  • 26.12.1905 : Etat-major général de l'Armée - par décret du 26 décembre 1905, rendus sur la proposition du ministre de la guerre, sont promus ou nommés dans la 1re section du cadre de l'état major général de l'armée :
au grade de général de brigade
M. le colonel breveté de Dartein, commandant le 40e régiment d'artillerie.[92]
M. de BERKHEIM, état-major particulier, directeur de l'atelier de construction de Vernon
est nommé commandant du 40e Régiment d'Artillerie (service)[93]
  • 01.01.1906 : Composition Officiers du 40e RAC et emplacements : Saint-Mihiel & Verdun[94]
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[94]
Artillerie de la 40e Division d'Infanterie à Saint-Mihiel[95]
Artillerie de la 42e Division d'Infanterie à Verdun[95]
Artillerie indépendante du corps d'armée[95][96]:
[nota][18]: Artillerie de la 3e Division de Cavalerie à Châlons[95], chef d'escadron CONSIGNY (L.H) du 40e RAC[94]
Artillerie de la 4e Division de Cavalerie à Stenay[95], chef d'escadron NUDANT (A.P) du 40e RAC[94]
[nota][18] : un groupe du 7e Bataillon d'Artillerie à Pied (7e BAP) à Reims[95][96][97]
  • 01.01.1907 : Composition Officiers du 40e RAC et emplacements : Saint-Mihiel & Verdun[98]
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[98]
dépôt (du 40e RAC) au camp de Châlons[99]
1re à 6e batteries[100] : Artillerie de la 42e Division d'Infanterie[100][101] à Verdun[100][101] (Ier & IIe Groupes)
LcL LACROIX[98][100][101] (M.P) commandant l'artillerie de la 42e Division d'Infanterie[100][101] à Verdun[98][100][101]
Chef d'escadron PAUFFIN de SAINT-MOREL (C.N.G.) à Verdun[98][100]
7e à 12e batteries[100] : Artillerie de la 40e Division d'Infanterie[100][101] à Saint-Mihiel[100][101] (IIIe & Ve Groupes)
et la 13e batterie à cheval du 25e RAC à Saint-Mihiel[102].
Artillerie indépendante du corps d'armée[101][103]:
13e et 14e batteries[100] : Artillerie de la 4e Division de Cavalerie[100][101] à Stenay[98][100][101], chef d'escadron NUDANT[98][101] (A.P)[98]
[nota][18] : 4e, 5e, 6e batteries[99] du 7e bataillon (d'artillerie à pied) (7e BAP) à Reims[101][103][104], chef d'escadron GAGES[101][104] (J.L)[104].
  • 09.04.1907 : LcL breveté PAUFFIN de SAINT-MOREL (Charles Norbert Gabriel) commandant de l'artillerie de la 42e Division d'Infanterie à Verdun[105]
  • 01.01.1908 : Composition Officiers du 40e RAC et emplacements : Saint-Mihiel & Verdun[106]
6e Brigade d'Artillerie et 6e Corps d'Armée[106]
Artillerie de la 40e Division d'Infanterie à Saint-Mihiel[107]
Artillerie de la 42e Division d'Infanterie à Verdun[107], LcL PAUFFIN de SAINT-MOREL[107]
Artillerie indépendante du corps d'armée[108]:
Artillerie de la 4e Division de Cavalerie à Stenay[106][107], chef d'escadron BONNET[106][107] (G.E)[106]
[nota][18] : Un groupe du 7e bataillon à pied (7e BAP) à Reims[108][109], chef d'escadron BESSON (J.M.L)[108].
  • 24.09.1908 : Par décret du Président de la République, en date du 24 septembre 1908, rendu sur proposition du ministre de la guerre, sont promus dans l'arme de l'artillerie aux grades ci-après, et par décision du même jour, ont reçu les affectations suivantes («services» pour les officiers déplacés):
au grade de colonel:
les lieutenants colonels : M. PELLARIN, breveté, dépôt de matériel d'artillerie de la Fère (stagiaire au 67e régiment d'infanterie). Nommé au commandement du 40e régiment.[110]
Artillerie. - Par décision ministérielle du 24 septembre 1908, les officiers dont les noms suivent ont reçu les affectations ci-après, savoir:
sont classés dans les établissements
M. de BERCKHEIM, commandant le 40e régiment - classé état-major particulier , directeur du dépôt de matériel d'artillerie de Bourges (services).[111]

Transformation de batteries à pied en batteries montées : octobre 1908 - décembre 1908

Artilleur LEDUC - Reims - 1908-1910
  • 25.10.1908 : Décret et instruction concernant la transformation en batteries montées de douze batteries à pied et la modification de la composition de régiments d'artillerie et de bataillons d'artillerie à pied[112]
7e Bataillon d'Artillerie à Pied, [4e,5e,6e batteries de Reims][113] devient
4e batterie à Pied (Reims) devient 15e batterie montée du 40e RAC à Reims[112]
5e batterie à Pied (Reims) devient 16e batterie montée du 40e RAC à Reims[112]
6e batterie à Pied (Reims) devient 17e batterie montée du 40e RAC à Reims[112]
  • 01.12.1908 : en exécution de la Dépêche Ministérielle n°11474/3 du 19.11.1908 par application du décret du 25.10.1908, les batteries 4, 5, 6 du 7e B.A.P sont versées au 40e RAC[114]
Artillerie de la 4e division de cavalerie à Stenay[107] : Chef d'escadron BONNET[107] (Georges Edmond)[106][116].

Juillet 1909 - Mars 1910 : Constitution des 22 nouveaux RAC

  • 24.07.1909 : Loi relative à la constitution des cadres et des effectifs de l'armée active et de l'armée territoriale en ce qui concerne l'artillerie[117]
  • 01.10.1909 : Tableau B: Répartition des batteries des batteries de campagne entre les groupes et les régiments d'artillerie[118]
pour le 40e RAC : 6 groupes de batteries montées de 75 & 13e et 14e batteries "à cheval" de l'artillerie divisionnaire de la 4e Division de Cavalerie.[118]
Tableau A: La batterie à cheval n°13 du 25e RA à Saint-Mihiel passe sur place au 40e RA et prend le n°18[118], 19e et 20e batteries à Saint-Mihiel.
  • 24.12.1909 : Par Décision Ministérielle (D.M) du 24.12.1909, les officiers dont les noms suivent ont été affectés aux états majors des corps ci-après créés à la date du 01.03.1910, en exécution de la loi du 24.07.1909:
LcL breveté PAUFFIN de SAINT MOREL (Charles Norbert Gabriel) du 40e Régiment d'Artillerie, commandant l'artillerie de la 42e Division d'Infanterie à Verdun, est nommé commandant par intérim du 61e Régiment d'Artillerie[119]
  • 01.01.1910 : Composition Officiers du 40e RAC[120] et emplacements[120] : Saint-Mihiel , Verdun,
et à Reims avec le Chef d'escadron BESSON (Jean Marie Lucien) (†28.01.1910)
artillerie à cheval à Stenay[120] : Chef d'escadron HECQ[120]
Chef d'Escadron HECQ - Stenay - 1910
  • 01.03.1910 : Constitution de 22 autres RAC conformément à la loi 24 juillet 1909[117]. L'Artillerie comprend 62 régiments d'artillerie de campagne.
Ier et IIe Groupes du 40e RAC[35][120] constituent les Ier et IIe Groupes du 61e RAC[121] par changement d’appellation.
Ve Groupe du 40e RAC[35][120] caserné à Reims devient IIIe Groupe du 61e RAC[121] par changement d’appellation.

période avril 1910 - septembre 1913

  • 15.02.1911 : Composition Officiers 40e RAC[122], Quartier Sénarmont à Saint-Mihiel[122] (Meuse), 1re à 9e batterie
et Quartier Desvaux Saint-Maurice à Stenay[122] (Meuse), 10e et 11e batteries "à Cheval"
  • 31.12.1911 : Composition Officiers du 40e RAC et emplacements à Saint-Mihiel[123] et à Stenay[123], 10e et 11e batteries "à Cheval"
  • 23.09.1912 : Par décret, en date du 23.09.1912 rendu sur le rapport sur le rapport du ministre de la guerre :
M.le colonel PELLARIN, breveté, commandant le 40e Régiment d'Artillerie a été nommé par interim, adjoint au commandant en chef, préfet du 4e arrondissement maritime, gouverneur de Rochefort.[124]
  • 24.09.1912 : Par décret du Président de la République, rendu sur le rapport du ministre de la guerre sont promus dans l'arme de l'artillerie aux grades ci-après, et par décision ministérielle du même jour, ont reçu les affectations suivantes :
au grade de colonel : M. Le GALLAIS : nommé au commandement du 40e régiment d'artillerie (service)[125]
  • 24.05.1913 : Annonce des changements de garnisons : 40e RA, 1 groupe à cheval de Stenay à Mézières[127]

Nouvelle composition des corps d'armée : septembre 1913- octobre 1913

  • 22.09.1913 : Décret relatif à la répartition et à l'organisation des subdivisions territoriales[128][129]
  • 28.09.1913 : Nouvelle composition des 2e, 6e, 20e, 7e, 14e Corps d'Armée et répartitions des troupes de ces corps d'armée à la date du 01.10.1913[130]
  • 01.10.1913 : Changements de garnisons : 40e RA, 1 groupe à cheval (2 batteries) de Stenay à Charleville (sic)[131][132][133]

Loi du 15.04.1914

Colonel PELLARIN - 1910
  • 15.04.1914 : Loi du 15.04.1914 modifiant la loi du 24.07.1909[135]
  • 01.05.1914 : Tableau A : Répartition entre les régiments des batteries à cheval de nouvelle formation.[136]
constitution de la 12e batterie "à Cheval"

Les Chefs de corps 1894-1914


^ Sommaire

campagne 1914-1918

Mobilisation

  • Ce régiment d'artillerie est composé de 3 groupes (I, II, III), chaque groupe a 3 batteries, une batterie est constituée de 9 pièces dont 4 pièces «de tir», armé de canon de 75 mm modèle 1897 et un IVe "Groupe à Cheval"
qui est rattaché à la IIIe Armée[141] (surnommée «Armée de Châlons»)

Ordres de Bataille

  • Ordre de Bataille Août 1914 :
Article détaillé : Ordre de Bataille 40e RAC août 1914
  • Ier, IIe, IIIe Groupes de l'artillerie divisionnaire (AD/40) de la 40e Division d'Infanterie
  • IVe Groupe à cheval du 40e RAC de la 4e Division de Cavalerie
  • Groupe de Renforcement constituant le IIIe Groupe de l'Artillerie Divisionnaire (AD/56) de la 56e Division d'Infanterie
  • Ordre de Bataille Janvier 1915 :
Article détaillé : Ordre de Bataille 40e RAC janvier 1915
  • Ier, IIe, IIIe Groupes de l'artillerie divisionnaire (AD/40) de la 40e Division d'Infanterie
  • Ordre de Bataille juillet 1915 :
Article détaillé : Ordre de Bataille 40e RAC juillet 1915
  • Ier, IIe, IIIe Groupes de l'artillerie divisionnaire (AD/40) de la 40e Division d'Infanterie
  • Ordre de Bataille novembre 1915 :
Article détaillé : Ordre de Bataille 40e RAC novembre 1915
  • Ier, IIe, IIIe Groupes de l'artillerie divisionnaire (AD/40) de la 40e Division d'Infanterie

Dépôts durant la guerre

- Devant l'avancée allemande, le dépôt du 40e RAC est replié du Camp de Châlons à Rennes[142][143] (Ille-et-Vilaine) durant la Grande Guerre.
- au quartier d'artillerie du Colombier[37] à Rennes, également quartier d'artillerie du 7e RAC.
- Il est également évoqué un dépôt à Saint-Grégoire à Rennes, (vue 8/83, page 12 du dossier)[144] & avis de recherche[145] publié par Léon MATHIEU[146]
Dans les Archives Municipales de Rennes, il apparait une 67e et 75e batteries de dépôt et un Peloton Hors Rang (PHR).
Il est évoqué dans une carte postale ancienne envoyée au famille une 78e batterie de territoriaux et un PHR.
(nota : la numérotation pour les batteries de dépôt commence à partir de 60 et les batteries des artilleurs territoriaux à partir de 70 ).
- Il existe des Cartes Postales Anciennes (CPA) avec la mention rayée du 24e Dragon et remplacée par 40e RA au quartier de cavalerie, Duchesse Anne à Rennes[147], envoyée par exemple par Robert Jules SIMON[148]
- Parc Saint Laurent à Rennes, avis de recherche[149] publié par Jules BIENAIMÉ[150]

Détachés agricoles

- Un détachement pour travaux agricoles à la ferme du Ronceray à Rennes est évoqué dans la mémoire des familles concernant des artilleurs territoriaux du 40e RAC. Il y aurait éventuellement aussi des Prisonniers de Guerre (P.G) allemands dans cette ferme, une éventuelle garde des P.G par des soldats territoriaux n'est pas à exclure. (nota : invérifiable mais pas impossible, voir ci-dessous).
il apparaitra sur leur fiche matricule la mention détaché agricole catégorie A ou catégorie B.
Concernant la mention catégorie B : il s'agit d'ouvriers agricoles et agriculteurs des régions envahies. Ils sont affectés à une commune ou à une exploitation.
Ils peuvent être dédiés à la surveillance des Prisonniers de Guerre.[151]

Bureaux de recrutement

En 1914, les bureaux de recrutement (militaire pour la conscription) sont déplacés de manière à ne pas être menacés par l'avancée allemande.
Les bureaux de recrutement de la 6e Région Militaire sont déplacés dans la 4e et 10e Région Militaire, le 8 septembre 1914[152].
Le bureau de recrutement pour le canton de Saint-Mihiel est celui de Verdun.[153]
Le bureau de recrutement de Verdun est déplacé à Rennes.[152]

Ier, IIe, IIIe Groupes

Ier Groupe (batteries 1, 2 et 3)
IIe Groupe (batteries 4, 5 et 6)
IIIe Groupe (batteries 7, 8 et 9)

Service de l'Artillerie

Parc d'Artillerie du 6e Corps d'Armée
Article détaillé : Ordre de bataille du Parc d'Artillerie du 6e Corps d'Armée - 1914-1918
Ce Parc d'Artillerie du 6e Corps d'Armée comprend un état major de Parc et 2 échelons et une équipe mobile de réparation (E.M.R).
Chaque échelon comprend un état major d'échelon, 3 sections de munitions d'infanterie (S.M.I) et des sections de munitions d'artillerie (S.M.A)
le 1er échelon est constitué par le 61e RAC[140], 1er SMI à 3e SMI et 7e SMA
et par le 40e RAC, 8e à 12e SMA[140]
le 2e échelon est constitué par le 25e RAC[140], 4e SMI à 6e SMI, 13e à 18e SMA
Constitution des sections de munitions au «Camp de Châlons», à partir d'un noyau venant de Saint-Mihiel
Etat Major 1er échelon[156]
8e S.M.A[157]
9e S.M.A[158]
10e S.M.A[159]
11e S.M.A[160]
12e S.M.A[161]
Parc d'Artillerie Divisionnaire 40e D.I
  • à partir de février 1916 jusqu'en décembre 1916, commence une réorganisation du Parc d'Artillerie des Corps d'Armée. Il est constitué des Parcs d'Artillerie Divisionnaire (P.A.D) par détachement des sections de munitions des Parcs d'Artillerie de Corps d'Armée et détachement des ouvriers des Parcs d'Artillerie des équipes mobile de réparation.
  • .02.1916 : Constitution du P.A.D 40[139]
un état major
5e S.M.I /25e RAC
11e S.M.A /40e RAC
12e S.M.A /40e RAC
E.M.R
  • 01.04.1917 : Les Sections de Munitions des P.A.D prennent les numéros : 1re S.M.I, 2e S.M.A, 3e S.M.A
1re S.M.I /40e RAC
2e S.M.A /40e RAC
3e S.M.A /40e RAC
E.M.R
Colonne de Ravitaillement (C.R)
Entre janvier et février 1918, les éléments de service et de ravitaillement des unités d’un même groupe sont réunis :
en une « colonne de ravitaillement » (C.R.) ou noté parfois dans les J.M.O (C.d.R)
1re Colonne de Ravitaillement
  • 01 à 02.1918 : Création de la 1re Colonne de Ravitaillement (1re C.R)
nota : absence de J.M.O
2e Colonne de Ravitaillement
  • 01 à 02.1918 : Création de la 2e Colonne de Ravitaillement (2e C.R)
nota : absence de J.M.O
3e Colonne de Ravitaillement
  • 01 à 02.1918 : Création de la 3e Colonne de Ravitaillement (3e C.R)
nota : absence de J.M.O

IVe Groupe à cheval

4e Division de Cavalerie isolée [164][165] à la mobilisation.
La 4e Division de Cavalerie (Général Abonneau) dans le dispositif de la zone de couverture prend position dans le secteur de Woëvre septentrional[166][167] (de Conflans à Givet) avec le 2e Corps d'Armée[166][168]. Au cours de la première semaine du mois d'Aout, la 9e D.C (général de L'Espée) rejoint la 4e D.C[166]

Groupe de renforcement

Article détaillé : Ordre de Bataille artillerie 56e DI août 1914
  • Groupe de renforcement (canons de 75), (27e, 28e, 29e batteries)
  • 03.08.1914 : Constitution au Camp de Châlons[169] à Mourmelon (voir page 11)[137](Marne), ce groupe de renforcement constitue le IIIe Groupe de l'Artillerie Divisionnaire (AD/56) à la 56e Division d'Infanterie[170][171] rattaché au IIIe Groupe de Division de Réserve[172] (IIIe G.D.R) (mobilisé en 6e Région Militaire) qui est rattaché à la IIIe Armée[141] (surnommée «Armée de Châlons»).
avec un groupe de renforcement du 25e RAC (Ier Groupe AD/56)
avec un groupe de renforcement du 32e RAC (IIe Groupe AD/56)
  • 01.04.1917 : devient III/225e RAC, Artillerie Divisionnaire (AD/56) de la 56e Division d'Infanterie[170]
  • 22.01.1919[137] : IIIe Groupe passé au régiment de marche 25/225
  • 01.07.1919 : devient III/25e RAC.
«par un hasard qui fait bien les choses, deux de ses anciennes batteries (27e et 28e) sont revenues maintenant à leur régiment d'origine (les 10e et 11e), la famille est presque au complet»[137][173]
Service de l'Artillerie : Parc d'Artillerie Divisionnaire 56e D.I
21e et 22e Section de Munitions d'Infanterie (S.M.I) du 13e RAC
23e à 25e Section de Munitions d'Artillerie (S.M.A) du 13e RAC
équipe mobile de réparation (E.M.R).

Ve Groupe de 120 L

  • Par note n° 10892 du 28 mai 1915, le général commandant en chef a fait connaître que l’artillerie lourde du 32e Corps d'Armée comprenant actuellement la 30e batterie de 120L du 4e RAL (régiment d’artillerie lourde), la 21e batterie du 9e RAP (régiment d’artillerie à pied), et la 4e colonne légère du 2e RAL sera désormais rattaché au 40e RAC dont elle formera le Ve groupe de 120L. Ces unités passent de leurs anciens corps au 40e RAC le 1er juin 1915.[174]
  • 01.06.1915 : Ve Groupe Lourd de 120 L de Bange (31e batterie ex 30/4e RAL et 32e batterie[175] ex 21/9e RAP)
  • 01.11.1915 : devenu IV/116e RAL[176]
  • Récit historique du Ve groupe de 120 L du 40e régiment d'artillerie[177]
Service de l'Artillerie : 16e Section de Munitions
  • 16e Section de Munitions (16e S.M) (ex 4e Colonne Légère du 2e RAL[174]) ravitaille en munitions le Ve Groupe de 120 L du 40e RAC
  • 01.11.1915 : devient 4e Section de Munitions du 116e RAL[176]

Groupe de 75

  • Groupe de 75, (31e, 32e, 33e batteries)
  • 01.04.1916 : Création, Artillerie de Corps (AC 34) du 34e C.A[178]
  • 06.07.1916 : ce groupe de canons de 75 constitue le Ier Groupe de l'Artillerie Divisionnaire (AD/66) à la 66e Division d'Infanterie[179]
avec Ve groupe de 75 du 26e RAC (IIe Groupe AD/66)
avec groupe de renforcement du 37e RAC (IIIe Groupe AD/66)
  • 01.04.1917 : devient I/240e RAC, Artillerie Divisionnaire (AD/66) à la 66e Division d'Infanterie[179], «Division Bleue»[180].
  • 01.03.1919 : I/240e RAC est dissous.
Service de l'Artillerie : Parc d'Artillerie Divisionnaire 66e D.I
21e à 22 e Section de Munitions d'Infanterie (S.M.I) du 13e RAC
23e à 25e Section de Munitions d'Artillerie (S.M.A) du 37e RAC
équipe mobile de réparation (E.M.R).

Batteries de tranchées

101e (a) batterie de tranchée
  • 11.03.1917 : 101e (a) batterie de tranchée (?)
  • 01.10.1917 : devient 125/49e, sans autre renseignement[36].
101e (b) batterie de tranchée
  • 06.04.1916 : une demi batterie de la 104e batterie du 46e RAC est mise à la disposition de la 40e Division d'Infanterie[181]
  • 01.10.1917 : devient 101e (b) batterie de tranchée (58 T) (ex demi batterie du 104/46e RAC)
  • 01.04.1918 : devient 29/176e Régiment d'Artillerie de Tranchée[182], artillerie 32e C.A
108e batterie de tranchée
  • avril 1915 : Section de bombardiers (58 T)
Le lieutenant PAUL du 32e Régiment d'artillerie est chargé de former la "section de bombardiers" de la 56e Division d'Infanterie.
Les éléments sont prélevés dans les 3 groupes de AD/56 et dans les sections de munitions.
  • 18.06.1915 : devenue 108e batterie[183]
citation du Sous-Lieutenant CAMPANA (François)[184] MPF
  • 01.10.1917 : devient 101/225e , artillerie de la 56e Division d'Infanterie (AD/56) (vue 22)[183]


^ Sommaire

Mort pour la France

voir § 40ème Régiment d'Artillerie de Campagne - 1914-1918

Les Chefs de corps durant la Grande Guerre

sources: Grande Guerre : page 22[137] et la liste complète[185]


^ Sommaire

Fourragère

Le régiment est autorisé au port de la fourragère aux couleurs de la Médaille militaire, par ordre 123 F du 11.09.1918[187], pour les citations à l'ordre de l'Armée suivantes (voir page 18)[137]:

  • Citation à l'Ordre général n°174 (%174) de la IIe Armée du 16 mai 1916
  • Citation à l'Ordre n°5778 D (%5778 D) du G.Q.G du 8 octobre 1917
  • Citation à l'Ordre général n°348 (%348) de la Ve armée du 10 juillet 1918
  • Citation à l'Ordre n°14937 du G.Q.G du 10.09.1918
  • Citation à l'Ordre général n°1618 de la IVe Armée du 6 février 1919

Décorations

La cravate du drapeau est décorée de la Croix de Guerre 1914-1918[36]

Citations
Régiment, 5 citations à l'ordre de l'Armée, 1 citation à l'ordre du Corps d'Armée[36]
Citation à l'Ordre général n°803/D.A du 32e Corps d'Armée du 20 janvier 1919
28e batterie, 1 citation à l'ordre de la Division[36]
108e batterie, 1 citation à l'ordre de la Division[36]

Étendard

Il porte, inscrit en lettres d’or sur sa soie, les noms des batailles suivantes[188] (pour la Grande Guerre)

La Marne 1914
Champagne 1915
Verdun 1916-1917
La Somme 1916
L'Aisne 1917-1918
Reims 1918


^ Sommaire

Démobilisation et Entre-deux-guerres

Mission d'occupation des pays Rhénans & Démobilisation

  • 11.11.1918 : 40e DI se trouve vers Sedan, elle est rattachée au IXe Corps d'Armée et à la IVe Armée. (vue 329)[139]
IVe Groupe à Cheval, artillerie de la 4e Division de Cavalerie (4e D.C) est rattachée au 2e Corps de Cavalerie (2e C.C) qui est rattaché au Groupe d'Armée des Flandres (G.A.F), 4e DC est lancée à la poursuite de l'ennemi lors de la Bataille de l'Escaut au moment de l'armistice. (vue 1030)[163] et (vue 321)[189]
IVe Armée fait partie du Groupe d'Armées du Centre (G.A.C)[190] du général MAISTRE.


Dès le 11 novembre, le maréchal Foch donne les ordres d'exécution aux commandants en chef des armées alliées:[191]
a. les troupes alliées franchiront le front sur lequel elles ont été arrêtées par la suspension des hostilités, le sixième jour à dater de la signature de l'armistice, c'est à dire le 17 novembre à partir de 5 heures et se porteront, en 2 étapes maximum, jusqu'à la ligne n°1 sur laquelle elles s'arrêteront.
b. Les troupes alliées franchiront la ligne n°1, le neuvième jour[192] à dater de la signature de l'armistice, c'est à dire le 21 novembre à partir de 5 heures, et se porteront en quatre étapes au maximum, jusqu'à la ligne n°2 sur laquelle elles s'arrêteront.
c. Les troupes alliées franchiront la ligne n°2 dans toute la partie nord de cette ligne (Belgique), le 16e jour, c'est à dire le 27 novembre à partir de 5 heures, elles se porteront en 6 étapes maximum, à la ligne n°3.
voir Carte Tome VII. La campagne offensive de 1918 et la marche au Rhin (18 juillet 1918 - 28 juin 1919)
  • 14.11.1918 : le territoire et les troupes de la IVe Armée passent sous les ordres de la Ve Armée
9e C.A dont dépend la 40e D.I passe à la Ve Armée.[193]
  • 16.11 au 28.11.1918 : 40eD.I est resté à la IIIe Armée.
  • 18.11.1918 : Groupe d'Armée des Flandres (GAF) est dissous, le Général DEGOUTTE reprend le commandement des forces françaises et américaines actuellement en Belgique (VIe Armée Française).
Cette VIe Armée poursuivra son mouvement vers l'EST en liant sa droite à la gauche Britannique[194]
  • du 19 au 26.11.1918 : Les 3 groupes (I, II, III) cantonnent à Récy (Marne) (vue 88)[195]
Le 40e RAC prend part à l'occupation en Pays Rhénan[5] (vue 10)[137]
  • 21.11.1918 : 4e DC, en tête de la VIe Armée, atteint OVERYSSCHE (Belgique).[196]
Artillerie 4e DC à WOUBRECHTEGEM (Belgique)[197]
  • 14.12.1918 : cantonnement 40e régiment d'artillerie (vue 89)[195]
Ier Groupe à Marthille (Moselle)
IIe Groupe : Villers aux Oies et Chicourt (Moselle)
IIIe Groupe : Bréhain et Château-Bréhain (Moselle)
  • 18.12.1918 : le 40 e régiment d'artillerie (Groupes I,II & III) cantonne à Sarrebruck (vue 89)[195] (vue 41)[198]
  • 19.12.1918 : 40e D.I quitte la VIIe Armée pour rejoindre le 32e C.A sous les ordres Xe Armée[193].
  • 25.12.1918 : le 40 régiment d'artillerie est installé dans ses garnisons d'occupation: (vue 89)[195]
Etat-Major : Kaiserslautern
Ier Groupe : E.M et 1re batterie à Göllheim, 2e batterie à Eisenberg, 3e batterie à Dreisen (vue 41)[198]
IIe Groupe : Rockenhausen
IIIe Groupe : Kaiserslautern
  • 26.12.1918 : Artillerie 4e D.C s'installe dans sa zone d'occupation définitive qui comprend SIMMERN (Rhénanie-Palatinat, Allemagne)[197]
  • 18.01.1919 : Il est formé au 40e régiment d'artillerie, un Groupe de démobilisation composé des officiers démobilisables et des sous-officiers et hommes de troupes de la classe 1911 et plus anciennes. (vue 42)[198] (vue 90)[195]
Le IIIe Groupe et le Parc passe au Ier et IIe Groupes, les éléments les plus jeunes.
Les Ier et IIe Groupes passent au IIIe Groupe, les éléments de la classe 11 et plus anciennes.

Régiment de Marche

  • 20.01.1919 : Dissolution du 268e RAC[199]
  • 20.01.1919 : Le 40e régiment d'artillerie reçoit un nouveau IIIe Groupe composé des éléments jeunes du III/268e RAC
  • 20.01.1919[200] : Régiment d'Artillerie de Marche 40/268[36]
Formé avec le Ier et IIe/40e RAC, le III/268e RAC et le Parc du 268e RAC[36].
  • 29.01.1919 : La Division d'Infanterie est relevée de sa mission d'occupation et doit se rendre par étapes dans la région de Vitry-le-François, Châlons sur Marne.
  • 02.02.1919 : La Division d'Infanterie reçoit l'ordre de se porter avec le parc 40/268 dans la région de Verdun, le III/40 continuera sa route.
  • 13.02.1919 : Cantonnement 40e Régiment d'Artillerie (vue 92)[195]
Ier Groupe : Quartier Gribeauval (Thierville-Verdun) (ancien quartier du 61e RAC) (Meuse) (vue 43)[198]
IIe Groupe : Ambly (Meuse)
Parc : 1re section à Ambly - 2e section à Troyon (Meuse)
III/40/268 Groupe : Homécourt (Meurthe et Moselle)


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Régiment d'Artillerie de Campagne

  • 01.07.1919 : devient 40e Régiment d'Artillerie de Campagne
III/268e RAC devient III/40e RAC
Complété par le groupe lourd de 155 CS du V/132e RAL qui devient V/40e RAC
Occupation de la Rhénanie (IVe Groupe "à Cheval") avec la Xe Armée[201].
IVe Groupe à cheval du 40e RAC devient VII/40e RAC
  • 14.07.1919 : Le 40e régiment d'artillerie participe au défilé de la Victoire sur les Champs-Elysées.[202][203] (vue 10)[137]
avec une des batteries de 75, avec l'étendard, une section des batteries lourdes.[137]
  • 19.07.1919 : la batterie de 75 avec l'étendard participe aux fêtes de la Victoire à Londres.[137]
la répartition des groupes est la suivante:[37]
  • VIIe Groupe "à Cheval" ("les volants") à Verdun[36][37] (Meuse), Armée Française du Rhin.


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Régiment d'Artillerie Divisionnaire

suite monographie : 40e Régiment d'Artillerie Nord Africain - 1939-1945


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Armée Française du Rhin (A.F.R) : VIIe Groupe à cheval, 1920 à 1930

  • de 1920 à 1930 : VIIe Groupe "à Cheval" est en garnison à Landau in der Pfalz dans le cadre de l’occupation de la Rhénanie avant de revenir sur Verdun.[37]
01.04.1920 : VII/40e RAC, à Landau, stationnement de l'Armée du Rhin, page 255[208]
01.10.1920 : VII/40e RAC devient 4e Groupe d'Artillerie à Cheval à Mayence[209], il devient autonome.
1921 : 4e Groupe d'Artillerie à Cheval à Düsseldorf[209].
10.04.1923 : 4e Groupe d'Artillerie à Cheval devient l'artillerie divisionnaire de la 4e Division Légère[210]
30.01.1926 : 4e Division Légère à Trêves[211] & (page 296, stationnement de l'AFR)[212]
05.05.1929 : 4e Division Légère devient le 74e RA[213]
15.12.1929 : 74e RA à Trêves (page 300, stationnement de l'AFR)[212]
01.08.1930 : après rentrée de l'Armée du Rhin, 74e RA à Verdun (d'après le répertoire par des corps de troupes, annexe III page 217 à 225)[212].


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Bibliographie

  • Historiques de l'artillerie française, tome I & II, colonels Henri Kauffer et Georges Van den Bogaert, imprimerie de L'Ecole d'Application de L'Artillerie- DRAGUIGNAN, 1989
  • L'Artillerie par le colonel Henri Kauffer, in Inventaire des archives de la Guerre : Série N 1872-1919, vol. 1 : Introduction, guide des sources, bibliographie par Pierre Guinard, Jean-Claude Devos et Jean Nicot, page 143 (vue 151), imprimerie La Renaissance - Troyes - 1975
  • L'Artillerie Française et ses insignes, tome I & V, Chef d'escadron Charles Letrait, Toulouse, imprimerie Dulaurier, 1978-1979
  • L'Armée française en 1918, Colonel Frédéric Guelton, collection "les armées belligérantes-I", éditions 14-18, Hors série, 2009
  • Manuel d'artillerie lourde (matériel), Colonel Alvin & Commandant André, 4e édition, édition Lavauzelle, 1919
  • Les Canons de la Victoire, 5e édition du Manuel d'Artillerie Lourde, Colonel Alvin et Commandant André, édition Lavauzelle, 1923
  • L'Artillerie de côte et l'Artillerie de tranchée, tome 3, collection les canons de la victoire 1914-1918, Général Guy FRANÇOIS, Histoire & Collections, 2010
  • L'Armée Française de 1919 à 1939, livre I, II & III, Colonel Paoli, Service Historique
  • Plaquette 40e Régiment d'artillerie, Un Siècle d'Histoire, 1894-1994, lieutenant P. Boisgard, 1994
  • 40e Régiment d'Artillerie, Sursum Corda, sous la direction de Camille Varga, Éditions Pierre de Taillac, 2022
  • Historama spécial, hors série n°6, La cavalerie française à travers les âges, 1969
  • La France devant la conscription, Géographie historique d'une institution républicaine 1914-1922, Philippe Boulanger, Economica, 2001
  • J'étais médecin dans les tranchées, Louis MAUFRAIS (il est versé au II/40e RAC de mars 1917 à avril 1918), 2008


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Sources

  • Journaux des Marches et Opérations des grandes unités- J.M.O- 1914-1918 - cote 26N 1 à 570
  • Journaux des Marches et Opérations des régiments et bataillons, J.M.O 1914-1918 - cote 26 N 571 à 1370
  • Fiches individuelles numérisées des militaires décédés guerre de 1914-1918, M.D.H
  • Armées Françaises dans la Grande Guerre (AFGG)
  • Annuaire de l'Armée française 1892
  • Annuaire de l'Armée française 1893
  • Annuaire de l'Armée française 1894
  • Annuaire de l'Armée française 1895
  • Annuaire de l'Armée française 1896
  • Annuaire de l'Armée française 1897
  • Annuaire de l'Armée française 1898
  • Annuaire de l'Armée française 1900
  • Annuaire de l'Armée française 1901
  • Annuaire de l'Armée française 1902
  • Annuaire de l'Armée française 1903
  • Annuaire de l'Armée française 1904
  • Annuaire de l'Armée française 1905
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1906
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1907
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1908
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1910
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1911
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1912
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1913
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1914
  • Annuaire officiel de l’Armée française 1920
  • Répartition et emplacement des troupes de l'armée française, Paris, Imprimerie Nationale - 1899
  • Répartition et emplacement des troupes de l'armée française, Paris, Imprimerie Nationale - 1900
  • Répartition et emplacement des troupes de l'armée française, Paris, Imprimerie Nationale - 1901
  • Répartition et emplacement des troupes de l'armée française, Paris, Imprimerie Nationale - 1914
  • État militaire du corps de l'Artillerie, 1884
  • État militaire du corps de l'Artillerie, 1896
  • État militaire du corps de l'Artillerie, 1907
  • État militaire du corps de l'Artillerie, 1914
  • L'armée Française, album annuaire, 1896, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1897, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1898, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1899, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1900, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1901, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1902, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1903, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1904-1905, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1906, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1907, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  • L'armée Française, album annuaire, 1908-1909, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit


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Voir aussi (sur Geneawiki)


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Liens utiles (externes)


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Notes et références

  1. ↑ Projet de loi portant réorganisation des troupes de l'artillerie de l'armée active en vue de la formation d'une artillerie de forteresse.
  2. ↑ Loi portant sur la réorganisation des troupes de l'artillerie de l'armée active en vue de la formation d'une artillerie de forteresse, J.O.R.F 26.07.1883, page 3841
  3. ↑ 3,0 3,1 et 3,2 J.O.R.F 20.08.1883, page 4346
  4. ↑ 4,0 4,1 et 4,2 État militaire du corps de l'artillerie pour 1884
  5. ↑ 5,0 5,1 5,2 et 5,3 Plaquette 40e Régiment d'artillerie, Un Siècle d'Histoire, 1894-1994, lieutenant P. Boisgard
  6. ↑ J.O.R.F 02.03.1891, vue 1013
  7. ↑ E.S.S dossier L.H
  8. ↑ J.O.R.F 14.04.1891, page 1668
  9. ↑ 9,0 et 9,1 J.O.R.F 04.11.1891, page 5327
  10. ↑ J.O.R.F 10.01.1892, page 143
  11. ↑ J.O.R.F 18.01.1992, page 345
  12. ↑ Annuaire de l'armée française, 1892, n°66, vue 515]
  13. ↑ Annuaire de l'armée française, 1892, n°72, vue 663
  14. ↑ Annuaire de l'armée française, 1892, n°95, vue 516
  15. ↑ Annuaire de l'armée française, 1892, n°70, vue 111]
  16. ↑ J.O.R.F 20.01.1892, page 374
  17. ↑ J.O.R.F 17.02.1892, page 894
  18. ↑ 18,00 18,01 18,02 18,03 18,04 18,05 18,06 18,07 18,08 18,09 18,10 18,11 18,12 18,13 18,14 18,15 et 18,16 Pour information, sans rapport avec le 40e RA à cette date mais sur le territoire de la 6e Région Militaire
  19. ↑ Annuaire de l'armée française, 1893, n°49, vue 538
  20. ↑ Annuaire de l'armée française, 1893, n°37, vue 691
  21. ↑ Annuaire de l'armée française, 1893, n°80, vue 538
  22. ↑ Annuaire de l'armée française, 1893, n°64, vue 114
  23. ↑ J.O.R.F 02.08.1893, page 3375
  24. ↑ 24,0 et 24,1 J.O.R.F 06.08.1893, page 4141
  25. ↑ Annuaire de l'armée française, 1894, n°34, vue 549
  26. ↑ Annuaire de l'armée française, 1894, n°396, vue 690
  27. ↑ Annuaire de l'armée française, 1894, n°66, vue 549
  28. ↑ Annuaire de l'armée française, 1894, n°26, vue 692
  29. ↑ Annuaire de l'armée française, 1894, n°260, vue 554
  30. ↑ J.O.R.F 04.04.1894, vue 1573
  31. ↑ J.O.R.F 03.07.1894, page 3158, Loi portant modifications à l'organisation de l'artillerie et du génie du 29 juin 1894
  32. ↑ 32,0 32,1 32,2 et 32,3 J.O.R.F 06.07.1894, page 3218, Décret d'application de la Loi portant modifications à l'organisation de l'artillerie et du génie du 29 juin 1894
  33. ↑ J.O.R.F 09.09.1894, page 4396
  34. ↑ Historiques des corps de troupes de l'armée française, (1560-1900), vue 734
  35. ↑ 35,0 35,1 35,2 35,3 et 35,4 Tome I, L'Artillerie Française et ses insignes, Chef d'escadron Charles Letrait, 1978-1979
  36. ↑ 36,00 36,01 36,02 36,03 36,04 36,05 36,06 36,07 36,08 36,09 36,10 et 36,11 Tome II, page 254 à 256, Historiques de l'artillerie française, colonels Henri Kauffer et Georges Van den Bogaert, 1989
  37. ↑ 37,00 37,01 37,02 37,03 37,04 37,05 37,06 37,07 37,08 37,09 37,10 37,11 et 37,12 Bulletin de l'amicale des anciens des 40e et 240e RA, n°33 de Janvier 2022
  38. ↑ Journal La Meuse, édition du 13.10.1894, vue 163, Au camp de Châlons, 3e colonne
  39. ↑ Journal militaire, 01.01.1895, page 348
  40. ↑ J.O.R.F 13.02.1895, page 831
  41. ↑ Annuaire de L'Armée française pour l'année 1895, vue 558
  42. ↑ Journal La Meuse, édition du 20.04.1895, vue 62, 3e colonne
  43. ↑ Article wikipedia
  44. ↑ Journal La Meuse, édition du 27.04.1895, vue 66, 2e et 3e colonne
  45. ↑ Annuaire de l'Armée française, 6e Corps d'Armée, vue 47
  46. ↑ 46,0 46,1 46,2 et 46,3 Annuaire de l'Armée française 1896, vue 565
  47. ↑ 47,0 47,1 47,2 47,3 et 47,4 Etat Militaire du corps de l'Artillerie, 1896
  48. ↑ 48,0 48,1 et 48,2 L'armée Française, album annuaire, 1896, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  49. ↑ 49,0 49,1 49,2 49,3 49,4 et 49,5 Portion Centrale : Dépôt, Administration, Intendance
  50. ↑ 50,0 50,1 50,2 50,3 50,4 et 50,5 Portion Principale : Régiment actif avec Colonel et Etat-Major
  51. ↑ Annuaire de l'Armée française 1896, page 575, n°310
  52. ↑ Annuaire de l'Armée française 1896, page 575, n°292
  53. ↑ Journal La Meuse, édition du 16.04.1896, vue 62, article «Voyage du président de la République à la frontière de l'EST» 1re colonne
  54. ↑ Journal le Gaulois, édition du 10.10.1896, la revue du camp de Châlons, 2e colonne
  55. ↑ Annuaire de l'Armée française 1897, vue 579
  56. ↑ 56,0 et 56,1 L'armée Française, album annuaire, 1897, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  57. ↑ J.O.R.F 17.12.1897, page 7072
  58. ↑ J.O.R.F 09.02.1898, page 838, décret d'application de la Loi du 05.12.1897 portant création d'une nouvelle région de Corps d'Armée
  59. ↑ Bulletin des lois de la République française, XIIe Série, page 1177
  60. ↑ 60,0 60,1 et 60,2 Annuaire de l'Armée française 1898, vue 595
  61. ↑ 61,0 61,1 61,2 et 61,3 Annuaire de l'Armée française 1898, 6e CA, vue 47-48
  62. ↑ 62,0 et 62,1 J.O.R.F 18.02.1898, page 1055
  63. ↑ avec indice (2) : Ce corps a un conseil d'administration siégeant à la P.P et un conseil éventuel à Verdun
  64. ↑ 64,0 et 64,1 L'Armée Française, annuaire illustré, 1898, Roger de Beauvoir
  65. ↑ 65,0 65,1 65,2 65,3 65,4 65,5 65,6 et 65,7 J.O.R.F 22.04.1898, vue 2698
  66. ↑ J.O.R.F 12.07.1898, vue 4268
  67. ↑ J.O.R.F 14.07.1898, page 4347
  68. ↑ Journal La Meuse, édition du 13.08.1898, vue 128, 1re colonne
  69. ↑ J.O.R.F 30.08.1898, vue 5380
  70. ↑ 70,0 70,1 70,2 70,3 70,4 et 70,5 Répartition et emplacement des troupes de l'armée française, Paris, Imprimerie Nationale - 1899
  71. ↑ 71,0 71,1 et 71,2 avec indice B : Ce corps a un conseil d'administration siégeant à la P.P et un conseil éventuel à Verdun
  72. ↑ 72,0 72,1 72,2 72,3 72,4 72,5 et 72,6 L'Armée Française, annuaire illustré, 1899, Roger de Beauvoir
  73. ↑ 73,0 73,1 73,2 73,3 73,4 et 73,5 Répartition et emplacement des troupes de l'armée française, Paris, Imprimerie Nationale - 1900
  74. ↑ 74,0 74,1 et 74,2 Annuaire de l'Armée française pour l'année 1900, vue 587
  75. ↑ 75,0 75,1 75,2 75,3 75,4 et 75,5 Répartition et emplacement des troupes de l'armée française, Paris, Imprimerie Nationale - 1901
  76. ↑ 76,0 76,1 et 76,2 Annuaire de l'Armée française 1901, 40e RAC, vue 589
  77. ↑ Annuaire de l'Armée française 1901, 6e CA, vue 50-51
  78. ↑ 78,0 78,1 78,2 et 78,3 Annuaire de l'Armée française 1902, 40e RAC, vue 549
  79. ↑ Annuaire de l'Armée française 1902, 6e CA, vue 52-53
  80. ↑ 80,0 80,1 80,2 et 80,3 L'armée Française, album annuaire, 1902, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  81. ↑ J.O.R.F 02.10.1902, page 6497
  82. ↑ J.O.R.F 02.10.1902, page 6509
  83. ↑ 83,0 83,1 83,2 83,3 et 83,4 Annuaire de l'Armée française 1903, 40e RAC, vue 553
  84. ↑ 84,0 84,1 et 84,2 Annuaire de l'Armée française 1903, 6e CA, vue 55-56
  85. ↑ 85,0 85,1 85,2 85,3 85,4 85,5 et 85,6 L'armée Française, album annuaire, 1903, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  86. ↑ 86,0 86,1 86,2 86,3 86,4 86,5 et 86,6 Annuaire de l'Armée française 1904, 40e RAC, vue 557
  87. ↑ 87,0 87,1 87,2 87,3 et 87,4 Annuaire de l'Armée française 1905, 40e RAC,vue 564
  88. ↑ 88,0 88,1 88,2 88,3 88,4 88,5 88,6 88,7 et 88,8 L'armée Française, album annuaire, 1904-1905, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  89. ↑ 89,0 et 89,1 Annuaire de l'Armée française 1904, 6e CA, vue 55-56
  90. ↑ Annuaire de l'Armée française 1904, 7e BAP, vue 521
  91. ↑ Annuaire de l'Armée française 1905, 7e BAP, vue 508
  92. ↑ J.O.R.F 26.12.1905, page 7590
  93. ↑ J.O.R.F 26.12.1905, page 7609
  94. ↑ 94,0 94,1 94,2 et 94,3 Annuaire de l'Armée française 1906, 40e RAC, vue 567
  95. ↑ 95,0 95,1 95,2 95,3 95,4 et 95,5 L'armée Française, album annuaire, 1906, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  96. ↑ 96,0 et 96,1 Annuaire de l'Armée française 1906, 6e CA, vue 61-62
  97. ↑ Annuaire de l'Armée française 1906, 7e BAP, vue 511
  98. ↑ 98,0 98,1 98,2 98,3 98,4 98,5 98,6 et 98,7 Annuaire officiel de l'armée française 1907, 40e RAC, vue 566
  99. ↑ 99,0 et 99,1 État Militaire du corps d'Artillerie 1907, chapitre commandements de l'artillerie du 6e Corps d'Armée, vue 408
  100. ↑ 100,00 100,01 100,02 100,03 100,04 100,05 100,06 100,07 100,08 100,09 100,10 100,11 et 100,12 État Militaire du corps d'Artillerie 1907, 40e RAC, vue 588
  101. ↑ 101,00 101,01 101,02 101,03 101,04 101,05 101,06 101,07 101,08 101,09 101,10 101,11 et 101,12 L'armée Française, album annuaire, 1907, Roger de Beauvoir, Paris - Plon-Nourrit
  102. ↑ État Militaire du corps d'Artillerie 1907, 25e RAC, vue 558
  103. ↑ 103,0 et 103,1 Annuaire de l'Armée française 1907, 6e CA, vue 61-62
  104. ↑ 104,0 104,1 et 104,2 Annuaire de l'Armée française 1907, 7e BAP, vue 509
  105. ↑ E.S.S L.H PAUFFIN de SAINT MOREL, vue 9
  106. ↑ 106,0 106,1 106,2 106,3 106,4 et 106,5 Annuaire officiel de l'armée française 1908, 40e RAC, vue 569
  107. ↑ 107,0 107,1 107,2 107,3 107,4 107,5 107,6 107,7 107,8 et 107,9 L'armée Française, album annuaire 1908-1909, Roger de Beauvoir
  108. ↑ 108,0 108,1 et 108,2 Annuaire de l'Armée française 1908, 6e CA, vue 61-62
  109. ↑ Annuaire de l'Armée française 1908, 7e BAP, vue 512
  110. ↑ J.O.R.F 25.09.1908, page 6593
  111. ↑ J.O.R.F 25.09.1908, vue 6606
  112. ↑ 112,0 112,1 112,2 et 112,3 J.O.R.F 01.11.1908, page 7460-7461, décret du 25.10.1908
  113. ↑ Annuaire officiel de l'Armée Française, 1908, 7e BAP, vue 512
  114. ↑ Fiche matricule LEDUC Gustave Gaston, AD 78, classe 1907, n° matricule 1320
  115. ↑ équivalent Chef d'escadron dans l'artillerie
  116. ↑ n°372, vue 581
  117. ↑ 117,0 et 117,1 Bulletin des Lois de la République Française, 1909, n°663, vue 1433
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