88372 - Raon-l'Étape
Raon-l'Étape | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 88372 |
Code postal | 88110 |
Population | 6420 habitants (2015) |
Nom des habitants | Raonnais, Raonnaises |
Superficie | 2371 hectares |
Densité | 270.77 hab./km² |
Altitude | Mini: 279 |
Point culminant | 610 m |
Coordonnées géographiques |
48.4058° / 6.8411° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- Raon-l'Étape absorbe le 12 avril 1947, La Neuveville-lès-Raon[1].*
- Une présence sur les lieux à l'époque gallo-romaine a laissé des traces telles que les menhirs de la Pierre-Borne, classés aux Monuments historiques depuis 1924[2], ainsi qu'une sorte de dolmen appelé Pierre d'Appel.
- Le bourg commence à s'établir au XIIIe siècle sur un lieu-dit Champ de Rua. Et sur les hauteurs, à la place d'une très ancienne forteresse, un château est érigé par un fils du duc Ferry III de Lorraine : Mathieu de Beauregard. Au siècle suivant le duc souhaite faire du village une place-forte : il fait élever des enceintes avec cinq tours et au moins trois portes, en les faisant protéger par des fossés.
- Jusqu'à la Révolution, Raon ne dépendra pas uniquement des ducs de Lorraine, mais aussi de la très influente abbaye de Moyenmoutier.
- En 1476, Charles le Téméraire parvient tout de même à attaquer la cité. Puis c'est au tour de Richelieu de la démolir, château y compris. Le déclin s'accroit encore avec les pillages de la guerre de Trente ans, la famine qui en découle et des épidémies telles que le choléra.
- Au tout début du XVIIIe siècle, une reprise s'amorce. Le flottage du bois, spécialité du secteur depuis le XIVe siècle, se développe considérablement avec les besoins en bois de chauffage de la Cristallerie de Baccarat, mais aussi d'usines de Nancy, Pont-à-Mousson, Metz et même Thionville. Le port installé sur la commune adjacente de La Neuveville va faire transiter jusqu'à « 80 000 tonnes de bois par an »[3]. Les flotteurs (ou voileurs), appelés « oua-lous » sont majoritairement raonnais. On comptera encore « 350 flotteurs en 1964 »[4].
- Parallèlement à ce commerce du bois, se développe l'exploitation d'une carrière de Trapp[5], qui va servir à fabriquer des pavés ou va être transformé en granit rose. En même temps, avec sa halle aux blés, Raon devient un centre de commerce de céréales, attirant du monde lors de ses quatre foires annuelles. Enfin, des industries s'installent, telles que scieries, filatures, mais aussi une faïencerie, une papeterie, une usine à gaz.
- Entre 1822 et 1833, s'implante une brigade de gendarmerie. Obligés de quitter leur base en 1940, certains gendarmes vont entrer dans la résistance et s'illustrer lors de la Bataille de Lorraine.
Les guerres
- Une caserne commence à se construire en 1913 et va prendre le nom de Quartier Dutertre. Elle n'est pas encore tout à fait achevée quand y arrive le 21ème Bataillon de Chasseurs à Pied - 1914-1918, en octobre. Surnommés Les Diables Bleus, ceux-ci vont grandement participer à de nombreuses batailles comme à Badonviller, au massif du Donon, ou au col de la Chipotte, où sera construite en 1919 la Nécropole nationale de Saint-Benoît-la-Chipotte.
- Des combats et fusillades ont aussi lieu en ville. Les habitants font preuve d'héroïsme, les morts sont nombreux, les destructions aussi.
En signe de reconnaissance, la ville reçoit en 1920 la Croix de guerre 1914-1918.
- Les Allemands envahissent la cité raonnaise dès 1940. Nombreux sont les citoyens à entrer dans la Résistance. Une grande partie intègre le Maquis des Vosges, dans le Groupe Mobile d'Alsace. Ils vont s'illustrer lors de la Bataille de Lorraine, et notamment le 4 septembre 1944 à la Ferme de Viombois, commune de Neufmaisons, où parmi les 57 morts on comptera 17 Raonnais. Un mémorial sera érigé par la suite sur cette commune.
- C'est la 100e division d'Infanterie des États-Unis qui parviendra à délivrer la ville le 17 novembre 1944. Mais le bilan humain est lourd, les démolitions nombreuses. Raon-l'Étape recevra en juillet 1950 la Croix de guerre 1935-1945 avec étoile d'argent.
Deux communes en une
Après les dégâts des deux guerres se pose le problème de la reconstruction : de chaque côté de la Meurthe les sinistres sont nombreux et il n'y a plus de mairie à La Neuveville. Celle de Raon a tenu le coup, mais le nombre d'habitants a fortement chuté. En 1947, pour rationaliser leurs efforts à moindre coût, les deux communes décident alors de fusionner, gardant le nom de celle où est demeuré l'hôtel de ville.
Héraldique
De gueules à la rose d'argent boutonnée d'or, mise en cœur.
Ces armoiries existent déjà au XIIe siècle. La rose est en fait une églantine, la "rosa canina" ou rosier des chiens.
Toponymie
- Le toponyme se décompose en deux parties :
- - la première est liée à la fondation du village au "Champ de Rua" qui s'est ensuite transformé en "Ravon" ayant le sens de confluent dans le dialecte lorrain.
- - la deuxième partie est plus tardive. Elle est liée à une sorte d'octroi, bâtisse de la fin du XVe siècle appelée "La Tappe", où les flotteurs ou marchands devaient s'acquitter de droits ou taxes de passage.
- Ainsi, après "Rua", "Ravon" ou "Rawon", on a vu apparaître les formes "Raon" en 1494, "Raon la Tappe" au troisième quart du XVIe siècle, puis "Raon L'estappe" et enfin la forme actuelle au XVIIIe siècle.
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Vosges
- Arrondissement - 1801-1999 : Saint-Dié --> 1999-2023 : Saint-Dié-des-Vosges
- Canton - 1801-2023 : Raon-l'Étape
- Commune - 1801-2023 : Raon-l'Étape
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saint-Georges
Située sur la rive gauche de la Meurthe, il s'agit de l'église de l'ancien bourg de La Neuveville-lès-Raon.
Elle correspond à l'agrandissement d'une ancienne chapelle.
Église Saint-Luc
- La paroisse de Raon naît vers 1279 avec la construction d'une église dédiée à saint Luc et patronnée par l'abbé de Moyenmoutier.
- C'est en 1729 qu'est construit un nouvel édifice, comportant alors une façade mitoyenne avec l'hôtel de ville. Mais il se révèle insalubre et est fermé en 1832.
- Une nouvelle construction, commencée vers 1825 selon les plans de l'architecte Grillot, prend place un peu plus loin. À cause de la fragilité du terrain coté ouest, le clocher en grès rose des Vosges est élevé au dessus du chœur. L'entrée se fait par la façade occidentale, en grès blanc de Meurthe-et-Moselle, composée de quatre colonnes surmontées d'un fronton classique, ce qui lui confèrera le surnom de "Petite Madeleine".
- Durant la première guerre mondiale, les Allemands s'approprient les lieux pour y célébrer leur culte protestant. Puis l'église est transformée en hôpital.
- Sinistrée en 1918 et 1944, elle est à chaque fois réparée. Elle est inscrite aux Monuments historiques depuis 1986[6].
L'orgue :
Un instrument est déjà attesté en 1754, mais est vendu lors de la démolition. Un nouveau, réalisé par Jean-Nicolas Jeanpierre, est installé en 1862. À cause de son buffet somptueux, il fut longtemps le deuxième plus grand instrument des Vosges.
Détruit en 1914, il est remplacé en 1931 par un orgue à trois claviers, de Joseph Rinckenbach. Endommagé en 1944, il est sauvé par un strasbourgeois. Une restauration est effectuée en 1982 par la manufacture franc-comtoise Aubertin, mais l'instrument aurait besoin de relevage.
Halle aux blés et hôtel de ville
- Des droits sur les transactions de marchandises existaient depuis le dernière décennie du XVe siècle. La halle, elle, est attestée déjà en 1750, sous une forme plus ouverte. Le bâtiment actuel, à l'initiative du maire Marchal, date des années 1825-1827. En grès rose, son style néo-classique est dû au même architecte que pour l'église Saint-Luc. En 1825 il est agrandi, mais détérioré en 1914-1918. Il est reconstruit et réorganisé sur deux niveaux : toujours un marché couvert au rez-de-chaussée et un théâtre à l'étage. La halle a vu défiler nombre de marchands lors des quatre foires annuelles, mais aussi des marchés aux blés, aux cochons et au vins. Elle est inscrite aux Monuments historiques depuis 1986[7].
- L'hôtel de ville :
- Sa construction remonte à 1750, en grès rose lui aussi. En 1830, après la démolition de l'église attenante, une troisième façade est élevée et un grand escalier ajouté. L'hôtel de ville est inscrit aux Monuments historiques depuis 1986[8]. À l'intérieur sont exposés dans le salon d'honneur onze tableaux attribués à Nicolas de Mirbeck aux environs de 1760, et représentant divers aspects de la vie rurale vosgienne, notamment celle des flotteurs de bois. Ces tableaux sont classés au titre d'objets historiques[9]. Une description détaillée de ces tableaux est consultable sur le site suivant : Histoire de Raon-l'Étape, tome 3.
Fontaines
La ville s'enorgueillit d'une collection impressionnante de fontaines ornementales.
Elles sont douze au total, dont onze sont classées aux Monuments historiques depuis 1995[10].
Installées au XIXe siècle où il était important de multiplier les bouches à incendie, elles sont toutes en fonte. Leurs bassins ronds ou ovales sont interchangeables ; leurs sculptures d'inspiration gréco-latine représentent des allégories ou personnages, parfois des répliques de statues du Louvre. Certaines sont l'œuvre de l'industriel Brochon, à Donjeux, d'autres de Ducel, à Paris.
L'une d'entre elles, la Fontaine des quatre lions, fait référence aux griffons, emblème de la ville.
Museumotel
Appelé au départ Motel "L'Eau vive", cet ensemble moderne qui a pris place en 1967 sur une petite île de la Meurthe, est l'œuvre d'un architecte utopiste : Pascal Haüsermann. Il est composé d'un bâtiment principal de forme ovoïde et de neuf chambres indépendantes en forme de "coquillages" futuristes. La décoration intérieure s'inspire de la tendance stylistique des années 1950 à 1970.
Abandonné par un moment, il est racheté en 2006 et restauré par une équipe de passionnés : en plus de sa fonction de motel, son "Café-Utopie" offre divers concerts ou expositions. Considéré comme l'un des 1000 plus beaux hôtels d'Europe, il est classé aux Monuments historiques depuis 2014[11]. Placé en redressement judiciaire en 2015, l'établissement est vendu aux enchères en 2019 avec une mise à prix de 100 000 euros[12].
Patrimoine militaire
Carré militaire, cimetière rive droite
Cet espace de sépultures se trouve sur la rive droite de la Meurthe, dans le cimetière de l'ancienne commune de Raon (avant la fusion). (Il existe un second carré militaire, dans le cimetière de la rive gauche, soit sur l'ancienne commune de La Neuveville-lès-Raon).
Se trouvent ici 276 tombes de soldats, dont les noms ont été relevés et sont en ligne sur le site Geneanet.
Autres lieux
- La caserne Dutertre n'a jamais été achevée, car le 21e B.C.P. n'y est pas resté très longtemps. En 1926 elle a été vendue aux enchères, puis finalement démolie. Actuellement se trouve à son emplacement un espace commercial.
- Aux alentours demeurent de nombreuses traces des combats entre troupes ennemies, comme au col de la Chapelotte, où subsiste la galerie Chevrot, profonde de 120 mètres, ou alors à Celles-sur-Plaine où un blockaus couronne un rocher.
Repères géographiques
À 14 km de Saint-Dié-des-Vosges et à moins de 90 km d'Épinal, Nancy ou Strasbourg, la ville est surnommée "la porte des Vosges".
Nichée dans une vallée étroite, entourée de coteaux et monts très boisés, la ville s'est développée à l'endroit où la Meurthe reçoit les eaux de son affluent La Plaine, ce qui a largement contribué à ses activités de flottage du bois.
À l'ouest, une grande partie de son territoire est limitrophe du département de Meurthe-et-Moselle. quant à sa limite orientale, elle n'est pas très éloignée du département du Bas-Rhin.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 2 156 | 2 528 | 2 625 | 2 962 | 3 244 | 3 517 | 3 542 | 3 579 | abs. | 3 449 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 3 519 | 3 709 | 3 771 | 3 951 | 3 962 | 3 973 | 4 036 | 4 441 | 4 450 | 4 771 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 4 987 | 4 099 | 4 150 | 4 030 | 4 093 | 6 331 | 6 987 | 7 606 | 7 696 | 7 741 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 7 039 | 6 780 | 6 749 | 6 728 | 6 485 | 6 426 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2015 & 2016.
En photos
Ville de naissance ou de décès de
- 13 mai : Alain SCHNEIDER, chanteur auteur compositeur né à Raon-l'Étape (Vosges) en 1955.
Notables
Les maires depuis 1850
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | - |
Jean-Baptiste HUIN | 1850-1870 | - |
Jean-Baptiste DEMENGE | 1870-1872 | - |
Lucien COSSON | 1872-1883 | - |
Émile HAXO | 1883-1891 | - |
Alphonse ADAM | 1891-1895 | - |
Émile MARANDE | 1895-1895 | - |
Adolphe MULLER | 1896-1900 | - |
Alphonse ADAM | 1900-1908 | - |
Victor BRAJON | 1908-1913 | - |
Charles CLAVIERE | 1913-1919 | - |
Auguste FERRY | 1919-1929 | - |
Charles WEILL | 1929-1935 | Né ici le 1er septembre 1874. Époux de Marie-Louise CHOINIER. Conseiller général en 1937. Déporté en 1943. Mort en déportation au camp d'Auschwitz-Birkenau. |
Joseph BASTIEN | 1935-1937 | - |
Charles WEILL | 1937-1940 | - |
Auguste PAVOZ | 1940-1942 | - |
Robert TISSERAND | 1942-1944 | Né ici le 19 février 1899. Voyageur de commerce. Résistant aux F.F.I. Tué ici le 4 septembre 1944. Plaque commémorative sur un mur de la mairie. |
Charles KAECHER | 1944-1946 | - |
Joseph COLIN | 1947-1947 | - |
Marcel HUSSON | 1947-1953 | - |
Maurice ÉTIENNE | 1953-1959 | - |
Robert LAMBERIGTS | 1959-1970 | - |
Roger CHAMBET | 1970-1983 | - |
Michel HUMBERT | 1983-2014 | - |
Benoît PIERRAT | 2014-(2020) | - [ Photo] |
- | - | - |
Cf. : Mairesgenweb
(Autre source : Histoire de Raon-l'Étape et La Neuveville, Tome 3)
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - |
Monument aux morts

Il existe deux monuments aux morts dans cette ville. Un élevé sur la rive droite de la Meurthe, où se trouvait l'ancienne commune de Raon-l'Étape avant la fusion des deux communes en 1947, et l'autre sur la rive gauche où se trouvait l'ancienne commune de La Neuveville-lès-Raon.
À cela se rajoutent de multiples plaques commémoratives apposées sous les arcades de l'hôtel de ville.
Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945 , d'Indochine et d'Algérie
Émigration
Émigration en Algérie
- Marie BUND :
- Elle est née à Raon-l'Étape le 17 juin 1828
- Il épouse à Kolea (Algérie), le 30 octobre 1856, François BELLIER né à Grenoble le 23 avril 1816, décédé Kolea (Algérie) le 15 octobre 1886
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1800-1900)
- Mariages (1700-1799)
- Livres d'or 14/18 (1869-1919)
- Mariages (1600-1699)
Documents numérisés
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt379/1_E_10-59948 (1838-1838)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt379/GG_11-59661 (1739-1739)
- Naissances. AD88 8E 392-103818 (1813-1823)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt328/1_E_7-52928 (1856-1856)
- Mariages. AD88 Edpt379/1_E_2-59790 (1799-1800)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 4E379/6-60137 (1882-1882)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt328/GG_4-52809 (1738-1739)
- Naissances. AD88 4E379/12-84820 (1901-1901)
- Décès. AD88 Edpt379/1_E_3-59806 (1802-1803)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt379/1_E_13-60040 (1857-1857)
- Naissances. AD88 4E379/10-60190 (1895-1895)
- Mariages & Décès. AD88 Edpt379/GG_13-59698 (1764-1764)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 4E379/8-60159 (1888-1888)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt379/1_E_10-59963 (1842-1842)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt379/1_E_8-59926 (1832-1832)
- Décès. AD88 Edpt379/1_E_1-59770 (1793-1794)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt379/1_E_9-59945 (1837-1837)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt379/1_E_15-60062 (1863-1863)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt379/GG_9-59642 (1720-1720)
- Naissances & Mariages & Décès. AD88 Edpt328/GG_4-52806 (1732-1735)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h00 - 12h00 | 8h00 - 12h00 | 8h00 - 12h00 | 8h00 - 12h00 | 8h00 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | - |
Après-midi | 14h00 - 18h00 | 14h00 - 18h00 | 14h00 - 18h00 | 14h00 - 18h00 | 14h00 - 17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 27 rue Jules Ferry - 88110 RAON-L'ÉTAPE
Tél : 03 29 41 66 67 - Fax : 03 29 41 94 63 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr () |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Raon-l'Etape - Une petite ville vosgienne de ses origines à 1918
- Fiche Le flottage du bois à Baccarat, office de tourisme de Baccarat.
- Guide touristique Raon-l'Étape, des lacs au Donon.
- Dépliant à la rencontre des orgues de Raon-l'Étape.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Histoire de Raon l'Étape et La Neuveville-lès-Raon par Jacky BOUSSARD
- Carrière de Trapp de Raon
- Mémorial de la Ferme de Viombois
- Livre mémorial des victimes de Viombois
Notes et références
- ↑ INSEE
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Histoire de Raon-l'Étape et la Neuveville, Tome 3
- ↑ Histoire de Raon-l'Étape et la Neuveville, Tome 3
- ↑ Le Trapp est une roche constituée de couches basaltiques successives superposées et, à Raon, recouvertes d'une couche de grès rose.
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Palissy, notice du tableau Flotte descendant la plaine
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Le Figaro, Les maisons-bulles d’Häusermann dans les Vosges en vente aux enchères, article publié le 1er mai 2019, lire en ligne.
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