77441 - Samois-sur-Seine

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Samois-sur-Seine
Informations
Pays    France
Département    Seine-et-Marne
Métropole
Canton   77-07   Fontainebleau

  77-13   Fontainebleau (Ancien canton)

Code INSEE 77441
Code postal 77920
Population 2 024 habitants (2020)
Nom des habitants Samoisiens
Superficie 630 hectares
Densité 321.27 hab./km²
Altitude Mini: 41 m
Point culminant 118 m
Coordonnées
géographiques
48.452222° / 2.75° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
Fichier:77441 - Samois-sur-Seine carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

Samois sur Seine, commune se situant proche de la Capitale, avec ses îles, sa forêt Bellifontaine de sapins et chênes, ses gorges et ses rochers est un charmant petit village.

Pont Romain

Le pont de Samois, détruit et jamais reconstruit fut l'un des plus important sur la Seine. Construit par les romains, mesurant 900 pieds depuis le bas Samois jusqu'à l'autre rive d'Héricy, il du être reconstruit vers le XIIe siècle. Deux tours carrées défendaient le passage sur chaque rive, et s'élevait deux moulins dont les Samoisiens étaient contraints de faire moudre leur grain sous peine de "coups, confiscation et amende" (Edit de Saint Louis 1270).

Samois-sur-Seine au Moyen âge

  1. LES ILES : Les premiers hommes recherchaient des situations insulaires, afin de se protéger et de se défendre plus facilement. Les marécages et les nombreuses îles se trouvant sur le bas Samois, plus nombreuses autrefois offraient une situation privilégiée. Aujourd'hui, on peut en reconnaître trois :
    1. - « l'Ile aux Barbiers », la plus grande, au milieu du fleuve où s'adossait jadis un barrage (« l'Ile de la Jonchère » jointe à celle au Barbier par le service des Ponts et Chaussées au siècle dernier).
    2. - « l'Ile du Berceau », très rapprochée du Bas-Samois rattachée en amont et en aval par un pont rénové en béton... Une Avau-terre (ou Avaut-terre) en eau morte recouverte d'un pont nommé de "Pont de l'Avaut-terre" permet au courant d'eau de maintenir une ouverture étroite entre les deux terres.
    3. - « l'Ile de Thérouenne » (ou Thiérouante), plus rapprochée de la rive droite de la commune d'Hérîcy se devine encore (face au stade de La Touffe et en aval ) mais commence à se combler par l'amas de vases, de roseaux et déchets ménagers ...... donc à fusionner , avec la terre ferme . (D'aprés Archéologie historique de LIMOSIN).
  2. LE PORT et LA CITE : L'histoire confirme l'existence du port de Samois entre l'Ile de la Cité et le bas Samois. ( île aujourd'hui complètement disparue et rattachée à la terre ). Au pied de la colline, des moulins s'élevaient ( près de la première arche se voient encore trois embrasures de roues à eau ). Ce bras de cours d'eau constituait à la fois le bief de ces moulins, et le bassin du port des Nautes. Les moulins ayant été détruits, avec les habitations riveraines, lors des invasions, et, plus tard, lors des guerres religieuses, les effondrements commencèrent à remplir le cours d'eau devenu inutile et impraticable, les habitants achevèrent de !e combler par du "tout venant" afin de former un terre-plein permettant de relier l'île à la colline, susceptible de recevoir de nouvelles constructions. Un petit pont de bois en amont de cette île, reliait la colline, à l'emplacement de la rue du Petit-Pont. Ce qui montrerait qu'à l'origine de l'âge de pierre il existait le Haut-Samois "lieu habité" donc la fondation de la cité , et celle éloignée du Bas-Samois, comme cité fluviale et port "lieu de labeurs".
  3. FONDATION DE SAMOIS : Lorsque les Nautes "hommes de la Seine", descendaient et remontaient le fleuve depuis Sens, la ville de Samois devint un lieu de halte, commode pour les bateliers et profitable pour les habitants. Le légendaire Samothès, père des Celtes, législateur des Druides, fondateur du royaume des " Senons", qui empruntait la Seine depuis Sens, leur capitale, était d'une grande puissance et d'une haute influence à l'arrivée de Jules César dans les Gaules. Ce même Samothès ayant donné son nom à Samois, a fondé comme extension de sa domination druidique les limites de son royaume. Le Rocher de Samois est admirablement situé pour l'établissement d'un de ces ordres, lieu où les « Samothées » exerçaient leur culte,qui auraient pu donner leur nom de « Samesius puis Samius ». Sous l'occupation romaine : nous trouvons : "Samius" . A partir du onzième siècle, nous trouvons: Samesii », puis Samerîus, Samesius, Chamois, Chamoiz, Samors, et Satnose ). Ces différents noms figurent dans des chartes royales, mémoires ou cartes géographiques. En 1144, un acte nous indique le nom de Jobert « de Samois » et de sa femme Ermangarde, pour une largesse au monastère de Preuilly. En 1178, un autre seigneur surnommé Beaucens, se nommait Pierre « de Samois ». (Archéologie d'après LIMOSIN)

Léproserie-Maladrerie de Courbuisson

  1. FONDATION DE LA LEPROSERIE. — Ayant apprécié en Palestine, dès son retour de Croisade, des services des Chevaliers de Saint-Lazare, le roi "Louis VII le Jeune" créa au douzième siècle, une maladrerie ou léproserie à Samois. Il leur confia la noble mission de combattre une maladie fort commune à l'époque, «la lèpre». Par lettres patentes datées de 1154, il leur fit donation de son château de Baigny, près d'Orléans, où les Chevaliers de Saint-Lazare établirent le siège et le chef-lieu de leur ordre. Grâce aux libéralités du roy, les Frères hospitaliers de Saint-Lazare fondèrent, dans l'Ile-de-France, l'Orléanais et le Gâtinais, plusieurs de ces hôpitaux : la maladrerie de Courbuisson fut l'un des tout premiers. La plus ancienne mention de cette léproserie date de décembre 1260; charte de Louis IX, qui dispense le maître de cet établissement de lui payer le cens ; une autre mention se trouve dans un acte passé devant l'officialité de Sens (novembre 1265), concernant un don fait à cette maison par une lépreuse du voisinage, nommée Aveline de la Couldre. (La Couldre faisait partie de la paroisse de Fontaine-le-Port.) En 1269, ce don fut l'objet d'une contestation de la part d'un oncle de la donatrice. Il est également parlé de la léproserie dans le testament d'un Pierre du Châtelet, bourgeois de Melun.
  2. SCEAU DE LA LEPROSERIE. — Un sceau de la léproserie de Courbuisson demeure au Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale. Description de la matrice : « Cette matrice est en bronze, de forme circulaire, munie d'une queue pyramidale et terminée à sa partie supérieure par un trèfle repercé, qui ne semble pas remonter au delà du quinzième siècle. Sa légende : « S. Leposarie du Curtodumo » : de dumus... buisson. « Ce petit monument archéologique tire son intérêt de la figure qui en occupe le champ. Un lépreux, coiffé d'un bonnet conique, tient de la main droite sa cliquette ; il semble qu'il porte en outre une besace. La cliquette est formée de deux planchettes plus larges à leur partie supérieure qu'à leur base, c'est-à-dire à leur point de réunion » (Annales du Gatinais de Maurice Prou)
  3. SUPPRESSION DE LA LEPROSERIE. — Vers le milieu du seizième siècle, la lèpre ne sévissant plus, la plupart des léproseries devinrent le refuge des vagabonds. Louis XIV en 1673, incorpora aux ordres militaires du Mont-Carmel et de Saint-Lazare les biens de toutes les maladreries. Une seule exception fut faite en faveur de la maladrerie de Saint-Mesmin, près d'Orléans, réservée aux lépreux restés dans le royaume. Par arrêt du Conseil du roy du 15 avril 1695, les biens de la maladrerie de Courbuisson et ceux de l'Hôtel-Dieu de Samois furent attribués à l'Hôtel-Dieu de Melun. Cet arrêt ne reçut son exécution en 1711. Les bâtiments de Saint-Lazare de Courbuisson furent démolis en 1739. L'Hôtel-Dieu de Melun fut autorisé à détruire la chapelle de la maladrerie et à en vendre les matériaux à son profit, mais à charge d'édifier à la place une croix de pierre, pour perpétuer le souvenir de ce saint lieu. Il n'est plus resté comme souvenir de cette chapelle que le nom de La Chapelle, conservé de nos jours à l'emplacement qu'elle occupait.
  4. CONSTRUCTION DE COURBUISSON EN FIEF. — Après la suppression de la maladrerie, le domaine de Courbuisson fut érigé en fief. Deux seigneurs, les sieurs Mesnager et un comte de Saint-Julien en furent propriétaires. Ce lieu devint à partir de 1858 une maison forestière avec pépinière. Les bois du voisinage portent le nom de "Ventes de Courbuisson". (D'aprés Archéologie historique de LIMOSIN).

Héraldique

Parti: au 1er d'azur à la tour du lieu d'or, au 2e de gueules à l'arbre cousu de sinople; le tout sur une champagne burelée ondée d'azur et d'argent; au pont de bois d'or de cinq arches brochant sur le trait de la champagne[1].

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Seine-et-Marne
  • Arrondissement - 1801-1926 : Fontainebleau --> 1926-1988 : Melun --> 1988-2024 : Fontainebleau
  • Canton - 1801-2024 : Fontainebleau
  • Commune - 1801-1903 : Samois --> 1903-2024 : Samois-sur-Seine

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine bâti

Église Saint-Hilaire

Cette église a été inscrite à l'inventaire des monuments historiques le 22 août 1949[2].

Le clocher remonte au XI° siècle et le chœur au XIIe siècle : ce sont les seules parties subsistantes de la première église. D’autres parties sont construites au XIIIe siècle, mais elles sont détruites par les Anglais.

L'une des cloches, datée de 1789, a été classée à l'inventaire des monuments historiques le 2 octobre 1942.

À l'intérieur de cette église, on peut admirer une statue de la Vierge à l'Enfant, datée du XIVe, classée à l'inventaire des monuments historiques le 29 décembre 1906, une châsse-reliquaire, en bois peint avec six statuettes en bois doré, surmontée de pots à feu et d'un temple au sommet, classée à l'inventaire des monuments historiques le 10 mai 1995, un bénitier de pierre daté de 1644 provenant de l’ancien cimetière qui jouxtait l’église, un tableau représentant « les Fiançailles de Sainte Anne », peint par Carlo Maratta (1625-1713), une maquette de bateau de 1883, et un orgue construit en 1874 par les frères Damien grâce à la générosité du prince Troubetskoï (restauré en 2021 par Yves Fossaert). Les verrières des collatéraux, restées vides très longtemps ont reçu en 1961 des vitraux du maître Callixte POUPART sur le thème des béatitudes.

Grenier à sel

Le grenier à sel, propriété privée, avec ses imposantes caves voûtées en ogive, montre l’importance de Samois au Moyen Âge. Cet entrepôt pour le sel remonte à l’époque de l’organisation définitive des « gabelles salines » par Philippe VI de Valois au XIVe siècle. L’impôt sur le sel appelé « gabelle » est privilège et monopole royal. Il est perçu par un sergent « saulnier » qui habite dans la maison abritant le grenier à sel et ne sera aboli qu’en 1790. Jusqu’en 1617, le grenier à sel constitue aussi le siège de la prévôté, le prévôt étant à la fois administrateur municipal, juge et notaire. Il est donc aussi un tribunal où sont jugés les litiges sur la gabelle.

Château de Bellefontaine

Propriété du prince Nicolas Troubetskoï, puis de Catherine Troubetskoï (1840-1875) et du Prince Nicolas Orloff, (1827-1885), ambassadeur de Russie à Bruxelles, Vienne, Londres et Paris. Il participe à la constitution de l'Alliance franco-russe. Il meurt au château de Bellefontaine le 29 mars 1885 et bénéficie de funérailles imposantes. Le service funèbre est célébré dans le château selon le rite orthodoxe, en présence du nouvel ambassadeur russe, le baron Mohrenheim. Le prince Vladimir Nicolaievitch Orloff, fils de Nicolas Orloff, meurt à Bellefontaine, où il s'était retiré au lendemain de la révolution russe.

Le domaine du château de Bellefontaine occupe près de 4 ha sur les communes de Samois et d'Avon, sur un site classé Natura 2000. En mai 2011, la ville de Paris, propriétaire du domaine depuis 1944, s'est résolue à le mettre en vente. Lancé en 2006, un projet d'aménagement pour de l'action sociale n'a pas abouti et le château se retrouve dans un état très dégradé. Le projet de vente, prévu pour deux millions d'euros, a été présenté au conseil municipal du 13 mai 2011.

Château de la Madeleine

Fondé par le gentilhomme breton Jacques Godemel avec l'assentiment du roi Louis XIII, cet ermitage devient rapidement un lieu de pèlerinage. Louis XIV y fit construire un pavillon et un bassin pour accueillir les eaux des sources afin d'alimenter un moulin en contrebas. Les carmes du prieuré des Basses-Loges à Avon s'y installent, puis cèdent l'ermitage, en 1750, à Louis François Thouron de Morangel. Le nouveau propriétaire construit, en avant du pavillon édifié par Louis XIV, deux bâtiments, auxquels est ajouté un autre édifice en 1752. Vendu comme bien national durant la Révolution, l'ensemble réintègre le domaine royal sous Charles X. La monarchie de Juillet l'inscrivit sur la « liste civile » du roi Louis-Philippe. C'est de ce dernier que madame Hamelin, ancienne Merveilleuse du Directoire, espionne durant l'Empire, devenue légitimiste sous le règne de Louis-Philippe, reçoit à bail en 1830, les 2 hectares, 75 ares et 21 centiares de l'Ermitage de la Madeleine, avec la maison, ses dépendances, son jardin et son parc, le tout pour la somme de 300 francs l'an. Madame Hamelin y fréquentera de nombreuses années le couple Victor Hugo ses voisins et y attirera d'éminentes personnalités artistiques et politiques de l'époque dont Chateaubriand, Berryer ou encore Laure Regnaud de Saint-Jean d'Angély. À la mort de madame Hamelin, en 1851, la Deuxième République renverra le domaine au privé, en le cédant à l'agent de change, Alfred de Tattet, enterré au cimetière de Samois-sur-Seine, ami de George Sand et d'Alfred de Musset, qui y feront là maints séjours et y composeront certaines de leur œuvres. Démoli, le château est rebâti en 1912. Après la Deuxième Guerre mondiale, le château, aujourd'hui propriété privée, est le siège du SHAPE (en anglais Supreme Headquarters Allied Powers Europe, SHAPE) signifiant « Centre de commandement militaire des forces alliées en Europe » pour l'OTAN. L'ensemble sera restauré en 1991 par l'institution qui l'occupe.

Maison de Django Reinhardt

En 1951, Django Reinhardt achète une maison dans le bas Samois près de la Seine. Le 16 mai 1953 il y est victime d'une hémorragie cérébrale et décèdera le même jour à l'hôpital de Fontainebleau. C'est durant la période à Samois qu'il est à l'avant garde du jazz et qu'Eddie Barclay lui fait enregistrer plusieurs morceaux qui marqueront irrémédiablement les amateurs de jazz et surtout les guitaristes du monde entier, qui s’inspireront des décennies durant du jeu d’un Django très en avance sur son époque.

Villa Les Fontaines-Dieu

Située en bord de Seine, quai Franklin Roosevelt dans le Bas-Samois, cette maison construite en 1896 a été transformée en luxueuse résidence par l'architecte Eugène Cottin. Elle a été inscrite à l'inventaire des monuments historiques le 18 mars 2002 et constitue un exemple notoire des "Affolantes". Le lieu-dit des Fontaines-Dieu a pour origine une source à laquelle on attribue des propriétés miraculeuses. On peut en particulier noter que cette source permettait l'exploitation du moulin du Bréau situé dans le Bas-Samois et dont l'existence peut être attestée en 1603.

Patrimoine industriel

  • Samois-sur-Seine - usine de construction mécanique (usine d'auto-tamponneuses et de manèges) Reverchon (IA770007) Seine-et-Marne, Samois-sur-Seine, La Mare Maguet, 121,123 route de Courbuisson.

Repères géographiques


Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 895 808 927 974 1 053 1 038 1 055 1 102 1 150 1 066
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 1 085 1 145 1 087 1 092 1 191 1 130 1 020 1 036 1 031 1 050
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 1 094 942 1 014 1 124 1 113 1 273 1 364 1 380 1 373 1 574
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 1 574 1 916 2 236 2 021 2 100 2 068 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.


En photos

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Fernand LABORI 1903-1904 député de Seine-et-Marne  
- -  
- -  
Jules DURUPT 12 novembre 1944-1959  
Roger CARTON 1959-1966  
- -  
Marc JEUNET 1977-1983  
Jean François ROBINET 1983-1995  
Annick IRLINGER 1995-2001  
Georges GUILLO LOHAN 2001-2008  
Jean François ROBINET 2008-2014  
Didier MAUS 2014-2020  
Michel CHARIAU Juillet 2020-(2026)  
- -  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Vital NEGRE de CULTY - 1790  
- -  
Charles Antoine PORTEMER -  
Louis Adérald JOUBIER -  
Louis Edouard François DESJARDINS -  
Georges Henri GOURY -  
Ernest ROLLIN - 1933 Décédé le 6 février 1933 à l'âge de 49 ans.  
MOTTE - 1966  
- -  
- 2008 Paroisse rattachée au Pôle Missionnaire de Fontainebleau  

Ville de naissance ou de décès de

Naissance :

  • Jean de SAMOIS, évêque de Rennes puis de Lisieux, né en ?, décédé en 1302.


Décès :

  • Clément Auguste ANDRIEUX, peintre de scènes militaires et de genre, né à Paris le 7 décembre 1829, décédé le 15 mai 1880.
  • Emile DERMENGHEM, journaliste, archiviste, bibliothécaire, né à Paris le 3 janvier 1892, décédé le 15 mars 1971.
  • Pierre BOURGEOIS, industriel, producteur musical et de télévision, directeur artistique d'Edith Piaf, né à Paris le 25 juin 1904, décédé le 24 septembre 1976.
  • Joseph Marie LO DUCA, écrivain et critique de cinéma, né à Milan le 18 novembre 1905, décédé le 6 août 2004.
  • Emile SCHAFFHAUSER, avocat docteur en droit, directeur de la revue Les Lois Nouvelles, né à Guebwiller le 7 avril 1857, décédé le 15 février 1949.
  • Nicolas ORLOFF (prince), diplomate et écrivain, né à Saint-Petersbourg le 27 avril 1827, décédé le 29 mars 1885.
  • François Auguste BIARD, artiste peintre, connu pour ses paysages exotiques, né à Lyon le 29 juin 1799, décédé le 20 juin 1882.
  • Emile HENNEQUIN, écrivain, philosophe, traducteur, critique littéraire, né à Palerme le 15 janvier 1859, décédé le 13 juillet 1888.
  • Pierre Emile METZMACHER, artiste peintre, né à Paris le 11 octobre 1842, décédé le 22 octobre 1916.
  • Gabriel Ambroise ADAM, homme politique, conseiller général et sénateur, né à Paris le 28 janvier 1800, décédé le 5 août 1885.

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières

Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin de 8h30 à 12h30 de 8h30 à 12h30 de 8h30 à 12h30 de 8h30 à 12h30 de 8h30 à 12h30 de 9h00 à 12h00 -
Après-midi de 15h00 à 17h30 de 15h00 à 17h30 de 15h00 à 16h30 de 15h00 à 16h30 de 15h00 à 16h30 - -

Mairie
Adresse : Place de la République - 77920 SAMOIS-SUR-SEINE

Tél : 01 64 69 54 69 - Fax : 01 64 69 54 64

Courriel : Contact

Site internet :

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : http://www.annuaire-mairie.fr ()

Associations d'histoire locale

Bibliographie

  • Les cahiers Samoisiens - Samois-sur-Seine au XXème siècle : Les amis de Samois-sur-Seine.
  • Samois-sur-Seine : Notice historique et archéologique par Victor Bouquet.
  • Samois-sur-Seine : Notice historique et archéologique par Paul Comble et Auguste Limosin

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références


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