86167 - Monts-sur-Guesnes
Monts-sur-Guesnes | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 86167 |
Code postal | 86420 |
Population | 895 habitants (2017) |
Nom des habitants | Montois, Montoises |
Superficie | 1 140 hectares |
Densité | 78.51 hab./km² |
Altitude | Mini : 66 m |
Point culminant | 146 m |
Coordonnées géographiques |
46.9189° / 0.2117° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Monts est situé sur le point le plus haut du pays loudunais, à 146 mètres au dessus du niveau de la mer, sur une position élevée dominant les plaines alentours.
Cette position stratégique a dû favoriser très tôt l'édification d'un château. On pouvait d'ailleurs voir, au siècle dernier à un kilomètre à l'Est du bourg actuel, une butte de terre appelée la Motte de Saulnais ; Rabelais en avait fait une dépatture de Gargantua. Les mottes servaient, semble-t-il d'emplacement défensif pendant le Xe siècle et le XIIe siècle et comportaient souvent un donjon en bois et torchis entouré de palissades. En cas d'alerte, la population se rassemblait autour de ce donjon, dans la "basse-cour".
Au début du XIe siècle, un certain GRIMAULT de Monts faisait un don au couvent de Guesnes pour se faire pardonner de l'usurpation de domaines. Mais nous ne commençons cependant à connaître les seigneurs de Monts qu'à partir du XIIIe siècle : à cette époque, le fief est entre les mains d'une importante famille du loudunais, la famille ODART. En 1306, un Guy ODART rendait aveu au seigneur de Bauçay pour sa terre de Monts. En 1313, le bailli de Touraine poursuivait un chevalier de ce nom, qui prétendait posséder la haute justice sur la ville et le territoire de Monts, droit qui appartenait au roi, comme il fut prouvé par une enquête. Le 17 août 1330, un autre Guy ODART, époux de demoiselle Guillemette de la Touche, fonda une chapelle dans Notre-Dame de la Chambaudière, chapelle disparue au XVIIe siècle.
C'est peut être ce même Guy ODART qui se distingua contre les Sarrazins d'Espagne et qui rapporta une fiole d'huile sainte, longtemps conservée dans l'église de Saint-Vincent.
Pendant la guerre de Cent Ans, le pays étant ravagé par les bandes anglaises, Guy ODART obtint des lettres de guet et garde pour son château de Monts, situé à une lieue et demie de Purnon, place très fortifiée et occupée par les ennemis. Où était situé ce château de Monts ? Peut être à l'emplacement actuel, mais il n'en reste pas de vestiges apparents car les constructions les plus anciennes ne sont datées que du début du XVe siècle.
Au milieu du XVe siècle, le seigneur de Monts, Jean ODART étant mort sans postérité, c'est sa sœur Jeanne, épouse de Pierre de Brilhac, qui hérite de la seigneurie. La famille de Brilhac possédait déjà un château à Argy, dans l'Indre.
En 1480, Louis XI, de passage dans le loudunais, reste coucher une nuit au château de Monts. L'année suivante, le roi, réunissant la châtellenie de Loudun à la couronne, en profite pour récompenser ses plus fidèles serviteurs : il érige en particulier la terre de Monts en châtellenie en faveur de Pierre de Brilhac.
L'érection en châtellenie supposait la faculté d'avoir un château, une haute justice avec fourches patibulaires et aussi le droit d'établir bailli, prévost, chatelain, garde des sceaux, sergents, notaires et autres officiers nécessaires pour l'exercice de cette haute justice, ce qui donnait une grande importance au seigneur chatelain. Pierre de Brilhac en profite donc fin XVe siècle pour remanier le château et construire le logis principal attenant à la tour ronde.
Mais l'érection en châtellenie contenait une concession autrement plus importante pour la prospérité de Monts : c'est l'instauration des foires et marchés. Louis XI signale dans son document : « nous constatons que Monts est enclavé et environné par plusieurs gros villages et qu'il y a de bons revenus à cause de la fertilité du pays ; il y a donc lieu propice pour établir foires et marchés pour le bien et l'utilité du pays environnant ». Les marchés se tenaient tous les samedis. Les foires, au nombre de quatre, avaient lieu les jours suivants : à la St Nicolas (le 6 décembre), à la conversion de St Paul (le 25 janvier), le second lundi de Carême et le 21 juin.
Au XVIe siècle, pendant la période de la renaissance, les Brilhac font remettre leur château de Monts au goût du jour, en particulier faire percer au rez-de-chaussée quatre fenêtres, dont trois sont encore visibles.
Pendant les guerres de Religion, un régiment protestant qui portait secours à Coligny en mauvaise posture à Moncontour, pilla et incendia la chapelle Saint-Avertin et le feu ravagea une partie de la ville. C'est peut être ce même régiment qui en profite aussi pour visiter l'église de Saint-Vincent et pour détruire le tombeau de Guy ODART, où il était représenté en costume de chevalier. Cependant, quelques années plus tard, sans rancune, la jeune veuve de René de Brilhac, Jacqueline de Savonnières, recevait à diner et à coucher, Henri de Navarre, futur Henri IV.
En 1594, Jacqueline de Savonnières vendait la châtellenie de Monts à sa sœur, Louise de Savonnières, épouse de Martin du Bellay, seigneur de Gizeux.
La terre de Monts ne resta dans la famille du Bellay que pendant deux générations. Charles, criblé de dettes, fut obligé de vendre la propriété en 1651.
Le 26 juillet 1651, Madeleine de Savonnières et son gendre, François FRÉZEAU, achètent la châtellenie en copropriété et la font ériger en marquisat en novembre 1655, c'est un second souffle donné à la ville de Monts.
Après la mort de François FRÉZEAU en 1702, Jean Angélique, son fils, devient marquis de Monts. Jean Angélique est un brillant militaire, comme son père et il est voué à un brillant avenir, mais il meurt de la fièvre pourpre en 1711 âgé de moins de quarante ans. À partir de cette date, la terre de Monts est en indivisis entre Paule-Louise-Marie Brissonnet d'Oysonville, épouse de Jean Angélique FRÉZEAU, et ses enfants mineurs. Cependant, les besoins d'argent se font cruellement sentir et Paule-Louise-Marie commence à prélever de l'argent sur l'héritage de ses enfants ; la situation se complique très vite. Marie-Madeleine, une des filles, ne commence à toucher les revenus de la terre de Monts qu'à partir de 1727, mais il va falloir attendre le décès de la mère et de trois des enfants pour que le partage puisse être enfin prononcé le 6 juin 1753 : les terres de Monts et de Maulay revenant à Marie Madeleine, épouse de Nicolas Doublet de Persan, et le reste de l'héritage à son frère Hilarion, marquis de la Frézelière.
Mais Marie-Madeleine décède seulement un an et demi plus tard, le 17 janvier 1755. Les domaines de Monts et de Maulay sont attribués à son fils, Anne-Nicolas DOUBLET, marquis de Persan, le 20 février 1756. Anne-Nicolas, fils du précédant, propriétaire de la terre de Monts par la donation que son père lui en avait faite, tant par contrat de mariage du 11 janvier 1779, que par acte du 11 février 1789, vendait cette terre, avec le consentement des créanciers, le 7 octobre 1791, à Jean-Pierre GRAVIER, citoyen de Paris.
Puis à partir du début du XIXe siècle, le château fut morcelé et les différents propriétaires n'ont pas toujours pu effectuer à temps les différents travaux nécessaires à l'entretien des bâtiments, ce qui a été une des causes, avec la vente des monumentales cheminées, des différents éboulements qui se sont produits.
Heureusement, la municipalité de Monts, a entrepris depuis quelques années, avec l'aide des collectivités locales, un vaste programme de restauration permettant de redonner à ce château une nouvelle jeunesse.
Toponymie
Formes anciennes :
- - Papinus de Montibus 1100-1108
- - Ecclesia Sancti Laurentii de Montibus 1139-1180
- - Villa de Montibus 1313
- - Mons en la parroesse de Saint Vincent 1455
- - Mons sur Guesnes 1580
- - Monts 1720
- - Mons sur Guesne 1782
- - Mons sur Gaîne 1786
Héraldique
- Burelé d'argent et de gueules de dix pièces, à la bande d'or brochant sur le tout.
Histoire administrative
La terre de Monts fut érigée en châtellenie en juillet 1481, et en marquisat en novembre 1655. Ce fief relevait du château de Loudun et s'étendait sur les paroisses de Saint-Vincent, Dercé, Saires et Berthegon. La châtellenie de Monts relevait du château de Loudun au devoir d'une maille d'or à muance de seigneur.
À la veille de la Révolution, Monts dépendait :
- - de la paroisse de Saint Vincent de l'Oratoire
- - de l'archiprêtré de Loudun
- - de l'élection de Richelieu
- - du gouvernement de Saumur
- - de la généralité de Tours
- - du diocèse de Poitiers.
En 1790, Monts devint le chef-lieu d'un canton dépendant du district de Loudun et formé des communes de Monts, Berthegon, Le Bouchet, Dercé, Guesnes, Maulay, Prinçay et Saires. Cette circonscription a été modifiée en 1801 et en 1974. Le canton actuel comprend les communes de Berthegon, Chouppes, Coussay, Dercé, Guesnes, Monts-sur-Guesnes, Nueil-sous-Faye, Pouant, Prinçay, Saires, Verrue.
Jusqu'à la Révolution, les offices religieux étaient célébrés dans l'église paroissiale de St Vincent de l'Oratoire, située à deux kilomètres du centre bourg. En 1810, la chapelle du château sous le vocable de saint Laurent, fut affectée au service paroissial.
- Département - 1801-2023 : Vienne
- Arrondissement - 1801-1926 : Loudun, 1926-2023 : Châtellerault
- Canton - 1801-2015 : (Monts) Monts-sur-Guesnes, 2015-2023 : Loudun
- Commune - 1801-2023 : (Monts) Monts-sur-Guesnes
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Château de Monts-sur-Guesnes
Château du XIVe siècle, classé aux MH[1] en 1979.
Église Saint-Laurent-et-Saint-Hilaire
Ancienne chapelle du château datant du XVIIe siècle. À l'intérieur, voir un très beau retable en pierre du XVIIe siècle et trois plaques funéraires, épitaphes en marbre à la mémoire des seigneurs de la Frezelière, grande famille ayant donné ses lettres de noblesse à l'artillerie française du XVIIe siècle.
Repères géographiques
Les lieux-dits et les écarts
- Albizé (le haut et le bas) : Albizé 1648
- Baudouze : Baudouze 1674
- Baye : moulin sur la Briande
- Beaumont
- Bourpin
- Bourville : Brouville 1656
Bourg-ville 1841
- Chambaudière : Chapelle Notre Dame desservie dès 1728 dans la chapelle du château de Monts.
- Crouailles : Crouail 1525 - 1618
Aimericus de Croallio XIIe . Le fief du petit Crouail relevait du château de Loudun.
- Linaudière
- Longères
- Maison Neuve
- Ormeau Creux
- Pain Perdu : Paimperdu 1460
Painperdu 1531. Ancien fief relevant de Monts
- Raguiteau
- Saint Vincent : Paroecia Sancti Vincentii 1054, Ecclesia Sancti Vincentii de Oratorio, Sainct Vincent du Rouer 1551, Saint Vincent de Monts 1726, St Vincent de l'Oratoire de Mons sur Guesne 1782.
La maison et le fief de Saint Vincent relevaient du château de Loudun au devoir d'une maille d'or à muance de seigneur, de deux services par an, d'une basse messe tous les dimanches et aux quatre fêtes de la Vierge ; aux fêtes annuelles, premières, secondes vêpres, matines, procession générale et grand-messe à note.
Plan de Monts (XVIIIe siècle)
Plan de Monts (1886)
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 645 | 689 | 681 | 646 | 850 | 828 | 841 | 890 | 859 | 864 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 916 | 923 | 884 | 867 | 967 | 935 | 885 | 882 | 846 | 859 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 844 | 745 | 814 | 735 | 722 | 749 | 772 | 801 | 713 | 653 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 642 | 620 | 641 | 639 | 697 | 837 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017
En photos
La gare en 1888
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Pierre VINCENT | 1792 - 1796 | |
Jean-Baptiste BERNIER | 1796 - 1813 | |
Baltazard GRAVIER | 1813 - 1816 | |
Jean-Baptiste BERNIER | 1816 - 1827 | |
François ARCHIMBAULT | 1827 - 1830 | |
Édouard LESAGE | 1830 - 1832 | Né en 1805 |
Jean-Baptiste SERTIER | 1832 - 1847 | |
Édouard LESAGE | 1847 - 1848 | Le même |
Ludovic BÉRANGER | 1848 - 1852 | |
Édouard LESAGE | 1852 - 1865 | Le même - Conseiller général de ce canton (1852-1861) - Décédé en 1869 |
Jean-Baptiste SERTIER | 1865 - 1871 | |
Denis-Clément GUIET | 1871 - 1877 | |
Justin PICHOT | 1877 - 1886 | |
Paul GUIET | 1886 - 1888 | |
François MILLET-PICHOT | 1888 - 1926 | |
Georges MILLET | 1926 - 1928 | |
Paul RAUD | 1928 - 1946 | |
Maurice DELAGARDE | 1946 - 1947 | |
Paul RAUD | 1947 - 1957 | |
Maurice PICHOT | 1957 - 1965 | |
Rémy MOINARD | 1965 - 1971 | |
Mary DELACHAUME | 1971 - 1977 | |
Rémy MOINARD | 1977 - 1989 | |
Chantal HARTL | 1989 - 2001 | |
Bruno BELIN | 2001 - 04/2015 | Né en 1962 - Pharmacien - Conseiller général de ce canton (2001-2015) et premier vice-président du Conseil général - Élu en 2015 conseiller départemental dans le nouveau canton de Loudun |
Alain FRAUDEAU | 04/2015 - 10/2015 | |
Bruno BELIN | 10/2015 - 12/2015 | Premier adjoint faisant fonction de maire intérimaire. |
Alain BOURREAU | 12/2015 - (2026) | Né le 17/06/1949. |
- | - |
Cf. : MairesGenWeb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | 1549 - an XII | Cote 4 E 39/10. |
TOURNEPORTE | 1695 - 1705 | Cote 4 E 39/78. |
Jean GAUTIER | 1711 - 1757 | Cote 4 E 88/272-274. |
Marc BERNIER | 1734 - 1741 | Cote 4 E 39/17 et 4 E 39/79-100. |
Jean-Maurice DUPUIS | 1757 - 1775 | Cote 4 E 40/44. |
AUBERT | 1759 - 1786 | Cote 4 E 40/45-46. |
Gabriel BERNIER | 1759 - 1786 | Cote 4 E 40/35-43. |
Marie-Victor-Elizabeth DUBREUIL | 1775 - an VIII | Cote 4 E 40/47-49. |
Pierre-Pascal SERTIER | 1775 - 1826 | Cote 4 E 39/101-148. |
Pierre-Pascal SERTIER | 1783 - 1791 | Cote 4 E 39/17. |
François-Pierre-Joseph ARCHAMBAULT | 1796 - 1813 | |
Jean-Baptiste BERNIER | an IX - 1825 | Cote 4 E 40/50-79. |
Jean-Baptiste SERTIER | 1826 - 1838 | Cote 4 E 39/149-161 et 4 E 39/164. |
Jean-Baptiste-Léopold BERNIER | 1831 - 1884 | Cote 4 E 40/84-139. |
Thomas-Théodore SERTIER | 1838 - 1840 | Cote 4 E 39/162-164. |
Barthélemy BOIREAU | 1840 - 1849 | Cote 4 E 39/165-172. |
Denis GUIET | 1850 - 1880 | Cote 4 E 39/173-225. |
COUTURIER | 1871 - 1877 | Cote 4 E 40. |
Paul GUIET | 1880 - 1912 | Cote 4 E 39/226-286. |
Jules-Edmond-Alcide LANDRET | 1884 - 1889 | Cote 4 E 40/140-147. |
Théophile DALIDET | 1889 - 1893 | Cote 4 E 40/148-160. |
Charles COUINAUD | 1893 - 1897 | Cote 4 E 40/161-168. |
Émile GIRAULT | 1897 - 1899 | Cote 4 E 40/169-172. |
Jacky BRION | - | Cote 4 E 39 et 40. |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Listes du contingent (1873-1873)
- Listes du contingent (1897-1897)
- Listes du contingent (1924-1924)
- Listes du contingent (1808-1808)
- Listes du contingent (1820-1820)
- Listes du contingent (1835-1835)
- Listes du contingent (1847-1847)
- Listes du contingent (1859-1859)
- Listes du contingent (1916-1916)
- Répertoire général. Vol. 3. (1866-1942)
- Répertoire général. Vol. 14. (1866-1942)
- Répertoire général. Vol. 7. (1866-1942)
- Listes du contingent (1814-1814)
- Listes du contingent (1854-1854)
- Listes du contingent (1866-1866)
- Listes du contingent (1878-1878)
- Listes du contingent (1890-1890)
- Listes du contingent (1902-1902)
- Listes du contingent (1840-1840)
- Listes du contingent (1852-1852)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | 9 h - 12 h 30 | 9 h - 12 h 30 | 9 h - 12 h 30 | 9 h - 12 h 30 | - | - |
Après-midi | - | 14 h - 17 h 30 | 14 h - 17 h 30 | 14 h - 17 h 30 | 14 h - 17 h 30 | - | - |
Mairie |
Adresse : 12, place Frézeau de la Frézellière - 86420 MONTS-SUR-GUESNES
Tél : 05 49 22 82 70 - Fax : 05 49 22 32 67 Courriel : Contact Site internet : GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : L'annuaire Service Public (Mai 2020) |
Associations d'histoire locale
Dépouillements des registres paroissiaux
- Les registres paroissiaux de Saint Vincent de l'Oratoire débutent en 1580 mais sont lacunaires jusqu'en 1650.
- Dépouillement des registres, voir le Cercle Généalogique Poitevin, Bigenet, Geneanet.
Bibliographie
- Jules Robuchon, Paysages et monuments du Poitou (1892)
- A. Dupré Poitiers, Monts sur Guesnes (1867)
- M de Fouchier, La baronnie de Mirebeau (1877)
- Redet, Dictionnaire topologique du département de la Vienne (1881)
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ Château de Monts-sur-Guesnes : Fiche Base Mérimée
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