« Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. » (Nicolas BOILEAU, l'Art poétique, chant 1)

Thème couture : tissu fantaisie
Thème broderie : Marquoir de 1910

À propos de la couture

Facture de la société Singer
  • La couture est l'ensemble des travaux effectués pour confectionner, raccommoder ou orner les tissus[1].
  • Faire une couture, c'est assembler deux pièces d'étoffe (ou autre matière) à l'aide d'un fil, passé au moyen d'une aiguille.

Bref historique :

  • Cette technique est ancestrale puisque, bien avant de concevoir tissage et tissu, les hommes préhistoriques assemblaient des peaux de bêtes pour se vêtir. « On sait aussi qu'elles (= les peuplades) employaient, en guise de fil, les fibres tendineuses des ruminants et particulièrement du renne » [2].
  • Au Moyen Âge, les tailleurs régnaient en maître sur le monde de la couture et du vêtement. À la fin du XVIIe siècle les femmes commencèrent à revendiquer leur savoir-faire et leur autonomie. Et grâce à l'édit de Louis XIV en mars 1675, elles purent créer des corporations, notamment de couturières et de lingères. A Paris, au XVIIIe siècle, « les plus nombreuses étaient les couturières, avec 1700 à 1800 maîtresses et un corps d'environ 3000 membres » [3].
  • La couture se faisait à la main jusqu'à ce que Barthélémy THIMONNIER invente la machine à coudre. Après un brevet déposé en 1830, puis quelques années d'améliorations, les machines à coudre domestiques furent opérationnelles en 1851.

Les applications :

Au départ centrée sur la confection, le raccommodage et l'ameublement, la couture s'applique de nos jours à de nombreux domaines : voiles de bateau, matériel de camping, sellerie automobile, etc...

À propos de la broderie

Revue de broderie de 1955

Broder un tissu ou un vêtement, c'est tout simplement l'embellir au moyen de différents fils, plus ou moins "nobles", et d'une très grande variété possible de points (droits, lancés, croisés, noués, bouclés, etc...)

Bref historique :

  • C'est en Égypte que l'on trouve la plus ancienne toile brodée. Cet art se pratiquait beaucoup en Orient, notamment dans l'empire Byzantin.
  • Au Moyen-Âge, la broderie commence à se répandre en Occident. Au XIe siècle, on en découvre en exemple culte avec la célèbre tapisserie de Bayeux, réalisée semble t-il par la reine Mathilde.
  • À partir du XIIIe siècle, on voit apparaître des corporations de brodeuses, avec des statuts bien définis qui varieront au fil de temps. Dans certaines villes comme Caen, « on donne une place particulière aux faiseuses d'aumônières »[4]. L'aumônière est alors une sorte de bourse qui remplace les poches.
  • Au XVIe siècle, grâce à son côté précieux et presque ostentatoire, la broderie prend une place considérable dans le monde religieux, notamment pour orner les habits sacerdotaux. Alors, « les chasubliers rivalisent de savoir-faire »[4].
  • « Sous Louis XV, Charles-Germain de Saint-Aubin, dessinateur-brodeur protégé par Mme de Pompadour, se distingue par ses broderies de fleurs et de papillons. Il est l'auteur d'un "Mémoire sur la broderie" et de "L'art de broder" »[5].
  • Au XIXe siècle, les corporations sont abolies, mais la broderie devient un art féminin qui prend des formes multiples. Par ailleurs, au milieu de ce siècle, on voit apparaître les débuts de la mécanisation.
  • Enfin, au XXe siècle, quelques hommes élèvent la broderie au rang d'art et de luxe, en l'associant à la Haute Couture (voir section ci-dessous).


Anciens métiers

Couture Raccommodage Broderie
Agréministe : ouvrier disposant des ornements Rabobelineur : répare les défauts ou les accrocs Ajoureuse : ouvrière qui embellit les chemisiers, nappes et linge, en faisant des jours
Arganpière : ouvrière tressant sur mesure et à la main des crinolines Raccommodeur : idem Appliqueuse : son travail est de coudre des fleurs sur des dentelles
Aumusseur : marchand bonnetier (les aumusses sont des fourrures portées en capuchon) Rafraichisseur : idem Bourselière : elle fabrique et orne des bourses
Bonnetier : il fait des ouvrages de bonneterie (bas, bonnets, gants, ...) Raccoutreuse : elle raccommode les bas mal tissés, avec un crochet, et plus tard, un pique-pique Chamareuse : ouvrière décorant les vêtements de passementeries ou dentelles
Bralier ou Braelier : fabricant de braies (= caleçons ou pantalons) Remailleuse : idem Chenilleur : ouvrier passementier posant de la chenille
Brocheur : il confectionne du linge de corps Ravaudeuse : elle raccommode le linge assise dans un baquet qui lui sert de boutique Coucheuse : c'est une dentellière
Chalcier ou Chanceleur ou Chaussetier : fabricant ou marchand de chausses Stoppeuse : elle reconstitue un tissu ayant subi un accident, un accroc Dentellière : à la fin du Moyen-Âge, elle exécute son travail sur un "carreau" (= coussin)
Chapier : il confectionne des capes (manteaux) Égratigneur : ouvrier ornant la soie en se servant d'une pointe de fer
Corsetier : couturier spécialisé qui fabrique des corsets Mercier : marchand de parures, broderies
Cousette ou Midinette : jeune apprentie couturière Parmentier : fabricant de broderies, galons et parements
Découpeuse : ouvrière qui tend la gaze sur un métier pour découper les fils excédentaires Plumassier : artisan cousant des plumes sur un chapeau ou un vêtement
Doubletier : ouvrier fabricant des doublures de vêtements Récameur : brodeur
Galonnier : fabricant de galons pour vêtements Striqueur : personne appliquant des fleurs sur des réseaux de dentelle
Gantier : il confectionne gants, culottes, gilets Vélineur : il fabrique du vélin (= dentelle fine)
Gaufreuse : ouvrière qui donne une forme au tissu, pour réaliser des fleurs par exemple
Giletier : fabricant de gilets Lunévilleuse : voir section Haute Couture
Gipponnier ou Parpointeur ou Pourpointier : fabricant de pourpoints Mainteuse : voir section haute Couture
Grisette : jeune fille qui travaille chez elle et effectue des petits travaux très variés
Jupier : il confectionne uniquement des vêtements féminins
Lingère : fabricante ou vendeuse de lingerie
Modiste : qui vend des "modes" (= parures féminines, vêtements)
Peleçonnier : fabricant de pelisses
Retoucheuse : personne qui adapte un vêtement à la morphologie du client
Sartre : tailleur d'habits (dans le Midi)
Tailleur d'habits : en 1763, le métier se scinde en deux : les hommes deviennent tailleurs, les femmes couturières
Trottin : ancien employé de la couture, remplacé plus tard par apprentie, cousette, midinette

Termes de couture

Couturomètre, pour garder une marge de couture régulière
Oeuf à repriser,
objet culte passé 100 fois dans les mains de nos grands-mères pour repriser nos chaussettes
Logo DMC
  • Biais : 1) sens du tissu qui fait un angle de 45° avec la lisière, et qui provoque une certaine élasticité.
2) bande de tissu coupée dans le biais et qui servira de bande de finition.
  • Bride : petit anneau de fils entourés de points de feston, pour former une boutonnière arrondie qui dépasse du vêtement.
  • Coin en onglet : technique permettant de faire un coin propre, sans surépaisseur, avec une couture à 45°.
  • Cranter : faire des petites entailles au bord du tissu, pour lui donner de la souplesse, quand on travaille avec des arrondis.
  • Décatissage : action de tremper le tissu pour qu'il perde son apprêt.
  • Droit-fil : sens du tissu parallèle à la lisière, et correspondant aux fils de chaîne, donc sens où le tissu se déforme le moins.
  • Entoiler : donner davantage de rigidité à un tissu fin ou mou, en le recouvrant sur l'envers d'un support (de nos jours thermocollant). Procédé nécessaire pour des cols de chemise, ou bretelles, ou visières de casquettes...
  • Empiècement : pièce d'un patron, souvent en haut du dos ou du devant, avec une couture sur les épaules, sauf pour certaines chemises.
  • Façon : confection, réalisation. Exemples : "un vêtement de belle façon". "Payer la façon du couturier".
  • Fauder : plier une étoffe, en double dans sa longueur, de sorte que les deux lisières se touchent. Cela donne le "pli marchand" que l'on trouve sur certains rouleaux de tissu.
  • Faufiler : faire une fausse couture, à grands points provisoires, pour former le bâti d'un vêtement avant de l'essayer sur la personne et de le coudre entièrement.
  • Feston : découpe arrondie en forme de coquille, qui se reproduit tout le long d'un bord de vêtement.
  • Froncer : passer un fil que l'on tire légèrement pour diminuer la largeur du tissu à cet endroit-là, mais provoquer de l'ampleur en-dessous (exemple : le volant).
  • Ganser : border un tissu, un vêtement, avec une bande de tissu qui restera apparente ou non.
  • Gradation : art de faire varier la taille d'un patron de base en respectant certaines proportions.
  • Marge de couture : espace qu' il faut laisser à l'extérieur du patron quand on coupe le tissu, et qui se retrouvera à l'intérieur du vêtement après avoir cousu.
  • Ourlet : rentré du tissu, en simple ou en double, pour finir proprement le bord d'un vêtement.
  • Parementure : petite pièce qui double l'épaisseur d'une autre (col, poche,...) et qui peut être apparente ou pas.
  • Passepoil : cordon entouré de tissu et pris dans la couture. Il donnera une nervure en relief.
  • Pince : le fait de resserrer le tissu à l'endroit choisi par une couture en demi-losange très étiré.
  • Repriser : passer des fils dans les deux sens en reproduisant la technique du tissage, pour boucher un trou.
  • Soutenir : froncer très légèrement, une tête de manche par exemple, pour que les courbes convexes et concaves s'ajustent parfaitement.
  • Surfiler : faire une couture en zig-zag, pour empêcher les bords du tissu de s'effilocher.

Termes de broderie

Brodeuses,
selon Thiriez & Cartier-Bresson,
album de 1955
Jours : rivières à faisceaux noués en serpentine
  • Blonde : dentelle aux fuseaux, en soie, confectionnée notamment à Caen
  • Brocher : garnir un tissu ou un vêtement de fils d'or ou de soie
  • Couchure : application d'un fil épais ou ruban ou chenille, qui ne traverse pas le tissu, mais est maintenu par un autre point plus ou moins décoratif
  • Diagramme ou Grille : en point compté, c'est une fiche quadrillée où chaque case porte un symbole correspondant aux points à effectuer et aux couleurs à utiliser
  • Engrelure : étroite dentelle, souvent cousue entre le corps d'un vêtement et le volant qu'on lui rajoute
  • Feston : réalisation d'un point de gribiche irrégulier, de façon à ce qu'il façonne des arceaux ou coquilles au ras desquels on pourra couper le tissu
  • Frisure : fil d'or ou d'argent frisé qu'on emploie dans les broderies
  • Guipure : lourde dentelle à ganse, du XVIIe siècle
  • Plumetis : broderie au passé plat, représentant souvent des petits ronds, qui seront rembourrés pour donner du relief
  • Smocks : broderie plus ou moins géométrique qui s'effectue sur d'innombrables petits plis réguliers, resserrant ainsi un empiècement et créant un aspect volanté au-dessus et en-dessous
  • Tirer des fils : enlever des fils dans un sens, sur une certaine partie du tissu, et ne laisser que ceux de l'autre sens, pour faire des "jours" en les regroupant par faisceaux d'un certain nombre de fils, et en les rebrodant. (voir aussi le marquoir de 1911)


Quelques broderies typiques


L'enseignement des travaux d'aiguille

Cahier pédagogique de Suzanne P.

Un apprentissage précoce :

  • Dès le Moyen-Âge, les travaux d'aiguille tiennent une place importante dans l'art de vivre des femmes. Au XVIIe siècle, la broderie fait partie de l' éducation des petites filles, juste derrière l'apprentissage de la lecture. « Durant plusieurs décennies, c'est par le fil rouge que les petites filles accèdent au premier degré de l'écriture »[6], notamment par les lettres de l'alphabet qu'elles apprennent à broder.
  • Puis, quand l'enseignement public remplace la maison ou l'école religieuse, les travaux d'aiguille s'inscrivent dans les programmes scolaires. « C'est Lakanal qui introduit, le 3 brumaire an III, pour la première fois, l'enseignement du travail manuel pour les filles »[7].
  • S'ensuivent divers articles de loi qui définissent ou réajustent programme et objectifs. Les institutrices font des travaux de couture à l'École Normale de filles. Quand on nomme un instituteur, on cherche des solutions pour assurer l'enseignement de la couture (soit sa femme, soit une institutrice). En 1923, une épreuve pratique de 50 minutes est prévue au certificat d'études.
  • En novembre 1939, comme le montre le cahier pédagogique ci-contre, les élèves de Suzanne P. à Malo-les-Bains, ont appris à réaliser le point de chainette.

Le guidisme et la couture :
Et oui, pour être guide de France, il ne fallait pas seulement savoir faire des nœuds ! En 1945, les novices devaient aussi savoir :
- pour devenir aspirante : « confectionner une trousse de couture, un sac à tricot, ou un sac à pain »[8].
- pour devenir guide de 2nde classe : « coudre les boutons, repriser un accroc, raccommoder ses bas »[9]
- pour devenir guide de 1ère classe : « tailler et confectionner une combinaison, une robe ou sa blouse d'uniforme »[10]

Marquoirs et trousseau :

Marquoir de 1911

Les notions d'alphabet au point de croix, transmises de génération en génération, et/ou inculquées à l'école dès l'âge de 7 ans, vont être appliquées par les jeunes filles sur leurs "marquettes" ou "marquoirs". On en trouve sur toiles de lin ou de coton, mais aussi sur des canevas Pénélope, rendant le point de croix plus facile à réaliser et plus régulier. Ces pièces sont « souvent mentionnées dans les testaments tant elles sont importantes dans la généalogie féminine »[11].
Ce savoir-faire va permettre aux jeunes fiancées de commencer à marquer leur trousseau de mariage, à leurs futures initiales. Non seulement un art, le marquage du linge de maison constitue en même temps un rite de passage entre deux étapes de la vie d'une femme. Et la couleur rouge, incontournable de ces initiales, symbolise l'amour, le sang, la vie.
Plus qu'une dot, le trousseau devient alors un fil de mémoire, un patrimoine familial transmissible de génération en génération.

La Haute-Couture

Les débuts :

  • Jusqu'à la fin du XIXe siècle, les maîtres tailleurs confectionnaient à la demande de leurs clients. Le concept de "mode" en était à peine à ses balbutiements, juste véhiculé par certaines personnalités.
  • « En 1858, un anglais installé à Paris, Charles Frédéric WORTH, sort des sentiers battus. [... ] Visionnaire, il instaure de nouvelles habitudes. Ce faisant, il fonde la première maison de couture »[12].
Couturier de formation, Charles Frédéric WORTH fournit ses propres matériaux et se lance dans le "sur mesure", avec un style plutôt raffiné, qui s'oppose aux débuts de la confection industrielle. Il cible une clientèle aisée, et habillera notamment l'impératrice Eugénie. Charles Frédéric WORTH peaufine ensuite son art en collaborant avec des passementiers et brodeurs, particulièrement Albert Michonet, dont l'atelier, ouvert aussi en 1858, sera repris en 1920 par Lesage pour devenir la célèbre maison de broderie :
La Haute Couture parisienne est née, et c'est le début d'un défilé de créateurs, à commencer par Jeanne LANVIN, Paul POIRET, Coco CHANEL, Madeleine VIONNET, etc...

Les métiers :

  • Une maison de couture est partagée en deux ateliers :
- le "flou", où l'on travaille les textiles fluides pour réaliser par exemple des robes
- le "tailleur", dédié aux tweeds et autres tissus rigides, pour des vêtements structurés
  • Chacun de ces ateliers est dirigé par une première. Non seulement elle gère son équipe de secondes et de petites mains, mais c'est aussi elle qui crée la "toile", c'est à dire la première ébauche en tissu d'après les croquis du créateur.
  • Faire-valoir de la Haute Couture, les artisans paruriers ont un grand rôle à jouer, et certains métiers ou ateliers n'ont pas changé depuis le début de cette aventure :
- les fabricants de fleurs en tissu, de génération en génération chez Bruno Legeron
- les plumassiers chez Lemarié. Mais certains artistes plasticiens commencent à s'intéresser à ce domaine.
- les brodeuses spécialisées chez Lesage ; à l'époque, on distinguait :
1) la mainteuse qui travaille avec un fil et une aiguille à la main, sur l'endroit, pour ajouter perles ou paillettes
2) la lunévilleuse, qui utilise un petit crochet et brode sur l'envers du tissu
Maintenant, elles ont tendance à être polyvalentes.

Bibliographie

  • Paul REYMOND, Dictionnaire des vieux métiers, 1200 métiers disparus ou oubliés, Éditions Brocéliande, 1994, ISBN 2-9508798-0-2
  • Raymond DESCHAMPS, Revue Nos ancêtres, vie et métiers, n° 12, mars 2005, "Métiers des villes", Revigny (55), Martin Média, ISSN 1639-7304
  • Kate HAXELL, Coudre à la machine, Dessein et Tolra/Larousse, 2016, 128 pages, ISBN 978-2-295-00653-0
  • Fanny VIOLLET, L'Art du Point de Croix, Paris, Édition de Club France Loisirs, 1999, 160 pages, ISBN 2-7441-2054-5
  • Thierry LAMARRE, 250 points de broderie, Issy-les-Moulineaux, Éditions Marie Claire, 2007, 128 pages, ISBN 978-2-84831-101-2
  • Yves TESSIER, Les Guides de France, différents degrés, Clermont-Ferrand, Dépôt légal 3e trimestre 1945, n° 144
  • Leila Le CAVORZIN-MILLE, Haute Couture, artisans-paruriers et couturiers, collection "artisans des villes", Publier (74), Neva Éditions, 2005, 104 pages, ISBN 2-35055-019-2
  • Catherine ÖRMEN, Un siècle de mode, Larousse 2012, 126 pages, ISBN 978-2-03-593254-9

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références

  1. Larousse ménager - Larousse - 1955
  2. H. Le HON, page 65, in Temps antédiluviens et préhistoriques : l'homme fossile en Europe
  3. Cynthia TRUANT, in La maîtrise d'une identité ? Corporations féminines à Paris au XVII et XVIIIe siècles
  4. 4,0 et 4,1 Histoire de la broderie
  5. gerard.beulot.free.fr La broderie : aperçu historique
  6. Page 6, in Fanny VIOLLET, L'art du Point de Croix, Paris, Éditions du Club France Loisirs, 1999, 160 pages, ISBN 2-7441-2054-5
  7. Éducation manuelle
  8. Page 4, in Yves TESSIER, Les Guides de France, différents degrés, Clermont-Ferrand, Dépôt légal 3e trimestre 1945, n°144
  9. Page 10, in Yves TESSIER, Les Guides de France, différents degrés, Clermont-Ferrand, Dépôt légal 3e trimestre 1945, n°144
  10. Page 14, in Yves TESSIER, Les Guides de France, différents degrés, Clermont-Ferrand, Dépôt légal 3e trimestre 1945, n°144
  11. Page 7, in Fanny VIOLLET, L'Art du Point de Croix, Paris, Éditions du Club France Loisirs, 1999, 160 pages, ISBN 2-7441-2054-5
  12. Pages 8 et 9, in Leila Le CAVORZIN-MILLE, Haute Couture, artisans et paruriers, collection "artisans des villes", Publier (74), Neva Éditions, 2005, 104 pages, ISBN 2-35055-019-2


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