75102 - Paris 2ème Arrondissement
2e arrondissement de Paris La Bourse | |
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Informations | |
Pays | France |
Région | Île-de-France |
Département | Paris (Quartiers) |
Arrondissement | 20 arrondissements |
Chef-lieu | Paris |
Code INSEE | 75 - 1 - 16 |
Population | 21 915 hab. (20/01/2010) |
Superficie | 99 hectares |
Densité | 22 136 hab/km² |
Point culminant | - |
Quartiers administratifs |
- Gaillon - Vivienne - Le Mail - Bonne-Nouvelle |
Localisation | |
Arrondissement Chef-lieu ? |
Histoire
Le 2e arrondissement est bien un des quartiers le plus pittoresque dans Paris. Ses petites rues très animées sont parsemées de vieilles boutiques et de petites échoppes.
Patrimoine bâti
- Quadrilatère Richelieu (ancienne Bibliothèque nationale de France)
- Palais Brongniart (qui abritait la Bourse de Paris)
- Tour Jean Sans Peur
- Théâtre musical populaire
- Rue Réaumur
Palais Brongniart
- Le palais Brongniart est surtout connu pour avoir été le bâtiment de la Bourse de Paris.
- En 1724, un arrêt du Conseil règlemente l'organisation du marché et définit la profession d'agent de change, suite à la banqueroute de John Law en 1720 et qui interdisait à toute personne de négocier du papier dans un lieu public à l'exception des agents de change.
- C'est Napoléon Ier qui décide en 1808 la construction d'un édifice particulier pour abriter la Bourse qui, depuis 1724, avait été successivement logée au Palais Mazarin dans la galerie Vivienne, au Louvre, au Palais-Royal et en 1796 dans l'église désaffectée des Petits Pères. Napoléon choisit le terrain de l'ancien couvent des filles Saint Thomas, un vaste monastère pour y construire le Palais impérial de la Bourse.
- Alexandre Théodore BRONGNIART (1739-1813) réalise un bâtiment rectangulaire de 69 m de long sur 41 m de large, ceinturé d'un péristyle de 64 colonnes corinthiennes, témoin du néo-classicisme de l'Empire. À la chute de l'Empire le bâtiment n'est pas terminé, c'est l'architecte Eloi LABARRE assisté d'Hippolyte LEBAS qui achève la construction en 1826.
- Quatre statues allégoriques, deux en façade et deux à l'arrière du bâtiment, représentent : La Justice par Francisque DURET en 1851, le Commerce par Augustin DUMONT en 1852, l' Agriculture par Charles SEURRE et l' Industrie par James PRADIER en 1851.
- En 1906, l'adjonction de deux ailes par Jean-Baptiste CAVEL (1844-1905) donne un plan cruciforme au bâtiment.
- À l'intérieur, un escalier d'honneur conduit à l'étage, une galerie vitrée surplombe la grande salle du rez-de-chaussée, autrefois la salle de la corbeille. Les décors en grisaille, représentant les villes de France, sont l'œuvre d'Abel de PUJOL et de Charles MEYNIER.
- Entre 1826 et 1864, le tribunal de commerce, et entre 1826 et 1853, la chambre de commerce, ont été hébergés dans le Palais de la Bourse.
- En 1998, fermeture de la Bourse au Palais Brongniart, puisque chaque banque gère par informatique le cours du marché des actions au comptant depuis 1987. En 2000, la Bourse est intégrée à Euronext, qui fusionne en 2007 avec le groupe New York Stock Exchange, sous le nom de NYSE Euronext.
- Aujourd'hui le Palais Brongniart est devenu un centre d'évènements et de conférences. Entre 2011 et 2013, le centre a accueilli 12 start-ups pour une période de six mois. Depuis 2011, elle héberge l'École européenne des métiers de l'internet.
Le Palais Brongniart est inscrit aux Monuments Historiques depuis le 27 octobre 1987 : [1].
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La Justice par Francisque Joseph DURET (1804-1865) -
Le Commerce par Augustin DUMONT (1801-1884) -
L' Agriculture par Charles SEURRE (1798-1858) -
L' Industrie par James PRADIER (1790-1852) -
Décor frise -
Décor péristyle -
Façade arrière -
CP 1900 - La Bourse de Paris
=== Rue Montorgueil === [2]
- La rue débute à côté de l'église Saint-Eustache sur le parvis de Halles et se termine rue Léopold Bellan. Elle se poursuit par la rue des Petits Carreaux.
- Haut lieu de la gastronomie et du commerce d'alimentation depuis le XIIIe siècle, cette rue marquait le terme du voyage de la marée des ports du Nord, notamment les huîtres dont le marché a été recouvert par la rue Etienne-Marcel.
- Au 59 s'élevait de 1794 à 1845 le restaurant Au rocher de Cancale, célèbre pour ses fruits de mer, immortalisé dans la Comédie Humaine et fréquenté par Balzac, Alexandre Dumas, Théophile Gautier, Eugène Sue.
- Au 61-63, le traiteur Au Rocher d'Étretat tenait le bureau de vente de la Société des huîtres d'Étretat et de Dieppe : celles de Fécamp étaient vendues près de la rue Tiquetonne.
- La cour de l'auberge Le Compas d'Or abritait le hangar des diligences à destination de Dreux.
- Aujourd'hui, c'est une rue très attractive par ses nombreuses terrasses de cafés et de restaurants, plutôt bobo, ses nombreux commerces aux devantures de bois à l'ancienne, et ses immeubles XVIIIe ornés de mascarons.
Passage de la Reine de Hongrie
17 Rue Montorgueil
- Le passage fut créé en 1770, sans nom particulier, uniquement piétonnier et fermé la nuit par deux grilles à ses extrémités. Il prit le nom de passage de l'Égalité en 1792 et reprit sons nom de passage de la Reine de Hongrie en 1808.
- Le nom de Reine de Hongrie fut attribué à une marchande des Halles voisines, habitant ce passage en 1789 et qui ressemblait fortement à l'archiduchesse Marie-Thérèse d'Autriche, reine de Hongrie..
- L'immeuble est du XVIIIe siècle et sa façade est ornée de nombreux décors.
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N°17 façade XVIIIe -
Mascaron -
À l'Escargot Montorgueil
38 rue Montorgueil
- En 1900, le nouveau locataire Théodore Lecomte reprend le restaurant ouvert en 1875 par Mignard et Bourreaux des marchands de vins. Les huîtres furent au menu dès 1890. On doit à Monsieur Lecomte le décoration que l'on peut encore voir aujourd'hui, classée aux Monuments Historiques. Le plafond peint par G. Clairin pour la salle à manger de Sarah Bernhardt a été racheté en salle des ventes par André Terrail en 1919. Des décors de 1875 sont encore visibles dans le restaurant : verres gravés à l'acide, escalier en colimaçon, panneaux de bois de la devanture en forme de losanges, escargots en ronde-bosse ...).
- Ce restaurant créé en 1939, a pour spécialité la cuisine bourguignonne et ses recettes à base d'escargot. Il a été fréquenté par Marcel Proust, Sarah Bernhardt, Sacha Guitry, Pablo Picasso ou encore Charlie Chaplin.
Le restaurant est classé aux Monuments Historiques depuis le 12 juin 1998 : [3].
Pâtisserie Stohrer
51 rue Montorgueil
- En 1725, à l'occasion de son mariage avec Louis XV, Marie Leszczynska vint à Paris, emmenant parmi la cour qui l'accompagnait le pâtissier-cuisinier de son père, Monsieur Stohrer. Cinq ans plus tard celui-ci s'installait rue Montorgueil et ouvrait une pâtisserie dont les spécialités allaient être les babas et les puits d'amour.
- Vers 1864, la boutique fut décorée par le peintre Paul Baudry (1828-1886) qui venait d'atteindre la célébrité par les décors réalisés à l'hôtel Galliera et au Foyer de l'Opéra. Les panneaux peints sont fixés sous verre à motifs de pinceaux et de fleurs pour la frise.
- L'immeuble de la fin du XVIIIe comporte un curieux bas-relief surmontant le portail : un globe terrestre entouré d'attributs des Arts et des Lettres.
La Maison Stohrer est classée aux Monuments Historiques depuis le 24 juin 1993 : [4].
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Décor pâtisserie Stohrer XVIII e -
Intérieur pâtisserie -
Lustre
Immeuble d'angle
73 rue Montorgueil
- Immeuble de style rocaille construit en 1743 pour le maître maçon Étienne Regnault. Les initiales ER sont présentes dans chaque ferronnerie.
Au rocher de Cancale
78 rue Montorgueil
- L'immeuble du 59 rue Montorgueil abrita le premier Au Rocher de Cancale repris par Balaine en 1804 et célèbre pour ses huîtres et les réunions du Caveau Moderne : "Excellentes huîtres, excellents poissons et excellentes chansons. Le sel dont on assaisonne ces dernières n'est point fourni par la maison ; c'est le rendez-vous des joyeux disciples d'Épicure". La douzaine d'huîtres y coûtait 15 sous. En 1814, Balzac l'utilisa comme décor de plusieurs scènes de La Comédie Humaine et le considérait comme le rendez-vous de la meilleure société de Paris et l'établissement qui fait le plus honneur à la cuisine française.
- Borel, successeur de Balaine, le ferma pour s'installer rue de Richelieu en 1846. Le nom fut repris par Pécune, qui avait ouvert un restauraut en 1820 au 78 rue Montorgueil.
- Un premier restaurant ouvrait à cette adresse au début du XIXe et fermait en 1846. Le restaurait actuel ouvre aussitôt après. L'immeuble début XVIIe a gardé ses devantures en bois et plâtre, ses décors de salons peints par Gavarni
- Il est considéré comme l'un des plus anciens restaurants de Paris avec Le Grand Véfour et Le Doyen.
Le restaurant Au Rocher de Cancale est classé aux Monuments Historiques depuis le 3 mars 1997 : [5].
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Décor façade
Au Planteur
Rue des Petits Carreaux, dans le prolongement de la rue Montorgueil
- Dans cet immeuble du XIXe siècle, le magasin proposait du café, entre autres marchandises exotiques. Il disparut en 2012.
- La façade a conservé ses coffrages de bois insiprés du XVIIIe siècle, avec sa décoration centrale en céramique signée Crommer qui dépeint un homme noir, un esclave sans doute, servant un café à un homme blanc assis sur des sacs de marchandises, habillé en style colonial, le planteur.
L'édifice est inscrit partiellement aux Monuments Historiques depuis le 23 mai 1985 : [6].
Photos, Illustrations
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Angle de rues -
Enseigne pharmacie rue Montorgueil -
Décor crèmerie -
Enseigne café -
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Point presse -
Street Art -
Street Art -
Rue Tiquetonne (du nom de Rogier de Quinquetonne boulanger en 1399) -
Rue Réaumur
- Article détaillé : Voir la page dédiée ...
Salles de spectacles
- Théâtre des Bouffes Parisiens, 4 rue Monsigny [7]
En 1826, Louis CONTE, directeur d'une école de comédiens, fait construire par BRUNETON et ALLARD un théâtre où jouent ses élèves. En 1855, Jacques OFFENBACH prend la salle à bail, la fait agrandir et décorer par BALLU, et l'inaugure avec sa chinoiserie musicale Ba-ta-clan. Ainsi naissent les Bouffes-Parisiens d'hiver. Jusqu'en 1862, on y joue les œuvres du compositeur, dont Orphée aux Enfers.
Abandonné par OFFENBACH, le théâtre est détruit et rebâti en 1863. Il renoue avec le succès en 1871 en se consacrant à l'opérette. On y joue notamment Les Mousquetaires au couvent, Véronique, Phi-phi, Les œuvres de Messager, Villemetz, Christiné ...
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Théâtre des Bouffes Parisiens, passage de Choiseul -
Plaque commémorative face au Théâtre des Bouffes Parisiens
- Théâtre national de l'Opéra-Comique, 1 place Boieldieu [8]
L'hôtel de Choiseul-Stainville couvrait l'espace compris entre la rue de Richelieu, le boulevard des Italiens les rues de Gramont et Grétry. Vendu par lots en 1780, il donna naissance à un nouveau quartier, dont le principal élément était la salle Favart, conçue par Heurtier et bâtie entre 1781 et 1783 pour la Comédie Italienne.
Sa salle ovale abrita plusieurs troupes avant de brûler dans la nuit du 13 au 14 janvier 1838. Reconstruite par Charpentier, elle prit le nom de Théâtre de l'Opéra-Comique à son ouverture en 1840.
Le 25 mai 1887, pendant la représentation de Mignon d'Ambroise Thomas, un incendie détruisit l'édifice faisant 400 victimes.
Le bâtiment actuel fut édifié de 1894 à 1898 sur les plans de Bernier.
Le théâtre Opéra Comique est classé aux Monuments Historiques depuis le 26 décembre 1977 [9]
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Cariatides -
Décor baie façade -
Mascarons -
Marquise et ferronnerie -
Grille porte d'accès -
Statue sur façade
- Le Grand Rex, 1 boulevard Poissonnière [10]
La marée des ports du Pas-de-Calais acheminée vers les Halles passait ici, ce qui explique le nom du boulevard des Poissonnière.
L'enceinte de Charles V puis de Louis XIII s'ouvrait par la porte Sainte Anne ou de la Poissonnerie et, en 1726, une inscription signalait ici la mite de la Ville.
Haut lieu des plaisirs et des spectacles, le boulevard Poissonnière fut choisi en 1932 pour édifier le cinéma REX, un des plus grands d'Europe. Conçu par l'architecte Auguste Bluysen et l'ingénieur John Eberson, sa façade est l'œuvre du sculpteur Henri Édouard Navarre, et la décoration de la salle de 3 300 places qui marie l'Antiquité à l'Art Déco, est due à Maurice Dufrène.
Le cinéma Rex est classé aux Monuments Historiques depuis le 5 octobre 1981 [11]
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Salle de 3300 places
- Théâtre des Variétés, 7 boulevard de Montmartre
- Théâtre Daunou, 7 rue Daunou
- Théâtre de la Michodière, 4 bis rue de la Michodière
- Théâtre de la Pépinière, 7 rue Louis le Grand
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Théâtre de la Michodière -
Théâtre des Variétés, boulevard de Montmartre
Les espaces verts
Square Louvois, (face à la Bibliothèque Nationale rue de Richelieu)
Au XVIIe siècle, deux hôtels particuliers contigus s'élèvent sur ce site, dont l'un appartient à François Michel Le Tellier, marquis de Louvois.
En 1793, un théâtre, dirigé par mademoiselle Montansier, les remplace. Il est racheté par l'État en 1795 et devient le premier théâtre à disposer de sièges pour les spectateurs.
En 1820, l'assassinat du duc de Berry, devant le théâtre, entraîne sa fermeture, puis sa destruction.
En 1836, un premier square est aménagé, mais c'est Jean-Charles Adolphe Alphand qui lui donne son aspect actuel. La fontaine de Louis Visconti est érigée en 1844. Elle est ornée de sculptures symbolisant la Seine, la Loire, la Saône et la Garonne, œuvre de Jean-Baptiste Jules Klagmann (1810-1867).
L'Opéra de la rue de Richelieu [12]
Créé en 1839, ce square occupe l'emplacement de la huitième salle d'opéra de Paris. Construite en 1792 pour la Montansier, sur les plans de Victor Louis, elle est inaugurée le 15 avril 1793 sous le nom de Théâtre National. Rebaptisée Opéra, elle accueille la troupe des chanteurs le 14 avril 1794. Ici furent notamment créées La Flûte enchantée de Mozart, et La Vestale de Spontini.
Napoléon Bonaparte échappa de peu à une machine infernale, rue Saint Nicaise, en se rendant à la première audition de la Création de Haydn le 24 décembre 1800
Le 13 février 1820, le duc de Berry, héritier du trône, y est assassiné par Louvel. Après son décès, l'Opéra est fermé puis démoli.
- Square Jacques Bidault, rue de la Lune
Les lieux de culte du 2e arrondissement
- Article détaillé : Lieux de culte du 2e arrondissement ...
Mairie du 2e
- Adresse :
- 8, rue de la Banque
- 75002 PARIS
- Standard : 01 53 29 75 02
- Horaires :
- Lundi, mardi, mercredi et vendredi : 8 h 30 à 17 h
- Jeudi : 8 h 30 à 19 h 30
- Samedi : 9 h à 12 h 30 (état civil uniquement)
- Site en ligne : Mairie Paris Centre
Les maires d'arrondissement
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | |
Michel Paul DABRIN | 1853 - 1860 | Agent de change - Colonel d'État-major de la Garde nationale - Conseiller général du canton de Longjumeau (1842-1848). |
- | - | |
Jacques BOUTAULT | 2001 - 2020 | Journaliste. |
Ariel WEIL | 2020 - (2026) | Premier maire de Paris Centre. Paris Centre comprend les 1, 2, 3 et 4 arrondissements de la ville. |
- | - |
Démographie
Année | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | - | - | - |
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Population | 35 357 | 26 328 | 21 203 | 20 738 | 19 585 | 21 259 | 21 793 | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : INSEE INSEE, 2006 & 2008
En photos
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Musée Grévin, boulevard de Montmartre -
Restaurant Drouant héberge depuis 1914 les délibérations des jurés du Goncourt et du jury du Renaudot depuis 1926 -
Fontaine Gaillon créée en 1670 par Hardouin Mansart, Le Restaurant ayant appartenu à Gérard Depardieu et Carole Bouquet entre 2003 et 2017 -
Immeuble Felix Potin, 1910, rue Réaumur, par Charles Lemaresquier -
Sainte Catherine d'Alexandrie angles rue de Cléry et Poissonnière -
Galerie Vivienne -
Ruelle du quartier en 1918 (Musée Albert Kahn)
Ville de naissance ou de décès de
Naissances :
- Edouard François NICOLAÏE dit CLAIRVILLE, dit CLAIRVILLE fils, musicien et compositeur de musique, né le 16 août 1854, décédé le 14 septembre 1906.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Panneau Histoire de Paris
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
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- ↑ Panneau Histoire de Paris
- ↑ Panneau Histoire de Paris
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Panneau Histoire de Paris
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Panneau Histoire de Paris
- Rue Réaumur : Mairie de Paris : Protections patrimoniales 2e arrondissement
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