Coupé: au 1er d'or à l'aigle impériale de sable; au 2e d'argent à la salamandre sur sa patience de gueules; à la fasce d'azur chargée d'une jumelle ondée d'argent brochant sur le coupé; au franc canton d'azur à la lettre capitale N d'or surmontée d'une étoile rayonnante du même[1].
La construction d’une église à Fontainebleau ne commence qu’au début du XVIIe siècle. Les Bellifontains se rendaient auparavant à la messe en l'église Saint-Pierre d'Avon. Ainsi, c'est dans le registre paroissial d'Avon que se trouve l'acte de baptême du futur roi Louis XIII, né le 27 septembre 1601 à Fontainebleau et baptisé le 14 septembre 1606.
Le 16 novembre 1661, Louis XIV et la reine-mère Anne d'Autriche font construire l'église Saint-Louis de Fontainebleau. Le premier curé en est le père Antoine Durand. Au XVIIIe siècle, le roi Louis XV et son épouse, la reine Marie Leszczynska, sont les parrain et marraine de la cloche de l'église. En 1852, le curé demande à Napoléon III une subvention pour transformer l'église. On décide d'agrandir le bâtiment existant. En 1859, l'empereur accorde une subvention de 200 000 francs pour les travaux, exécutés d'après les projets de l'architecte de la ville, Lebois. En 1868, les travaux sont terminés. En fait, l'empereur vient souvent à Fontainebleau et souhaite donner un caractère plus monumental à la ville.
Le 10 janvier 2016, une partie de l'église est ravagée par un incendie criminel : la statue de la Vierge de Franchard du XIVe siècle, un retable du XVe siècle et un autel du XVIe siècle, tous classés, sont détruits.
A voir à l'intérieur : Maître-autel provenant de la chapelle de la Trinité du château, avec son tabernacle aux motifs en bronze doré de François Girardon, daté de 1678. Bas-relief en terre cuite 'Scène de la vie de Sainte-Agnès" (XVIIIe siècle).Tableau « la guérison du paralytique » par Quentin Varin (1624). Deux tableaux "le martyre de Saint-Sébastien (1821 et 1850).Tableau "La Sainte Famille" (XVIIe siècle). Tableau "Saint-Laurent" de Pierre-Nicolas Brisset (1876). Tableau "la mort de Saint-Louis" d'Eugène de Tierceville (1840). Fonts baptismaux sculptés par Hubert Misson en 1664 et décorés par le peintre Baltazar. Chapelle des défunts peinte par Desvaux en 1866. Chaire en chêne sculpté du XIXe siècle. Nombreux ex-votos. Nombreux vitraux du Second Empire. Les peintures du plafond ont été exécutées par Alphonse Vallot (1863). Dans la chapelle de la Vierge : 2 crédences en marbre et bois du XIXe siècle.
Le très beau buffet d’orgue situé sur la tribune au fond de la nef a été offert par Louis XIV, et construit entre 1666 et 1670 par le facteur d’orgues Gabriel BUNEL. L'instrument a été entièrement restauré et inauguré en 2022. (partie instrumentale Cliquot, Cavaillé-Coll, Ruche, Benoist-Sarelot).
En 1949, l'église Saint Louis est inscrite aux Monuments Historiques[3].
Chapelle Notre-Dame de Bon-Secours
En 1690 la première chapelle Notre-Dame du Bon-Secours dite chapelle de la Bonne Dame est construite sur l’initiative du curé Maurice Faure et un pèlerinage est instauré. En 1793, la Révolution entraine la destruction du petit oratoire.
En 1821 à l’initiative de la duchesse d’Angoulême, et grâce à la générosité de Louis XVIII et des paroissiens, une nouvelle chapelle est reconstruite par l’architecte Maximilien-Joseph Hurtault. Le plafond est orné d’une toile marouflée relatant l’histoire par le peintre Merry Joseph Blondel (1781-1853).
En 1865 L’édifice est restauré sous Napoléon III, mais conserve l’aspect que nous lui connaissons, ainsi que le plafond refait par le peintre Marcel.
En 1926 La chapelle est inscrite à l’inventaire des monuments Historiques[4] .
Chapelle de l'ancien hôpital
La chapelle est située dans un des bâtiments des plus anciens bâtiments de l’hôpital de Fontainebleau édifié au XVIIe siècle.
Il s’agit de l’hospice de la Sainte-Famille ou hospice de la Plaine de la Chambre, construit aux environs de 1650, mais fondé par acte juridique par une maîtresse de Louis XIV; Françoise Athénaïs de Rochechouart, marquise de Montespan, en 1695.
L’établissement, tenu par les Filles de la Charité, avait pour vocation d’accueillir les orphelines (appelées les Filles bleues) déposées devant la porte. Les fillettes y étaient logées nourries soignées et éduquées.
Dans le choeur de la chapelle, à droite de l'autel et au fond, des tribunes permettaient aux hommes et aux femmes hospitalisés, d'assister à l'office, séparément, sans avoir à descendre dans la chapelle.
Sur les murs, on peut lire, sur des plaques de marbre, le nom des donateurs. En retour, ceux-ci recevaient des indulgences.
A voir de belles boiseries du XVIIIe siècle provenant de l’aile Louis XV du château de Fontainebleau et de remarquables fonts-baptismaux en bronze du XVIIIe siècle, harmonium de la célèbre Maison Alexandre.
Les vitraux datent du second empire. L'impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, a donné celui qui représente Sainte Eugénie.
Dans la sacristie, on peut admirer de remarquables boiseries sculptées par Honoré Guibert en 1772. Elles proviennent du pavillon de Diane au château de Fontainebleau, plus exactement du boudoir de la comtesse du Barry, dernière maîtresse de Lois XV. Cette partie du château a été démolie vers 1830.
L’immeuble est inscrit aux Monuments Historiques en 1977[5].
Temple protestant
Le temple protestant de Fontainebleau a été construit en 1893 par l’architecte Augustin Rey.
L'inauguration a lieu le 24 juin 1894.
L'extérieur adopte un style néo-byzantin. La façade se caractérise essentiellement par un large porche — qui porte l'inscription « église réformée » —, une rosace et un clocher sur le côté droit.
A l’intérieur un plafond en jolie charpente. Une croix est sculptée dans chacune des colonnes de bois. Elles sont encastrées dans le mur et supportent la toiture .
A la tribune orgue de la Maison Gonzalez construit en 1975.
Synagogue
La synagogue de Fontainebleau, inaugurée en 1965, est bâtie sur le lieu d'un premier temple israélite élevé en 1856, lequel a été profané puis incendié en 1941, sous l'Occupation.
Bâtiment de la Mission
Trônant remarquablement sur la place de la République, le bâtiment de la Mission, datant du XVIIe siècle, est un édifice religieux (Louis XIV le roi fait construire un « hôtel de la Mission » pour y loger les desservants de la nouvelle paroisse Saint-Louis. Un vaste jardin est aussi emménagé à l'emplacement de l'actuelle place de la République) , municipalisé sous la Révolution, puis partagé entre la municipalité et la cure depuis le XIXe siècle à la suite de longues négociations. Les façades et les toitures du bâtiment font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 14 septembre 1949[6], en tant que propriété de la commune.
Charité Royale
La Charité Royale pour les femmes, fondée par Anne d'Autriche en 1645 avec l'aide de Saint-Vincent de Paul était administrée par les Filles de la Charité. Devenue bibliothèque de Fontainebleau en 1936, elle a été transformée en médiathèque en 2019.
Hôtels particuliers
Dans la rue Saint-Honoré, on peut voir l’hôtel de Bellune (no 4), l’hôtel de Polignac (no 23), l’hôtel de Conti (no 27), l’hôtel d'Aligre (no 49) ou encore la villa Lavaurs (no 88) plus récente. Sur un autre axe, le boulevard Magenta, on peut trouver l’hôtel de Pompadour (ce pavillon est construit par Gabriel pour la maîtresse du roi Louis XV ; elle avait aussi fait aménager un jardin botanique et une ménagerie pour distraire le roi de sa mélancolie), Le vieux Logis (no 7), l’hôtel du Tambour (no 27), l'hôtel de la Galère (no 33), l'hôtel de Guise (no 43). Enfin dans la rue de France ; l'hôtel de Beauharnais (no 81), l'hôtel d'Orléans (no 83), l'hôtel Britannique (no 108), La Villa (no 109), et l'hôtel d'Albret place d'Armes (nos 15-17). Transformés : l'hôtel de Retz (hôtel de l'Aigle noir depuis 1810), l'hostellerie du Lion d'Or (où la marquise de Sévigné logea en 1675, actuellement propriété privée), l'hôtel de Cavoye (devenu hôtel Legris et Parc, puis La Demeure du Parc, avant de redevenir l'hôtel de Cavoye) et l'hôtel d'Estrée (sous-préfecture depuis 1989).
Hôtel de Ville
Ancien hôtel du Maine (XVIIe siècle), reconstruit en 1864 sous le Second Empire. Dans l'après-midi du 3 septembre 1888, le président de la République, Sadi CARNOT, en déplacement à Fontainebleau, effectue une visite du bâtiment dont il parcourt les salles et les bureaux. Le bâtiment a été agrandi par l'édification d'une nouvelle aile dans les années 1960.
Hôtel de la Caisse d'Epargne
Immeuble construit en 1892 par l'architecte Octave Courtois-Suffit. Il s'agit d'un bel immeuble dont la façade est ornée de bas reliefs de cornes d'abondance et du blason de la ville, inauguré le 15 octobre 1893. Les points d'accès, surmontés d'un double perron, sont situés de part et d'autre de la façade de la rue. Ils sont tous deux surmontés d'un fronton entre lequel se glisse l'inscription « Entrée » pour celui de gauche et « Sortie » pour celui de droite.
Hôtel des Postes
L'édifice est construit sur les plans de l'architecte Jean Boussard. Les travaux pour sa construction débutent le 28 août 1893. À partir du 31 août, le terrain — ancienne partie du jardin de Diane du château — est dégagé par des bûcherons qui abattent les arbres s'y trouvant. Fin printemps 1894, la construction s'avance rapidement : la couverture est alors presque entièrement terminée et la sculpture bien engagée, le bâtiment est essentiellement composé de briques et de pierres. À ce moment, les trois poteaux en fer destinés à recevoir tous les fils téléphoniques et télégraphiques sont déjà installés. Les boîtes aux lettres sont ouvertes durant le mois de novembre 1894. Une importante extension vers l'arrière de l'édifice est réalisée en 1925, sous la direction d'Albert-Louis Bray, architecte en chef du Palais de Fontainebleau depuis 1922. D'importants travaux de modernisation de l'accueil sont effectués en 2017.
Hôtel de la Banque de France
A la fin du XIXe siècle une villa s'élève à cet emplacement, surnommée la « maison Rouge » occupée par un locataire de Mme Constant, Albert Gillou. Il y habite pendant plusieurs années avec son épouse, et ensemble ils y donnent plusieurs fêtes mondaines. De 1900 à 1902, Alfred Macherez, sénateur de l'Aisne[7] , y habite avec son gendre, lieutenant au 46e régiment d'infanterie. Au début de janvier 1910, le conseil général de la Banque de France décide la création d'un nouveau bureau auxiliaire à Fontainebleau. L'institution rachète ainsi, vers le début de février, la Maison rouge, alors propriété de l'avocat-avoué Maxime Chambeau. Enfin, au début de mai, le gouverneur de la Banque de France, Georges Pallain, fixe son ouverture au 23 du même mois. Le bâtiment est agrandi dans la première moitié du XXe siècle avec la participation des entrepreneurs dénommés Canal et Schulh pour la maçonnerie.
Cet établissement ferme en 2004 comme beaucoup de succursales de la Banque de France, c'est maintenant une propriété privée divisée en plusieurs lots.
Palais de justice
Anciennement figurait à cet emplacement l'hôtel des Fermes construit au XVIIIe siècle sous Louis XV. Sous la Restauration, il est affecté au logement des colonels des régiments de la garde.
L'ordonnance du roi no 4047 du 20 août 1833 « autorise le ministre secrétaire d'état des finances à concéder au département de Seine-et-Marne, sur prix d'estimation, l'ancien hôtel des Fermes situé à Fontainebleau, pour y établir la sous-préfecture de cette ville ». Ainsi, cet édifice du XIXe siècle accueille successivement la sous-préfecture et la gendarmerie avant que le tribunal ne s'y installe en novembre 1853.
Quartier Boufflers
L’hôtel de la rue St Honoré était initialement destiné aux 28 gardes chargés de la police du Roi, on le trouve sous la dénomination de l’Hôtel des gardes de la grande prévôté.
Sous Louis XV cet hôtel fut converti en quartier de la cavalerie, d’où la magnifique porte en bois avec ses deux “ L ”, portant le nom de Quartier Boufflers du nom du maréchal Louis–François de Boufflers né en 1644, mort en 1711. Le quartier militaire fut vendu comme bien national pour 54500 livres au citoyen Barthélémy.
Ce bâtiment redevint caserne de cavalerie au XIXe siècle, et à la fin du siècle un nouveau bâtiment avec un monumental portail “ républicain ” fut ajouté.
Lycée international François 1er
Avec sa belle façade de briques, son clocheton et son horloge, c'est l'ancien collège Carnot construit en 1882.
Ancienne maison d'Arrêt
Le bâtiment, construit en 1845 sur un modèle pennsylvanien par les architectes du Conseil général de Seine-et-Marne Mangeon et Trelat, est représentatif des prisons érigées sous la Troisième République. Le bâtiment devient maison d'arrêt à partir de 1855. La prison comptait 45 cellules de 9 m<sup2 disposées sur 2 étages. Les murs entourant le bâtiment font 5 mètres de hauteur. Avec son plan panoptique, le surveillant au centre du dispositif peut voir tous les détenus sans être vu. La prison ferme en janvier 1990, ses éléments carcéraux sont retirés. En 1995 un Musée pénitentiaire y est installé. Le site est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1996. Le musée ferme ses portes le 31 décembre 2010. En février 2016, les bâtiments sont vendus aux enchères à un promoteur souhaitant transformer les locaux en appartements.
Théâtre municipal
Ce théâtre à l'italienne dans le style Louis XIII alliant la brique et la pierre dans ses façades, a été construit en 1905 par les architectes Paul Marion et Fernand Lucas, et décoré par le statuaire André Vermare.
Il a été inauguré le 9 mars 1912 (avec au programme l' opéra-comique en 3 actes "Lakmé" de Léo Delibes, le rôle de Lakmé étant tenu par Melle Berthe Mendès de l'Opéra de Paris)
Il est, en dehors de Paris, l’un des rares Théâtre à l’italienne et l’un des plus beaux de la région Ile-de-France.
Le bâtiment se compose de plusieurs ensembles dont la salle de théâtre curviligne et d'une salle de réception dans lesquels peuvent être organisées diverses manifestations.
En 1991, la Ville de Fontainebleau entreprend un grand chantier de restauration de l'ensemble de l'édifice. Une autre restauration est engagée en 2011.
Le théâtre, l'esplanade qui le précède et la salle de bal font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 23 avril 1991[8] , en tant que propriété de la commune.
Ane Vert Théâtre
C’est sur certaines vieilles pierres de l’ancienne « Auberge de l’Âne vert », établie en 1523, et qui a accueilli une foule de personnages illustres parmi lesquels Boileau, Mansart, Le Nôtre, d’Alembert… qu'est construit le bâtiment actuel. Dans les années 1970, Jean Villanova y crée un lieu d’expression artistique, les anciennes écuries sont reconverties en espaces dévolus au spectacle: théâtre, chanson, lectures, musique.
Immeuble des Nouvelles Galeries
À cet emplacement était installé un magasin à l'enseigne Bazar de l'Hôtel-de-Ville ainsi que le « café du Commerce », séparés par un couloir.
Le bâtiment actuel est élevé par la chaîne de magasins Nouvelles Galeries dans les années 1910, soit à la Belle Époque, sur le principe des grands magasins parisiens. Les Nouvelles Galeries rachètent à cet emplacement le café du Commerce qui ferme le soir du 8 octobre 1911, ainsi que les magasins de bonneterie Gaudon et de pianos Legrand. Le bâtiment adopte des caractéristiques typiques de l'Art nouveau, notamment au niveau du coupole et des auvents. Il se répartit sur 5 niveaux. L'ensemble des sculptures ornementales est essentiellement constitué de formes végétales.
Le magasin Prisunic s'installe au rez-de-chaussée le 11 juillet 1934. Le rachat de la chaîne Prisunic par Monoprix au début des années 2000 provoque le changement de l'enseigne.
Obélisque
À la sortie sud-ouest de la ville, l'obélisque dit « de Marie-Antoinette » trône au centre d'un carrefour routier : il est élevé en 1786 par de Cheyssac, grand maître des Eaux et Forêts, en l'honneur de Marie-Antoinette et de ses enfants.
Sculpture Le Taureau et l'Europe
Sculpture contemporaine en bronze réalisée par le berlinois Michaël Jastram et inaugurée le 8 mai 2019. Elle trône sur la place de la République (place du marché).
En photos
La forêt
Rocher de Nemorosa
La tour Denecourt
Tour Denecourt
La croix du Calvaire
La Table du Roi
Ruines de l'ermitage de Franchard
Autres photos
le château
L'église Saint-Louis
L'hôtel de Ville
L'obélisque
L'étang aux carpes
La fontaine de Diane
Démographie
Année
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
Population
9 400
7 421
9 040
6 439
8 122
8 021
8 439
9 707
10 365
10 669
Année
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
Population
11 939
10 787
10 941
11 653
12 483
13 340
14 222
14 078
14 160
14 190
Année
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
Population
14 679
16 070
15 560
17 075
17 724
15 008
19 915
20 583
18 094
16 778
Année
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2021
-
-
-
Population
15 679
15 714
15 942
15 688
14 708
14 907
15 945
-
-
-
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.
Fils de Claude Casimir, gardien ordinaire à Clairvaux (10), et de Louise GRANDJEAN - Marié le 17/02/1912 à Paris (75 - 15e arrondissement) avec Juliette Louise BORONI Matricule au recrutement : 1280 Tours - Chef de bataillon au 46e R.I. - Chevalier de la Légion d’honneur Inscrit sur les Livre d’Or, Plaque commémorative 1914-1918 et Monument aux Morts de Fontainebleau) Son nom figure également sur l’une des Plaques commémoratives paroissiales et le Monument aux Morts de Laferté-sur-Aube (52)
-
-
-
-
Gaston HUET
1900
- Février 1915
mineur qui s'engagea sans l'autorisation de ses parents au 46e R.I - ✞ Tué par éclat d'obus - Il fut inhumé au cimetière de la Forestière - Ses parents travaillaient pour le comte Beneditti à Fontainebleau [11]
Laurent CHABOSY, dessinateur de bandes dessinées connu sous le nom de Lewis TRONDHEIM, né le 11 décembre 1964
FRANCOIS II, roi de France de 1559 jusqu'à sa mort en 1560, né le 19 janvier 1544, décédé à Orléans (Loiret) le 5 décembre 1560, fils de Henri II et Catherine de Médicis
HENRI III, né Alexandre-Édouard de FRANCE, roi de France de 1574 à 1589 et de Pologne de 1573 à 1575, né le 19 septembre 1551, décédé à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) le 2 août 1589, fils de Henri II et Catherine de Médicis
LOUIS II de BOURBON, dit le Grand CONDÉ, né à Paris le 8 septembre 1621, décédé le 11 décembre 1686
LOUIS XIII, roi de France, né le 27 septembre 1601, fils de Henri IV et Marie de Médicis, décédé à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) le 14 mai 1643
Paul VERONGE DE LA NUX, pianiste, compositeur, né le 29 juin 1853, décédé à Paris le 5 juin 1928.
Marcel JACQUINOT, pianiste concertiste international, né le 21 octobre 1893, décédé à Paris le 5 juillet 1974.
Régis PASQUIER, violoniste virtuose, né le 12 octobre 1945.
Pierre GOBERT, artiste peintre, portraitiste, né le 1er janvier 1662, décédé à Paris le 13 février 1744.
Léon GOUVENIN, architecte, inspecteur des palais nationaux, né le 15 avril 1840, décédé à Fontainebleau le 10 avril 1913.
Henri SAUVARD, artiste peintre paysagiste, né le 25 novembre 1880, décédé à Noiseau le23 mars 1973.
Patrick DEVEDJIAN, homme politique (ministre, député, conseiller général) né le 26 août 1944, décédé à Antony le 28 mars 2020.
Gustave PEIGNOT, maître fondeur typographe, né le 12 mai 1839, décédé à Paris le 21 juin 1899.
Gilbert Joseph ADAM, minéralogiste, le le 7 avril 1795, décédé à Paris le 8 juin 1881.
Anne-Marie BARAT, organiste concertiste, née le 20 juin 1948, décédée accidentellement à Grez-sur-Loing le 21 décembre 1990.
Yves ALIX, artiste peintre, graveur et écrivain, ne lé 19 août 1890, décédé à Paris le 22 avril 1969.
Emmanuel BOULANGER, violoncelliste, compositeur et pédagogue, né le 2 juin 1973.
Laure BROUARDEL, artiste peintre et aquarelliste, née le 30 mars 1852, décédé à Paris le 31 décembre 1935.
Simone CERDAN, actrice de théâtre et de cinéma, chanteuse, née le 28 novembre 1897, décédée à Rémalard le 12 mai 1967.
Julien CHAUVIN, violoniste, directeur musical, né le 11 mars 1979.
Edouard DAMESME, général de brigade, Saint-Cyrien, commandant de la Garde mobile, né le 23 janvier 1804, décédé à Paris le 29 juillet 1848.
Florent CARTON dit DANCOURT, acteur et auteur dramatique, né le 1er novembre 1661, décédé à Beaulieu-sur-Loire le 6 décembre 1725.
Alexis DURAND, poète et écrivain, né le 13 mars 1795, décédé à Fontainebleau le 4 novembre 1853.
Jean Claude GORGY, romancier et auteur dramatique, né le 19 novembre 1753, décédé à Sonchamp en 1795.
Guillemette LAURENS, mezzo-soprano spécialisée dans le répertoire baroque, née le 6 novembre 1957.
Pierre LEVASSOR, acteur, né le 25 janvier 1808, décédé à Paris le 14 janvier 1870.
Louis Ernest LHEUREUX, architecte, né le 13 juillet 1827, décédé à Paris le 17 décembre 1898.
Henriette NEGRIN, couturière et artiste en art textile, née le 4 octobre 1877, décédée à Venise en 1965.
Jean-François NOVELLI, ténor, flûtiste à bec, né en juillet 1970.
Alain PASQUIER, historien de l'art, membre de l'Institut, né le 1er août 1942.
Jacques Van SCUPPEN, peintre baroque autrichien d'origine flamande, né le 26 janvier 1670, décédé à Vienne le 29 janvier 1751.
Charles SEVIN de la PENAYE, artiste peintre, né le 16 novembre 1685, décédé à Paris le 17 mars 1740.
Henry-Léon BULOT, architecte, né le 18 janvier 1820, décédé à Melun le 26 juin 1889.
Antoine-Julien HENARD, architecte, né le 11 janvier 1812, décédé à Paris 9e le 26 septembre 1887.
Claude LEFEBVRE, peintre, graveur, né le 12 septembre 1632, décédé à Paris le 25 avril 1675.
Alexandre Henri POINSINET, auteur dramatique, né le 17 novembre 1735, décédé à Cordoue le 7 juin 1769.
Gabrielle LAZARD dite DARZAL, cantatrice et comédienne, née le 14 août 1879, décédée en déportation à Auschwitz le 25 mai 1944.
Décès :
Hubert BEUVE-MÉRY, journaliste, fondateur du journal "Le Monde", né à Paris le 5 janvier 1902, décédé le 6 août 1989
Georges MANDEL, homme politique, né à Chatou (Yvelines) le 5 juin 1885, décédé le 7 juillet 1944
Django REINHARDT, musicien de jazz, né à Liberchies (Belgique) le 23 janvier 1910, décédé le 16 mai 1953
Guy Le GENTIL de PAROY, marquis de Paroy, député de l'Assemblé national constituante, député des Etats généraux, né le 30 mai 1728 à Paroy, décédé à le 24 mai 1807.
Jules PASDELOUP, chef d'orchestre, pianiste, compositeur, fondateur des Concerts Pasdeloup, né à Paris le 15 septembre 1819, décédé le 13 août 1887.
Camille DECREUS, pianiste, compositeur, directeur du Conservatoire Américain, né à Paris le 23 septembre 1876, décédé le 26 septembre 1939.
Jean Joseph KENN, corniste, compositeur, pédagogue, né en Allemagne le 21 septembre 1757, décédé le 14 février 1840.
Jean Joseph MIRA dit BRUNET, acteur comique, directeur de théâtre, né à Paris le 17 novembre 1766, décédé le 21 février 1853.
Albert François DECOMBE dit ALBERT, danseur, chorégraphe, maître de ballet, né à Bordeaux le 11 avril 1787, décédé le 19 juillet 1865.
Eugénie PAILLARD dite Eugénie RIGAUT, soprano, professeur de chant au Conservatoire de Paris, née à Paris le 4 septembre 1797, décédée le 4 février 1883.
François Egalité RIGAUT, professeur de chant au Conservatoire de Paris, né à Soisy-sur-Seine le 13 mars 1793, décédé le 3 juin 1873.
Fernande BREILH-DECRUCK, compositrice, organiste, concertiste, pédagogue, née à Gaillac le 25 décembre 1896, décédée le 6 août 1954.
Claude FIEVET, violoncelliste, compositeur, chef d'orchestre, fondateur de l'Ecole de Musique de Fontainebleau, né à Valenciennes le 17 décembre 1865, décédé le 28 janvier 1938.
Paul FIEVET, pianiste, compositeur, chef d'orchestre, né à Valenciennes le 11 décembre 1892, décédé le 15 mars 1980.
Alexandre Gabriel DECAMPS, artiste peintre et graveur, né à Paris le 3 mars 1803, décédé le 22 août 1860.
Pierre Charles COMTE, artiste peintre, né à Lyon le 23 avril 1823, décédé le 30 novembre 1895.
Gustave DOYEN, artiste peintre académique, né à Festieux le 29 décembre 1836, décédé le 6 mars 1923.
Paul TAVERNIER, artiste peintre, né à Paris le 31 janvier 1852, décédé le 7 avril 1943.
Amédée JOYAU, artiste peintre et graveur sur bois, né à Paris le 25 mai 1872, décédé le 7 août 1913.
Mecislas GOLBERG, poète, dramaturge, critique d'art, journaliste, né à Plock (Pologne) le 21 octobre 1869, décédé le 28 décembre 1907.
Gabriel FOURNIER, artiste peintre, né à Grenoble le 26 mai 1893, décédé le 13 avril 1963.
Antony DAMIEN, peintre post-impressionniste, né à Paris le 28 février 1858, décédé le 17 mai 1943.
Jacques Joseph CHAMPOLLION (frère de Jean-François), archéologue, bibliothécaire, né à à Figeac le 5 octobre 1778, décédé le 9 mai 1867.
Charles Edmé SAINT-MARCEL, artiste peintre et graveur, né à Paris le 19 septembre 1819, décédé le 15 février 1890.
Oscar Vladislas de LUBICZ-MILOSZ, écrivain, poète, dramaturge, né à Czerea (Russie impériale) le 28 mai 1877, décédé le 3 mars 1939.
Philippe COMAIRAS, artiste peintre, second Prix de Rome, né à Saint-Germain en Laye en 1803, décédé le 15 février 1875.
Claude Léon MASCAUX, graveur, médailleur et sculpteur, né à Saint-Germain en Laye le 13 juin 1882, décédé le 8 mars 1965.
Abel MIGNON, graveur et peintre, né à Bordeaux le 2 décembre 1861, décédé le 30 janvier 1936.
Auguste-Jean-Baptiste DEFAUCONPRET de THULUS, écrivain et traducteur, né à Lille le 7 janvier 1767, décédé le 7 mars 1843.
Marie DIEMER, écrivain, romancière, poète, née à Epinal le 11 septembre 1877, décédée le 3 juin 1938.
Henri LABROUSTE, architecte, grand Prix de Rome, membre de l'Institut, né à Paris le 11 mai 1801, décédé le 24 juin 1875.
Isidore MENDELS, violoniste virtuose, chef d'orchestre, né à Bruxelles le 19 août 1859, décédé le 15 octobre 1927.
Léon Marie DUFOUR, botaniste, mycologue, né à Dol-de-Bretagne le 4 avril 1861, décédé le 13 janvier 1942.
Gilberte BROSSOLETTE, journaliste, sénatrice, résistante, née à Paris le 27 décembre 1905, décédée le 18 février 2004.
André BILLY, écrivain, membre de l'Académie Goncourt, né à Saint-Quentin le 13 décembre 1882, décédé le 11 avril 1971.
Alphonse VALLOT, peintre décorateur, dessinateur et archéologue, né à Melun le 22 mars 1825, décédé le 20 mars 1892.
Antony CHOUDENS, compositeur, éditeur de musique, né à Paris le 11 février 1849, décédé le 15 juillet 1902.
Paul Hippolyte CAMUS, flûtiste, compositeur, né à Paris le 23 janvier 1796, décédé le 21 mars 1870.
Jean Louis Quentin de RICHEBOURG, marquis de Champcenetz, gouverneur du palais des Tuileries, né à Paris le 26 mai 1723, décédé le 7 décembre 1813.
Pierre-Auguste BRUNET-HOUARD, peintre, co-fondateur de la Société des Amis des Arts de Fontainebleau, né à St-Maixant-L'Ecole le 7 février 1827, décédé le 10 janvier 1922.
Charles MOREAU-VAUTHIER, peintre, historien de l'art, écrivain, fondateur de la Société des Amis de la Forêt de Fontainebleau, né à Paris le 5 juin 1857, décédé le 3 octobre 1924.
André TERRASSE, pianiste concertiste, né à Chamonix le 26 octobre 1926, décédé le 13 mars 2006.