95428 - Montmorency
Montmorency | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 95428 |
Code postal | 95160 |
Population | 21 647 habitants (2018) |
Nom des habitants | Les Montmorencéens |
Superficie | 537 hectares |
Densité | 4031.1 hab./km² |
Altitude | Mini: 42 m |
Point culminant | 175 m |
Coordonnées géographiques |
49° / 2.3333° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
1ère époque :
De la préhistoire au moyen-âge
A 17 km au Nord Ouest de Paris, s'ouvre une vallée dont le seuil est barré par une retenue d'eau (le lac d'Enghien) et commandé par un promontoire rocheux dont le flanc nord est protégé par une colline boisée. Tous ces éléments du paysage ont un point commun: Elles portent le nom d'une des familles les plus importantes de France, les Montmorency, qui furent jusqu'en 1632 les maîtres des lieux et de bien d'autres. Mais Montmorency a été occupée de longue date. De nombreux tumuli et des sites de taille du silex encore visibles aujourd'hui dans le massif forestier qui jouxte la commune attestent cet habitat (au moins saisonnier) pour l'observateur averti. Ils ont donné leur nom à une époque du mésolithique: le montmorencien.
On trouve trace du toponyme "Montmorency" à l'époque carolingienne. Le toponyme Maurentiacus désigne l'espace cultivé par un propriétaire et dérive de l'anthroponyme Maurentius. La forme germanique Morency, à laquelle on ajoutera le préfixe topographique Mont (en latin Mons Morentiacus) désignera le promontoire rocheux surmonté, vers 886, d'un château primitif entièrement en bois, le Castrum: Une simple tour carrée protégée par une palissade au sommet d'un épaulement rocheux arasé et dont la base est fermée par une seconde enceinte. C'est à cet emplacement primitif qu'aujourd'hui se dresse la Collégiale St Martin et... le Lycée d'Enseignement Professionnel.
Cette fortification, possession capétienne verrouillant la voie romaine vers Paris, participe du système défensif établi par Robert 1er le Fort, ancêtre des Capétiens, pour contenir les incursions normandes. Lorsque le roi Robert II le Pieux, au tout début du XI eme siècle, remet à Bouchard le Barbu le castrum, celui-ci est détruit. Le nouveau titulaire qui porte le nom de Bouchard 1er de Montmorency, s'engage à le remettre en état.
Fils de Bouchard de Bray, petit baron de Haute-Seine, et petit neveu de Gautier 1er, évêque de Sens, Bouchard le Barbu est chassé du Sénonais. Un heureux mariage avec la veuve d'un chevalier propriétaire d'une forteresse dans l'Ile St-Denis, le tire d'affaire et assure sa fortune. Il détourne à son profit les péages sur les marchandises transitant sur la Seine pour alimenter la foire du Lendit instituée par sa puissante voisine, l'abbaye royale de Saint-Denis. Ce faisant, il a tôt fait d'indisposer et l'abbé et le roi qui lui propose un marché: Le bouillant chevalier prend en charge un autre territoire stratégique, abandonne les péages et renonce à guerroyer contre l'abbaye. Bouchard accepte le territoire, rechigne à renoncer aux péages et ne dit mot sur l'abbaye... il reste toutefois propriétaire de l'ile. De fait, l'accroissement de la châtellerie de Montmorency se fera le plus souvent par incorporation de territoires dyonissiens (de St Denis). Querelles, procès et coups de mains ne cesseront qu'en 1295, lorsque les deux parties auront échangé leurs enclaves territoriales respectives...
Ainsi débute la longue saga des Montmorency qui donnera six connétables, douze maréchaux et quatre amiraux à la France. Cette famille exercera sa suzeraineté sur un vaste domaine comprenant d'un seul tenant trente et une paroisses dont les limites sont au nord l'Oise et la Basse forêt de Montmorency (forêt de l'Ile-Adam), à l'est Belloy-en-France et Puiseux-en-France, au sud la Seine et l'Ile St-Denis, à l'Ouest Franconville et Taverny dont le chef lieu est le "chastel de Montmorency". Le développement urbain de Montmorency est considérable au cours des XII èmes et XIII èmes siècles. Des masures s'érigent peu à peu, dans et hors les murs, sur la partie septentrionale de l'éperon rocheux. A tel point que vers 1205 le castrum prendra l'appellation de castellum indiquant la présence d'un village fortifié.
Dans le même temps sa fonction de bourg agricole et défensif s'amenuise au profit d'une nouvelle vocation à caractère commercial : le marché hebdomadaire des produits agricoles, manufacturés et des textiles.
A priori mal placé, au centre d'un étroit village aux rues pentues, peu accessible du fait de son éloignement de tous les grands axes de communication (seule la voie reliant Argenteuil à Groslay puis à la route de Beaumont le traverse), le marché de Montmorency attire néanmoins chaque mercredi de nombreux bourgeois de Pontoise, d'Argenteuil et de Villeneuve-la-Garenne. La raison en est que contrairement aux autres marchés, celui de Montmorency offre une extrême diversité de produits: aliments: pain, vin, légumes et fruits mais aussi outils et ustensiles viticoles: clous, faucilles, futailles ; vestimentaires : laine, draps; bétail : ovins, bovins, porcins. Montmorency devient un centre urbain et commercial régional de première importance qui abrite tous les corps de métiers : maçons, serruriers, forgerons, cerciers, tonneliers, cabaretiers, hôteliers.
Un Hôtel Dieu, c'est à dire un hôpital est créé en 1207. Les templiers s'implantent dans la paroisse en 1257 en achetant une grande maison (rue de l'Étang qui deviendra ainsi la rue du Temple) et des parcelles de vigne (la Fosse-aux-moines). Le siège du baillage de la baronnie, c'est à dire le tribunal de justice, y est fixé en 1303 tandis que l'hôtel de la prévôté, c'est à dire l'hôtel de police, est érigé en 1369.
La guerre de cent ans interrompt gravement le développement de Montmorency. "Les Jacques" mettront la ville à sac en 1356 quand en 1358 Robert Knoles et son armée la pilla puis brûla tout. Elle eût à peine le temps de se relever qu'en 1381 les anglais la ravagèrent à nouveau, massacrant les habitants et ruinant tout sur leur passage. Ainsi fit également le duc d'Orléans en 1411 époque où furent érigés les remparts dont on peut encore voir aujourd'hui quelques restes à l'authenticité douteuse.
La muraille était percée de quatre portes : la porte Bague, dite encore des Feuillants ou saint Jacques, au débouché de l'actuelle rue Jean-Jacques Rousseau sur la place des cerisiers, et démolie en 1833 ; la porte Jonvelle, donnant sur la place du château Gaillard et démolie en 1810 ; la porte de la geôle, à l'angle des rues du Temple et du docteur Millet ; la porte Notre-Dame à l'angle des rues Notre Dame et le Laboureur, qui protège l'église paroissiale. Les hauts murs n'empêchèrent pas les Ligueurs de mettre à nouveau la ville à sac en 1589. C'est à ces derniers que fut attribué l'origine des restes d'un charnier mis à jour il y a quelques années à l'occasion de la réfection de la place du marché...
2e époque :
Du moyen-âge à la révolution
La mise en valeur de son terroir et le commerce assurent la prospérité de la Ville le long des siècles. La vallée est consacrée à la culture du blé et du froment, les coteaux sont voués à la vigne et aux arbres fruitiers, pommiers, poiriers, pruniers, cerisiers (il ne reste plus que quelques rares cerisiers de la variété dite de Montmorency aujourd'hui), mais aussi abricotiers, pêchers et figuiers. Sur le haut de la ville aux Champeaux, autrement dit "petits champs" conquis sur la forêt, on ne peut produire que du seigle, de l'orge et de l'avoine. L'industrie s'implante, bûcherons, charbonniers, cerciers, pâtres forment une communauté nombreuse. Montmorency possède même deux moulins dont la construction est antérieure à 1368. Il ne reste du second que le corps cylindrique de maçonnerie incorporé dans une maison d'habitation.
Au XVeme siècle, la division surgit dans la famille. Jean II de Montmorency (1402 - 1477) vit ses deux fils du premier lit, Jean de Nivelle et Louis de Fosseux, passer au parti des Bourguignons, dans le camp de l'opposition au Roi. Leur père, relevant l'honneur malgré son âge, combattit à leur place et les déshérita au profit des enfants du deuxième lit, dont Guillaume de Montmorency, le seul fils, fut le grand bénéficiaire. L'acte d'exhérédation fut passé "par devant Thomas le Maire et Nicolas Billeroy, notaires de Chastelet de Paris, le dimanche 24, jour de juillet 1463" au château de la Chasse, qu'on pense être celui-là même qui porte encore ce nom au cœur de la forêt de Montmorency à Montlignon.
Montmorency s'embellit. Son seigneur, le Baron Guillaume, tout en conservant la chapelle privée du château, veut remplacer la vieille collégiale familiale par un édifice digne de sa noble lignée et susceptible de recevoir leurs tombeaux. Les travaux débutent vers 1520 et s'interrompront provisoirement dans la deuxième moitié du XVIIeme siècle avec l'élévation d'une façade sans style. Il faudra attendre 1910 ! pour que l'édifice recevant sa façade définitive, son clocher et sa nouvelle sacristie soit entièrement achevé. Toutefois ses vitraux datant de la Renaissance comptent parmi les plus beaux de cette époque..
La puissance de Montmorency est à son apogée au XVIeme siècle. En 1551, la baronnie du connétable Anne (1493 - 1567), le cinquième de la famille dans cette dignité, est érigée par François 1er en duché-pairie. En 1617 la collégiale est confiée aux pères de l'Oratoire. Ils élèvent alors un immense collège qui assurera la formation des jeunes prêtres. Le père Cotte, père de la météorologie moderne, en sera l'élève puis le directeur.
1632, le seigneur de Montmorency, Henri II de Montmorency, en rebellion contre l'autorité royale est décapité sur ordre de Richelieu. Sans descendance, ses biens sont remis en partie à Henri de Bourbon, prince de Condé et premier prince du sang, en tant qu'époux d'une des trois sœurs du défunt rebelle, Charlotte Marguerite de Montmorency.
En 1689, Henri Jules de Bourbon, prince de Condé, duc de Montmorency, obtient que sa duché-paierie soit appelée duché-paierie d'Anguien. Dés lors, duché et cité, puis cité seule, vont subir pendant plus de 140 ans, 7 changements d'appellation. - Angien: 1689-1790 / Montmorency: 1790-1793 / Emile: 1793-1813 / Montmorency: 1813-1815 / Enghien: 24.1.1815-20.3.1815 / Enghien: 1815-1832 / Montmorency enfin depuis le 27 novembre 1832.
En 1629, Nicolas Desnots, bourgeois de Paris et trésorier des bâtiments du roi reçoit en don une mare dénommée "l'étang viel". Le prince de Condé lui donne l'autorisation de l'enclore avec les terres qu'il possède déjà. Ce sera le premier parc paysager de Montmorency doté de cascades, bassins et jets d'eau. En 1670, Charles Le Brun, premier peintre du roi acquiert cette propriété qu'il agrandit pour y construire sa maison de campagne, le "petit château". En 1702, Pierre Crozat, un riche financier en devient propriétaire, y construit le "grand château" et agrandit encore le domaine qui s'orne d'une orangerie. Cette orangerie, seul témoin de cette époque, après avoir servi de bâtiment agricole après la révolution, puis d'habitat populaire a été récemment rénovée pour accueillir l'École Municipale de Musique.
En 1750, le Maréchal de Luxembourg acquiert la propriété. A sa mort, le domaine tombe en déshérence. En 1817, le château sert de carrière de pierres tandis que durant les décennies suivantes le domaine passe de mains en mains. En 1878, le banquier See réhabilite ce qu'il reste du domaine, rénove le château et l'agrandit. De nouveau, plusieurs propriétaires se succèdent. En 1887, le duc de Dino, marquis de Talleyrand-Périgord, apparenté aux Montmorency rachète et achève l'agrandissement du domaine connu aujourd'hui comme le "Château de Dino". Son actuel propriétaire est une association qui accueille des enfants et des jeunes en difficulté.
1756. Le Maréchal de Luxembourg se lie d'amitié avec un jeune philosophe parisien, Jean-Jacques Rousseau qui vient s'établir à Montmorency (voir cette page). Sa venue contribue à la notoriété de Montmorency que fréquente une brillante société qui se rend à l'auberge du cheval blanc qui accueille chaque dimanche des familles entières. Par la suite, Montmorency va devenir un but de promenade pour la "gentry" parisienne pour des excursions ou promenades à dos d'âne et à cheval dans la forêt ainsi qu'un lieu de villégiature. Dés lors, hommes de lettres, musiciens, peintres, hommes politiques mais aussi réfugiés des révolutions ratées d'Europe Centrale (Hongrie, Pologne) ainsi que des hauts fonctionnaires, chefs d'entreprises, aristocrates fortunés, s'y installent pour la belle saison, puis y élisent domicile.
De la révolution à nos jours
Montmorency fut notamment le refuge de l'élite polonaise victime de la répression par l'armée russe de l'insurrection de 1830-31. Ce fut le cas de Julien Niemcewicz, du général Knaziewicz et du poète Adam Mickiewicz qui fut inhumé au cimetière des Champeaux en 1855 avant que ses cendres ne rejoignent sa patrie en 1890. La collégiale St Martin, conserve de nos jours plusieurs monuments funéraires de cette époque.
La découverte des eaux thermales sulfureuses d'Enghien (aux pieds de Montmorency) par le Père Cotte est à l'origine du développement d'Enghien les Bains, ville thermale qui bénéficie de la proximité de Paris et constitue un nouveau pôle économique au détriment de Montmorency vouée à un usage essentiellement résidentiel.
Faiblement industrialisée, Montmorency accroît son caractère résidentiel dés 1860 et voit se créer des lotissements de luxe dans ses immenses et anciens parcs. A l'initiative d'Emilien Rey de Foresta, maire de 1865 à 1880, un chemin de fer à crémaillère est construit pour relier Montmorency à Enghien. Le "Refoulons", c'était son nom, a assuré ce service avec de nombreuses vicissitudes de 1866 à 1954 le long d'une ligne de 3 kms de long, à l'époque la plus pentue de France. Un tramway électrique eût même une existence chaotique jusqu'en 1935. Il reliait Montmorency à Enghien via Groslay. Seuls des autobus assurent aujourd'hui les transports collectifs à Montmorency, avec beaucoup plus de régularité et de sécurité mais avec beaucoup moins de charme.
De nos jours, Montmorency présente le visage d'une paisible commune de 21.000 habitants à quelques kms de la capitale. Si l'on y trouve encore de grandes propriétés soigneusement encloses, la plupart ont été morcelées. Ses trois principaux quartiers, les Champeaux, le Centre et le Bas Montmorency, autrefois complètement isolés les uns des autres, partagent aujourd'hui une même identité relative. Chacun de ces quartiers est implanté sur un plateau: Le premier culmine à 166m, le second à environ 130m (c'est le Montmorency originel), le dernier n'excède pas 60m au dessus du niveau de la mer et a souhaité longtemps son rattachement à Enghien. La ville s'étend sur 7 kms de longueur pour seulement 850 mètres de largeur moyenne.
Malgré la disparition d'une grande partie de son patrimoine historique, Montmorency fait figure de privilégiée parmi les villes de la banlieue nord de Paris grâce à son environnement naturel relativement bien préservé. Il serait toutefois simpliste de croire que cette ville n'est que le refuge huppé de l'intelligentsia, du showbiz ou de la finance parisienne - ce qu'elle est en partie. Un habitat social important aux Champeaux et la modicité des loyers de nombreux logements dans le centre ancien, font se côtoyer dans la ville, des populations d'origines socio-économiques particulièrement diversifiées.
Par ailleurs, Montmorency et sa vallée rassemblent la plus importante communauté portugaise de France qui a su y développer un trés important réseau de solidarité. Historiquement, Montmorency accueille de nombreux établissements de retraite ou religieux des communautés russes, polonaises et arméniennes.
Peu industrialisée, Montmorency cherche modestement à promouvoir l'installation d'entreprises liées aux services ou à la haute technologie. L'une d'elle "BALT Extrusion" est spécialisée dans la fabrication de cathéters et sondes vasculaires. Elle s'est distinguée récemment parmi les entreprises françaises les plus dynamiques à l'export en y réalisant 80% de son chiffre d'affaire et en devenant leader mondial sur ce segment. Outre l'hôpital, le principal employeur de la ville, de nombreuses maisons de retraite, cliniques générales et psychiatriques ont élu domicile sur son territoire. Montmorency compte trois groupes scolaires, deux collèges, un lycée d'enseignement général et un lycée d'enseignement professionnel.
Montmorency est jumelée avec deux villes européennes. Kehl en Allemagne et Knutsford en Angleterre.
Héraldique
- D'or, à la croix de gueules, cantonnée de seize alérions d'azur ordonnés 2 et 2.
Histoire administrative
- Département - 1801-1964 : Seine-et-Oise --> 1964-1964 : Yvelines --> 1964-2025 : Val-d'Oise
- Arrondissement - 1801-1962 : Pontoise --> 1962-2000 : Montmorency --> Transfert de chef lieu : 2000-2025 : Sarcelles
- Canton - 1801-.... : ....
- Commune - 1801-1813 : Emile Émile --> 1813-1815 : Montmorency --> 1815-1832 : Enghien --> 1832-2025 : Montmorency
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Spécialité la cerise de Montmorency!
La Montmorency est une petite cerise plutôt tardive dont la couleur translucide varie du rose orangé au rouge clair selon sa maturation. Peu sucrée et aigrelette, la cerise de Montmorency trouve tout son intérêt en cuisine en accompagnement de viandes (magrets, gibier) et bien entendu également préparée à l'eau de vie. Son usage en dessert laitier est une curiosité mais elle est appréciable en tartes acidulées. Elle est malheureusement quasi introuvable à Montmorency...
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 1 870 | 1 697 | 1 683 | 1 573 | 1 789 | 1 870 | 1 930 | 2 051 | 2 144 | 2 359 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 2 613 | 3 126 | 3 494 | 4 088 | 4 295 | 4 894 | 4 577 | 4 966 | 5 419 | 5 997 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 7 093 | 8 490 | 9 977 | 10 891 | 10 535 | 11 126 | 14 094 | 16 369 | 18 691 | 20 860 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 20 798 | 20 920 | 20 599 | 21 416 | 20 945 | 21 457 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Jean-Etienne CARRE | 1831-1837 | |
Emile REGNARD | 1837-1854 | |
Pierre MARTINET | 1854-1857 | |
Jules MARNIER | 1857-1865 | |
Emilien REY DE FORESTA | 1865-1880 | |
MENODIER | 1880-1881 | |
Albert KUENTZER | 1881-1883 | |
MENODIER | 1883-1884 | |
Jules GUERIN BRIDAULT | 1884-1904 | |
Théophile VACHER | 1904-1909 | |
Albert DEMIRLEAU | 1909-1912 | |
Jules GUERIN | 1912-1914 | Conseiller général du canton de Montmorency (1901-1907) |
GUILLAUMOT | 1914-1919 | |
Lucien PERQUEL | 1919-1925 | |
Albert DEMIRLEAU | 1925-1929 | |
Raymond PERQUEL | 1929-1940 | Conseiller général du canton de Montmorency (1924-1925) |
PATENOTRE | 1940-1941 | |
Roger DUPONT | 1941-1945 | |
Georges POINTARD | 1944-1945 | |
Roger DUPONT | 1945-1947 | |
Pierre BINET | 1947-1948 | |
Louis CORTIER | 1948-1965 | |
Jacques REY | 1965-1971 | |
Albert NOACHOVITCH | 1971-1977 | Conseiller général du canton de Montmorency (1967-1979) |
Albert MAGARIAN | 1977-1995 | |
François LONGCHAMBON | 1995-2008 | Conseiller général du canton de Montmorency (1985-2011) |
François DETTON | 2008-2014 | |
Michèle BERTHY | 2014-2020 | Conseillère générale du canton de Montmorency (2011.2015) - Conseillère départementale de Montmorency (2015-2021) |
Maxime THORY | juillet 2020-(2026) | |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Ville de naissance ou de décès de
Décès :
- Armand Gaston CAMUS, homme politique né à Paris le 2/4/1740, décédé le 2/11/1804
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1919)
Documents numérisés
- Tables décennales. Collection du greffe. (1792-1902)
- Liste électorale (1870-1871)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 50 (1871-1872)
- Décès. AD95 3E118 68 (1891-1894)
- Naissances. AD95 3E118 64 (1888-1894)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 4 (1711-1738)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 38 (1841-1843)
- Décès. AD95 3E118 77 (1897-1897)
- Autres. AD95 4E 130 (1803-1812)
- Naissances. AD95 3E118 51 (1873-1879)
- Naissances. AD95 3E118 69 (1895-1895)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 62 (1747-1765)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 47 (1865-1866)
- Autres. AD95 3Q8 1301 (1896-1900)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 29 (1821-1823)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 26 (1815-1816)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 28 (1819-1820)
- Autres. AD95 3Q8 1303 (1905-1908)
- Naissances & Mariages & Décès. AD95 3E118 34 (1832-1834)
- Autres. AD95 3Q8 1302 (1901-1904)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | 8h30 à 12h30 | 8h30 à 12h30 | 8h30 à 12h30 | 8h30 à 12h30 | 8h30 à 12h00 | - |
Après-midi | 14h à 17h | 14h à 17h | 14h à 17h | 14h à 17h | 14h à 16h | - | - |
![]() Mairie |
Adresse : 2 avenue Foch - 95160 MONTMORENCY
Tél : 01 39 34 98 00 - Fax : Courriel : [email protected] Site internet : http://www.ville-montmorency.fr GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr (mars 2013) |