599 av. J.-C. : Les Phocéens investissent Marseille et les sites de mouillage de la côte.
31 av. J.-C. : La bataille d'Actium permet l'installation des Romains. Ils construisent des villas cossues. Celle dite "des Platanes" en est l'illustration. La première dénomination du village est Héraclea-Caccaliera et l'embouchure du golfe, Les Issambres, Sinus Sambrecinalus.
Fin IXe siècle : La chute de l'Empire romain, les pirates, les corsaires mettent le pays à feu et à sang. Ces exactions qui durèrent près de 100 ans sont dans la mémoire collective, toutes attribuées aux Sarrasins qui se retrancheront à la Garde-Freinet. Il restera de leur passage les toits de tuiles roses dites "sarrasines" du pays de Provence.
976 : Guillaume Ier comte de Provence, seigneur de Grimaud, chasse les belligérants et il fait construire en 980 une tour à l'emplacement actuel de la tour Suffren.
1079 et 1218 : les bulles pontificales confirment l'existence d'un domaine seigneurial à Saint-Tropez.
À partir de 1436, le comte René Ier (le bon roi René) tente de repeupler la Provence. Il crée la baronnie de Grimaud et fait appel au Génois Gabriel de Garezzio, gentilhomme, qui aborde la presqu'île avec une flotte de caravelles accompagnée d'une quarantaine de familles génoises. En contrepartie, les Tropéziens seront francs, libres, et exempts de tout impôt, cette convention perdurera jusqu'à son abrogation en 1672 par Louis XIV. Le 14 février 1470, une charte est passée entre Jean de Cossa, baron de Grimaud, grand sénéchal de Provence et le gentilhomme génnois Gabriel de Garezzio. Dans Saint-Tropez détruit par la guerre de la fin du XIVe siècle, Raphaël de Garezzio fait construire des murs d'enceintes dont deux larges tours sont encore debout : l'une à l'extrémité du grand môle et l'autre à l'entrée de la "Ponche". La tour carrée faisait partie de l'ensemble. La cité est une petite république qui possède sa flotte et son armée et est administrée par deux consuls et douze conseillers qu'elle élit. En 1558, la création de la charge de capitaine de ville (Honorat Coste) renforce l'autonomie de la ville. Le capitaine élu tous les ans, dirige les capitaines de quartiers, un bombardier, une milice et des mercenaires. Les Tropéziens résistent aux Turcs, aux Espagnols, secourent Fréjus et Antibes, aident l'archevêque de Bordeaux à reprendre les îles de Lérins.
Bailli de Suffren de Saint-Tropez 1726-1788 [1] André Angsthelm
1577 : Geneviève de Castille, fille du marquis, seigneur de Castellane, épouse Jean-Baptiste de Suffren, marquis de Saint-Cannet, baron de la Môle, conseiller au Parlement de Provence. La seigneurie de Saint Tropez devient l'apanage de la famille de Suffren.
1615 : Saint-Tropez accueille durant quelque temps l'expédition de Tsunenaga Hasekura, qui se rendait à Rome mais est obligée de s'arrêter à cause du mauvais temps. Cette visite imprévue constitue la première trace enregistrée de relations franco-japonaises.
15 juin 1637 : Les Tropéziens viennent à bout de 21 galères espagnoles. Cette victoire donnera lieu à une bravade le 15 juin qui glorifie la victoire des habitants sur les Espagnols.
Le 14 août 1948, la croix de guerre, avec palme de bronze, est attribuée à la ville de Saint-Tropez[2].
Héraldique
Façade de la mairie
D'azur à saint Tropez vêtu en pèlerin d'or, sa tête diadémée du même, tenant de sa main dextre, une épée d'argent, la pointe en bas[3].
Histoire industrielle
Établissement Alexandre GRAMMONT, entreprise créée en 1892, qui fabriquait des câbles télégraphiques pour les sous-marins.
Un premier lieu de culte fut édifié avec l'arrivée des familles Génoises au bord du rivage, l'actuelle salle des mariages.
Cette salle fut rapidement trop petite et en 1512, par délibération des consuls et du conseil de communauté il fut décidé d'en édifier un plus vaste à l'intérieur de la ville. Lequel fut mis en chantier en 1540, sur l'emplacement actuel selon un axe Nord-Sud, le porche d'entrée étant au niveau de la sacristie actuelle.
En 1683, l'église était à nouveau devenue trop petite. Mais faute de fonds, ce projet n'arrivait pas à terme.
Devant la vétusté de l'église, le 28 octobre 1775, le conseil de communauté donnait son autorisation aux Marguilliers du Saint-Sacrement d'acheter les maisons en façe de l'église pour agrandir le lieu de culte.
La construction de l'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption de Saint-Tropez s'est déroulée de 1779 à 1784. Pendant les travaux le culte se déroulait à la chapelle de la Miséricorde.
Les plans de l'église sont de l'architecte TORTAT de Lorgues.
Édifice de style Classique, orienté Est-Ouest. Les fenêtres sont en surélévation pour tirer le regard du fidèle le plus haut possible.
Sa construction coûta 76125 livres dont le quart fut payé par les capitaines (120) des navires et le reste par les amendes correctionnelles de police, les aumônes des nouveaux mariés et les relicats des comptes des confréries à l'exception des confréries de pénitents.
Mgr de Beausset, archevêque d'Aix, a consacré l'église en 1820.
Le clocher jouxte le chevet. Il est carré dans les deux tiers de sa hauteur et hexagonal dans sa dernière partie. Il est coiffé d'une toiture en forme de calotte. Le clocher de l'ancienne église subsista bien que restauré. Conçu comme une tour fortifiée, la partie terrasse et crénelée fut détruite à la révoluion. Il fallut attendre 1834 pour que le campanile soit édifié.
La tribune et l'orgue:
Celle ci fut construite en 1810 par Louis San MARTIN destinée à recevoir les grandes orgues. Elle a été restaurée en 1989 pour recevoir l'orgue construit par Pascal QUOIRIN, facteur d'orgues à Caprentras. Les buffets ont été décorés par Pierre SIBIEUDE d' Avignon. La statue du roi DAVID et les anges musiciens décoraient l'orgue précédent. Ceux-ci , oeuvre de VIAN sculpteur à Pignans ont été restaurés par Robert BOEUF de Toulon.
À noter : la statue de Saint Tropez en centurion romain sur la façade. Il n'existe que trois églises dédiées à Saint-Tropez: ici, à Gênes et à Pise.
L'édifice est inscrit aux monuments historiques depuis 1981[5]
Probablement construite au XVIe siècle sur l'emplacement d'une tour du XIe siècle.
Inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1986[7]
Plaque Photo JP Galichon
Le cimetière marin
Tombe de Eddie BARCLAY
Le cimetière fut aménagé en contrebas de la citadelle à partir de 1791, sur un terrain d'un notable de la ville. Antérieurement, il y avait un cimetière place de l'Ormeau, derrière l'église. Le cimetière a été agrandi au cours du XIXe et du XXe siècle. Aujourd'hui, le cimetière est le lieu de sépulture de familles de marins , de négociants et autres personnalités locales.
La chapelle Sainte-Anne entourée de cyprès, de pins et de chênes J-P GALICHON
Chapelle située au 21, chemin des Bastidettes.
Chapelle érigée sur le Mont Pécoulet à partir de 1618 en action de grâces, après une épidémie de peste qui épargna la ville. Elle est dédiée à la patronne des gens de la mer.
Au XIXe siècle, les équipages des longs-courriers montaient ici avant d'appareiller pour solliciter la protection de sainte Anne (patronne des marins). À leur retour, ils y revenaient afin de la remercier avec des ex-voto.
Édifice de style provençal, elle n'est ouverte au public que quelques jours par an.
Chapelle classée à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1951[8]
Chapelle située rue Gambetta.
Chapelle de la Confrérie des Pénitents noirs édifiée vers 1635 sur un terrain acquis par la ville en 1633.
A partir de 1656 on y convoque des réunions.
En 1776, cette Chapelle servit pour les offices, l'Eglise Paroissiale menaçant ruine.
Au moment de la vente des biens de l'Eglise par l'Etat, la Chapelle fut rachetée par des particuliers qui en firent donation à la fabrique de cette paroisse pour lui rendre son usage religieux le 24 mars 1818.
Les Pénitents Noirs utilisèrent les locaux jusque vers 1854 époque de leur dissolution.
Cette chapelle longtemps fermée au culte a servi de lieu d'exposition et de concert.
Une restauration complète a été entreprise : le clocher avec un dome en tuile vernissée, la toiture et les façades en 1973. puis ce sont toutes les statues qui ont été redorées.
La Chapelle de la Miséricorde restaurée a été inaugurée le 15 décembre 1997.
L'encadrement de la porte d'entrée est en serpentine (un gisement existe au lieu-dit " La Carrade " entre les limites des communes de la Croix-Valmer et Cavalaire).
Source[10].
Édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1947[11]
Chapelle du couvent située avenue Augustin Grangeon.
La chapelle aurait été élevée sur l'emplacement où auraient été enterrées les reliques de Saint-Tropez.
Édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1954[12]
La chapelle de l'Annonciade est construite entre 1510 et 1558 par la confrérie des Pénitents Blancs. La chapelle fut vendue comme bien national à la révolution. Le clocher est rasé en 1821 et le toit transformé dans sa forme actuelle pour permettre l'utilisation de la chapelle en magasin de stockage. Elle est dépouillée de son mobilier au XIXe siècle : le maître-autel part à Sainte-Maxime, les boiseries sont utilisées pour l'église paroissiale, les ornements d'argent partent à Fréjus.
La partie supérieure fut aménagée en 1937 pour recevoir les collections du Museon Tropelen. En 1950, le bâtiment entier fut mis à la disposition de Georges GRAMMONT (riche industriel et collectionneur) qui le fait aménager à sa charge. Le musée est inauguré en juillet 1955 et en août Georges GRAMMONT fait don au musée des pièces majeures de sa collection.
Le bâtiment situé dans le quartier de la Corderie (Place BLANQUI) était une maison bourgeoise appartenant à Raymond LADOUCEUR et Antoinette BERANGUIER. À partir du 1er janvier 1879, le bâtiment sera loué à la brigade de gendarmerie de la commune.
Le 4 juin 1934 elle sera vendu à la commune qui poursuivra la location jusqu'en 2003, date à laquelle la gendarmerie déménagera.
Depuis le 25 juin 2016 la maison est occupée par le musée de la Gendarmerie et du Cinéma de Saint-Tropez.
Alban MARTIN de ROQUEBRUNE fit construire en 1854 la bastide des Salins qui deviendra ensuite le château de la Moutte après le rachat en 1860 par Émile OLLIVIER et Blandien OLLIVIER. Dans le bureau d'Émile OLLIVIER on peut voir une cheminée en gypserie aux armes des MARTIN de ROQUEBRUNE. La bastide est progressivement transformée en petit château d'inspiration Italienne. A partir de 1882, "La Toscane" est construite et reliée au bâtiment principal par une galerie qui protège du vent. "La Toscane" est achevée en mars 1883. Le bâtiment principal est entouré d’un parc botanique. Ce château est aujourd’hui la propriété du Conservatoire du littoral.
Émile OLLIVIER, né le 2 juillet 1825 à Marseille et mort le 20 août 1913 à Saint-Gervais-les-Bains, est un avocat qui sera ensuite député[13] et chef de gouvernement puis académicien[14] .
Le Temple réformé inauguré officiellement le 4 novembre 1928.
Lors de la Première guerre mondiale, la Citadelle de Saint-Tropez avait été transformée en lieu d’internement pour des civils allemands et austro-hongrois. Nombre de ces prisonniers, Allemands, Autrichiens et Alsaciens, de confession réformée, ont souhaité des célébrations de leur culte. Par ailleurs, quelques familles protestantes habitaient Saint-Tropez. Un pasteur a alors été dépêché par l'Église réformée évangélique de Saint-Raphaël pour célébrer un office tous les 15 jours.
Après la guerre, dans les années 1920, Monsieur IACHIA, alors propriétaire de la Renaissance et du Sporting, achète le terrain à l’arrière de ces établissements afin d’y édifier un temple à destination de la communauté protestante.
A sa mort, le terrain est légué en 1927 par sa veuve à l'association cultuelle de l'Église protestante réformée de Saint-Raphaël et le Temple y est aménagé grâce à des financements privés et notamment vosgiens et anglais.
Le Temple a été rénové en 2020.
Saint-Tropez est située à environ 104 kilomètres à l'est de Marseille, 60 kilomètres au nord-est de Toulon, 180 kilomètres au nord-ouest des côtes corses .
Commune appartenant au territoire Golfe de Saint-Tropez par le conseil général du Var.
Le territoire communal est très largement occupé par des propriétés bâties sur de vastes parcelles.
Sur ses douze kilomètres de littoral communal, la commune dispose de six plages.
Démographie
Année
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
Population
3 629
3 156
3 319
3 360
3 736
3 637
3 538
3 647
3 595
3 640
Année
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
Population
3 558
3 739
3 532
3 531
3 545
3 636
3 533
3 599
3 704
3 708
Année
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
Population
3 704
3 842
4 324
4 589
4 102
4 161
4 925
5 668
6 130
5 427
Année
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2021
-
-
-
Population
6 213
5 754
5 444
5 612
4 499
4 299
-
-
-
-
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.
Monument commémoratif du génocide Arménien inauguré le 4 juillet 2021. Le monument dépasse les 2 mètres et a été sculpté par Rafi TUMANYAN, venu d’Arménie. Sur le côté, de la croix arménienne, la sphère représente la diaspora des pieds-noirs d’Algérie.
Stèle érigée en hommage aux pompiers morts en services commandés - Caserne Maurice-Lepage
(1770 - 1852) - Lieutenant de vaisseau - Titulaire de la Légion d'honneur.
Benjamin ALLARD
1848 - 1852
Officier de cavalerie.
Jean Baptiste MAILLE
1852 - 1858
Notaire.
Désiré CAUVIN
1858 - 1864
Notaire.
Alban MARTIN de ROQUEBRUNE
1864 - 1869
Conseiller général (1867-1871)[18] - Né en 1824 - Chevalier de la Légion d'honneur en 1866 et chevalier du Mérite Agricole en 1892 - Décédé à Hyères le 28 juillet 1913
Louis RUBELIN
1869 - 1870
Aristide Louis MICHEL
1870 - 1870
Bouchonnier.
Xavier Augustin LAUGIER
1870 - 1871
Bouchonnier.
Vincent GÉRARD
1871 - 1878
Léopold Auguste MULOT
1878 - 1879
Conducteur des ponts et cbaussées.
Barthélemy CAPURO
1879 - 1884
Arthur Georges CHESNON de CHAMPMORIN
1884 - 1892
Capitaine d'infanterie.
Augustin BARBIER
1892 - 1919
Fabricant de bouchons.
Joseph BERNARD
1919 - 1929
Gustave MARIA
1929 - 1935
Léon VOLTERRA
1935 - 1941
(1888 - 1949) - Homme de spectacle - Inhumé au cimetière de Passy à Paris - Biographie[19].
Jean LAVERRÉ
1941 - 1943
René GIRARD
1943 - 1945
Antonin SAINT ETIENNE
1945 - 1947
Louis FABRE
1947 - 1965
Conseiller général.
Jean LESCUDIER
1965 - 1971
Conseiller général.
Marius ASTÉZAN
1971 - 1973
Bernard BLUA
1973 - 1983
Jean-Michel COUVE
1983 - 1989
Conseiller général.
Alain SPADA
1989 - 1993
Conseiller général.
Jean-Michel COUVE
1994 - 2008
Jean-Pierre TUVERI
2008 - 2020
Jean-Pierre TUVERI
2020 - 2020
il démissionne le vendredi 30 octobre de son mandat de maire
(1933-2023) - Puis curé du Luc-en-Provence[32] - Sa voiture eu un accrochage avec celle de Brigitte BARDOT
-
-
Jean-Paul GOUARIN
2015 -
Auguste Marie REBUFAT
Marius-Noël DAVIN
Ville de naissance ou de décès de
Naissances :
Marcel AUBOUR, footballeur né le 17 juin 1940. Biographie
Laurent MALET, acteur né le 3 septembre 1955. Biographie.
Pierre MALET, acteur né le 3 septembre 1955, frère jumeau de Laurent. Biographie.
France ROCHE, journaliste écrivaine scénariste née le 2 avril 1921, décédée à Paris le 14 décembre 2013. Biographie.
Décès :
Marie BONAPARTE, psychanalyste née à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) le 2 juillet 1882, décédée le 21 septembre 1962. Biographie.
Louis DUREY, compositeur né à Paris le 27 mai 1888, décédé le 3 juillet 1979. Biographie.
Roland Paulze d'IVOY de la POYPE, pilote de chasse héros de la guerre 1939-45 et industriel né à Les Pradeaux (Puy-de-Dôme) le 28 juillet 1920, décédé le 23 octobre 2012. Biographie.
Jean-Pierre AUMONT né Jean-Pierre SALOMONS le 5 janvier 1911 à Paris, décédé à Gassin (Var) le 30 janvier 2001
Max Gérard TANNENBAUM, cinéaste connu sous le nom de Gérard OURY, né à Paris le 29 avril 1919, décédé le 20 juillet 2006. Biographie.
Sont inhumés au cimetière de Saint-Tropez :
André DUNOYER de SEGONZAC né le 6 juillet 1884 à Boussy-Saint-Antoine (Essonne), décède à Paris le 17 septembre 1974, peintre, dessinateur, illustrateur et graveur
Édouard RUAULT dit Eddy BARCLAY né le 26 janvier 1921 à Paris et décédé à Boulogne Billancourt le 13 mai 2005, éditeur et producteur de musique français
Pierre BACHELET né le 25 mai 1944 à Paris décédé à Suresnes le 15 février 2005, auteur compositeur français
Autres :
Paul SIGNAC peintre paysagiste qui donna naissance au pointillisme (né à Paris le 11 novembre 1863, décède à Paris le 15 août 1935), achète une maison et ouvre son atelier à Saint-Tropez en 1892 où il recevra Matisse, Bonnard...
Plusieurs célébrités y possèdent ou ont possédé une maison :
COLETTE (née Sidonie Gabrielle COLETTE le 28 janvier 1873 à Saint-Sauveur-en-Puisaye, décédée le 3 août 1954 à Paris, femme de lettre, possédait la villa La Treille Muscate
Françoise SAGAN femme de lettres, née le 21 juin 1935 à Carjac (Lot) et décédée à Équemauville (Calvados)le 24 septembre 2004, séjournait régulièrement à l'hôtel de La Ponche
Brigitte BARDOT et sa villa La Madrague
Eddy MITCHELL
Films tournés à Saint-Tropez
Quelques uns parmi tant d'autres :
.Et Dieu créa la Femme de Roger Vadim en 1956 avec Brigitte Bardot, Curd Jurgens, Jean-Louis Trintignant
Bonjour Tristesse d'Otto Preminger en 1958 d'après le roman de Françoise Sagan avec Deborah Kerr, David Niven, Jean Seberg, Mylène Demongeot
Le Gendarme de Saint-Tropez de Jean Girault en 1954, et la série de 5 films suivants avec Louis de Funès, Jean Giraud, Geneviève Grand, Michel Galabru, Jean Lefèbvre, Christian Marin
La Collectionneuse d'Eric Rohmer en 1967 avec Patrick Bauchau, Haydée Politoff, Daniel Pomereulle
La Chamade d'Alain Cavalier en 1968 d'après le roman de Françoise Sagan avec Catherine Deneuve, Michel Piccoli
Les Biches de Claude Chabrol en 1968
La Piscine de Jacques Deray en 1968 avec Romy Schneider, Alain Delon, Maurice Ronet, Jane Birkin
La Cage aux Folles de Jean Poiret en 1978 avec Michel Serrault, Jean Poiret
L'Année des Méduses de Christopher Franck en 1985 avec Bernard Giraudeau, Valérie Kaprisky, Caroline Cellier, Jacques Perrin
La Vérité si je Mens ! 2 de Thomas Gilou en 2000 avec Richard Anconina, José Garcia, Bruno Solo, Gad Elmaleh, Aure Atika, Gilbert Melki
Dossier - Recteur de l'Université de Besançon - Chevalier de la Légion d'honneur - Officier de l'Instruction Publique - Médaille d'Or de la Mutualité - Époux de Paule Debregeas
Pierre Augustin GUERIN
28 août 1770
28 février 1852
Dossier - Lieutenant de Vaisseau - Maire de saint-Tropez
↑statue u sculpteur Montagne, fondue par Maurel Toussaint, inaugurée le 4 avril 1866. Plaque à l'arrière du socle : "Produit d'une souscription spontanée ouverte à Saint-Tropez en 1863 par le vice-amiral Comte Bouet-Willaumez, préfet maritime à Toulon. Cette statue a été inaugurée sous le règne de Napoléon III, M de Chasseloup-Laubat étant ministre de la marine et M.Martin de Roquebrunne maire de Saint-Tropez". La statue a été coulée avec le bronze des canons que Napoléon III pris à l'ennemi.