76259 - Fécamp
Fécamp | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 76259 |
Code postal | 76400 |
Population | 18 251 habitants (2018) |
Nom des habitants | Fécampois, Fécampoises |
Superficie | 1 507 hectares |
Densité | 1211.08 hab./km² |
Altitude | Mini: 0 m |
Point culminant | 125 m |
Coordonnées géographiques |
49.7076° / 0.8185° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- 1594 : un ligueur du nom de Bois-Rosé, l'enleva par surprise aux royalistes
Héraldique
De sinople aux trois tentes d’argent ouvertes du champ, celle de la pointe plus haute, au chef cousu d’azur chargé d’un faucon essorant, tenant dans ses serres une corne d’abondance, d’où s’échappent des graines brochant sur le champ, le tout d’argent.[1]
Toponymie
Le toponyme actuel est un dérivé du nom latin Fiscanumm. Sa racine d'origine germanique Fisk signifie "poisson".
Histoire administrative
- Département - 1801-1955 : Seine-Inférieure --> 1955-2025 : Seine-Maritime
- Arrondissement - 1801-2025 : Le Havre
- Canton - 1801-2025 : Fécamp
- Commune - 1801-2025 : Fécamp
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Ruines du château ducal

Les vestiges de ce château correspondent à un ancien castellum féodal construit sur une motte au Xe siècle. Des fouilles ont permis d'attester une construction en deux étapes : d'abord en bois avec palissade, puis une en pierre s'épaulant sur les premières fortifications de la ville.
Le château faisait partie du grand domaine abbatial. Il a servi de résidence aux ducs de Normandie. À commencer, peut-être, par Guillaume Ier (✞ en 942)[2], sinon, de façon certaine, à son fils Richard Ier (930-996)[3] et son petit-fils Richard II (963-1026)[4].
Du temps du septième duc de Normandie, Guillaume le Conquérant (1027-1087)[5], le château est plus ou moins délaissé, la cour ducale préférant s'installer à Caen.
Si le château était flanqué d'une tour en bois au XIe siècle, une deuxième en pierre, de section carrée, est rajoutée au siècle suivant et devient donjon. Le château s'est ensuite détérioré au fil du temps.
Les vestiges de l'édifice sont classés au titre des Monuments historiques[6].
Abbaye de la Sainte-Trinité

Historique
- Il s'agit d'une abbaye bénédictine, construite à l'époque au sein même de l'ancien château des Ducs de Normandie.
- Son sanctuaire primitif daterait du VIIe siècle, aux alentours de l'an 658, pour y abriter la relique du Précieux Sang. Le noble et religieux Waneng de Fécamp (600-686) prend l'initiative de fonder un monastère de moniales bénédictines. La motivation est telle que la première abbatiale est dédicacée en 665 et devient un lieu de pèlerinage à cause de sa relique.
- Au IXe siècle, ont lieu les premières incursions "vikings". L'édifice est pillé et dévasté ; les sœurs bénédictines parviennent cependant à transférer les reliques à Ham (Somme).
- Sous l'impulsion de Guillaume Ier, le monastère est reconstruit près du château. Et en 990, son fils Richard Ier y fait installer une douzaine de bénédictins issus de l'abbaye Sainte-Bénigne de Dijon. Sous le règne de Richard II, cette collégiale est transformée en abbaye, avec à sa tête Guillaume de VOLPIANO (962-1031), abbé qui va créer deux écoles et transformer Fécamp en centre de réforme monastique. Mais il ne restera rien de cette abbatiale.
- En effet, quand Guillaume le Conquérant installe sa cour à Fécamp, il confie la reconstruction de l'église au troisième abbé, Guillaume de ROTS (✞ en 1107). L'ancien chœur est complètement remanié pour être agrandi, il est entouré d'un déambulatoire, et la nef prend de l'ampleur. Mais l'édifice est victime en 1168 d'un grand incendie qui n'épargne que le chœur.
- Une nouvelle abbatiale est alors mise en chantier, sous l'impulsion de l'abbé Henri de SULLY (✞ en 1187) et de Raoul d'ARGENCES. La construction se termine au XIIIe siècle. Des remaniements ont lieu deux siècles plus tard.
- En 1649, un concordat est établi entre l'abbaye de Fécamp et la Congrégation de Saint-Maur. Cela va permettre un redressement sur le plan intellectuel et religieux, le développement considérable de la bibliothèque, et une période riche en réparations voire reconstructions.
- À la Révolution, les religieux sont expulsés et l'abbatiale, d'abord rétrogradée au rang de simple église, est ensuite transformée en temple de la raison. Elle est rendue au culte en 1890.
- L'abbaye de Fécamp est classée aux Monuments historiques dès 1840[7] et des restaurations commencent.
Architecture
- L'édifice long de « 127 m »[8] est étayé de forts contreforts et d'arcs-boutants. La façade occidentale est de facture classique ; les grandes statues encadrant le portail sont celles de Richard Ier et Richard II (et sont dûes au sculpteur F. DEVAUX). Le clocher haut de 65 mètres comporte encore des éléments du XIIIe siècle et est surmonté d'une tour-lanterne.
- De style gothique primitif, la nef de dix travées s'élève sur trois niveaux (arcades brisées, tribune et fenêtres hautes). À 40 m de hauteur, la croisée du transept comporte un puits de lumière grâce à la tour-lanterne.
- Le chœur à pans coupés est entouré d'un déambulatoire ouvrant sur des chapelles latérales dont une au nord comporte encore des éléments de l'époque romane. La chapelle axiale datant du XVe siècle est dédiée à la Vierge Marie. La chapelle du Sacré-Cœur abrite la sépulture de l'abbé VOLPIANO. Toutes ces chapelles ont été fermées au XVIe siècle par des clôtures de différentes natures. Celle en pierre taillée et sculptée de la chapelle Sainte-Madeleine, datée de 1517, est classée au titre d'objet historique depuis 1840[9].
- Le maître-autel de style Renaissance est précédé d'un autre autel avec grand baldaquin doré.
- Parmi le mobilier de l'abbatiale se distinguent de précieux éléments :
- - Une Dormition de la Vierge dans le bras sud du transept. Ce groupe sculpté dans la pierre et peint est l'œuvre de Guido MAZZONI à la fin du XVe siècle. Il est classé depuis 1840 au titre d'objet historique[10].
- - Sur les piliers encadrant le chœur figurent deux groupes de personnages « provenant de l'ancien jubé »[11].
- - Dans le bras nord du transept, une horloge astronomique de 1667 donne, entres autres indications, les horaires des marées et les phases de la lune.
- - L'orgue de tribune d'origine a été réalisé pour l'abbaye de Montivilliers, en 1746, puis installé ici au tout début du XIXe siècle. Il a été entièrement remanié par CAVAILLÉ-COLL en 1883 et classé en tant qu'objet historique en 1980[12].
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Autre angle de vue Photo P. Hodierne -
Nef de l'abbatiale Photo P. Hodierne -
Vitrail Photo P. Hodierne -
Dormition de la Vierge, XVe, classée Photo P. Hodierne -
Orgue de tribune, classé -
Chaire en bois sculpté -
Abside et maître-autel -
Puits de lumière de la croisée du transept -
Baldaquin Renaissance -
Chapelle de la Vierge -
Autel de la Vierge dans la chapelle éponyme -
Horloge astronomique -
Clôture en pierre de la chapelle Sainte-Madeleine, classée -
Groupe de personnages sur grand pilier du chœur
Église Saint-Étienne
Cette église de marins domine le port.
L'édifice est déjà mentionné dans une charte du début du XIe siècle.
Un abbé de Fécamp, Antoine BOHIER, est à l'initiative de sa reconstruction au tout début du XVIe siècle. Le portail est un vestige de cette époque. Mais l'église est victime d'un incendie en 1563.
Au XIXe siècle, des réfections ont lieu dans la croisée du transept et la tour, ainsi que dans le chœur où sont appliquées en hauteur « six grandes toiles marouflées »[13] du peintre Jean-Paul LAURENS.
En 1921, l'église est classée aux Monuments historiques[14].
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Façade latérale sud avec portail -
Chevet -
Nef -
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Chœur et abside -
Orgue
Palais Bénédictine

- Il ne s'agit pas là d'une résidence de prince, de roi ou de tsar, mais du palais d'un industriel, plus exactement du négociant en vins Alexandre Prosper Hubert Le GRAND[15], devenu mondialement célèbre en mettant au point et commercialisant la liqueur Bénédictine ®, sur laquelle est apposée la devise « DOM »[16].
- C'est l'architecte Camille ALBERT qui dessine les plans du palais, mélangeant divers styles d'architecture en les poussant parfois à l'extrême. El la construction de l'édifice est confiée au constructeur Ernest BARON dans le dernier quart du XIXe siècle. L'inauguration a lieu en 1888. Victime d'un incendie quatre ans plus tard, le palais est reconstruit dans sa forme actuelle.
- Alexandre Le GRAND étant un grand amateur d'art, il a souhaité composer un lieu à la fois artistique et industriel. Si bien que le palais, devenu musée, abrite différents éléments :
- - la salle des plantes, dans une verrière, présentant les ingrédients composant la célèbre liqueur,
- - la distillerie, encore en activité, qui se prolonge par un bar à cocktails,
- - les caves accueillant les fûts où vieillissent les alcoolats,
- - la salle des abbés, de style gothique avec beaux vitraux et charpente en carène inversée,
- - une bibliothèque avec des ouvrages provenant de l'abbaye, tels des livres d'heures,
- - une collection d'objets d'art (ors, argents, albâtres ou ivoires),
- - une collection de lampes à huile,
- - une section peinture avec des toiles du XIVe au XVIIIe siècles,
- - une salle retraçant l'historique de la création de la liqueur.
Musée des pêcheries
- Cet édifice en plein cœur du port, entre deux bassins, était d'abord une sècherie de morue. L'armement des "Pêcheries de Fécamp" avait en effet commandé à l'architecte A. HAMAYON un bâtiment pour y sécher le poisson, bâtiment terminé en 1950 et appelé "La morue normande". Par la suite une activité de saurisserie s'y rajouta et perdura jusqu'à la fin du XXe siècle.
- En 2003 est lancé un projet de réhabilitation de l'édifice en vue d'en faire un musée central, qui est terminé et inauguré en 2017. Plusieurs niveaux sont exploités : un entresol, quatre étages et un belvédère permettant une vue panoramique sur la ville, la plage et la mer.
- Le musée regroupe toutes les collections municipales. Parmi elles, deux revêtent un intérêt particulier :
- - la collection de l'ancien musée des Terre-Neuvas[17] retraçant l'aventure de ces téméraires pêcheurs fécampois, et rappelant que Fécamp était la « capitale des terre-neuvas français »[18].
- - la collection sur l'enfance, rassemblée au fil du temps par le médecin fécampois Louis DUFOUR (1856-1928)[19].
Chapelle Notre-Dame du Salut
Située tout en haut du cap Fagnet, sur la falaise amont, cette chapelle a été construite au XIe siècle.
Elle était dédiée aux marins et abrite une grande collection d'ex-votos.
Repères géographiques


Fécamp est une petite ville portuaire située sur la Côte d'Albâtre, entre Étretat et Varengeville-sur-Mer.
Port réputé au XVIe siècle pour sa pêche à la morue sur l'île de Terre-Neuve, son activité portuaire diminue et s'oriente désormais vers la plaisance.
Cependant le port conserve cinq bassins dont un à sec, « premier de ce genre en haute-Normandie »[20].
Sa longue plage entre les deux falaises, et son casino constituent un atout de choix pour le tourisme.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 6 570 | 7 000 | 7 937 | 7 846 | 9 123 | 9 452 | 9 418 | 10 088 | 11 401 | 11 597 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 12 110 | 12 832 | 12 899 | 12 684 | 12 299 | 13 247 | 13 577 | 14 656 | 15 381 | 16 737 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 17 383 | 17 165 | 17 184 | 17 263 | 17 708 | 16 876 | 18 201 | 19 491 | 21 406 | 21 910 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 21 436 | 20 808 | 21 027 | 19 424 | 19 264 | 18 900 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018..
En photos
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La plage de Fécamp - Albert Marquet - 1906 - Musée national d'art Moderne - Centre Pompidou
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Maison art nouveau -
Phare de la jetée
Ville de naissance ou de décès de
- Pierre CARRON, peintre sculpteur né le 16 décembre 1932
- Étienne CHICOT, acteur né le 9 mai 1949
- Alexandre Prosper Hubert Le GRAND, né ici le 6 juin 1830 et décédé à Neuilly-sur-Seine le 20 mai 1898. Négociant en vins, il invente la liqueur Bénédictine ® et en retrace l'historique dans le musée de son palais à Fécamp (voir section patrimoine)
Décès:
- Jean-Jacques SCHREIBER (Jean-Jacques SERVAN-SCHREIBER), dit aussi JJSS, journaliste et homme politique, né à Paris le 13 février 1924, décédé le 7 décembre 2006
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Thomas FIQUET | 1730 - 1735 | - |
Charles Michel MAUCONDUIT | 1735 - 1736 | - |
François RENAUDEAU | 1736 - 1738 | - |
Jacques Marin GRUCHET | 1738 - 1766 | - |
DUPLESSIS | 1770 - 1776 | - |
Nicolas Michel MASSIF | 1776 - 1780 | - |
Bernard CLERY | 1780 - 1790 | - |
Joseph DESPORTES | 1790 - 1791 | - |
Pierre Adrien BERIGNY | 1791 - 1791 | - |
Jean GUILLAUME | 1791 - 1792 | - |
Vincent FOURAY | 1792 - 1794 | - |
Jean GUILLAUME | 1794 - 1796 | - |
Vincent FOURAY | 1796 - 1798 | - |
Louis LOYER | 1798 - 1800 | - |
Joseph DESPORTES | 1800 - 1816 | - |
Charles LEMETAYER | 1816 - 1821 | - |
Jean-Louis LE CLERC | 1821 - 1848 | - |
Théogène BOUFART | 1848 - 1848 | - |
Jacques HUET | 1848 - 1850 | - |
Eugène REGIMBART | 1850 - 1853 | - |
Hippolyte GELÉE | 1853 - 1861 | - |
Jacques HUET | 1861 - 1867 | - |
Auguste CORNEILLE | 1867 - 1870 | - |
Alexandre LEGROS | 1870 - 1874 | Banquier |
Alfred DUBOIS | 1874 - 1878 | - |
Alexandre LEGROS | 1878 - 1882 | Banquier |
Alfred DUBOIS | 1882 - 1884 | - |
Augustin LEBORGNE | 1884 - 1900 | - |
Robert DUGLE | 1900 - 1919 | - |
Léon MARTOT | 1919 - 1922 | - |
Léopold SOUBLIN | 1922 - 1925 | - |
Louis CARON | 1925 - 1929 | - |
Gustave COUTURIER | 1929 - 1959 | - |
Jacques WINSBACK | 1959 - 1960 | Pharmacien |
Maurice SADORGE | 1960 - 1965 | - |
Richard PRANZO | 1965 - 1977 | Médecin |
Jean-Pierre DENEUVE | 1977 - 1989 | - |
Frédérique BREDIN | 1989 - 1995 | - |
Jean-Claude MICHEL | 1995 - 1998 | Architecte |
Patrick JEANNE | 1998 - 2014 | Instituteur spécialisé en retraite |
Marie-Agnès POUSSIER-WINSBACK | 2014 - (2026) | Professeur d'économie. Conseillère régionale de Normandie |
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(Liste transmise par Patrice HODIERNE)
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1853-1902)
- Naufrage du Yvonne Odette de Fécamp 1917 (1917-1917)
- Mariages (1802-1852)
- Mariages (1903-1932)
Documents numérisés
- Listes électorales de Fécamp (1807-1884)
- École Germaine Coty, anciennement école du Port, à Fécamp - Registres matricules (1889-1929)
- Liste électorale de Fécamp (1903-1903)
- Liste électorale (1913-1913)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 08h00-12h00 | 08h00-12h15 | 08h00-12h15 | 08h00-12h00 | 8h00-12h15 | - | - |
Après-midi | 13h30-17h30 | 13h30-17h30 | 13h30-17h30 | 13h30-19h30 | 13h30-17h30 | - | - |
![]() Mairie |
Adresse : 1 Place du Général Leclerc - 76400 FÉCAMP
Tél : 02 35 10 60 00 - Fax : Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Mairie & L'Annuaire Service-Public (Janvier 2022) |
Archives et Dépouillements des registres paroissiaux
Archives Municipales
Tel : 02 35 10 60 72
Actes d'état civil récent (moins de 100 ans)
https://www.acte-etat-civil.fr/DemandeActe/Accueil.do
Archives notariales
Remarques
Bibliographie
- Encyclopédie militaire et maritime: Dictionnaire des armées de mer - Louis Pierre François Adolphe Chesnel de la Charbouclais (marquis de) - 1865 - Google Book
- Guide Vert Normandie, vallée de Seine, Paris, Michelin Editions, 2020, ISBN 978-2-06-725090-1
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Deuxième duc de Normandie, appelé aussi Guillaume Longue-Épée, il a régné de 932 à 942.
- ↑ Surnommé Richard Sans-Peur, il est le fils de Guillaume Ier et a régné de 943 à 996.
- ↑ Fils de Richard Ier, et appelé Richard l'Irascible ou Richard Le Bon, il a régné de 996 à 1026.
- ↑ Appelé aussi Guillaume le Bâtard, il a été duc de Normandie sous le nom de Guillaume II de 1035 à 1087 et roi d'Angleterre sous le nom de Guillaume Ier de 1066 à 1087
- ↑ Base Mérimée, ruines du château ducal
- ↑ Base Mérimée, église abbatiale de la Trinité
- ↑ Guide Vert Normandie, vallée de Seine, Paris, Michelin Editions, 2020, ISBN 978-2-06-725090-1
- ↑ Base Palissy, abbatiale, clôture de chapelle
- ↑ Base Palissy, abbatiale, Dormition de la Vierge
- ↑ Guide Vert Normandie, vallée de Seine, Paris, Michelin Editions, 2020, ISBN 978-2-06-725090-1
- ↑ Base Palissy, abbatiale, orgue de tribune
- ↑ Guide Vert Normandie, vallée de Seine, Paris, Michelin Editions, 2020, ISBN 978-2-06-725090-1
- ↑ Base Mérimée, église Saint-Étienne
- ↑ Né en 1830 à Fécamp, décédé en 1898. Il invente la Bénédictine en 1863, à partir d'un mélange de plantes locales et d'épices. Il réussira à garder sa recette secrète malgré toutes les tentatives ultérieures de contrefaçons.
- ↑ Deo Optimo Maximo : devise de l'Ordre Bénédictin signifiant « à Dieu, très grand, très bon ».
- ↑ Marins fécampois qui ne pêchaient pas dans la Manche, mais rejoignaient l'île de Terre-Neuve à leurs risques et périls. Ils s'installaient là-bas dans des cabanes de fortune pour toute la saison de la pêche avant de revenir au pays.
- ↑ Guide Vert Normandie, vallée de Seine, Paris, Michelin Editions, 2020, ISBN 978-2-06-725090-1
- ↑ Il fut un des pionniers de la puériculture, et a fondé La Goutte de lait, en faveur des enfants défavorisés.
- ↑ Guide Vert Normandie, vallée de Seine, Paris, Michelin Editions, 2020, ISBN 978-2-06-725090-1
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