91223 - Étampes
Ville royale fortifiée depuis le Moyen Âge, comté et pairie devenus duché donné en apanage à trois favorites successives. Principale cité du Sud essonnien, carrefour de voies de communication, elle rayonne économiquement et culturellement sur l’ensemble des villages voisins .
Étampes | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | - |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 91223 |
Code postal | 91150 |
Population | 25 092 habitants (2017) |
Nom des habitants | Étampois, Étampoises |
Superficie | 4 092 hectares |
Densité | 613.2 hab./km² |
Altitude | Mini : 66 m |
Point culminant | 156 m |
Coordonnées géographiques |
48.434264° / 2.161491° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- 581 Première mention du pays d'Etampes "pagus stampensis" par Grégoire de Tours.
- 587 L'Étampois "Pagus Stampinsis" comté de l'époque franque est cité au traité d'Andelot entre Gontran Ier, roi de Burgondie, et son neveu Childebert II, roi d'Austrasie.
- 590 Etampes est ravagé par les troupes de Childebert (Annales de Grégoire de Tours).
- 604 Bataille près d'Etampes : le roi de Burgondie, Théodoric fils de Childebert roi d'Austrasie affronte Clotaire II roi de Neustrie. Les armées se rencontrent sur les bords de la Chalouette affluent de la Juine, affluent de l'Essonne affluent de la Seine.
- 646 Leodebod abbé du chapitre d'Orléans, donne dans son testament "simul que terras vel prata quae ab Albuna in pago Stampensi visus sum cumparasse" et ce albuna est peut être la première forme d'alba terra qui donnera Aubeterre.
- 854 Charles le Chauve donne des biens à "Albaterra" "Obterre" et à "Bauteri Villare" "Boutervilliers".
- 1215 La chapelle de Fourchainville "capella de Fulchevilla" un hameau de Villeconin.
Héraldique
De gueules à la tour crènelée d’or flanquée de deux tourelles en forme de guérite du même, la tour ouverte et ajourée de sable et chargée d’un écusson d’azur à trois fleurs de lys d’or, brisé en cœur d’un bâton péri en bande de gueules, chargé de trois lionceaux d’argent.
Toponymie
- 581 Première mention du pays d'Étampes "pagus stampensis" par Grégoire de Tours.
Le nom est véritablement problématique. En 581 la langue germanique possède une racine *STAMP- "fouler" qui peut déboucher sur une masse d'explications. Mais cette racine *STAMP- est-elle germanique ou bien est-elle ce qui reste d'un mot gaulois oublié. En breton moderne on a STAMP "enjambée", STUMM "petit", en gallois STOMP "désordre", en irlandais STUMPA "souche". Sans compter le fait qu'une racine commune au celte et au germanique est possible. Si le T ou/et le M de *STAMP ne sont pas épenthétiques. *STAMP- peut donc avoir une origine inattendue. "Marécage", "essart", "lieu de frappe de monnaie" etc.
Une liste de toponymes similaires a été dressée : — Étampes, commune (Essonne) — Étampes, autrefois hameau et aujourd’hui quartier de Corbie (Somme) — Étampes-sur-Marne, commune (Aisne). — Étampes, ferme de la commmune de Saint-Adjutory (Charente) — Estampes, hameau de la commune de Cuq-Toulza (Tarn) — Estampes, hameau de Grand-Vabre (Aveyron) — Estampes, commune du Gers (à côté d’Estampures, commune des Hautes-Pyrénées) — Saint-Jean d’Étampes, lieu-dit de la commune de La Brède (Gironde) — Estampe, lieu-dit de Tamniès (Dordogne) — Etampe, lieu-dit de Saint-Chamarand (Lot) — L’Estampe, lieu-dit de Riom-ès-Montagnes (Cantal) — L’Estampe, lieu-dit de Chassaradès (Lozère) — Les Étampes, lieu-dit de la commune de Miremont (Puy-de-Dôme) — Les Tempes, lieu-dit de Vabre-Tissac (Aveyron)
Histoire administrative
- Département - 1801-1967 : Seine-et-Oise [1964, Yvelines ... 1964, Yvelines] --> 1967-2023 : Essonne
- Arrondissement - 1801-1926 : Étampes --> 1926-1967 : Rambouillet --> 1967-2023 : Étampes
- Canton - 1801-2023 : Étampes
- Commune - 1801-2023 : Étampes
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Tour de Guinette
- Ce donjon de l'ancien château royal, aujourd'hui disparu, a été édifié vers 1130-1150. La Tour servit de prison à la reine Ingeburge de Danemark, épouse de Philippe Auguste, lequel la répudia lors de leur nuit de noce et l'enferma pendant douze ans.
- Le château royal, construit à la demande de Robert le Pieux, se dote de trois enceintes quadrangulaires. Le roi Philippe Auguste fait édifier la première enceinte, reliée ultérieurement à la seconde par une passerelle. Représenté dans le manuscrit médiéval Les Très Riches Heures du Duc de Berry. Conservé sur presque toute sa hauteur (environ 27 mètres), le donjon est construit en moellons et chainé sur angles.
- Cette forteresse est le théâtre de nombreux combats et sièges, durant la guerre de Trente Ans. Le château passe même aux mains des Anglais durant quelques années.
- En 1589, lassés par des luttes incessantes pour le donjon, les habitants de la commune obtiennent du roi Henri IV le droit de détruire les fortifications ainsi que le château afin de se servir des pierres pour leurs maisons. À la Révolution, le donjon est vendu comme bien national. En 1859, la ville acquiert les ruines du donjon pour en faire un lieu de promenade.
- La Tour de Guinette est appelée ainsi depuis la fin du XIIIe siècle. Elle est classée M.H. depuis 1862[1].
Collégiale Notre Dame du Fort
- La collégiale a été fondée en 1022 par Robert le Pieux. Du premier édifice encore inachevé en 1046, subsiste la crypte. La construction s'échelonne de 1130 à la première moitié du XIIIe siècle. L'église comporte au moins sept portes dont le portail royal, réalisé vers 1135, faisant écho à celui des portails occidentaux de la cathédrale de Chartres, notamment dans le drapé des six statues colonnes représentant des personnages issus de l'Ancien Testament. Le Christ de l'Ascension orne le tympan, accompagné d'anges et des douze apôtres.
- L'église est de plan en croix latine. Sa façade est dotée d'un chemin de ronde.
- Le clocher porche carré est à trois niveaux et se termine par une flèche polygonale.
- La nef a deux niveaux d'élévation, le premier est percé d'arcades à arc brisé soutenues par des colonnes ; au second niveau les murs sont percés de baies géminées à arc brisé, surmontées d'oculi. La nef est voûtée d'arêtes, alors que le chœur, le transept et les chapelles sont voûtés d'ogives.
- Dans le chœur, le vitrail des Sibylles datant du milieu du XVIe siècle est classé M.H. en 1840[2].
Église Saint Gilles
- L'église Saint Gilles fut fondée au début du XIIe siècle, suite à la création du marché. La façade sud, ainsi que les piliers, les arcades et les fenêtres hautes de la nef, sont les seuls vestiges de cette première église. Le chœur est reconstruit à la fin du XVe dans un style flamboyant. La tour-clocher date du XIIIe siècle et illustre parfaitement l'architecture des clochers traditionnels d'Ile de France.
- Le transept et le chœur furent remaniés aux XVe et XVIe siècles. Les collatéraux semblent avoir été ajoutés au XVIe siècle puisqu'ils portent les emblèmes de Henri II.
- Dans l'église sont disposées de nombreuses pierres tombales datant du XVIe et du XVIIIe siècles, elles sont le plus souvent celles de marchands ou hôteliers de la paroisse.
- Le bombardement du 10 juin 1944, meurtrier et destructeur pour le quartier, a permis de redécouvrir le lambris peint datant des XVe et XVIe siècles, jusqu'alors caché par une voûte de briques et de plâtre, et représentant un riche décor
- L'église est classée MH le 21.5.1970[3] .
Église Saint-Basile
- À l'origine, l'église Saint Basile a été fondée au XIe siècle par Robert le Pieux comme annexe de la collégiale Notre Dame du Fort. L'église actuelle a été construite au XIIe siècle. Une campagne de restauration a eu lieu au XVe siècle portant notamment sur la nef qui sera rehaussée, puis le transept ainsi que le chœur.
- Saint-Basile deviendra église paroissiale en 1226 et sera consacrée en 1447.
- La façade pignon est percée d'un portail en plein cintre orné de voussures sculptées soutenues par des colonnettes. Une baie en plein cintre est surmontée d'un oculus. Des contreforts épaulent la façade.
- Une tour-clocher carré percée de baies géminées à arc brisé.
- Sur le portail on peut apercevoir des coquilles Saint Jacques puisque l'église est située sur la Via Turonensis.
- Le chevet est percé de baies vitrées à arc brisé, et épaulé de contreforts.
- L'édifice est classé M.H. le 1.1.1862 [4]
Église Saint Martin
- Un sanctuaire dédié à saint Martin existait au début du VIe siècle. La collégiale fut donnée en 1106 par Philippe Auguste à l'abbaye de Morigny. Un nouvel édifice fut construit vers 1170. Il présente un intérieur remarquable dont le chœur semi-circulaire est exceptionnel avec ses trois chapelles rayonnantes accolées.
- Le clocher-porche est penché depuis sa construction, dans les années 1530, en raison d'un affaissement de terrain. Il est de plan carré de plusieurs niveaux, et épaulé d'une série de contreforts.
- De nombreuses restaurations eurent lieu au XIXe siècle, notamment la reconstruction de la première travée de la nef, et la construction du porche et de la sacristie.
- L'église est classée M.H. depuis le 14/6/1909 [5].
Hôtel de Ville
- En Mai 1514, les habitants d'Étampes obtiennent le droit de municipalité par charte du roi Louis XII. À l'autorisation d'élire un maire et des échevins, s'ajoute la possibilité d'acheter ou de faire construire une maison de ville où se tiendront les réunions du corps municipal et où seront conservés les archives ainsi que les autres documents accordant les privilèges à la communauté.
- Il faut attendre mai 1518 pour que Jean de Villette, jusqu'alors lieutenant au bailliage royal, soit désigné par les notables pour exercer la première magistrature de la ville.
- Entre 1522 et 1538, les nouveaux édiles font le choix d'acquérir deux maisons datant de la fin du XVe siècle : l'ancienne maison de la Treille et l'Hôtel Doulcet, ce dernier flanqué d'un grenier à sel et d'une tourelle polygonale hors oeuvre.
- De 1851 à 1853,la maison commune est restaurée et agrandie par les architectes municipaux Pierre et Auguste Magne. L'ensemble adopte un plan en U. L'aile ancienne est réaménagée dans le style néo-gothique, avec échauguettes en brique et nouveaux décors intérieurs. L'aile droite, nouvelle construction dans le style néo-renaissance se voit adjoindre un corps intermédiaire sur cour et jardin, comportant une loge de gardiens et un escalier conduisant aux salons de l'aile ancienne.
- L'hôtel de ville d'Étampes est inscrit depuis 1982 à l'Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques[6].
Repères géographiques
Ville de naissance ou de décès de
- Louise ABBÉMA, peintre née le 30/10/1953, décédée à Paris le 10/7/1927
- Arnaud GIDOIN, acteur né le 13/10/1968
- Étienne Geoffroy SAINT HILAIRE, naturaliste et zoologue, né le 15/4/1772, décédé à Paris le 19/6/1844
- Élias ROBERT, sculpteur né le 6/6/1819, décédé à Paris le 29/4/1874
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 7 027 | 7 687 | 8 333 | 7 693 | 8 109 | 7 896 | 7 968 | 8 157 | 8 083 | 8 066 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 8 220 | 8 228 | 7 789 | 7 840 | 7 710 | 8 461 | 8 573 | 8 637 | 9 001 | 9 245 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 9 454 | 9 925 | 10 067 | 9 944 | 10 610 | 10 425 | 11 890 | 13 515 | 16 493 | 19 651 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 19 386 | 21 457 | 21 839 | 22 568 | 24 013 | 24 422 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017.
En photos
Cartes postales
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
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Albin Nicolas POMMERET des VARENNES | 1844 - 1848 | Né en 1796 - Avocat - Conseiller général de ce canton (1842-1848) - Décédé en 1880 |
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Théodore Alexis CHARPENTIER | 1850 - 1870 | Né en 1812 - Conseiller général de ce canton (1848-1883) - Chevalier de la Légion d'honneur en 1865 - Député (1876-1881)[7] - Décédé en 1883 |
- | - | - |
Émile LEFEBVRE | 1890 - 1892 | Né en 1823 - Agriculteur - Auparavant maire d'Étréchy - Conseiller général de ce canton (1886-1901) - Décédé en 1904 |
- | - | - |
Frédéric LOUIS | 1900 - 1911 | Conseiller général de ce canton (1907-1913) |
Marcel BOUILLOUX-LAFONT | 1912 - 1929 | Né en 1871 - Conseiller général de ce canton (1913-1931) - Décédé en 1944 |
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Louis-Barthélémy DURAND | août 1944 - avril 1953 | - |
Berthe-Suzanne VAYNE | 1953 - 1965 | - |
Gabriel BARRIÈRE | 1965 - 1977 | - |
Gérard LEFRANC | 1977 - 1995 | - |
Franck MARLIN | 1995 - août 2017 | Démission car élu député[8] |
Jean-Pierre COLOMBANI | novembre 2017 - mars 2018 | Chef d'établissement scolaire - Conseiller général de ce canton (2001-2008) - Démission |
Bernard LAPLACE | avril 2018 - juillet 2020 | - |
Franck MARLIN | 2020 - (2026) | Né en 1964 - Conseiller régional (1992-1995) - Député (1995-2020)[9] - Conseiller général du canton de Méréville (2004-2005) |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Me FOUGEU | - | notaire en exercice en 1860 |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Liste des titulaires de la Légion d'Honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
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Louise ABBÉMA | Etampes | - | Dossier - Artiste Peintre - Officier d'Académie du Cambodge - Officier du Mérite Agricole - Commandeur de l'Etoile Noire du Bénin et du Dragon Annam | |
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Monument aux morts

Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Décès (1789-1800)
Documents numérisés
- Collège d'Etampes - dossiers individuels (1882-1921)
- Archives notariales de Maître THIBAULT (1664) (numérisation liasse partielle - Tous les cm + quelques actes) (1664-1664)
- Archives notariales de Maître DELAMBON Pierre (1653-1653)
- Archives notariales Etampes (1624-1635)
- Archives notariales de Maître LEVASSOR Charles (1691) (numérisation liasse partielle - Tous les cm + quelques actes) (1691-1691)
- Archives notariales de Maître TRONSSON Jean (1668-1668)
- Registre d'écrou prison d'Etampes (1838-1840)
- Archives notariales de Maître LEVASSOR Charles (1695) (numérisation liasse partielle - Tous les cm + quelques actes) (1695-1695)
- Archives notariales de Maître SUREAU Cantien (1629-1630) (numérisation liasse partielle - quelques actes divers) (1629-1630)
- Archives notariales de Maître PINGUENET Henry (1672) (numérisation liasse partielle - Tous les cm + quelques actes) (1672-1672)
- Archives notariales de Maître PINGUENET Henry (1674) (numérisation liasse partielle - Tous les cm + quelques actes) (1674-1674)
- registre d'écrou prison d'Etampes (1847-1850)
- Registre d'écrou prison d'Etampes (1806-1811)
- Archives notariales de Maître GODIN (1612-1620) (1612-1620)
- Collège d'Etampes - dossiers individuels (1882-1921)
- Archives notariales de divers notaires, déclarations d'héritages, Villeconin (1626) (liasse complète) (1626-1626)
- Archives notariales de Maître PINGUENET Henry (1676) (numérisation liasse partielle - Tous les cm + quelques actes) (1676-1676)
- Archives notariales de Maître TRONSSON Jean (1670) (numérisation liasse partielle - Tous les cm + quelques actes) (1670-1670)
- Archives notariales de Maître PINGUENET Henry (1676) (numérisation liasse partielle - Tous les cm + quelques actes) (1676-1676)
- Archives notariales de Maître PINGUENET Henry (1674) (liasse complète) (1674-1674)
Cimetières
- Cimetière Saint-Martin
- Cimetière Saint-Gilles
- Cimetière Notre-Dame (ancien)
- Cimetière Notre-Dame (nouveau)
- Cimetière Saint-Pierre
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | - | - | - | - | - | - |
Après-midi | - | - | - | - | - | - | - |
Mairie |
Adresse : - 91150 ÉTAMPES
Tél : - Fax : Courriel : Site internet : GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr (mars 2013) |
Associations d'histoire locale
Archives notariales
- Site des archives notariales. Comporte au moins une erreur : l'étude de Me Lescuyer (1902 - 1929) y est rempacée par celle de Me Claude (1898 et 1895) (Étampes III).
Remarques
Bibliographie
Sur Geneanet
Etampes - Chronique d'un siècle
Histoire d'Etampes
Étampes - La grande histoire d'une petite ville
Essais historiques sur la ville d'Étampes - Tome II
Sur Google books
- Qui êtes-vous ? - Volume 3 - C. Delagrave
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ Fiche Mérimée - Tour de Guinette
- ↑ Fiche Mérimée - Notre Dame du Fort
- ↑ Fiche Mérimée - Saint-Gilles
- ↑ Fiche Mérimée - Saint Basile
- ↑ Fiche Mérimée - Saint-Martin
- ↑ Fiche Mérimée - Hôtel de Ville
- ↑ Assemblée nationale
- ↑ Assemblée nationale
- ↑ Assemblée nationale
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