84086 - Oppède
Oppède | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Vaucluse |
Métropole | |
Canton | 84-01 Apt
84-07 Bonnieux (Ancien canton) |
Code INSEE | 84086 |
Code postal | 84580 |
Population | 1 292 habitants (2020) |
Nom des habitants | Oppédois, Oppédoises |
Superficie | 2 410 hectares |
Densité | 53.61 hab./km² |
Altitude | Mini: 103 m |
Point culminant | 733 m |
Coordonnées géographiques |
43.845278° / 5.169444° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
A la fin du XIXe les habitants se déplacent dans la vallée "aux Poulivets" ; en 1912 la mairie est installée dans le nouveau village et début du XXe l'abandon d'Oppède le vieux est pratiquement totale.
Oppède est classé site remarquable depuis 2021 [1]
Le Groupe d'Oppède
Grâce à l'action d'un comité de sauvegarde, des artistes restaurent et repeuplent le vieux village.
La rencontre :[2]
À l'heure de la défaite, en Juin 1940, les troupes allemandes entrent dans Paris. Des milliers de personnes fuient la capitale pour gagner la zone libre.
Une bande d'amis des Beaux-Arts, apprentis architectes et peintres, se lancent sur les routes dans une vieille Ford décapotable pour rejoindre Oppède, invités à se réfugier dans ce village austère où un américain talentueux, Alexis Brodovitch, a acquis un prieuré semi-ruiné. C'est ainsi que commence l'aventure improbable du groupe d'Oppède avec Florent Margaritis, Jean Auproux, Georges Brodovitch (frère d'Alexis), Albert Rémy, son épouse Yliane, et une amie Jeanne Violet.
Sur cet éperon rocheux, en plein mistral, la vie est très rude et précaire, mais le groupe d'amis s'élargit bientôt, rejoint par Zehrfuss et beaucoup d'autres.
Gagnés par une prodigieuse émulation créatrice, ils travaillent sur de multiples projets, créent des œuvres inoubliables et deviennent ce que l'Histoire a appelé le Groupe d'Oppède. Cette singulière aventure humaine et artistique, unique en son genre, ne mérite pas l'oubli. Chercheurs et journalistes s'y sont souvent intéressés.
Le quotidien d'un artiste à Oppède :
Aidés par le maçon, Monsieur Bonnet, les architectes entreprennent de restaurer les maisons abandonnées du vieil Oppède. Mais les restrictions en vigueur impactent la disponibilité des matériaux et du ravitaillement. La vie est très dure, la faim et le froid règnent dans les habitations battues par les vents, sans chauffage ni eau courante. Certains en souffrent plus que d'autres, notamment le peintre Zelman, déjà affaibli par la tuberculose, ainsi que les enfants des artistes.
On recherche alors des subventions d'État ; parmi les maigres aides disponibles, celle du Secrétariat d'état à la Jeunesse et l'aide aux chômeurs. Zehrfuss, auréolé de son Grand Prix de Rome (1939) se mobilise pour récolter des commandes. Il devient l'émissaire officiel du Groupe d'Oppède. Tous se partagent les tâches ménagères et corvées, tout est mis en commun, y compris les cartes de rationnement.
Les études et projets :
Les travaux du Groupe ne montrent pas de ligne directrice clairement définie. Ils se fondent sur un élan créatif partagé et une grande liberté artistique nourrie par les influences mutuelles. Certains, comme Zelman et Étienne-Martin traversent une période mystique dont témoigneront leurs œuvres.
Le Groupe conçoit d'abord un projet d'ampleur : les jardins de Provence, qui consiste à réaménager la vallée du Calavon. Il est exposé en 1941 à Marseille, à Vichy et au musée Calvet d'Avignon.
Un autre projet collectif vise l'extension de la commune de Cavaillon par la colline afin de revitaliser la ville et sa campagne. Oppède y serait devenu un centre de maîtrise rassemblant différents corps de métiers. Zehrfuss entendait "réorganiser les métiers à la reconquête impérative d'une technique toute neuve d'une foi nouvelle... Ce grand élan qu'avaient autrefois les bâtisseurs de cathédrale".
Les visiteurs de marque :
L'expérience artistique d'Oppède éveille l'intérêt. La presse s'en fait l'écho : Paris-Soir, le Jour, L' Écho de Paris, La Croix, Le Petit Journalrelatent l'aventure.
Des hôtes illustres leur rendent visite et certains y resteront plusieurs mois :
- - Tout d'abord, Consuelo, épouse de Saint-Exupéry, qui arrive fin 1940 et y passe plusieurs mois. Elle-même peintre et sculptrice, ancienne des l'académie Ranson à Paris, elle y a fréquenté de futurs oppédiens comme Zelman, Étienne-Martin et Stahly. Elle publie en 1945 à New York une œuvre d'imagination sur cette expérience singulière, Oppède édité en France en 1947.
- - Antoine de Saint-Exupéry, y séjourne deux jours en 1940, Albert Rémy raconte qu'il leur fait des tours de carte fantastiques et leur lit des extraits de Pilote de guerre non encore édité.
- - René Char, en voisin de l'Isle-sur-la-Sorgue, y récite ses poèmes
- - Arthur Adamov, auteur dramatique et traducteur, vient de Marseille où il s'est réfugié
- - Jacques Hérold, peintre, sculpteur, illustrateur, rend plusieurs visites au groupe durant l'été 1941
- - Marcel Duchamp, peintre, plasticien et homme de lettres, assiste à un grand bal masqué.
Une bulle artistique en pleine guerre ?
Chacun cherche à reprendre ses activités d'artiste sans forcément suivre de près les évènements. Les architectes qui dirigent le Groupe, habitués à travailler sur commandes publiques, s'adressent aux autorités pour faire avancer et financer leurs projets. Le Groupe d'Oppède s'inscrit d'abord dans la mouvance du mouvement artistique Jeune France, peu politisé, soutenu par Vichy avant que le régime ne le dissolve en mars 1942, le jugeant incontrôlable. Certains du Groupe sont juifs tel Zelman, Hérold ou Janet. Stahly, italo-allemand, considéré comme déserteur par les nazis et les fascistes est recherché. Oppède constitue donc pour certains un refuge discret, presque idéal. Le photographe, Serge Assier, Oppédois, dit ainsi dans son ouvrage Oppède-le-Vieux, souvenirs d'enfance 1914-2018 "Oppède fut prioritairement un lieu de refuge : en aucun cas un espace pour des compromissions inavouables".
Parenthèse en temps de guerre, le Groupe d'Oppède permit de faire travailler ensemble des créateurs de tous horizons et disciplines avec l'amitié en clef de voûte.
Le Groupe se disperse et laisse des œuvres remarquables :
Petit à petit les artistes s'éloignent à la recherche de leur destin. Margaritis ne supporte pas l'ascendant de Zehrfuss sur le Groupe et fait sécession en juin 1941 avec Pépiot. Peu de projets collectifs architecturaux se concrétisent alors que les œuvres artistiques foisonnent.
Les difficultés de ravitaillement empirent. Les tentatives d'élever des lapins se soldent par un échec cuisant (ils meurent tous en une seule nuit) et rien ne pousse.
En novembre 1942, la France toute entière est occupée, Zehrfuss s'engage pour les Forces françaises libres (FFL) en 1943. Certains comme Zelman et Étienne-Martin, entendent donner un sens chrétien à leur art et quittent le Groupe courant 1942 pour Nyons et Dieulefit.
Le Groupe d'Oppède, qui avait trouvé son lieu de refuge et d'espérance, se contracte peu à peu et disparaît. De 37 personnes au milieu de l'année 1942, ils seront encore 18 un an plus tard et seulement 5 en janvier 1945.
Néanmoins certains ont connu un parcours prestigieux en France et à l'étranger comme Zehrfuss, Étienne-Martin et Stahly. D'autres comme Auproux, Le Couteur, Margaritis, H. Martin-Granel, Janet et Humblot laissent un beau patrimoine architectural ou artistique.
Héraldique
D'azur à deux chevrons d'argent rompus l'un à dextre, l'autre à senestre, surmontés des lettres capitales O et P d'or.[3].
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Vaucluse
- Arrondissement - 1801-1926 : Apt --> Transfert de Chef Lieu : 1926-1933 : Cavaillon --> transfert de Chef Lieu : 1933-2024 : Apt
- Canton - 1801-2015 : Bonnieux --> 2015-2024 : Apt
- Commune - 1801-2024 : Oppède
Résumé chronologique :
- 1801-.... : Cton de , Arrt. de , Dép. de
Patrimoine bâti
Collégiale Notre-Dame-d'Alidon
Collégiale médiévale, située dans le vieil Oppède et datée pour la partie la plus ancienne du XIIe. Elle fut remaniée à diverses reprises et en particulier en 1547 après la guerre avec les Vaudois (ceux qui suivirent les doctrines de Pierre Valdo) ; en 1592 (adjonction de parties gothiques) et au XIXe siècle.
Depuis 1995, Michel LEEB parraine le projet de restauration de l'église Notre-Dame-d'Alidon. Son mariage y fut célébré en 2000.
L'église est inscrite aux monuments historiques depuis 1929[4]. Elle possède également plusieurs objets classés :
- - une statue en bois sculpté du Christ en croix du VIIe siècle [5]
- - une colonne sculptée en marbre du XIIe [6]
- - une fontaine baptismale en cuivre du XVIIe [7]
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Autre vue - Photo Christine Marilly -
Le chœur
La forteresse
Le château est situé au sommet d'un piton rocheux, et n'a donc pas de parti d'ensemble et sa composition n'est rien moins que régulière.
L'existence du château débuta certainement avant la prise de possession du comte de Toulouse au début du XIIIe siècle. Dans un procès-verbal daté de 1460, Jean Cadard, châtelain et baillie d'Oppède, avait trouvé le château inhabitable à cause des dévastations commises quelques années auparavant par les troupes de Pedro de Luna [8].
Le dernier séjour des seigneurs d'Oppède date de 1648. Depuis, le site est abandonné.
De plus, l'édifice fut endommagé par un tremblement e terre en 1731.
Les vestiges du château sont classés aux Monuments historiques depuis 1925 [9]
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Vestiges forteresse -
Ruines de la forteresse
Les remparts
Le château n'était pas le seul élément défensif du village. Comme la plupart des cités de la région, le Vieil-Oppède était autrefois équipé de remparts, de tours et de portes.
Aux abords de la Place de la Croix, il est possible d'observer quelques vestiges de ces anciennes fortifications dont la construction remonte au XIVe siècle.
Parmi ces vestiges se trouvent en particulier un pan de muraille et une tour. [10]
Un ensemble de quatre maisons médiévales construites autour d'une cour au cours des XIII et XIVe siècles, ainsi qu'une maison Renaissance (datée 1580) possédant un escalier à vis) sont classés depuis 1996 [11]
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Maison Renaissance classée sur les remparts
F.Couvreur -
Maison classée -
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Place de la Croix
La Place de la Croix est aujourd'hui le cœur du Vieil-Oppède. Elle a été aménagée à partir du XVIIe siècle, à cette époque commence le déperchement du village d'Oppède, c'est-à-dire son déplacement de l'éperon rocheux vers la plaine pour profiter de conditions de vie moins rudes. Ce processus se poursuivra jusqu'au début du XXe siècle, avec le déplacement de la mairie au hameau des Poulivets en 1909.
Sur la Place de la Croix, se trouve l'ancien beffroi de la ville, appelé aussi campanile, construit au XVIIe.
On peut aussi y voir les anciennes halles datant de la même époque. [12]
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Ancien beffroi XVIIe
Ch.Angsthelm -
Horloge sur beffroi
F.Couvreur -
Ancienne halle
F.Couvreur -
Vers la place de la Croix
F.Couvreur
Croix Romane
Croix située près de l'église Notre-Dame-d'Alidon.
Croix inscrite aux monuments historiques depuis 1934[13].
Chapelle des Pénitents blancs
Chapelle construite en 1680 par la confrérie des pénitents blancs et remaniée par la suite , elle fut utilisée jusqu’en 1855.
La chapelle occupe une parcelle perpendiculaire à la pente de la colline ; elle est située sur l'artère principale d'Oppède le Vieux qui montait vers le château et Notre-Dame d'Aguilon,
Curieusement les deux baies qui éclairent la nef sont percées au nord, côté habituellement fermé car exposé aux vents du Midi. Elle ne présente aucun élément architectural, elle est de forme rectangulaire très allongé sans décrochement.À l'intérieur un escalier en bois et plâtre mène à une tribune ; le passage de la nef au chœur est marqué par une marche et un arc doubleau.<nr>
La confrérie des Pénitents blancs d'Oppède, sous le nom de Cinq plaies de notre Seigneur Jésus-Christ, voit le jour en 1610 grâce au don d'un terrain par le baron Maynier, seigneur du lieu, ainsi que les revenus d'un bois. Ils transforment l'arrière de leur maison en chapelle vers 1612. La chapelle actuelle aurait été construite entre 1660 et 1680.
En 1793-94, son usage est transféré à la Société républicaine du village. Elle est vendue aux enchères en 1803, et rétrocédée à la confrérie des Pénitents blancs en 1805. La confrérie cessera ses activités au milieu du XIXe siècle. Puis, une famille dont les ancêtres avaient été inhumés dans la chapelle, en devient la propriétaire.
Église du Sacré-Cœur
La petite église est située dans le village d'Oppède-lès-Poulivets.
Les terrasses Sainte-Cécile
Autrefois utilisées pour l'agriculture, les terrasses Sainte-Cécile sont aujourd'hui aménagées comme un jardin botanique permettant de découvrir la garrigue, une végétation sèche et adaptée au climat méditerranéen.
Pin parasol, chêne vert, genévrier cade, thym, romarin... sont autant d'essences caractéristiques de ce milieu naturel. La situation en hauteur des terrasses permet de dominer la région alentour, en particulier la plaine du Calavon et les contreforts des monts de Vaucluse au nord.
Repères géographiques
Oppède fait partie du Parc naturel du Luberon.
Les communes limitrophes sont : Gordes (11 km), Ménerbes (3.5 km), Cheval-Blanc, Maubec (3.2 km), Apt (22 km), Avignon (58 km),
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 1 469 | 1 399 | 1 390 | 1 438 | 1 442 | 1 470 | 1 483 | 1 486 | 1 497 | 1 507 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 1 489 | 1 429 | 1 366 | 1 309 | 1 180 | 1 157 | 1 070 | 1 019 | 1 027 | 1 076 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 1 036 | 895 | 873 | 875 | 857 | 782 | 840 | 867 | 902 | 907 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 015 | 1 127 | 1 226 | 1 311 | 1 348 | 1 361 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.
En photos
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une ruelle -
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Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Eugène ROUMAGOUX | 1919 - 1948 | Médecin généraliste, vice-président de l'Assemblée départementale de Vaucluse, député de Vaucluse de 1928 à 1932 ; Chevalier de la Légion d'honneur |
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Michel MATHIEU | 1988 - 1995 | - |
Albert CALVO | 1995 - 3 décembre 2014 | Décès[14] |
Alain DEILLE | 13 décembre 2014 - 2020 | - |
Jean Pierre Gerault | 2020 - (2026) | - |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Ville de naissance ou de décès de
Naissances
- Jean MAYNIER (1495-1558), baron d'Oppède, Premier président du Parlement d'Aix, a organisé le massacre de 3 000 Vaudois en Luberon
- Paulin CHEILAN (né le 9 juillet 1834 à Oppède, décédé à Aix-en-Provence le 17 décembre 1907), journaliste et poète de langue française et provençale
Décès
- Eugène ROUMAGOUX né à Trets, Bouches du Rhône le 13 décembre 1877, décédé à Oppède le 19 août 1948, médecin généraliste, maire d'Oppède entre 1919 et 1948, élu député du Vaucluse de 1928 à 1932
Autres
- Michel LEEB, (né le 23 avril 1947 à Cologne), humoriste et acteur, restaure la collégiale Notre-Dame d'Alidon depuis plusieurs années, a fondé le festival d'Oppède pour financer les travaux jusqu'en 2019 ; a acheté une bergerie transformée en maison d'habitation
- Patrice LAFFONT (1939-2024) y possédait une maison
- Ridley SCOTT (né le 30 novembre 1937 en Angleterre) réalisateur de Alien, Blade Runner... Achète une maison en 1993 (qui avait été transformée en hôpital militaire en 1914-18), il possède plusieurs maisons dans le village pour y loger ses amis ; il est viticulteur
- Consuelo de SAINT-EXUPÉRY (née Consuelo Suncin Sandoval le 10 avril 1901 à Armenia, Salvador, décédée à Grasse le 28 mai 1979), artiste peintre et sculptrice salvadorienne
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1792-1892)
- Mariages (1893-1932)
- Recensements (1911-1911)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- État civil (1838-1842)
- État civil (1675-1687)
- État civil (1617-1659)
- État civil (1600-1617)
- État civil (1643-1646)
- État civil (1878-1882)
- État civil (1807-1812)
- État civil (1687-1702)
- État civil (1675-1687)
- État civil (1706-1722)
- État civil (1687-1722)
- État civil (1848-1852)
- État civil (1848-1852)
- État civil (1643-1643)
- État civil (1687-1705)
- État civil (1808-1812)
- État civil (1823-1827)
- État civil (1659-1671)
- État civil (1833-1837)
- État civil (1903-1912)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | - | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | - |
Après-midi | - | de 13h15 à 16h45 | - | - | de 13h15 à 16h45 | - | - |
Mairie |
Adresse : Les Poulivets - 84580 OPPÈDE
Tél : 04 90 76 90 06 - Fax : 04 90 76 71 06 Courriel : Contact Site internet : GPS : 43.84444444° / 5.16888889° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Mairie (04/2011) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
- "Oppède en comtat Venaissin" - Pierre HECKENROTH 1992 chez l'auteur Oppède-le-vieux.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
Notes et références
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Information sur le site
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Fiche Mérimée - Collégiale Notre-Dame-d'Alidon
- ↑ Base Palissy
- ↑ Base Palissy
- ↑ Base Palissy
- ↑ (1329-1422) cardinal aragonais qui devint pape d'Avignon sous le nom de Benoît XIII
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Information sur le site
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Information sur le site
- ↑ Fiche Mérimée - Croix romane
- ↑ La Provence.com