76192 - Criel-sur-Mer

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Criel-sur-Mer
Blason Criel-sur-Mer-76192.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 76 - Blason - Seine-Maritime.png    Seine-Maritime
Métropole
Canton Blason Eu-76255.png   76-10   Eu

Blason Eu-76255.png   76-19   Eu (Ancien canton)

Code INSEE 76192
Code postal 76910
Population 2 655 habitants (2018)
Nom des habitants Crielois
Crieloises
Superficie 2112 hectares
Densité 125.71 hab./km²
Altitude Mini: 0 m
Point culminant 106 m
Coordonnées
géographiques
50.016667° / 1.318333° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

L'histoire de Criel

Curborius, Créolium ou Criolium sont les racines lointaines de Criel.

L'existence du village remonte à l'époque celtique.

Les fouilles entreprises par l'Abbé Cochet dès 1846 retrouvent les vestiges, sculptures et objets de la vie quotidienne remontant à l'époque gallo-romaine, témoin d'une agglomération qui regroupait déjà au XIIIe siècle quelques 1800 habitants.

L'invasion anglaise conquiert au Moyen-Âge toutes les forteresses du Comté d'Eu dont faisait partie le Besle (ou Baisle), alors Château de Criel dont il subsiste les vestiges de ses énormes murailles de silex.

En 1685, la Grande Mademoiselle rachète le Manoir de Briançon et le transforme en hospice orphelinat dans une période où la région est éprouvée par les épidémies et les naufrages des marins.

En 1872, s’ouvre la ligne de chemin de fer de Dieppe à Eu, avec la gare de « Criel – Touffreville » située près du viaduc qui enjambe l’Yères. La ligne sera utilisée pour le transport des galets ramassés sur le littoral et expédiés dans le monde entier à des fins industrielles.

En 1902, Criel devient Criel sur Mer.

C'est à la fin du XIXe siècle que les deux plages de Criel-sur-Mer vont connaître le succès ce qui va engendrer la construction d'hôtels et de villas notamment à Mesnil-Val.

En 1928, les quatre huîtrières dites du Mesnil-Val, de Wachards, de Varengeville, de Belle Falaise, toutes très pauvres, ne sont ni exploitées, ni visitées. Leur classement n'est maintenu que pour permettre aux chalutiers de vendre les quelques huîtres ramenées dans leurs filets. Deux parcs, l'un à Mesnil-Val, l'autre à Criel-sur-Mer, ont été concédés depuis peu. Les nombreux et très anciens parcs de Dieppe qui fournissaient des huîtres renommées, sont abandonnés aujourd'hui. Il en est de même de ceux du Tréport et de Saint-Valéry.

La Seconde Guerre mondiale détruira la plupart de ces bâtiments Belle-Epoque.

Le château de Chantereine, une ancienne demeure seigneuriale, sera transformé en colonie de vacances (COOP) puis en auberge de jeunesse abritant moultes associations.

Au bourg, le Manoir de Briançon délaissé par les religieuses, devient la mairie en 1972.

Sources :

Le camp de mitrailleurs belges de Criel sur Mer- 1916-1917

Centre d'Instruction de Criel sur Mer.

  • Des tirailleurs belges s’entraînent au maniement de la mitrailleuse sur un plateau de Criel.
  • Des chiens belges sont entraînés à transporter des mitraillettes.
  • En octobre 1915, Firmin, à sa demande (dans l'espoir de rejoindre plus vite le front), est muté au nouveau centre d'instruction de mitrailleurs à Criel s/mer dans la Seine inférieure. Tout l'hiver il y reçoit la formation de mitrailleur . Des semaines longues semaines sans nouvelles de ses parents, un Noël vide et sans joie et enfin vint pour Firmin le moment tant attendu : le départ pour le front belge. Pour partir au front tous les gradés devaient posséder inscrit dans leur carnet le texte de la mission du tirailleur.
  • Le jour venu, c'est un convoi venu en gare de Criel, un long convoi composé de wagons à bestiaux portant l'inscription 40 hommes ou 8 chevaux qui emmènent les soldats jusqu'à Adinkerke et cela en un trajet de 20 heures !
  • C'est le moment de rendre ici hommage aux soldats belges qui ont perdu la vie durant leur instruction à Criel. De quoi sont décédés ces jeunes gens ? De maladie ou d'accident ? Difficile de le savoir mais les conditions de vie ne devaient pas être faciles pour les soldats soumis à un entraînement intensif ! En tout cas, si vous passez lors de vos vacances par Criel-sur- Mer, arrêtez-vous devant l'église et traversez la rue pour vous rendre dans le petit cimetière dans lequel reposent sept jeunes gens belges décédés pour leur patrie ! Que ce petit article leur soit en tout cas un témoignage qu'ils n'ont pas été oubliés. Voici leurs noms : Noyon Maurice, Morren Pieter, Lebeau Louis, Vanderbeken Gustaaf, Verheyen Albrecht, Delhaye Arthur et Belien Théodorus.
Pictos recherche.pngA lire...

Le naufrage du navire Meknès

Le torpillage du Meknès

Vers 23 heures, au large de Portland, le navire est soudain mitraillé puis torpillé, par la vedette rapide allemande S 27, sans soucis de neutralité. Il ne fallut au navire que 8 minutes pour couler. Il y eut 429 victimes (en faite 420) ! Les rescapés furent récupérés le lendemain par des navires qui prirent la direction de Portsmouth.

Les cadavres du naufrage du "Meknès" furent retrouvés au pied des falaises de la côte normande et d'Angleterre.

Le paquebot français Meknès appareilla de Southampton le 24 Juillet 1940 avec plus de 1300 marins français dont 102 appartenaient à l’équipage, 99 officiers et 1080 marins qui étaient tous personnel de la Marine Nationale. La France ayant capitulé en Juin, ces hommes qui n’avaient pas voulu demeurer en Grande Bretagne étaient rapatriés. Le Meknès naviguait avec ses feux de position allumés et brillamment éclairé, ce qui rendait ainsi impossible toute méprise quant à sa nationalité. Vers 22h30, alors qu’il se trouvait au large de Portland, il fut intercepté par la vedette allemande S-27, Oblt Klug, qui ouvrit le feu à la mitrailleuse sur le paquebot. Le commandant fit alors stopper son navire et signala clairement son nom et sa nationalité, dans l’attente d’une explication de la part des Allemands mais en guise de réponse, il reçut une torpille et coula en dix minutes.

Parmi les hommes présents à bord du paquebot, près de 900 rescapés furent débarqués en Angleterre tandis que 420 autres étaient morts ou portés disparus. Certain annoncent 515 victimes.

Des rumeurs ont fait état à l’époque d’un torpillage volontaire perpétré par la Royal Navy. Rien ne permet d’affirmer cette hypothèse qui fut sans doute dictée par l’émotion encore bien présente, consécutive aux évènements du 3 Juillet, à Mers el Kébir notamment.

(par Yves LAURENT : "UN COMBATTANT DE LA FRANCE LIBRE - Saint-Thégonnec 6 Avril 1917 - Hartfordbridge 11 Novembre 1943)

plusieurs corps ont été retrouvés sur la plage de Criel :

  • Jean François Marie Cocaign : né le 20 mai 1895 à Plougoulm (Finistère). Il est décédé à bord du Meknès, le 24 juillet 1940, au large de Criel. Jean Cocaign avait été blessé lors de la première guerre mondiale. Mobilisé lors du deuxième conflit mondial pour le transport de troupes vers l'Angleterre, c'est lors de son rapatriement qu'il a été tué. Il était Marin mobilisé
  • Gabriel Greliche *, retrouvé à Criel
  • Louis Dujardin * , quartier-maître, retrouvé à Criel
  • Henri Hannequin *, retrouvé à Criel
  • Louis-Jean Ladoux *, né le 18 mai 1910, retrouvé à Criel
  • Louios Laude *, résidant à Somain (Nord), retrouvé à Criel
  • Jules Letellier *, maitre canonnier, retrouvé à Criel
  • Jean Montignies *, demeurant rue Molière à Roubaix, son corps a été retrouvé à Criel sur Mer le 11 septembre 1940. Il fut ensuite inhumé dans le cimetière militaire de Roubaix dans le Nord où son corps repose aujourd'hui. Il porte le n° 188 dans la liste des victimes.
  • Louis Carin *, demeurant 326 rue Henri-Dierre à Raismes (Nord), retrouvé à Criel
  • Victor Heurte *, retrouvé à Criel

L'association "Les oubliés du Meknès"

Héraldique

De gueules à trois canettes d'argent mal ordonnées.

Histoire administrative

  • Département - 1801-1955 : Seine-Inférieure --> Changement de Nom 1955-2023 : Seine-Maritime]
  • Arrondissement - 1801-2023 : Dieppe
  • Canton - 1801-2023 : Eu
  • Commune - 1801-1902 : Criel --> 1902-2023 : Criel-sur-Mer

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 1 350 1 256 1 210 1 201 1 295 1 228 1 268 1 273 1 276 1 295
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 1 268 1 277 1 143 1 158 1 150 1 051 983 975 969 1.012
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 1 067 1 059 1 080 1 238 1.289 1 280- 1 428 1 927 1 927 2 108
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 2.155 2 452 2 671 2 760 2 780 2 704 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Repère géographique.png Repères géographiques

Criel-plage-falaise.jpgCriel-plage-plage.jpg
Plage de Criel de galets et Falaises de craie et silex

Du point culminant, on peut apercevoir par beau temps à l’ouest le phare d’Ailly au-delà de Dieppe et à l’est la baie de la Somme...

Patrimoine.png Patrimoine bâti

  • Plages de galets et Falaises de craie et silex : Les deux plages de Criel (Criel-plage et Mesnil-Val) faites de galets dont l’exploitation a contribué à l’essor économique il y a quelques decennies, peuvent s’enorgueillir d’être encadrées par les plus hautes falaises de craie d’Europe, surplombant la mer de 106m en haut du Mont Joli Bois.
  • Au Mont Joli Bois, en 1990, on a retrouvé un vaste cimetière mérovingien de près de cinq cents tombes ». Un randonneur, instituteur à Canehan, mit par hasard le pied sur un sarcophage lors d'une de ses promenades.
  • L’ église Saint Aubin : Initialement édifiée au XIV° siècle, détruite puis reconstruite au cours du XVI° siècle, rénovée au XIX° siècle, l’église de Criel garde des vestiges de ces différentes époques. Elle est composée de silex, de grès et de pierres blanches.
  • Le Manoir de Briançon : Construit à la fin du XVI° siècle, propriété des seigneurs de Briançon, le manoir est racheté en 1695 par Anne Marie Louise d’Orléans, « La Grande Mademoiselle », cousine de Louis XIV. Elle le convertit en hospice voué à l’éducation des orphelins de marins.
  • Le Château de Chantereine : Il aurait été construit vers les années 1770 par la marquise de Reynel, change plusieurs fois de propriétaires, est réquisitioné à plusieurs reprises à des fins militaires, puis est acquis en 1930 par l’Union des Coopérateurs (COOP) pour en faire une colonie de vacances qui verra défiler jusqu’à 2000 enfants par an .
  • Mesnil –Val et son architecture : Simultanément à la mode des bains de mer lancée au début du XIX° siècle, la cote normande s’enrichit de nombreuses villas d’une architecture nouvelle aux toitures complexes, surplombant balcons, belvédères, terrasses et loges.
  • L’ YERES et sa vallée : Rivière de première catégorie, préservée de la pollution industrielle, l’Yères, fleuve côtier, prend sa source à une quarantaine de kilomètres de la côte.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Nicolas MACQUET  1790  - 1791    
François POULAIN  1791  - 1804    
 LE VASSEUR  1804  - 1816    
Georges HOCHARD  1816  - 1821    
Pierre LETELLIER  1821  - 1822    
Pierre-Théodore HOUSSOIS  1822  - 1826    
Jean-Simon CAUCHOIS  1826  - 1831    
Nicolas HOULE  1831  - 1837    
Victor SEMINEL  1837  - 1838    
Maximilien ROUSSEL  1838  - 1848    
Jean-Baptiste LEVASSEUR  1848  - 1852    
Théroulde DAVID  1852  - 1864    
Athanase BEAUVISAGE  1864  - 1870    
Maximilien ROUSSEL  1870  - 1872    
Henri WALLET  1872  - 1880    
Athanase BEAUVISAGE  1880  - 1884    
François HACHE  1884  - 1900    
Philippe BOUILLET  1900  - 1909    
Henri DELAPORTE  1909  - 1840    
Jacques CASTELOT  1940  - 1941    
Maxime MOREAU  1941  - 1944    
Constant BARON  11-09-1944  - 1945    
Louis DELAPORTE 1945-1965 -  
Firmin BAGNIER LE CHARTIER 1965-1970 -  
Marcel GUERIN 1970-1983 -  
Jean LESCA 1983-1995 -  
Jean Pierre LANNEL 1955-2001 -  
Jean MAUGER 2001-2014 -  
Alain TROUESSIN 2014-(2026) -  
- -  


Les notaires

Pas de Notaires sur la commune de Criel sur Mer

Les ramasseurs de galets

Depuis la fin du XVIIIe siècle, on ramassait déjà le galet. C'est à la fin du XIXe siècle que son exploitation se développa. Ce petit métier secondaire de nos paysans a fait vivre de nombreuses familles de Criel. C'est à la main et souvent par les femmes que s’effectuait le ramassage des galets. Ainsi, le dos courbé, par tous les temps, aux rythmes des marées, les galets étaient ramassés, triés et calibrés en fonction de leur taille, et de leur forme ronde, et de leur couleur grise. Les (rouillés) n'avaient pas leur place.

Un ramasseur de galets ne peut rien faire sans son cheval. Les galets étaient chargés dans deux hottes identiques de même poids pour ne pas déséquilibrer le cheval.

C'est lui qui remontait la grève jusqu'au pied des falaises ou, de lui même, il s'arrêtait.

Le ramasseur de galets venait libérer le contenu de leur hottes (trois cent kg de galets).

Depuis 1985, il est interdit d'exploiter les galets du littoral de la Seine-Maritime.

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
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- -  


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Mairie de Criel sur Mer (Manoir de Biançon) - 76910 Criel sur Mer
Tél : 02 35 50 51 20 - Fax : 02 35 50 22 37
Courriel

Ouvert : du lundi au vendredi : de 9h à 12h et de 13h30 à 17h ainsi que le samedi matin.

Dépouillements des registres paroissiaux

Archives notariales

Minutes notaires

Patronymes

Mémorial

Remarques

  • On peut noter qu'à 6 kms de Criel sur Mer, se trouve la ville de Eu
  • Le village de HAVELANGE (Belgique) est jumelé depuis le 30.04.1967 avec la commune de Criel-sur-Mer
  • L'extrémité gauche de la plage est accessible aux chiens tenus en laisse (il s'agit d'une tolérance).

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

CRIEL-SUR-MER NOTICE GÉOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE par JEAN VACANDARD Réédition d'un ouvrage paru en 1923 - Produit vendu par : Lorisse - Le Livre d'Histoire
Nommé instituteur à Criel-sur-Mer au lendemain de la première Guerre mondiale, Jean Vacandard, dont la maison familiale se trouvait à quelques kilomètres seulement, a su s'attirer l'affection de toute une population accablée par les souffrances.

DESCRIPTION
Son attachement profond à la commune et à ses habitants le poussa d'une part à participer activement aux œuvres et associations caritatives, et d'autre part à rédiger leur histoire qui met en lumière le combat de ces hommes qui, de tout temps, ont dû se défendre contre les invasions, les éléments naturels et la misère. Le voisinage du bourg avec la mer et sa proximité du Tréport ont suscité plus d'une fois l'invasion anglaise et, en 1419 quand les forteresses du comté d'Eu tombèrent aux mains de l'ennemi et qu'Henri V distribua les fiefs et domaines attenant au territoire de Criel, une véritable guerre de partisans commença de la part de bandes recrutées parmi les paysans que commandaient des capitaines dévoués à la cause du roi de France. Plus tard, Mlle de Montpensier, « frappée de la misère, du grand nombre de mendiants que comptait la région d'Eu, émue des souffrances qui étaient à cette époque le lot des gens de campagnes, par suite des exactions des gens de guerre, de la peste, des tailles excessives » et cherchant aussi un palliatif à ses malheurs personnels, prit Criel comme objet de toutes ses attentions. Elle fonda d'abord une école pour les jeunes filles, puis un hospice, desservi par quatre religieuses qui prodiguaient leurs soins aux plus défavorisés, hospitalisés et à un bien plus grand nombre de malades, à leur domicile. À l'heure de la Révolution, qui semblait promettre une destinée meilleure aux paysans et une reconnaissance à ceux qui leur consacraient leur existence, une lutte sourde débuta entre le curé et les religieuses. Le premier prêta serment, les secondes refusèrent. En janvier 1793, après avoir défendu les intérêts de l'école de filles et de l'hospice avec ardeur, les religieuses durent les quitter sous la contrainte, laissant leur administration aux mains de gestionnaires désastreux. Le XIXe siècle, quant à lui, mit en œuvre une nouvelle conception de l'organisation sociale pour le bien-être commun. © Micberth

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