84069 - Malaucène

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Malaucène
Informations
Pays    France
Département    Vaucluse
Métropole -
Canton   84-16   Vaison-la-Romaine

  84-14   Malaucène (Ancien canton)

Code INSEE 84069
Code postal 83340
Population 2 834 habitants (2018)
Nom des habitants Malaucéniens, Malaucéniennes
Superficie 4 533 hectares
Densité 62.52 hab./km²
Altitude Mini : 238 m
Point culminant 1 132 m
Coordonnées
géographiques
44.175° / 5.133056° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

  • Quelques humains sont déjà présents dans le secteur dès l'âge « du Néandertal », environ 40 000 ans[1]. D'autres, plus nombreux, s'installent au Néolithique. Des peuplades de Ligures sont attestées du IVe au IIe siècle avant Jésus-Christ, auxquelles vont s'adjoindre peu à peu des groupements de Celtes.
  • À l'époque romaine, des habitats s'établissent au lieu-dit "Le Groseau" comme en témoignent des traces de l'aqueduc qui menait à Vaison-la-Romaine. À leur suite, c'est au tour des Mérovingiens de s'installer.
  • Un premier monastère est fondé à la fin du VIIe siècle, toujours au Groseau. À la fin du IXe siècle, Malaucène fait partie du tout nouveau royaume d'Arles.
En 1125, le village passe aux mains des comtes de Toulouse et s'intègre alors dans le Comtat Venaissin. À cette époque existaient une demeure seigneuriale et un important prieuré, possession de l'abbaye de Villeneuve-lès-Avignon (Gard). Pétrarque est supposé y avoir séjourné lors de son ascension du Mont Ventoux, en 1336. Au XIIe siècle, le pouvoir est fondé sur des universitats[2] et une maison consulaire s'établit à Malaucène afin de faciliter les réunions qui se tenaient auparavant sur la place du marché.
Tour de guet devenue campanile
Photo B.ohland
  • À partir du XIIIe siècle, le village, de forme ovoïde, s'entoure de remparts avec quatre portes. S'y rajoute une petite forteresse avec tours de guet sur la colline de safre[3] où sera érigé par la suite un calvaire. Ces remparts[4] d'environ 8 mètres de hauteur seront consolidés au siècle suivant et refaits au XVe siècle.
  • Après la croisade contre les Albigeois, en 1274, les terres comtales passent aux mains des papes d'Avignon, pour cinq siècles, et Malaucène deviendra la résidence d'été du pape Clément V. En 1322, Jean XXII adhère à la répression contre les Juifs prônée par Philippe le Bel et fait raser la synagogue du village.
Plan du bourg au Moyen Âge
  • Aux XIVe et XVe siècles, la cité est alimentée par la source du Groseau. La majeure partie des habitants est paysanne, mais des activités artisanales commencent à voir le jour intra-muros (il reste encore des fours à pain communaux dans certaines maisons). Si les Malaucéniens ont dû subir les assauts de quelques routiers au XIVe siècle, la tranquillité revient peu à peu et l'habitat commence à s'étendre en dehors des remparts, côté ouest.
  • Au XVIe siècle, le village ouvre ses portes aux protestants. Une charité est construite pour les indigents. Le Groseau est canalisé, ce qui permet l'installation de moulins et d'une papeterie (qui existe encore de nos jours).
  • Le siècle suivant est marqué par l'implantation de religieux : couvent des Ursulines, couvent de pères augustins. Parallèlement, le commerce commence à se développer, sous-tendu par de nombreuses foires et des auberges réputées. Au XVIIIe siècle, un hôtel de ville est construit. Le couvent des Ursulines est transformé en manufacture de laine, puis en hôpital pour y concentrer les diverses charités. La forteresse est détruite, les portes de l'enceinte agrandies.
  • La Révolution amène quelques changements : les deux consuls sont remplacés par un maire ; en 1791 le Comtat est rattaché à la France et intégré au département de la Drôme ; puis le département du Vaucluse est créé en 1793.
  • Le XIXe siècle voit la commune se transformer : suite de la démolition des remparts, percement de nouvelles rues, construction d'écoles, aménagement de fontaines et lavoirs, installation de filatures, d'une scierie, production d'électricité dès 1890. Mais il faudra attendre 1955 pour l'adduction en eau courante.
  • Durant la Seconde Guerre mondiale, la répression de la Gestapo est forte, la Résistance s'organise au travers de nombreux maquis. Malaucène est libérée le 26 août 1944 par les soldats de la 3e Division d'Infanterie de l'Armée américaine.

Source : divers panneaux dans la commune et visite guidée

Toponymie

Le nom du village provient directement du mot provençal « malaussena » qui signifie "safre", une roche gréseuse.

Héraldique

Armoiries

Les armoiries existent depuis 1767.

  • Blasonnement : « De gueules à la clef d'or et à la clef d'argent passées en sautoir, accompagnées de deux veaux affrontés du même, posés sur les anneaux, la tête contournée[5]. »


  • Explications : les deux clés croisées marquent l'appartenance du village au territoire papal. Les deux veaux affrontés sont signe de richesse, comme le rappelle la devise de la commune : « Ex pace ubertas », c'est à dire "de la paix naît l'abondance". Par la suite furent ajoutées deux nymphes.


Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Vaucluse
  • Arrondissement - 1801-1926 : Orange --> 1926-2024 : Carpentras
  • Canton - 1801-2015 : Malaucène --> 2015-2024 : Vaison-la-Romaine
  • Commune - 1801-2024 : Malaucène

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :
  • Entre 1790 et 1794, Malaucène absorbe l'ancienne commune Veaux.

Patrimoine bâti

Église Saint-Michel

Église Saint-Michel, façade occidentale
Photo Dele84
Vue de l'église depuis le calvaire
Photo B.ohland
  • La construction de l'église Saint-Michel commence à la fin du XIIe siècle à l'initiative du pape Clément V puis les travaux s'interrompent. Au XIVe siècle, commence sa fortification avec des mâchicoulis et au siècle suivant est rajouté un chemin de ronde avec merlons et créneaux. En 1560, le sanctuaire est pillé et occupé par les Huguenots, amenant la fermeture de la porte occidentale et l'élévation de casemates entre les contreforts.
Le portail est réouvert en 1635. L'édifice fortifié est agrandi à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe d'une cinquième travée et d'un chœur avec déambulatoire ; il est consacrée en 1714. Mais la voûte de cette dernière travée s'effondre. Il faudra attendre la fin du siècle pour la reconstruction et la finition de la toiture. L'église Saint-Michel est classée aux monuments historiques depuis 1982[6].
  • Le clocher à quatre pans est élevé sur la travée nord. Autrefois recouvert en dalles de pierre calcaire, il a été garni de tuiles canal par un moment et est désormais revêtu d'ardoises. Chacune de ses faces présente deux hautes fenêtres en plein cintre laissant apparaître les cloches.
  • La nef unique présente des berceaux brisés comme c'est souvent le cas en Provence. De grandes arcades, dont certaines sont à caissons, ouvrent sur des chapelles latérales. L'abside semi circulaire est éclairée par sept baies en plein cintre et surmontée d'une coupole. Quant au maître-autel, il est agrémenté de deux grands anges.
  • L'orgue de tribune est très ancien. Son buffet provient du premier orgue construit en 1637 par le père augustin Jean-Jacques POSALGUES. En bois taillé ajouré et sculpté, il comporte trois tourelles et est classé au titre des objets historiques depuis 1908[7]. L'instrument, a été reconstruit en 1712 par Charles BOISSELIN et réaménagé en 1784 par Joseph ISNARD. Avec 11 jeux, un clavier de 48 notes et un pédalier de 18 notes, la partie instrumentale est elle aussi classée au titre des objets historiques, depuis 1970[8]. Des restaurations ont bien sûr été effectuées.


Chapelle Notre-Dame-du-Groseau

Chevet et clocheton de la chapelle Notre-Dame Photo B.ohland
Portail de la chapelle Notre-Dame et nef de la chapelle Saint-Jean-Baptiste
Photo B.ohland
  • À cet endroit existait une abbaye, fondée au VIIe siècle puis une deuxième fois au XIe siècle. Clément VI (1305-1314), premier pape d'Avignon y séjourna à plusieurs reprises.
L'ensemble monastique appartenait à l'ordre bénédictin de Sainte-Victoire à Marseille. Mais il est abandonné au XVe siècle, voué à la ruine, et arasé peu de temps avant la Révolution.
La chapelle est le seul élément qui a été conservé (et restauré).
  • Il s'agit en fait de deux chapelles accolées :
- la plus petite, à droite du portail, est dédiée à saint Jean-Baptiste. Elle date du XIe siècle et a été remaniée au XIIIe au niveau de son absidiole,
- la plus grande, de forme carrée, est surmontée d'un clocheton roman décentré. Elle date du XIIe siècle et a été restaurée aux XIXe et XXe siècles. Au-dessus du portail, une niche abrite une statue de la Vierge. Le chœur est surmonté d'une coupole à huit pans.


Chapelle Saint-Alexis

Façade de la chapelle Saint-Alexis



Cette portion d'édifice est le seul vestige de l'ancienne charité construite en 1899 et devenue hospice.
La chapelle a été agrandie en 1685.
Vendue comme bien national à la Révolution, elle a été rendue au culte en 1855, sous le vocable de l'Immaculée Conception, puis restaurée en 1858.
Suite aux lois de séparation de l'Église et de l'État, la chapelle fur de nouveau désaffectée puis vendue à un particulier en 1967.
Côté architecture, nous pouvons remarquer ses ouvertures taillées en biseau.

Calvaire et portes médiévales

Colline de safre et chemin vers le calvaire
Photo B.ohland
  • Le calvaire : situé sur le point culminant du village, il a remplacé l'ancienne forteresse démantelée au XVIIIe siècle. Une plate-forme a été aménagée et le chemin qui y monte a été "caladé"[9]. Les familles ont participé au financement des oratoires.
Au XXIe siècle, le plasticien Luc Ta-Van-Thinh a réalisé des céramiques pour décorer l'autel et les stations du chemin de croix.
  • Les portes de la cité : elles étaient au nombre de quatre, auxquelles s'ajoutaient la porte Cabanette et le passage de l'âne.
- La porte Chaberlin ou « porte de Roux » : elle a été reconstruite en 1363 par Guillaume de CHABERLIN, élargie en 1742 tout en conservant ses mâchicoulis, son inscription et l'emplacement du blason. Sur sa face côté ville est entaillée une niche abritant une statue de la Vierge à l'Enfant, du XIVe siècle, classée au titre d'objet historique en 1959[10].
- Le portail Soubeyran ou « portail supérieur » : il s'agissait de la porte principale de la cité, tournée vers Carpentras, et où étaient reçues les personnalités, mais où étaient également prononcées les sentences publiques. Elle a été refaite en 1725.
- La porte du Téron : on y accède par un "soustet"[11]. La porte du Téron est restée souvent fermée et a été réouverte définitivement en 1789.
- Le portail Filiol : il s'agissait de la porte inférieure, flanquée d'une tour et précédée d'un "ravelin"[12]. C'est à ses côtés que se tenait le moulin.


Fontaines et lavoirs

Les fontaines sont très nombreuses dans le bourg, certaines isolées, d'autres accompagnées d'un lavoir. Toutes ne seront pas décrites ici.

- La plus ancienne est la fontaine du Téron (appelée aussi « fontaine du Groseau », « fontaine de la ville » ou « fontaine haute »). À noter que le mot provençal "téron" a déjà le sens de fontaine.
- À la fin du XVe siècle siècle est créée la fontaine Picardie, appelée aussi « fontaine plus basse » par opposition à la fontaine précédente. À l'origine accompagnée d'un lavoir, elle fut remaniée en 1770.
- Plus récente est la fontaine de la République ou « fontaine des trois visages ». Élevée en 1849, elle fut démontée en 1955 et réhabilitée en 1995.
- La fontaine de Soubeyran est composée de deux éléments : le lavoir datant de 1839 et la fontaine construite en 1861 en remplacement d'une autre plus ancienne.


Repères géographiques

Le vieux village côté nord-ouest
Photo B.ohland
Le vieux village côté nord-est
Photo B.ohland
  • Malaucène est situé au nord-est du département et se trouve à environ 9 kilomètres au sud de Vaison-la-Romaine et 18 kilomètres au nord de Carpentras.

Le domaine communal se trouve légèrement encaissé entre les monts de Vaucluse à savoir les Dentelles de Montmirail à l'ouest et le mont Ventoux à l'est, qui culmine à 1 912 mètres.
Sur les collines entourant le bourg, les mûriers qui permettaient autrefois la sériciculture ont été remplacés par des oliviers. De même la garance de jadis, plante tinctoriale, a laissé place à la lavande.
Enfin le cœur de village est cerné depuis des siècles par un cours planté de vigoureux platanes.

  • Sur le ban communal coule la source vauclusienne du Groseau, qui est une résurgence karstique, la deuxième du département après celle de Fontaine-de-Vaucluse. À l'époque gallo-romaine, cette source alimentait la cité de Vaison-la-Romaine.


Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 2 465 2 506 2 699 2 734 3 069 3 225 3 290 3 288 3 283 3 330
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 3 029 3 104 2 852 2 697 2 560 2 370 2 245 2 215 2 093 2 098
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 2 062 1 703 1 704 1 743 1 711 1 521 1 613 1 780 1 940 1 955
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 2 096 2 172 2 538 2 691 2 683 2 896 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

En photos

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
BONNÉTY 07/1790 - 1791  
Jean-Félix GUINTRANDY 12/1791 - 1792  
Edouard BERGIER 06/1792 - 1793  
Joseph BARNOIN 1793 - 1794  
Jean-Félix GUINTRANDY 11/1794 - 1794  
Alexis CORNET 12/1794 - 1795  
Charles BRÉMOND 10/1795 - 1796  
François JOANNIS 02/1796 - 1797  
Charles BRÉMOND 03/1797 - 1804  
Joseph BRÉMOND 1804 - 1813  
François-Gabriel GINOUX 01/1813 - 1814  
Jean-Jacques AMONDIEU 1814 - 1816  
Charles-Victor BRÉMOND 06/1816 - 1821  
Toussaint ANSELME 09/1821 - 11/1824 Né à Malaucène, décédé le 05/06/1825 à Malaucène.  
Jean-Fr.-Casim. AUBÉRY 11/1824 - 1826  
Pierre-Martin ANSELME 1826 - 1828  
Jean-Fr.-Casim. AUBÉRY 08/1828 - 1830  
Joseph-Albert BARNOIN 09/1830 - 1832  
Charles-Victor BRÉMOND 06/1832 - 1835  
Xavier de MERLE 03/1835 - 1843  
Jos.-Marie-Cas. CHASTEL 11/1843 - 1846  
Joseph André François GUIMÉTY 09/1846 - 1848  
Alphonse de MERLE 1848 - 1851  
Jean-Jacques ANDRÉ 01/1851 - 1852  
Léonard ANSELME 01/1852 - 1860  
Paul François Xavier Marie Alphonse de MERLE 1860 - 1870 Né en 1818, décédé en 1906. Juge de paix, conseiller général de du canton Malaucène (1848-1852). Chevalier de la Légion d'honneur en 1867.  
Jean Gaspard Ferdinand GEOFFROY 08/1870 - 1874 Né en 1828, décédé en 1905. Papetier, maire de Malaucène (1870-1874), président de la délégation cantonale. Chevalier de la Légion d'honneur en 1891.  
Arn. CHASTEL ST-BONNET 02/1874 -  
Jean Joseph François Arnould CHASTEL - 1876  
Jean-François RIPERT 12/1876 - 1877  
Arn. CHASTEL ST-BONNET 09/1877 - 1877  
Jean-François RIPERT 12/1877 - 1880  
François JOANNIS 06/1880 - 1882  
François-Théop. BÈGUE 04/1882 -  
- -  
- -  
Louis CORNILLAC père 1932 - 1944 Minotier, conseiller général du canton de Malaucène (1919-1931 et 1937-1940), président du conseil général du Vaucluse (1942-1945).  
Eugène RIPERT 1945 - 1945  
Louis CORNILLAC fils 1945 - 1989 Fils du précédent. Né le 29/08/1918 à Malaucène, décédé le 14/06/2002 à Malaucène. Minotier, conseiller général du canton de Malaucène (1945-1985).  
Jacques GABINEL 1989 - 1995  
Bernadette LAPORTE 1995 - 2001  
M. Dominique BODON 2001 - 2020 Né le 22/07/1950. Papetier.  
Frédéric TENON 05/2020 - (2026) Né le 11/03/1975. Plombier, sapeur-pompier volontaire.  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
Jean BONNETY  ? - Né en 1555, décédé après 1597.  
- -  
CONDUT 1636 -  
- -  
Guillaume ROUBIN 1663 -  
- -  
Jean-François CHASTEL  ? - Né en 1715, décédé en 1786. Curé de Malaucène puis de Crest.  
BRÉMOND 1779 -  
- -  
Hilarion-André BOUCHE 1902 - Source[13]  
- -  
- -  

Cf. : Noms et dates trouvés sur Geneanet

Monument aux morts

Le monument aux morts
Article détaillé : Consulter la liste des soldats inscrits sur le monument ...

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h - -
Après-midi 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h - -

Mairie
Adresse : Cours des Isnards - 84340 MALAUCÈNE

Tél : 04 90 65 20 17 - Fax : 04 90 65 14 50

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Août 2024)

Associations d'histoire locale

Bibliographie

    Voir aussi (sur Geneawiki)

    Liens utiles (externes)

    Notes et références

    1. Site officiel de la commune de Malaucène
    2. Dans le Midi, les universitats sont des assemblées comprenant des représentants de la bourgeoisie locale, gouvernées par deux consuls
    3. Le safre est une roche constituée de grès, formée il y a environ 20 millions d'années, durant la période du Miocène
    4. Le nom provençal des remparts est les "barris"
    5. L'armorial des villes et des villages de France
    6. Base Mérimée
    7. Base Palissy
    8. Base Palissy
    9. Constitué de galets posés sur champ les uns contre les autres
    10. Vierge à l'Enfant, Base Palissy
    11. Soustet : mot provençal signifiant abri (de la chaleur ou de la pluie). Mais il avait aussi l'avantage d'offrir de la place supplémentaire alors que les maisons étaient resserrées les unes contre les autres
    12. Petit bastion de défense en demi-lune
    13. Hilarion-André BOUCHE France Archives



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