Parmi les formes les plus anciennes du nom de Carpentras, on peut noté : Carbantorate, Carpentoracte Meminorum, ou Forum Neronis (Marché de Néron). Au IVème siècle, la ville prend le nom de Civitas Carpentoratensium, pour devenir Carpentoracte, au moyen âge. Son étymologie est à rattacher au celte *carbanto (char) et *rate (forteresse). Le rôle initial de cette cité était donc d'être une forteresse qui surveillait le passage des chars sur le gué de l'Auzon (la rivière locale).
Héraldique
Les armes peuvent se blasonner ainsi : « De gueules, à un mors antique de cheval d'argent, dont le milieu est forgé d'un des clous de la passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ ».
Au moins un des vitraux est signé Lucien BÉGULE.
La cathédrale Saint-Siffrein a été édifiée au XVe siècle en l'honneur du saint patron de la ville par la volonté du dernier pape d'Avignon Benoit XIII. Les travaux se sont déroulés de 1404 à 1519.
Édifice de style gothique classé Monument Historique depuis 1840[1].
Chapelle Notre-Dame-de-Santé
Notre-Dame-de-Santé
La chapelle a pris le nom de Notre-Dame-de-Santé à la suite de la peste de 1629.
L'Arc de Carpentras, du Ier siècle (classé Monument Historique)
La synagogue de Carpentras, la plus ancienne synagogue française (XIVe siècle), (Classé Monument Historique).
La tour du beffroi édifiée au XVe siècle avec son campanile en fer forgé richement ouvragé et son horloge du XVIe siècle, marque l'emplacement du château édifié au XIIe siècle par les comtes de Toulouse. (Classé Monument Historique)
La Charité avec ses deux étages d'arches et de loggias à l'italienne, hospice, puis établissement d'éducation
La Porte d'Orange, témoin de l'architecture militaire du XIVe siècle, (Classé Monument Historique)
La bibliothèque Inguimbertine (Bibliothèque municipale classée, archives et musées de Carpentras transfert des fonds de la bibliothèque à l'hotel dieu, ouverture à partir de novembre 2017).
L'Hôtel-Dieu de Carpentras avec sa vieille pharmacie (emplacement de la bibliothèque Inguimbertine (Classé Monument Historique)
François RASPAIL, chimiste, homme politique né le 29 janvier 1794, décédé à Arcueil (Val-de-Marne) le 7 janvier 1878
Émigration en Algérie
Magdelaine BOYER, née le 16/03/1859 à Carpentras, décédée après 1890, couturière à Bougie (Constantine), fille de Michel Vincent (° 1832, † ap. 12/1890), cultivateur, domicilié (12/1890) à Vinsobres (Drôme), et de Marthe COURBET (° 1834, † ap. 12/1890).
Elle épouse à Bougie, le 05/12/1890, Auguste VELTEN, né le 11/03/1860 à Schiltigheim (Bas-Rhin), décédé après 1890, gérant de propriété à Bougie, fils de Georges (° 1811, † av. 12/1890) et de Catherine SCHIERRER (° 1829, † ap. 12/1890), domiciliée à Schiltigheim.
Pas de renseignements sur postérité éventuelle.
France
Vaucluse
Histoire de la commune
Patrimoine bâti
J-P GALICHON 
Repères géographiques
Démographie
En photos
Notables
Ville de naissance ou de décès de
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Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes) 
Notes et références