77186 - Fontainebleau

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Fontainebleau
Informations
Pays    France
Département    Seine-et-Marne
Métropole
Canton   77-07   Fontainebleau

  77-13   Fontainebleau (Ancien canton)

Code INSEE 77186
Code postal 77300
Population 15 945 habitants (2021)
Nom des habitants Les Bellifontains
Superficie 17 205 hectares
Densité 92.68 hab./km²
Altitude Mini: 42 m
Point culminant 150 m
Coordonnées
géographiques
48.409722° / 2.7025° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
Fichier:77186 - Fontainebleau carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

Héraldique

Coupé: au 1er d'or à l'aigle impériale de sable; au 2e d'argent à la salamandre sur sa patience de gueules; à la fasce d'azur chargée d'une jumelle ondée d'argent brochant sur le coupé; au franc canton d'azur à la lettre capitale N d'or surmontée d'une étoile rayonnante du même[1].

Histoire administrative

  • Département - 1801-2025 : Seine-et-Marne
  • Arrondissement - 1801-1926 : Fontainebleau --> 1926-1988 : Melun --> 1988-2025 : Fontainebleau
  • Canton - 1801-2025 : Fontainebleau
  • Commune - 1801-2025 : Fontainebleau

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Repères géographiques

Patrimoine bâti

Château de Fontainebleau

Photo J. GALICHON


Le Domaine national de Fontainebleau est classé aux monuments historiques depuis 1939[2]


Église Saint-Louis

La construction d’une église à Fontainebleau ne commence qu’au début du XVIIe siècle. Les Bellifontains se rendaient auparavant à la messe en l'église Saint-Pierre d'Avon. Ainsi, c'est dans le registre paroissial d'Avon que se trouve l'acte de baptême du futur roi Louis XIII, né le 27 septembre 1601 à Fontainebleau et baptisé le 14 septembre 1606.

Le 16 novembre 1661, Louis XIV et la reine-mère Anne d'Autriche font construire l'église Saint-Louis de Fontainebleau. Le premier curé en est le père Antoine Durand. Au XVIIIe siècle, le roi Louis XV et son épouse, la reine Marie Leszczynska, sont les parrain et marraine de la cloche de l'église. En 1852, le curé demande à Napoléon III une subvention pour transformer l'église. On décide d'agrandir le bâtiment existant. En 1859, l'empereur accorde une subvention de 200 000 francs pour les travaux, exécutés d'après les projets de l'architecte de la ville, Lebois. En 1868, les travaux sont terminés. En fait, l'empereur vient souvent à Fontainebleau et souhaite donner un caractère plus monumental à la ville.

Cloche "Julie-Nicole" (mars 1827), cloche "Charlotte-Marie-Thérèse (décembre 1827).

Le 10 janvier 2016, une partie de l'église est ravagée par un incendie criminel : la statue de la Vierge de Franchard du XIVe siècle, un retable du XVe siècle et un autel du XVIe siècle, tous classés, sont détruits.

A voir à l'intérieur : Maître-autel provenant de la chapelle de la Trinité du château, avec son tabernacle aux motifs en bronze doré de François Girardon, daté de 1678. Bas-relief en terre cuite 'Scène de la vie de Sainte-Agnès" (XVIIIe siècle).Tableau « la guérison du paralytique » par Quentin Varin (1624). Deux tableaux "le martyre de Saint-Sébastien (1821 et 1850).Tableau "La Sainte Famille" (XVIIe siècle). Tableau "Saint-Laurent" de Pierre-Nicolas Brisset (1876). Tableau "la mort de Saint-Louis" d'Eugène de Tierceville (1840). Fonts baptismaux sculptés par Hubert Misson en 1664 et décorés par le peintre Baltazar. Chapelle des défunts peinte par Desvaux en 1866. Chaire en chêne sculpté du XIXe siècle. Nombreux ex-votos. Nombreux vitraux du Second Empire. Les peintures du plafond ont été exécutées par Alphonse Vallot (1863). Dans la chapelle de la Vierge : 2 crédences en marbre et bois du XIXe siècle.

Le très beau buffet d’orgue situé sur la tribune au fond de la nef a été offert par Louis XIV, et construit entre 1666 et 1670 par le facteur d’orgues Gabriel BUNEL. L'instrument a été entièrement restauré et inauguré en 2022. (partie instrumentale Cliquot, Cavaillé-Coll, Ruche, Benoist-Sarelot).

En 1949, l'église Saint Louis est inscrite aux Monuments Historiques[3].

Chapelle Notre-Dame de Bon-Secours

En 1690 la première chapelle Notre-Dame du Bon-Secours dite chapelle de la Bonne Dame est construite sur l’initiative du curé Maurice Faure et un pèlerinage est instauré. En 1793, la Révolution entraine la destruction du petit oratoire.

En 1821 à l’initiative de la duchesse d’Angoulême, et grâce à la générosité de Louis XVIII et des paroissiens, une nouvelle chapelle est reconstruite par l’architecte Maximilien-Joseph Hurtault. Le plafond est orné d’une toile marouflée relatant l’histoire par le peintre Merry Joseph Blondel (1781-1853).
En 1865 L’édifice est restauré sous Napoléon III, mais conserve l’aspect que nous lui connaissons, ainsi que le plafond refait par le peintre Marcel.

En 1926 La chapelle est inscrite à l’inventaire des monuments Historiques[4] .

Chapelle de l'ancien hôpital

La chapelle est située dans un des bâtiments des plus anciens bâtiments de l’hôpital de Fontainebleau édifié au XVIIe siècle.
Il s’agit de l’hospice de la Sainte-Famille ou hospice de la Plaine de la Chambre, construit aux environs de 1650, mais fondé par acte juridique par une maîtresse de Louis XIV; Françoise Athénaïs de Rochechouart, marquise de Montespan, en 1695.
L’établissement, tenu par les Filles de la Charité, avait pour vocation d’accueillir les orphelines (appelées les Filles bleues) déposées devant la porte. Les fillettes y étaient logées nourries soignées et éduquées.

Dans le choeur de la chapelle, à droite de l'autel et au fond, des tribunes permettaient aux hommes et aux femmes hospitalisés, d'assister à l'office, séparément, sans avoir à descendre dans la chapelle.
Sur les murs, on peut lire, sur des plaques de marbre, le nom des donateurs. En retour, ceux-ci recevaient des indulgences.
A voir de belles boiseries du XVIIIe siècle provenant de l’aile Louis XV du château de Fontainebleau et de remarquables fonts-baptismaux en bronze du XVIIIe siècle, harmonium de la célèbre Maison Alexandre.
Les vitraux datent du second empire. L'impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, a donné celui qui représente Sainte Eugénie.

Dans la sacristie, on peut admirer de remarquables boiseries sculptées par Honoré Guibert en 1772. Elles proviennent du pavillon de Diane au château de Fontainebleau, plus exactement du boudoir de la comtesse du Barry, dernière maîtresse de Lois XV. Cette partie du château a été démolie vers 1830.

L’immeuble est inscrit aux Monuments Historiques en 1977[5].

Temple protestant

Le temple protestant de Fontainebleau a été construit en 1893 par l’architecte Augustin Rey. L'inauguration a lieu le 24 juin 1894.
L'extérieur adopte un style néo-byzantin. La façade se caractérise essentiellement par un large porche — qui porte l'inscription « église réformée » —, une rosace et un clocher sur le côté droit.
A l’intérieur un plafond en jolie charpente. Une croix est sculptée dans chacune des colonnes de bois. Elles sont encastrées dans le mur et supportent la toiture .
A la tribune orgue de la Maison Gonzalez construit en 1975.

Synagogue

La synagogue de Fontainebleau, inaugurée en 1965, est bâtie sur le lieu d'un premier temple israélite élevé en 1856, lequel a été profané puis incendié en 1941, sous l'Occupation.

Bâtiment de la Mission

Trônant remarquablement sur la place de la République, le bâtiment de la Mission, datant du XVIIe siècle, est un édifice religieux (Louis XIV le roi fait construire un « hôtel de la Mission » pour y loger les desservants de la nouvelle paroisse Saint-Louis. Un vaste jardin est aussi emménagé à l'emplacement de l'actuelle place de la République) , municipalisé sous la Révolution, puis partagé entre la municipalité et la cure depuis le XIXe siècle à la suite de longues négociations. Les façades et les toitures du bâtiment font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 14 septembre 1949[6], en tant que propriété de la commune.

Charité Royale

La Charité Royale pour les femmes, fondée par Anne d'Autriche en 1645 avec l'aide de Saint-Vincent de Paul était administrée par les Filles de la Charité. Devenue bibliothèque de Fontainebleau en 1936, elle a été transformée en médiathèque en 2019.

Hôtels particuliers

Dans la rue Saint-Honoré, on peut voir l’hôtel de Bellune (no 4), l’hôtel de Polignac (no 23), l’hôtel de Conti (no 27), l’hôtel d'Aligre (no 49) ou encore la villa Lavaurs (no 88) plus récente. Sur un autre axe, le boulevard Magenta, on peut trouver l’hôtel de Pompadour (ce pavillon est construit par Gabriel pour la maîtresse du roi Louis XV ; elle avait aussi fait aménager un jardin botanique et une ménagerie pour distraire le roi de sa mélancolie), Le vieux Logis (no 7), l’hôtel du Tambour (no 27), l'hôtel de la Galère (no 33), l'hôtel de Guise (no 43). Enfin dans la rue de France ; l'hôtel de Beauharnais (no 81), l'hôtel d'Orléans (no 83), l'hôtel Britannique (no 108), La Villa (no 109), et l'hôtel d'Albret place d'Armes (nos 15-17). Transformés : l'hôtel de Retz (hôtel de l'Aigle noir depuis 1810), l'hostellerie du Lion d'Or (où la marquise de Sévigné logea en 1675, actuellement propriété privée), l'hôtel de Cavoye (devenu hôtel Legris et Parc, puis La Demeure du Parc, avant de redevenir l'hôtel de Cavoye) et l'hôtel d'Estrée (sous-préfecture depuis 1989).

Hôtel de Ville

Ancien hôtel du Maine (XVIIe siècle), reconstruit en 1864 sous le Second Empire. Dans l'après-midi du 3 septembre 1888, le président de la République, Sadi CARNOT, en déplacement à Fontainebleau, effectue une visite du bâtiment dont il parcourt les salles et les bureaux. Le bâtiment a été agrandi par l'édification d'une nouvelle aile dans les années 1960.

Hôtel de la Caisse d'Epargne

Immeuble construit en 1892 par l'architecte Octave Courtois-Suffit. Il s'agit d'un bel immeuble dont la façade est ornée de bas reliefs de cornes d'abondance et du blason de la ville, inauguré le 15 octobre 1893. Les points d'accès, surmontés d'un double perron, sont situés de part et d'autre de la façade de la rue. Ils sont tous deux surmontés d'un fronton entre lequel se glisse l'inscription « Entrée » pour celui de gauche et « Sortie » pour celui de droite.

Hôtel des Postes

L'édifice est construit sur les plans de l'architecte Jean Boussard. Les travaux pour sa construction débutent le 28 août 1893. À partir du 31 août, le terrain — ancienne partie du jardin de Diane du château — est dégagé par des bûcherons qui abattent les arbres s'y trouvant. Fin printemps 1894, la construction s'avance rapidement : la couverture est alors presque entièrement terminée et la sculpture bien engagée, le bâtiment est essentiellement composé de briques et de pierres. À ce moment, les trois poteaux en fer destinés à recevoir tous les fils téléphoniques et télégraphiques sont déjà installés. Les boîtes aux lettres sont ouvertes durant le mois de novembre 1894. Une importante extension vers l'arrière de l'édifice est réalisée en 1925, sous la direction d'Albert-Louis Bray, architecte en chef du Palais de Fontainebleau depuis 1922. D'importants travaux de modernisation de l'accueil sont effectués en 2017.

Hôtel de la Banque de France

A la fin du XIXe siècle une villa s'élève à cet emplacement, surnommée la « maison Rouge » occupée par un locataire de Mme Constant, Albert Gillou. Il y habite pendant plusieurs années avec son épouse, et ensemble ils y donnent plusieurs fêtes mondaines. De 1900 à 1902, Alfred Macherez, sénateur de l'Aisne[7] , y habite avec son gendre, lieutenant au 46e régiment d'infanterie. Au début de janvier 1910, le conseil général de la Banque de France décide la création d'un nouveau bureau auxiliaire à Fontainebleau. L'institution rachète ainsi, vers le début de février, la Maison rouge, alors propriété de l'avocat-avoué Maxime Chambeau. Enfin, au début de mai, le gouverneur de la Banque de France, Georges Pallain, fixe son ouverture au 23 du même mois. Le bâtiment est agrandi dans la première moitié du XXe siècle avec la participation des entrepreneurs dénommés Canal et Schulh pour la maçonnerie.

Cet établissement ferme en 2004 comme beaucoup de succursales de la Banque de France, c'est maintenant une propriété privée divisée en plusieurs lots.

Palais de justice

Anciennement figurait à cet emplacement l'hôtel des Fermes construit au XVIIIe siècle sous Louis XV. Sous la Restauration, il est affecté au logement des colonels des régiments de la garde.

L'ordonnance du roi no 4047 du 20 août 1833 « autorise le ministre secrétaire d'état des finances à concéder au département de Seine-et-Marne, sur prix d'estimation, l'ancien hôtel des Fermes situé à Fontainebleau, pour y établir la sous-préfecture de cette ville ». Ainsi, cet édifice du XIXe siècle accueille successivement la sous-préfecture et la gendarmerie avant que le tribunal ne s'y installe en novembre 1853.

Quartier Boufflers

L’hôtel de la rue St Honoré était initialement destiné aux 28 gardes chargés de la police du Roi, on le trouve sous la dénomination de l’Hôtel des gardes de la grande prévôté.

Sous Louis XV cet hôtel fut converti en quartier de la cavalerie, d’où la magnifique porte en bois avec ses deux “ L ”, portant le nom de Quartier Boufflers du nom du maréchal Louis–François de Boufflers né en 1644, mort en 1711. Le quartier militaire fut vendu comme bien national pour 54500 livres au citoyen Barthélémy.

Ce bâtiment redevint caserne de cavalerie au XIXe siècle, et à la fin du siècle un nouveau bâtiment avec un monumental portail “ républicain ” fut ajouté.

Lycée international François 1er

Avec sa belle façade de briques, son clocheton et son horloge, c'est l'ancien collège Carnot construit en 1882.

Ancienne maison d'Arrêt

Le bâtiment, construit en 1845 sur un modèle pennsylvanien par les architectes du Conseil général de Seine-et-Marne Mangeon et Trelat, est représentatif des prisons érigées sous la Troisième République. Le bâtiment devient maison d'arrêt à partir de 1855. La prison comptait 45 cellules de 9 m<sup2 disposées sur 2 étages. Les murs entourant le bâtiment font 5 mètres de hauteur. Avec son plan panoptique, le surveillant au centre du dispositif peut voir tous les détenus sans être vu. La prison ferme en janvier 1990, ses éléments carcéraux sont retirés. En 1995 un Musée pénitentiaire y est installé. Le site est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1996. Le musée ferme ses portes le 31 décembre 2010. En février 2016, les bâtiments sont vendus aux enchères à un promoteur souhaitant transformer les locaux en appartements.

Théâtre municipal

Ce théâtre à l'italienne dans le style Louis XIII alliant la brique et la pierre dans ses façades, a été construit en 1905 par les architectes Paul Marion et Fernand Lucas, et décoré par le statuaire André Vermare.
Il a été inauguré le 9 mars 1912 (avec au programme l' opéra-comique en 3 actes "Lakmé" de Léo Delibes, le rôle de Lakmé étant tenu par Melle Berthe Mendès de l'Opéra de Paris) Il est, en dehors de Paris, l’un des rares Théâtre à l’italienne et l’un des plus beaux de la région Ile-de-France. Le bâtiment se compose de plusieurs ensembles dont la salle de théâtre curviligne et d'une salle de réception dans lesquels peuvent être organisées diverses manifestations.

En 1991, la Ville de Fontainebleau entreprend un grand chantier de restauration de l'ensemble de l'édifice. Une autre restauration est engagée en 2011.

Le théâtre, l'esplanade qui le précède et la salle de bal font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 23 avril 1991[8] , en tant que propriété de la commune.

Ane Vert Théâtre

C’est sur certaines vieilles pierres de l’ancienne « Auberge de l’Âne vert », établie en 1523, et qui a accueilli une foule de personnages illustres parmi lesquels Boileau, Mansart, Le Nôtre, d’Alembert… qu'est construit le bâtiment actuel. Dans les années 1970, Jean Villanova y crée un lieu d’expression artistique, les anciennes écuries sont reconverties en espaces dévolus au spectacle: théâtre, chanson, lectures, musique.

Immeuble des Nouvelles Galeries

À cet emplacement était installé un magasin à l'enseigne Bazar de l'Hôtel-de-Ville ainsi que le « café du Commerce », séparés par un couloir.

Le bâtiment actuel est élevé par la chaîne de magasins Nouvelles Galeries dans les années 1910, soit à la Belle Époque, sur le principe des grands magasins parisiens. Les Nouvelles Galeries rachètent à cet emplacement le café du Commerce qui ferme le soir du 8 octobre 1911, ainsi que les magasins de bonneterie Gaudon et de pianos Legrand. Le bâtiment adopte des caractéristiques typiques de l'Art nouveau, notamment au niveau du coupole et des auvents. Il se répartit sur 5 niveaux. L'ensemble des sculptures ornementales est essentiellement constitué de formes végétales.

Le magasin Prisunic s'installe au rez-de-chaussée le 11 juillet 1934. Le rachat de la chaîne Prisunic par Monoprix au début des années 2000 provoque le changement de l'enseigne.

Obélisque

À la sortie sud-ouest de la ville, l'obélisque dit « de Marie-Antoinette » trône au centre d'un carrefour routier : il est élevé en 1786 par de Cheyssac, grand maître des Eaux et Forêts, en l'honneur de Marie-Antoinette et de ses enfants.

Sculpture Le Taureau et l'Europe

Sculpture contemporaine en bronze réalisée par le berlinois Michaël Jastram et inaugurée le 8 mai 2019. Elle trône sur la place de la République (place du marché).

En photos

La forêt

Autres photos

Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 9 400 7 421 9 040 6 439 8 122 8 021 8 439 9 707 10 365 10 669
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 11 939 10 787 10 941 11 653 12 483 13 340 14 222 14 078 14 160 14 190
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 14 679 16 070 15 560 17 075 17 724 15 008 19 915 20 583 18 094 16 778
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 15 679 15 714 15 942 15 688 14 708 14 907 15 945 - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2021.

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Comte Louis de MONTMORIN 1790-1792 -  
René Mathieu MARQUIS 1792- -  
- - -  
François-Marie COURTIN 1792-1793 -  
Louis BELOT 1793-1794 -  
Jean Louis AVRIL 1794- -  
- - -  
Jean François MAGUIN 1797-1799 -  
René Mathieu MARQUIS 1799-1800 -  
Gabriel-Louis JAMIN de CHANGEART 1800-1804 -  
Louis Victor DUBOIS d'ARNEUVILLE 1804-1815 -  
Edmé-Pierre de LISLE 1815 de janvier à mars  
Comte Jean de FERA de ROUVILLE 1815 de mars à juillet  
Jean Charles Nicolas de LARMINAT 1818-1830 -  
Jean DUDOUIT 1830-1843 -  
Denis GUERIN 1843-1852 conseiller général  
Comte Héraclius de POLIGNAC 1852-1854 -  
Louis Théodore Débonnaire de GIF 1854-1858 -  
Denis GUERIN 1858-1871 conseiller général  
Jean-Alfred MEUNIER 1871-1881 conseiller général  
Alexandre Ange Charles GUENEE 1881 mars à novembre  
Isidore Jean BONNEAU 1881-1890 -  
Lucien REGNART 1890-1892 -  
Léon Charles PECLET 1892-1896 -  
Eugène THOMAS 1896-1903 -  
Charles LEFEVRE 1903-1912 conseiller général  
Léonce Camille LAPEYRE 1912-1919 -  
Narcisse BONNET 1919-1925 -  
Clément MATRY 1925-1935 -  
Jacques-Louis DUMESNIL 1935-1940 député et conseiller général  
Joseph VERDIER de SUZE 1940 intérim en juin et juillet  
Jacques-Louis DUMESNIL 1940-1944 -  
Jean GERARDIN 1944-1945 -  
Hubert PAJOT 1945-1959 conseiller général et sénateur  
Paul SÉRAMY 1959 - 02/1992 Sénateur[9]  
Paul DUBRULE 02/1992 - 2001 Cofondateur d'Accor  
Jacques NIZARD 2001 - 2005 diplomate  
Frédéric VALLETOUX 10/2005 - 2022 Démissionnaire car élu député  
Julien GONDARD juillet 2022 - (2026) Source[10] -  
- -  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
Gilles LANGLOIS 1573-1611  
Etienne MORLON 1612-1629  
Claude LETELLIER 1629-1650  
Arthur BOUCHER 1629-1653  
Jean-Baptiste LETELLIER 1650-1668  
Arthur BOUCHER 1655-1676  
Jacques LANGLOIS 1669-1691  
Guillaume TAMBOYS 1639-1669  
François RATAULT 1670-1711  
Jean PAULMIER 1680-1722  
LANGLOIX 1691-1705  
Nicolas Anne LANGLOIS 1710-1768  
Jean TRIBOU 1711-1787  
François Pierre BERCHER 1723-1748  
Henri Marie POINSINET 1734-1735  
Clément Vincent PEZARD 1747-1754  
Simon PROU 1748-1766  
Charles SOYER 1754-1765  
Jean François René HÜE 1765-1768  
Gabriel François DROÜILLERE 1765-1780  
Nicolas BENOIST 1766-1769  
Pierre Romain DROUHET 1768-1787  
Pierre Aspais OUDOT 1769-1777  
Clément Nicolas Germain BENARD 1777-1798  
Edmé Pierre LISLE 1788-1810  
Charles Emmanuel Antoine DESAIFRES 1810-1813  
Alexandre Denis LEMOINE 1810-1830  
Claude François BERNARD 1813-1821  
Auguste Pierre HURE 1821-1823  
Antoine CHAVPEYRE 1823-1833  
Louis Eugène LECUYER 1830-1843  
Laurent Hippolyte QUINTON 1831-1838  
Adolphe ADHEMAR 1838-1865  
Arthur Honoré GRAVIER 1843-1852  
Louis FAVEREAU 1859-1874  
Paul Hardouin Marie Joseph GAULTRY 1861-1895  
Jules Louis BELLANGER 1865-1893  
Arthur Ernest WEBER 1874-1908  
Louis FERRIERE 1880-1883  
René Jules BELLANGER 1893-1917  
Paul Henri Clément DUBEE 1895-1903  
Louis RIVAIN 1903-1940  
Charles Louis Léon DANRE 1908-1947  
Louis René CLEMENT 1917-1923  
Gaston Clément LEPAGE 1923-1942  
Frantz PENEL 1940-1978  
David GODEFROY 1943-1980  
Roger DANRE 1947-1978  
Jean Pasquin ALBERTINI 1969-1995  
François DANRE 1978-2004  
Jean Paul DARBONNE 1978-1982  
Eric GODEFROY 1980-2012  
Frédéric MARTEAU D'AUTRY 1981-2002  
Jean-Jacques LEMOINE 1983-1993  
Philippe BOLLET 1991-2013  
Yves CHAUMETTE 1991-2019  
Yves PEAN 1992-1998  
Xavier MAITRE 1993  
Yves LOTROUS 1995-2011  
Francine BOLLET 2002-2013  
Nathalie POTTIER 2011  
Ludovic BONELLE 2013  
Larry MORIN 2013-2016  
Carly Vivianne SCHWARTZ 2016  
Franck WINTENMEYER 2017  
Hélène Marie Emilie RAMES-LAMBARD 2017  
Yvette LENTE 2018  
Guillaume LAGÜE 2019  
Sylvain Jean-Michel GALLARD 2019  
Anaïs Charlotte CLEMENT 2019  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
Antoine DURAND 1661-1679 premier curé de la paroisse  
Denis LAUDIN 1679-1690  
Maurice FAURE 1690-1697  
DEVAQUEZ 1697-1708  
Maurice FAURE 1708-1711 2ème fois  
BENARD 1711-1718  
GIRARDIN 1718-1724  
Jean JOMART 1724-1730  
GROSLART 1730-1732  
Etienne BOURRET 1732-1745  
Lazare Joseph BUISSON 1745-1749  
François VALLITON 1749-1754  
Alexis LEROUX 1754-1756  
MACE 1756-1760  
MEYNIER 1760-1775  
CHAALON 1775-1777  
DAYE 1777-1803  
THIEBAUT 1803-1812  
Nicolas PHILIPPEAUX 1812-1825  
Claude Rosalie LIAUTARD 1825-1843  
Noël Eugène CHARPENTIER 1843-1874  
Pierre Jean-Louis DESLIENS 1874-1891  
Eugène DUMAINE 1891-1906  
Jules BOUCHET 1906-1920  
Emile BARBIER 1920-1936 chanoine  
JOURDAIN 1936-1945  
Charles FONTAINE 1945-1962  
Jean FORESTIER 1962-1967  
KROON 1967-1978  
Michel DUHAMEL 1978-1994  
André LAVOLLEE 1994-2007  
Bogdan BRZYS 2007-2014  
José ANTONINI 2014  

Monument aux morts

Morts aux Guerres

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
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Louis Clément DARC 23/12/1867
Ville-sous-le-Ferté (10)
08/01/1915
Boureuilles (55)
Fils de Claude Casimir, gardien ordinaire à Clairvaux (10), et de Louise GRANDJEAN - Marié le 17/02/1912 à Paris (75 - 15e arrondissement) avec Juliette Louise BORONI
Matricule au recrutement : 1280 Tours - Chef de bataillon au 46e R.I. - Chevalier de la Légion d’honneur
Inscrit sur les Livre d’Or, Plaque commémorative 1914-1918 et Monument aux Morts de Fontainebleau)
Son nom figure également sur l’une des Plaques commémoratives paroissiales et le Monument aux Morts de Laferté-sur-Aube (52)  
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Gaston HUET 1900 - Février 1915 mineur qui s'engagea sans l'autorisation de ses parents au 46e R.I - ✞ Tué par éclat d'obus - Il fut inhumé au cimetière de la Forestière - Ses parents travaillaient pour le comte Beneditti à Fontainebleau [11]  
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^ Sommaire

Ville de naissance ou de décès de

Naissance :

  • Laurent CHABOSY, dessinateur de bandes dessinées connu sous le nom de Lewis TRONDHEIM, né le 11 décembre 1964
  • FRANCOIS II, roi de France de 1559 jusqu'à sa mort en 1560, né le 19 janvier 1544, décédé à Orléans (Loiret) le 5 décembre 1560, fils de Henri II et Catherine de Médicis
  • François-Éric GENDRON, acteur, né le 15 mars 1954
  • HENRI III, né Alexandre-Édouard de FRANCE, roi de France de 1574 à 1589 et de Pologne de 1573 à 1575, né le 19 septembre 1551, décédé à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) le 2 août 1589, fils de Henri II et Catherine de Médicis
  • LOUIS II de BOURBON, dit le Grand CONDÉ, né à Paris le 8 septembre 1621, décédé le 11 décembre 1686
  • LOUIS XIII, roi de France, né le 27 septembre 1601, fils de Henri IV et Marie de Médicis, décédé à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) le 14 mai 1643
  • Paul VERONGE DE LA NUX, pianiste, compositeur, né le 29 juin 1853, décédé à Paris le 5 juin 1928.
  • Marcel JACQUINOT, pianiste concertiste international, né le 21 octobre 1893, décédé à Paris le 5 juillet 1974.
  • Régis PASQUIER, violoniste virtuose, né le 12 octobre 1945.
  • Pierre GOBERT, artiste peintre, portraitiste, né le 1er janvier 1662, décédé à Paris le 13 février 1744.
  • Léon GOUVENIN, architecte, inspecteur des palais nationaux, né le 15 avril 1840, décédé à Fontainebleau le 10 avril 1913.
  • Henri SAUVARD, artiste peintre paysagiste, né le 25 novembre 1880, décédé à Noiseau le23 mars 1973.
  • Patrick DEVEDJIAN, homme politique (ministre, député, conseiller général) né le 26 août 1944, décédé à Antony le 28 mars 2020.
  • Gustave PEIGNOT, maître fondeur typographe, né le 12 mai 1839, décédé à Paris le 21 juin 1899.
  • Gilbert Joseph ADAM, minéralogiste, le le 7 avril 1795, décédé à Paris le 8 juin 1881.
  • Anne-Marie BARAT, organiste concertiste, née le 20 juin 1948, décédée accidentellement à Grez-sur-Loing le 21 décembre 1990.
  • Yves ALIX, artiste peintre, graveur et écrivain, ne lé 19 août 1890, décédé à Paris le 22 avril 1969.
  • Emmanuel BOULANGER, violoncelliste, compositeur et pédagogue, né le 2 juin 1973.
  • Laure BROUARDEL, artiste peintre et aquarelliste, née le 30 mars 1852, décédé à Paris le 31 décembre 1935.
  • Simone CERDAN, actrice de théâtre et de cinéma, chanteuse, née le 28 novembre 1897, décédée à Rémalard le 12 mai 1967.
  • Julien CHAUVIN, violoniste, directeur musical, né le 11 mars 1979.
  • Edouard DAMESME, général de brigade, Saint-Cyrien, commandant de la Garde mobile, né le 23 janvier 1804, décédé à Paris le 29 juillet 1848.
  • Florent CARTON dit DANCOURT, acteur et auteur dramatique, né le 1er novembre 1661, décédé à Beaulieu-sur-Loire le 6 décembre 1725.
  • Alexis DURAND, poète et écrivain, né le 13 mars 1795, décédé à Fontainebleau le 4 novembre 1853.
  • Jean Claude GORGY, romancier et auteur dramatique, né le 19 novembre 1753, décédé à Sonchamp en 1795.
  • Guillemette LAURENS, mezzo-soprano spécialisée dans le répertoire baroque, née le 6 novembre 1957.
  • Pierre LEVASSOR, acteur, né le 25 janvier 1808, décédé à Paris le 14 janvier 1870.
  • Louis Ernest LHEUREUX, architecte, né le 13 juillet 1827, décédé à Paris le 17 décembre 1898.
  • Henriette NEGRIN, couturière et artiste en art textile, née le 4 octobre 1877, décédée à Venise en 1965.
  • Jean-François NOVELLI, ténor, flûtiste à bec, né en juillet 1970.
  • Alain PASQUIER, historien de l'art, membre de l'Institut, né le 1er août 1942.
  • Jacques Van SCUPPEN, peintre baroque autrichien d'origine flamande, né le 26 janvier 1670, décédé à Vienne le 29 janvier 1751.
  • Charles SEVIN de la PENAYE, artiste peintre, né le 16 novembre 1685, décédé à Paris le 17 mars 1740.
  • Henry-Léon BULOT, architecte, né le 18 janvier 1820, décédé à Melun le 26 juin 1889.
  • Antoine-Julien HENARD, architecte, né le 11 janvier 1812, décédé à Paris 9e le 26 septembre 1887.
  • Claude LEFEBVRE, peintre, graveur, né le 12 septembre 1632, décédé à Paris le 25 avril 1675.
  • Alexandre Henri POINSINET, auteur dramatique, né le 17 novembre 1735, décédé à Cordoue le 7 juin 1769.
  • Gabrielle LAZARD dite DARZAL, cantatrice et comédienne, née le 14 août 1879, décédée en déportation à Auschwitz le 25 mai 1944.

Décès :

  • Hubert BEUVE-MÉRY, journaliste, fondateur du journal "Le Monde", né à Paris le 5 janvier 1902, décédé le 6 août 1989
  • Georges MANDEL, homme politique, né à Chatou (Yvelines) le 5 juin 1885, décédé le 7 juillet 1944
  • Django REINHARDT, musicien de jazz, né à Liberchies (Belgique) le 23 janvier 1910, décédé le 16 mai 1953
  • Guy Le GENTIL de PAROY, marquis de Paroy, député de l'Assemblé national constituante, député des Etats généraux, né le 30 mai 1728 à Paroy, décédé à le 24 mai 1807.
  • Jules PASDELOUP, chef d'orchestre, pianiste, compositeur, fondateur des Concerts Pasdeloup, né à Paris le 15 septembre 1819, décédé le 13 août 1887.
  • Camille DECREUS, pianiste, compositeur, directeur du Conservatoire Américain, né à Paris le 23 septembre 1876, décédé le 26 septembre 1939.
  • Jean Joseph KENN, corniste, compositeur, pédagogue, né en Allemagne le 21 septembre 1757, décédé le 14 février 1840.
  • Jean Joseph MIRA dit BRUNET, acteur comique, directeur de théâtre, né à Paris le 17 novembre 1766, décédé le 21 février 1853.
  • Albert François DECOMBE dit ALBERT, danseur, chorégraphe, maître de ballet, né à Bordeaux le 11 avril 1787, décédé le 19 juillet 1865.
  • Eugénie PAILLARD dite Eugénie RIGAUT, soprano, professeur de chant au Conservatoire de Paris, née à Paris le 4 septembre 1797, décédée le 4 février 1883.
  • François Egalité RIGAUT, professeur de chant au Conservatoire de Paris, né à Soisy-sur-Seine le 13 mars 1793, décédé le 3 juin 1873.
  • Fernande BREILH-DECRUCK, compositrice, organiste, concertiste, pédagogue, née à Gaillac le 25 décembre 1896, décédée le 6 août 1954.
  • Claude FIEVET, violoncelliste, compositeur, chef d'orchestre, fondateur de l'Ecole de Musique de Fontainebleau, né à Valenciennes le 17 décembre 1865, décédé le 28 janvier 1938.
  • Paul FIEVET, pianiste, compositeur, chef d'orchestre, né à Valenciennes le 11 décembre 1892, décédé le 15 mars 1980.
  • Alexandre Gabriel DECAMPS, artiste peintre et graveur, né à Paris le 3 mars 1803, décédé le 22 août 1860.
  • Pierre Charles COMTE, artiste peintre, né à Lyon le 23 avril 1823, décédé le 30 novembre 1895.
  • Gustave DOYEN, artiste peintre académique, né à Festieux le 29 décembre 1836, décédé le 6 mars 1923.
  • Paul TAVERNIER, artiste peintre, né à Paris le 31 janvier 1852, décédé le 7 avril 1943.
  • Amédée JOYAU, artiste peintre et graveur sur bois, né à Paris le 25 mai 1872, décédé le 7 août 1913.
  • Mecislas GOLBERG, poète, dramaturge, critique d'art, journaliste, né à Plock (Pologne) le 21 octobre 1869, décédé le 28 décembre 1907.
  • Gabriel FOURNIER, artiste peintre, né à Grenoble le 26 mai 1893, décédé le 13 avril 1963.
  • Antony DAMIEN, peintre post-impressionniste, né à Paris le 28 février 1858, décédé le 17 mai 1943.
  • Jacques Joseph CHAMPOLLION (frère de Jean-François), archéologue, bibliothécaire, né à à Figeac le 5 octobre 1778, décédé le 9 mai 1867.
  • Charles Edmé SAINT-MARCEL, artiste peintre et graveur, né à Paris le 19 septembre 1819, décédé le 15 février 1890.
  • Oscar Vladislas de LUBICZ-MILOSZ, écrivain, poète, dramaturge, né à Czerea (Russie impériale) le 28 mai 1877, décédé le 3 mars 1939.
  • Philippe COMAIRAS, artiste peintre, second Prix de Rome, né à Saint-Germain en Laye en 1803, décédé le 15 février 1875.
  • Claude Léon MASCAUX, graveur, médailleur et sculpteur, né à Saint-Germain en Laye le 13 juin 1882, décédé le 8 mars 1965.
  • Abel MIGNON, graveur et peintre, né à Bordeaux le 2 décembre 1861, décédé le 30 janvier 1936.
  • Auguste-Jean-Baptiste DEFAUCONPRET de THULUS, écrivain et traducteur, né à Lille le 7 janvier 1767, décédé le 7 mars 1843.
  • Marie DIEMER, écrivain, romancière, poète, née à Epinal le 11 septembre 1877, décédée le 3 juin 1938.
  • Henri LABROUSTE, architecte, grand Prix de Rome, membre de l'Institut, né à Paris le 11 mai 1801, décédé le 24 juin 1875.
  • Isidore MENDELS, violoniste virtuose, chef d'orchestre, né à Bruxelles le 19 août 1859, décédé le 15 octobre 1927.
  • Léon Marie DUFOUR, botaniste, mycologue, né à Dol-de-Bretagne le 4 avril 1861, décédé le 13 janvier 1942.
  • Gilberte BROSSOLETTE, journaliste, sénatrice, résistante, née à Paris le 27 décembre 1905, décédée le 18 février 2004.
  • André BILLY, écrivain, membre de l'Académie Goncourt, né à Saint-Quentin le 13 décembre 1882, décédé le 11 avril 1971.
  • Alphonse VALLOT, peintre décorateur, dessinateur et archéologue, né à Melun le 22 mars 1825, décédé le 20 mars 1892.
  • Antony CHOUDENS, compositeur, éditeur de musique, né à Paris le 11 février 1849, décédé le 15 juillet 1902.
  • Paul Hippolyte CAMUS, flûtiste, compositeur, né à Paris le 23 janvier 1796, décédé le 21 mars 1870.
  • Jean Louis Quentin de RICHEBOURG, marquis de Champcenetz, gouverneur du palais des Tuileries, né à Paris le 26 mai 1723, décédé le 7 décembre 1813.
  • Pierre-Auguste BRUNET-HOUARD, peintre, co-fondateur de la Société des Amis des Arts de Fontainebleau, né à St-Maixant-L'Ecole le 7 février 1827, décédé le 10 janvier 1922.
  • Charles MOREAU-VAUTHIER, peintre, historien de l'art, écrivain, fondateur de la Société des Amis de la Forêt de Fontainebleau, né à Paris le 5 juin 1857, décédé le 3 octobre 1924.
  • André TERRASSE, pianiste concertiste, né à Chamonix le 26 octobre 1926, décédé le 13 mars 2006.

Émigration

Émigration en Algérie

Article détaillé : Fontainebleau - Émigration en Algérie

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Commentaire :

Source : http://www.annuaire-mairie.fr (mars 2013)

Associations d'histoire locale

Bibliographie

Voir aussi (sur Geneawiki)

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références

  1. L'armorial des villes et des villages de France
  2. Fiche Mérimée - Château de Fontainebleau
  3. Fiche Mérimée - Église Saint-Louis
  4. Fiche Mérimée - Chapelle Notre-Dame de Bon-Secours
  5. Fiche Mérimée - Chapelle de l'ancien hôpital
  6. Fiche Mérimée - Bâtiment de la Mission
  7. Le Sénat - Fiche - Alfred MACHEREZ
  8. Fiche Mérimée - Théâtre municipal
  9. Le Sénat - Fiche - Paul SÉRAMY
  10. Le Parisien
  11. Le Courrier Breton - 7 Février 1915