78517 - Rambouillet
Rambouillet | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | Canton de Rambouillet (Canton 78 14)
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Code INSEE | 78517 |
Code postal | 78120 |
Population | 26 202 habitants (2016) |
Nom des habitants | Rambolitains, Rambilitaines |
Superficie | 3519 hectares |
Densité | 744.59 hab./km² |
Altitude | Mini: 140 m |
Point culminant | 177 m |
Coordonnées géographiques |
48.6494° / 1.8256° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Héraldique
Le blason de Rambouillet évoque l'histoire et différents aspects caractéristiques de la ville.
La partie dextre (à gauche sur l'image, droite quand on porte le blason) représente les armes (de sable au sautoir d'argent) des anciens seigneurs de Rambouillet, la famille d'Angennes, qui conserva le château pendant près de trois siècles.
La partie senestre (à droite sur l'image, gauche droite quand on porte le blason) évoque divers aspects de la ville, encore actuels :
- le cerf représente le gibier de la forêt de Rambouillet, longtemps domaine de chasse royal puis national,
- le bélier fait référence au troupeau de mérinos de Rambouillet importé d'Espagne par Louis XVI,
- le chêne symbolise la forêt de Rambouillet elle-même.
L'écusson central est le blason de Louis-Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse, fils naturel légitimé de Louis XIV et de Madame de Montespan, qui acheta en 1706 le domaine et le château de Rambouillet où il est mort en 1737 (ce sont les armes de France chargées de la barre péri de gueules, symbole de bâtardise).
Ces armoiries auraient été créées par le secrétaire de mairie en 1887[1].
Histoire administrative
- Département - 1801-1964 : Seine-et-Oise --> 1964-2023 : Yvelines
- Arrondissement - 1801-1811 : Versailles --> 1811-2023 : Rambouillet
- Canton - 1801-2023 : Rambouillet
- Commune - 1801-2023 : Rambouillet
Résumé chronologique :
- 1801 - .... :
Patrimoine bâti
Église Saint Lubin
- Le nom de Rambouillet apparaît dès 768, et une première église est mentionnée dès 1052.
- En 1864, la ville de Rambouillet organise un concours public, remporté par un jeune élève de Viollet-le-Duc, Anatole de Baudot. Ce dernier est alors passionné par l'architecture religieuse rurale, qualifiée par lui de gothique municipal.
- Malgré la guerre franco-allemande de 1870, la nouvelle église de Saint Lubin est consacrée le 5 Septembre 1871. Elle reprend le nom des deux saints patrons de l'ancienne église : Saint Lubin et Saint Jean-Baptiste. Elle est bâtie dans la perspective du Palais du roi de Rome.
- L'édifice envisagé étant d'importance mais le budget alloué réduit, Anatole de Beaudot s'efforce de limiter au maximum l'usage de la pierre de taille, la réservant aux parties de l'édifice sur lesquelles s'exercent les principales poussées. Il privilégie les murs de moellons apparents, ainsi que l'usage de la brique, notamment pour la voûte. A l'intérieur, des colonnes et des chapiteaux en fonte supportent les arcs transversaux du berceau central. D'inspiration médiévale, à la fois romane et gothique, l'église du jeune architecte s'inscrit ainsi dans la modernité.
- Beaucoup d'objets furent rapportés dans la nouvelle église : cloche, orgue, bénitier, baptistère, tabernacle, statue de la Vierge, tableaux.
- La décoration intérieure a été modifiée dans les années soixante-dix, la quasi totalité des décors peints a été badigeonnée, et dans les bas-côtés des vitraux en dalle de verre réalisés par Gabriel Loire, ont remplacé ceux existants. Les verrières du choeur et du transept, étant d'Eugène Stanislas Oudinot.
- L'édifice a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 2003[2] , en tant que témoignage des premières expérimentations techniques de son architecte.
(Source : panneau d'information devant l'église)
Château
- Rambouillet jouit de la protection d'une double couronne forestière et agricole. Au chœur de l'Yveline, la forêt domaniale de Rambouillet, massif résiduel des anciennes chasses royales, s'étend sur 13 000 hectares. Un plateau calcaire offre un réservoir d'eau local composé de multiples sources et d'une chaîne d'étangs.
- Une première résidence seigneuriale est mentionnée en 1353. En 1368, le chevalier Jean Bernier achète à la famille de Montfort un bâtiment qu'il transforme bientôt en forteresse, dont seule subsiste la grosse tour (où serait mort François 1er en 1547. En 1384, le château passe aux mains de la famille d'Angennes.
- En 1612], la seigneurie de Rambouillet est élevée au rang de marquisat pour Charles d'Angennes dont l'épouse, Catherine de Vivonne, marquise de Rambouillet, tient à Paris un célèbre salon littéraire. En 1699, le financier Fleuriau d'Armenonville acquiert le domaine. La tradition lui attribue la création du parc à la française.
- En 1706, Fleuriau d'Armenonville cède sa propriété au comte de Toulouse, fils légitime de Louis XIV et de Madame de Montespan. Titulaire de la charge de grand veneur, le nouveau seigneur de Rambouillet fait agrandir les communs destinés à abriter la cavalerie nécessaire à la chasse. Il entreprend également la modernisation et l'embellissement du château. Son fils, le duc de Penthièvre, fait aménager un jardin à l'anglaise orné de fabriques.
- Le duc de Penthièvre vend le domaine de Rambouillet à son cousin Louis XVI en 1783. L'architecte Jacques-Jean Thévenin reçoit alors mission d'élever de nombreux bâtiments nécessaires à un château royal. Il agrandit notamment les anciennes écuries du comte de Toulouse (l'actuelle caserne des gardes) pour leur redonner leur fonction première et construit de nouvelles écuries plus au nord. Une ferme expérimentale (l'actuelle bergerie nationale) et une laiterie d'agrément sont construites dans le jardin anglais. Le bourg se développe et Louis XVI crée les faubourgs de Pierrefitte et de la Garenne au sud ainsi que celui de Groussay à l'ouest.
- En 1804 Napoléon 1er récupère les résidences royales. L'empereur aimant une vie simple entouré de ses proches, et surtout loin de l'étiquette, apprécie tout particulièrement ce nouveau domaine et engage de vastes travaux de restauration. Il fera aménager ses appartements dans l'ancien appartement de Marie-Antoinette, donnant sur cour.
- Disposant d'un vaste domaine de chasse, le château de Rambouillet a attiré de tout temps les grands chasseurs que furent les princes, les rois et les empereurs. A la fin du 19e siècle, les présidents de la République poursuivent cette tradition. Dès 1883, ils y organisent de nombreuses chasses présidentielles sous l'impulsion de Félix Faure (1895-1899), le château devient résidence officielle à partir de 1895. Le domaine entame alors une nouvelle et prestigieuse période de son histoire jusqu'à devenir le lieu officiel d'accueil de grandes rencontres internationale dans la seconde moitié du 20e siècle. En 1975, le président Valéry Giscard d'Estaing (1975-1981) y organise le tout premier G6.
Le château est inscrit aux M.H depuis 1896[3].
(Source : panneau d'information à l'entrée du château)
Palais du Roi de Rome
- Construit entre 1784 et 1786, le premier hôtel du Gouvernement, aujourd'hui disparu, était destiné au comte d'Angivillier, gouverneur du domaine de Rambouillet. Corps de logis principal, ailes en retour et pavillons d'entrée s'élevaient entre cour et jardin, se conformant ainsi au modèle de l'hôtel particulier à la française. La façade devait ressembler à celle de l'actuel hôtel de ville. L'hôtel du gouvernement fut vendu en 1797, puis partiellement détruit. Il réintégra le domaine national en 1805.
- Dès 1806, Napoléon 1er décide de le faire restaurer. Auguste Firmin reconstruit le corps principal et réutilise les deux ailes basses. Prix de Rome en 1801, le jeune architecte avait longuement étudié les palais florentins et siennois. Les façades de l'édifice font donc référence à l'architecture du 15e siècle italien. En 1813, l'hôtel est affecté au roi de Rome, fils nouveau-né de Napoléon 1er et de l'impératrice Marie-Louise.
- En 1832, le roi Louis Philippe renonce à conserver le Palais qui passe à nouveau en vente publique. La partie centrale du corps de logis en fond de cour sera détruite peu après, entraînant ainsi la destruction du vestibule à l'italienne.
- L'ensemble des façades et toitures est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1966, les façades et toitures du pavillon occidental sont classées Monuments historiques en 1995[4].
en tant que témoignage de l'influence de la Renaissance italienne du début du 19e siècle.
(Source : panneau d'information à l'entrée)
Pavillon de Toulouse
- En 1731, la comtesse de Toulouse fonde un hôpital à l'intention de son personnel et plus généralement des pauvres du duché de Rambouillet, essentiellement des famille bûcheronnes. En 1769, le duc de Penthièvre, fils de la comtesse, confie la réalisation de l'édifice à l'architecte Claude-Martin Goupy.
- Les façades et toitures du bâtiment principal et l'escalier intérieur, ont été inscrits à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1980.
- Il conserve ses fonctions jusqu'en 1933, date à laquelle un nouvel hôpital régional est construit. Cet hôpital construit à droite de l'actuel pavillon de Toulouse, est confié à la communauté des Filles de la Charité.
- Aujourd'hui, le Pavillon de Toulouse a été divisé en appartements.
Hôtel de Ville
- A la demande de Louis XVI, un nouveau baillage est construit en 1787 selon les plans de Jacques-Jean Thévenin.
- De style néo-classique en vigueur au 18e siècle pour le corps central avec deux ailes en retour, le reste de l'édifice présente quelques réminiscences du 17e siècle. A l'arrière du bâtiment une aile en retour abritait la prison, aujourd'hui détruite.
- Les éléments d'origine sont l'escalier d'honneur, la rampe en fer forgé et le volume de la salle de justice.
- En 1809, Napoléon 1er fait don de cet édifice à la population. L'hôtel de ville a servi de Tribunal jusqu'en 1896.
- La façade et toiture de l'hôtel de ville sont inscrites à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1965[5].
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Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 3 105 | 2 657 | 2 597 | 2 949 | 3 147 | 3 006 | 3 835 | 4 089 | 4 130 | 4 363 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 4 258 | 3 971 | 4 725 | 4 750 | 5 186 | 5 633 | 5 897 | 6 090 | 6 176 | 6 165 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 6 484 | 6 223 | 6 720 | 7 001 | 7 267 | 7 446 | 8 923 | 11 387 | 14 505 | 18 941 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 21 438 | 24 343 | 24 758 | 25 661 | 25 860 | 26 202 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2015 & 2016.
En photos
Poste 1937 par Joseph BUKIET inscrit MH[6].
Ville de naissance ou de décès de
- Nicole AVRIL, écrivaine née le 15 août 1939
- Louis-Jean-Marie de BOURBON, duc de PENTHIEVRE, petit-fils de Louis XIV, né le 16 novembre 1725, décédé le 4 mars 1793 à Vernon (Eure)
Décès :
- Jean-Michel CARRADEC, chanteur, né à Morlaix (Finistère) le 20 septembre 1946, décédé le 29 juillet 1981
- ,FRANÇOIS Ier, roi de France de 1515 à 1547, né à Cognac (Charente) le 12 septembre 1494, décédé le 31 mars 1547
- Guy KERNER, acteur né à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) le 28 janvier 1922, décédé le 5 avril 1984
- Pierre TOURNADRE, acteur sous le nom de Pierre TORNADE, né à Bort-les-Orgues (Corrèze) le 21 janvier [[1930}}, décédé le 7 mars 2012
- Georges WILSON, acteur metteur en scène né à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) le 16 octobre 1921, décédé le 3 février 2010
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | |
- | - | |
- | - | |
- | - | |
Jacqueline THOME-PATENOTRE | 1947-1983 | |
Gérard LARCHER | 1983-2004 | |
Jean-Frédéric POISSON | Juillet 2004-2007 | |
Gérard LARCHER | 18 juin 2007-2014 | Président du Sénat |
Marc ROBERT | 2014-(2020) | |
- | - |
Cf. : MairesGenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
ONFRAY | Vers 1242 | |
Martin CHARMETTE | 1382 - .... | |
Gilles HOUDEMER | 1415 - .... | |
Jean PHELIPPEAUX | 1422 - 1430 ? | |
- | - | |
Denis LESUEUR | 1551 - .... | |
Jean BOURGUIGNEAU | 1556 - .... | |
Louis BOURLAT | 1581 - .... | |
Jean VILLIRBA | 1616 - .... | |
Pierre (LE) CROSNIER | 1641 - .... | |
Eléazard DE FOUGERAY | 1660 - .... | |
Pierre BLOUCH | 1669 - 1683 | |
Guy GIRARDELET | 1683 - 1717 | |
Guillaume LASLIER | 1717 - 1752 | |
Sébastien MOREAU | 1752 - 1769 | |
Julien HÉBERT | 1770 - 1796 | |
Pierre ALIDIÈRES | 1802 - 1830 | |
Pierre JOUY | 1830 - 1878 | Dernier curé de l'ancienne église et premier curé de la nouvelle. |
Louis-Antoine PARENT | 1878 - 1886 | |
Louis-Eugène MACAIRE | 1886 - 1908 | |
Louis-François GUÉRIN | 1908 - 1916 | |
Auguste-Alexandre SALMON | 1916 - 1919 | |
Léon FLAVIGNY | 1919 - 1927 | |
Ferdinand JUBIN | 1927 - 1947 | |
Pierre CONDÉ | 1947 - 1959 | |
Jean BONNEMAISON | 1959 - 1970 | |
André MANSUY | 1970 - 1978 | |
Michel LECLERC | 1978 - 1986 | |
Jean LAGACHE | 1986 - 1997 | |
Jean-Claude POMPANON | 1997 - 2004 | |
Guy LECOURT | 2004 - 2012 | |
Amaury SARTORIUS | 2012 - .... | Curé actuel (2020) |
Source générale : https://paroisserambouillet.fr/Les-cures-de-la-paroisse
Titulaires de l'Ordre de la Légion d'Honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Monument aux morts

Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Registres d'écrou (1861-1882)
- Livres d'or 14/18 (1914-1919)
Documents numérisés
- Maison d'arrêt de Rambouillet - Registre d'écrou des condamnés (1846-1849)
- Maison d'arrêt de Rambouillet - Registre d'écrou des condamnés (1823-1828)
- Maison d'arrêt de Rambouillet - Registre d'écrou des condamnés (1839-1840)
- Maison d'arrêt de Rambouillet - Registre d'écrou des condamnés (1862-1866)
- Maison d'arrêt de Rambouillet - Registre d'écrou des condamnés (1866-1871)
- Maison d'arrêt de Rambouillet - Registre d'écrou des condamnés (1805-1812)
- Maison d'arrêt de Rambouillet - Registre d'écrou des condamnés (1850-1852)
- Archives notariales (1853-1855)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 1er germinal an II-5e jour complémentaire an VI (Volume n°18). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1794-1798)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 29 brumaire an VIII-22 messidor an IX (Volume n°21). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1799-1801)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 12 novembre 1843-3 juillet 1846 (Volume n°37). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1843-1846)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 13 septembre 1851-17 septembre 1853 (Volume n°40). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1851-1853)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 5 avril 1873-20 avril 1874 (Volume n°51). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1873-1874)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 26 novembre 1858-3 juin 1861 (Volume n°43). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1858-1861)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 20 septembre 1866-25 juin 1868 (Volume n°47). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1866-1868)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 9 mai 1900-22 septembre 1900 (Volume n°5). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1900-1900)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 11 septembre 1909-23 avril 1910 (Volume n°22). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1909-1910)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 23 juillet 1887-11 avril 1888 (Volume n°70). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1887-1888)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 5 septembre 1904-11 avril 1905 (Volume n°13). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1904-1905)
- Registre des déclarations de mutations par décès : 14 avril 1905-27 novembre 1905 (Volume n°14). Communes concernées: Auffargis, La Boissière-École, Les Bréviaires, Émancé, Les Essarts-le-Roi, Gambaiseuil, Gazeran, Hermeray, Mittainville, Orcemont, Le Perray-en-Yvelines, Poigny-la-Forêt, Raizeux, Rambouillet, Saint-Hilarion, Saint-Léger-en-Yvelines, Vieille-Église-en-Yvelines (1905-1905)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | - | - | - | - | - | - |
Après-midi | - | - | - | - | - | - | - |
Mairie |
Adresse : - 78120 RAMBOUILLET
Tél : - Fax : Courriel : Site internet : GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr () |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Histoire de Rambouillet - son château et des lieux remarquables de sa forêt
Rambouillet - La ville, le château, ses hôtes (768-1906)
L'arrondissement de Rambouillet
Canton de Rambouillet
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références