77131 - Coulommiers

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Coulommiers
Fichier:Blason Coulommiers-77131.png
Informations
Pays    France
Département    Seine-et-Marne
Métropole -
Canton   77-05   Coulommiers

  77-07   Coulommiers (Ancien canton)

Code INSEE 77131
Code postal 77120
Population 14 953 habitants (2020)
Nom des habitants Columériens, Columériennes
Superficie 1 093 hectares
Densité 1368.07 hab./km²
Altitude Mini : 66 m
Point culminant 156 m
Coordonnées
géographiques
48.8247° / 3.1068° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
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Histoire de la commune

Ses antiques remparts et son château furent reconstruits par le roi des francs Clovis ; en 1612, la duchesse Catherine de GONZAGUES y fit édifier un palais.

Avant la conquête romaine, notre modeste bourgade gauloise s'établie dans un marécage à l'abri d'une boucle du Grand Morin, entre la mairie et la bibliothèque actuelle (l'ancienne prison).
Nous ne savons que peu de choses du IIIe au Ve siècle, mais nous pouvons imaginer que la ville fut occupée comme de nombreuses autres dans la région.
Entre le XIe et le XIIe siècle, les comtes de Champagne s'installèrent à Coulommiers. Ils apportent une prospérité à la ville avec l'implantation des tanneries sur le Grand Morin ; la fondation du prieuré Sainte Foy, issu de Sainte Foy de Conques ; de la Commanderie des Templiers au Montbillard ; de l'église saint Denys et de l'Hôtel Dieu.
En 1231, Thibaut IV, dit Le Chansonnier, affranchit les habitant de Coulommiers, qui deviennent des bourgeois libres. Ils sont désormais exempts des impôts seigneuriaux (taille et corvée).

Années de guerres, de disette, de gels, de pluies torrentielles, le pays en sort ruiné, l'industrie du cuir périclite, les moulins seront détruits ou endommagés.
Le XVe siècle est celui de la reconstruction, vite troublée au XVIe siècle par les guerres de Religion.
Le 7 août 1429, au retour du sacre de "Charles VII" à Reims, "Jeanne d'Arc" et ce dernier firent halte à Coulommiers. Coulommiers et ses environs durent s'acquitter d'un lourd tribut pour sa fidélité au roi. En effet, la Ville fut reprise par les anglais en juin 1430. Ces derniers se vengèrent de cet affront en coupant les oreilles de certains habitants. Aujourd'hui, une rue porte toujours le nom de « rue des coupes oreilles ». L'ordre se rétablit sous Henri IV.

Héraldique

  • D'azur au colombier rond d'or maçonnée de sable, sommé d'une lanterne couverte en boule d'argent et girouettée d'or, le dit colombier accosté de deux serpents aussi d'or langués de gueules, affrontés et entrelacés par la queue en pointe, la lanterne adextrée en chef de quatre colombes d'argent dont deux sortent et deux rentrent, et senestrée de quatre colombes aussi d'argent, dont trois rentrent et une sort.

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Seine-et-Marne
  • Arrondissement - 1801-1926 : Coulommiers --> 1926-2024 : Meaux
  • Canton - 1801-2024 : Coulommiers
  • Commune - 1801-2024 : Coulommiers

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine bâti

Commanderie des Templiers

La commanderie des Templiers, construite au XIIe siècle, constitue l'ensemble templier le mieux conservé d'Île-de-France.
Les bâtiments actuels remaniés au cours des siècles s'agencent autour d'une grande cour rectangulaire où trouve place la Grange aux Dîmes, la tourelle du pigeonnier, le logis du Commandeur, la chapelle templière dédiée à sainte Anne dotée d'une voûte d'ogive et décorée de peintures murales du XVIIIe siècle.

Église des Capucins

L'église des Capucins, "Notre Dame des Anges", construite en même temps que le château, abrite aujourd'hui le musée municipal.
Comportant une nef et une chapelle, la partie la plus remarquable en est une « grotte » à l'emplacement du chœur dont les parois se composent de niches décorées de hauts-reliefs recouverts de coquillages, surmontées de sculptures en ronde-brosse représentant des saints, et d'une fresque de la Sainte Trinité au plafond.

Église Saint-Denys-Sainte-Foy

L'église Saint-Denys-Sainte-Foy, de style néo-roman, est située au départ de l'avenue de Rebais. Construite d'après les plans de l'architecte Ernest Brunet, elle fut consacrée par l'évêque de Meaux le 16 juillet 1911. Sa construction fut décidée par la municipalité afin de remplacer l'ancienne église Saint-Denys, un édifice roman datant du XIIe siècle qui, mal entretenu, menaçait de s'effondrer : devenue dangereuse, cette dernière fut d'ailleurs démolie en 1968. La nouvelle église est construite sur un plan en forme de croix latine, comprenant une nef d'une longueur de 47,30 mètres pour une largeur de 10 mètres entre les colonnes du vaisseau principal, lequel est bordé de collatéraux. De larges baies en plein cintre sont ornées de vitraux, compositions modernes dans lesquelles sont insérés des fragments des vitraux de l'ancienne église Saint-Denys. Une tour-lanterne couvre la croisée du transept : sa hauteur s'élève à 22 mètres. La façade de l'église est dominée par un clocher trapu surmonté par une flèche octogonale en pierre. La croix qui se trouve à son sommet atteint la hauteur de 50 mètres. Le clocher abrite un bourdon de 1 500 kilos baptisé « Louise-Élizabeth » : celui-ci fut transféré de l'ancienne église Saint-Denys en 1911.
A la tribune un orgue du XVIIe siècle, restauré en 1716, déplacé de l'ancienne église en 1913 par la manufacture Alexandre, restauré et modifié en 1989.

Parc des Capucins

Le parc des Capucins, l'un des plus beaux parcs fleuris d'Île-de-France, abrite les vestiges du château de la duchesse de LONGUEVILLE, princesse de CLEVES.
De ce château, considéré alors comme l'un des plus somptueux de la région, les pavillons des gardes, premières œuvres du célèbre architecte François MANSART, sont les seules pièces intégralement conservées.
En 2007, ils ont fait l'objet d'une opération de rénovation et peuvent ainsi continuer d'accueillir fièrement les visiteurs sur l'Ile des Capucins pour de longues années.

Théâtre municipal

Le théâtre municipal, achevé en 1905, a vu son intérieur entièrement rénové en 2007.
Théâtre à l'italienne qui a vu Louis de FUNÈS faire ses premiers pas sur une scène, sa machinerie a conservé son état d'origine et lui a permis d'être inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1994[1]. Il s'agit de l'un des seuls théâtres à l'italienne conservés en son état d'origine en Île-de-France (avec celui de Fontainebleau).

Bibliothèque municipale

La bibliothèque municipale, aménagée dans une ancienne prison du XIXe siècle, a reçu le prix des Rubans du Patrimoine en 2004.
Imaginez une prison de 28 mètres de long sur 15 de large et 16 de haut entourée d'un mur d'enceinte de 4,5 mètres de haut. Imaginez ce bâtiment en 1850, date de sa construction, situé en plein centre ville, sur île délimitée par le Brasset des religieuses et le Grand Morin. Imaginez cette même prison 158 ans plus tard, ouvrant ses portes au public, le laissant déambuler dans ces murs et lire paisiblement près d'une fenêtre.
Voilà le défi architectural qui a été lancé à tous ceux qui ont participé à cette transformation. Il a fallu près de deux ans pour réaliser ce projet. Deux ans pour donner une nouvelle vie à ce lieu chargé d'histoire. Le défi a été relevé et le résultat est à la hauteur de toutes les attentes. Loin de dénaturer le bâtiment, cette nouvelle fonction en fait rejaillir toute la beauté à travers les yeux des visiteurs.
Il s'agit bien ici de faire vivre le patrimoine, en faisant du public le témoin et le gardien de sa mémoire.

Repères géographiques

Commune de Seine-et-Marne, en Île-de-France, Coulommiers est traversée par le Grand Morin. Située au cœur du plateau de la Brie et non loin du parc naturel régional du Gâtinais français.
Coulommiers à l'origine modeste village sur une île du Grand Morin, s'est développée sur les rives marécageuses de la rivière, puis a envahi le fond de la vallée et couvre actuellement jusqu'aux collines environnantes. Située à une heure de Paris, bordée de verdure, de champs et de bois, Coulommiers est la principale ville de la vallée du Grand Morin.


Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 3 600 3 167 3 413 3 467 3 335 3 573 3 658 4 070 4 257 4 218
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 4 628 4 445 4 334 5 240 5 520 6 218 6 258 6 323 6 505 6 891
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 7 224 6 129 6 411 6 679 7 510 7 660 8 561 9 502 11 263 11 493
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 11 886 13 087 13 852 13 836 14 622 14 947 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.

En photos

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Martiall CORDIER  1790 - 1790  
Louis LEROY dit Dix Août 1790 - 1792  
Georges Philippe Henri THOMÉ  1793 - 1795  
P.E. de GODDES de VARENNES  1805 - 1815 Marquis.  
Simon-Victor BARBIER  1815 - 1815  
François-Maximilien PERRIN  1815 - 1826 Né à Coulommiers, décédé en 1860.  
Jean-Louis-André PARNOT  1826 - 1830  
A. GODDES de VARENNES  1830 - 1832 Marquis.  
Pierre-André DEGAS  1832 - 1835  
A. de GODDES de VARENNES  1835 - 1839 Marquis.  
A.E.F.M. OGIER de BAULNY  1840 - 1844  
Pierre-André DEGAS  1844 - 1846  
Basile-Célestin DELAMARE  1851 - 1852  
François SORELLE  1852 - 1864  
Alexandre Ludovic de MAUSSION  1864 - 1874  
Armand-Isidore MIE  1875 - 1892  
Léon CLAVÉ-BERTRAND  1892 - 1896  
Frédéric, Paul, Auguste BRODARD 1896 - 1908 Vu sur actes.  
Etienne-Léon DELSOL  1908 - 1911  
Paul-René BRODARD  1911 -  
Etienne DELSOL  1912 - 1919  
Ernest DESSAINT  1919 - 1925  
Pierre MORTIER  1925 - 1941  
Gaston BERTIER  1941 - 1944  
René ARBELTIER  1944 - 1947  
Gaston BERTIER  1947 - 1955  
Pierre MAGNON 1955 - 1959  
Daniel TOURNEUR 1959 - 1971  
Bertrand FLORNOY 1971 - 1977 Né à Paris, décédé le 25/04/1980 à Paris. Ethnologue, archéologue, explorateur.  
André GAILLING 1977 - 1980 Principal de collège (1977).  
Paul LETORT 1980 - 1983  
Robert ELVERT 1983 - 1992  
Guy DRUT 07/1992 - 2008 Champion olympique aux jeux d'été de Montréal en 1976. Conseiller général (1983-1985), ministre des sports (1995-1997), député (1986-1995 et 1997-2007), conseiller régional (1992-1998)[2].  
Franck RIESTER 2008 - 2017 Né à Paris. Député (2007-2018).  
Ginette MOTOT 2017 - 2020  
Laurence PICARD 2020 - (2026) Née le 06/11/1954. Conseillère départementale du canton de Coulommiers (2015-).  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  
S.C.P. DOZINEL et PIADÉ XXIe siècle  
Xavier LATRILLE XXIe siècle  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- 2008 devient Pôle missionnaire de Coulommiers regroupant plus de 40 paroisses  

Monument aux morts

Morts des guerres 1870-1871 / 1914-1918 / 1939-1945

Consulter la liste

Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

  • Antoine-Alexandre BARBIER, né le 11 janvier 1765, décédé le 12 mai 1825 à Paris, bibliothécaire, bibliographe.
  • Fernand de BAULNY, né le 17 janvier 1839, décédé le 7 octobre 1870 à Coulommiers, entomologiste.
  • Nicolas (-Joseph) BEAUREPAIRE, né le 7 janvier 1740, décédé le 2 septembre 1792 à Verdun, colonel, héros de la Révolution française dont le nom est gravé, parmi ceux des 558 officiers, sous l'Arc de Triomphe de l'Étoile. Sa statue à Coulommiers a disparu lors la Seconde Guerre mondiale.
  • Philippe BOUVARD, humoriste et animateur de télévision français, né à le 6 décembre 1929.
  • François CAHEN, dit « Faton Cahen », pianiste français de jazz, est né le 24 juillet 1944, décédé le 13 juillet 2011 à Ivry-sur-Seine.
  • Pierre-Marie-François HUVIER des FONTENELLES, homme de lettres, royaliste convaincu, né le 21 janvier 1757, décédé le 22 octobre 1823 à Coulommiers, dont il fut maire et dernier bailli.
  • Pierre Nicolas LEROY de MONTFLAUBERT, dit « Dix Août », né le 21 mars 1743, décédé guillotiné le 7 mai 1795 à Paris. Maire de Coulommiers sous la Révolution, petit noble rallié aux Jacobins, juré au tribunal révolutionnaire à Paris, entre autres pour le procès de Danton.
  • Noël PICARD, surnommé « Dubois », né à Coulommiers, condamné comme magicien le 25 juin 1637. Il avait été présenté par le Père Joseph au cardinal de Richelieu en qualité d'alchimiste. Plusieurs fois il avait opéré et fait de l'or devant Louis XIII et sa cour. Le roi, dans son premier enthousiasme, l'avait nommé chevalier et président des trésoreries de France. La supercherie ne tarda pas à être découverte : Noël était un voleur débauché ; Richelieu préféra le faire passer pour sorcier.
  • André Rene ROUSSIMOFF, dit André The Giant, né en 1946, décédé en 1993, ancien catcheur de la World Wrestling Federation.
  • Marc RUCART, né le 24 juillet 1893, décédé le 23 février 1964 à Paris, avocat et homme politique, fit carrière dans les Vosges, député radical-socialiste de 1928 à 1940, sénateur Gauche démocratique de 1947 à 1958, garde des sceaux dans le gouvernement du Front populaire en 1936, il s'opposa au bagne.
  • Yvette TROISPOUX, née le 1er juin 1914, décédée le 11 septembre 2007 à Paris, photographe.


Personnalités liées à la commune

  • René ARBELTIER, né le 23 janvier 1897 à Laon, décédé le 10 septembre 1979 à Bayonne, médecin, député (1936-1958) socialiste SFIO puis PSU, résistant, maire à la Libération, auteur de la loi créant les médecins hospitaliers à temps plein.
  • Jacques d'ARMAGNAC, né en 1433, décédé décapité le 4 août 1477 à Paris, comte.
  • Luc BESSON, réalisateur, producteur et scénariste français né le 18 mars 1959 à Paris, ancien élève au lycée Jules Ferry.
  • François BRÉDA, né le 20 février 1956 à Deva (Roumanie), décédé le 16 mai 2018 à Cluj (Roumanie), écrivain roumain francophone, essayiste et poète d'expression hongroise, maître de conférences à l'Université Babeş-Bolyai de Cluj-Napoca. En 1987, il était professeur de langue et de littérature françaises au CFA de la commune.
  • Henri II, comte de Champagne, né le 29 juillet 1166, décédé le 10 septembre 1197 à Acre (Israël) en Terre sainte.
  • André DHÔTEL, né le 1er septembre 1900 à Attigny (08), décédé le 22 juillet 1991 à Paris, écrivain, fut professeur au lycée Jules Ferry.
  • Guy DRUT, né le 6 décembre 1950 à Oignies (62), athlète, champion olympique du 110 mètres haies, député RPR puis UMP (1988-2007), maire de Coulommiers (1992-2008), ministre des sports.
  • Alain ETCHEGOYEN, né le 16 novembre 1951 à Lille, décédé le 9 avril 2007 au Mans, normalien, écrivain et philosophe fut professeur au lycée Jules Ferry.
  • Bertrand FLORNOY, né le 27 mars 1910 à Paris, décédé le 25 avril 1980 à Paris, maire de Coulommiers (1971-1977), député (1962-1978). Explorateur ayant effectué de nombreuses recherches dans les sources de l'Amazone et publications sur le peuple Inca, président de la Société des explorateurs français.
  • Noël FORGEARD, homme d'affaires et industriel français né le 8 décembre 1946 à La Ferté-Gaucher, ancien président d'Airbus, ancien coprésident exécutif d'EADS, a effectué une partie de sa scolarité au lycée Jules Ferry.
  • Louis de FUNÈS, né le 31 juillet 1914 à Courbevoie, décédé le 27 janvier 1983 à Nantes, a passé une partie de sa scolarité au collège Jules Ferry.
  • Madame de La FAYETTE, née le 18 mars 1634 à Paris, décédée le 25 mai 1693 à Paris, romancière française, y campe son roman, La Princesse de Clèves.
  • Le poète Jean de La FONTAINE y passait ses vacances chez sa grand-mère au château de Montanglaust.
  • Vincent HERMANCE, né le 1er août 1984 à Meaux, champion du monde de VTT Trial, et vit actuellement à Coulommiers.
  • Pierre MORTIER, né le 9 janvier 1882 à Paris, décédé le 29 août 1946 à Paris, écrivain, auteur de théâtre, directeur de revues littéraires (Gil Blas), propriétaire du château de Montanglaust, maire de 1924 à 1941, député (1932-1936), résistant, à l'origine dans sa ville de la première opération d'habitat social issue de la loi sur les H.B.M. (habitations à bon marché) devenue la Cité Pierre Mortier.
  • Philippe PICHON, né le 17 septembre 1969 à Nogent-sur-Marne, écrivain, qui fut le plus jeune officier de paix français, fut affecté de septembre 2005 à juin 2008 en qualité de commandant de police et siégea comme chef de service adjoint au commissariat de police de Coulommiers. Figure locale pendant les élections présidentielles de 2007, il s'est notamment fait connaître d'un très large public en publiant Journal d'un flic (Flammarion, 2007) et vit actuellement à Coulommiers.
  • Robert RIDEAU, inspecteur des écoles primaires qui avait été en poste à Coulommiers et auteur de manuels pour ces écoles. Résistant, il avait été sanctionné comme communiste sous l'occupation. L'école primaire Robert Rideau, actuellement fusionnée avec l'école maternelle Jehan de Brie, portait son nom.
  • Franck RIESTER (1974- ), chef d'entreprise et homme politique membre de l'UMP, maire de Coulommiers (2008- ) et député (2007- ).
  • Régis VALLÉE, né en 1980, comédien et ancien élève du lycée Jules Ferry de Coulommiers.
  • Herbert Ie, comte de Vermandois, né vers 850, décédé en 907.

Morts à la Révolution française

Prénom(s) NOM Naissance-Décès Grade Métier Domicile Commentaires
Charles Jean Louis IGONNET °ca 1734 - 12 pluviôse an II Contre révolutionnaire Frippier Coulommiers Condamné à mort par le tribunal révolutionnaire séant à Paris
- - - - -


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h * -
Après-midi 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 - -

Mairie
Adresse : 13 rue du Général de Gaulle - 77120 COULOMMIERS

Tél : 01 64 75 80 00 - Fax : 01 64 65 00 96

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire : * Accueil ouvert le samedi matin uniquement pour l'état civil.

Source : L'annuaire Service Public (Avril 2021)

Associations d'histoire locale

  • Association des Amis de l'Orgue de Saint-Denys

Archives & dépouillements des registres paroissiaux

Bibliographie

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références