74276 - Taninges

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Taninges
Informations
Pays    France
Département    Haute-Savoie
Métropole -
Canton   74-06   Cluses

  74-25   Taninges (Ancien canton)

Code INSEE 74276
Code postal 74440
Population 3 411 habitants (2018)
Nom des habitants Jacquemards, Jacquemardes
Superficie 4 266 hectares
Densité 79.96 hab./km²
Altitude Mini : 609 m
Point culminant 2 000 m (Pointe de Marcelly 1 999 m)
Coordonnées
géographiques
46.1075° / 6.591388° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
-
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

  • La découverte d'une hache puis de pièces de monnaie, « au hameau des Montants »[1], a amené les historiens à présumer une présence humaine au moment du Néolithique.
  • La petite cité aurait été fondée au VIe siècle « par une colonie de Bourguignons »[2]. À l'origine, l'habitat occupait les collines autour de Flérier, la paroisse mère. Mais des éboulements ont repoussé le petit bourg vers son emplacement actuel.
  • Au XIIIe siècle, Béatrice de Faucigny (1234-1310)[3] cède des terres pour y installer une chartreuse de moniales et finance la construction des bâtiments. Pendant les cinq siècles de leur présence, les chartreusines vont étendre leur domaine et leurs dépendances. Elles vont gérer « de nombreux espaces agricoles »[4], certes, mais aussi les moulins, le battoir à chanvre et la scie, installés sur la Bézière de Mélan[5].
  • Au XIVe siècle, après avoir fait partie intégrante du Faucigny, Taninge passe aux mains de la Maison de Savoie.
Les passants et voyageurs peuvent déjà trouver couvert et gîte sur la place du bourg. Puis en 1457, la cité obtient le droit de tenir un marché hebdomadaire et une foire annuelle (en avril). Cela lui permet de vendre ses produits issus de l'agropastoralisme. Par la suite, d'autres foires verront le jour, notamment une foire aux mulets.
  • À la fin du XVe siècle se déroule une révolte paysanne, menée par Jean GAY à l'encontre du Duc de Savoie Philippe II, comte de Bresse. Ce dernier en sortira vainqueur par la répression, et c'est de cet épisode que découlera le gentilé des habitants.
  • En 1543, des franchises sont accordées à la cité jacquemarde par Charlotte d'Orléans. Il s'ensuit « un développement commercial intense »[6], grâce à une halle aux grains, des foires aux bestiaux, des échoppes d'artisans.
  • En 1700, le domaine est érigé en comté de Taninge et les comtes y étendent leurs possessions.
  • Du XVIIe au XIXe siècles, l'évolution se poursuit : auberges et hôtelleries, deux courriers, deux diligences, exploitation d'un gisement de charbon, chaudronnerie, fruitières coopératives, scierie, taillanderie, etc. Si bien qu'en 1835, la cité peut prendre officiellement le titre de ville.
  • En 1718, le Duché de Savoie devient Royaume de Piémont-Sardaigne jusqu'en 1792, où les français reprennent cette province et créent le département du Mont-Blanc.
  • En 1815, Taninge et sa région sont à nouveau rattachées à la Maison de Savoie. C'est en 1860 seulement qu'a lieu le retour à la France, et un "s" final est rajouté au nom de la ville.
  • Au début du XXe siècle, la ville compte encore huit fruitières, et au milieu du siècle une quarantaine de boutiques. Par la suite, la commune développe en partie le tourisme grâce à la station de Praz-de-Lys.

Origine du gentilé

Lors de la révolte des paysans, à la fin du XVe siècle, le groupe des insurgés appelé les Robes rouges (en raison de leur tenue vestimentaire) est mené par Jean GAY, de Megève. Ce chef est accompagné par un habitant de Taninge : Jacques MONTANT, fondeur et taillandier. Comme il fonde surtout des poids de petite taille appelés "marcs", « l'unité de poids la plus courante dans la région »[7], Jacques est surnommé "Jacques le Marc", puis "Jacquemard".
Une bataille a lieu en 1492 à la Tête de Mussel, où les insurgés sont finalement sommés de se rendre. Comme Jean GAY et Jacquemard refusent, le duc PHILIPPE II les convoque pour des pourparlers. Mais, agissant en traître, il fait pendre et décapiter les deux héros dès leur arrivée au château.
En souvenir, les habitants ont décidé de porter son nom, et une effigie de Jacquemard est conservée dans l'hôtel de ville.
Par ailleurs, les nouveaux arrivants dans la commune doivent respecter le rite du baptême jacquemard.

Héraldique

Blason en métal



« Écartelé en sautoir : aux premier et quatrième de gueules à trois filets en chevron d'argent, ceux du chef renversés, accolés aux traits de partition, aux flancs d'azur ; l'azur chargé de deux léopards lionnés d'argent soutenant un écu rond de gueules à la croix d'argent et à la filière du même brochant en cœur ».


Toponymie

"Tagningium" pour les premières mentions latines.
"Tagninge" en dialecte local.
C'est seulement en 1860 que l'écriture du toponyme prend un "s" final.

Histoire administrative

  • Département - 1801-1816 : Léman (Haute-Savoie), 1816-1860 : Haute-Savoie (États sardes), 1860-2024 : Haute-Savoie
  • Arrondissement - 1801-1816 : Bonneville - 1816-1860 : Province du Faucigny - 1860-2024 : Bonneville
  • Canton - 1801-1816 : Taninge - 1916-1860 : Mandement Taninge - 1860-2015 : Taninges - 2015-2024 : Cluses
  • Commune - 1801-2024 : Taninges

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine bâti

Chartreuse de Mélan

Église de la chartreuse Photo B.ohland

Historique

  • C'est Béatrice de Faucigny qui est à l'origine de la création de ce monastère au lieu-dit "Melanum". Elle souhaitait un tel lieu pour y enterrer son fils et pour sa propre sépulture plus tard. La fondation est attestée par deux actes, en 1285 et 1288.
Les travaux sont supervisés par Dom Guillaume de LESCHERAINE, père de l'Ordre des Chartreux et l'église est consacrée en 1292.
Au XIVe siècle, des chapelles latérales sont rajoutées. Suite à un incendie en 1528 qui ravage les bâtiments conventuels, des reconstructions ont lieu, notamment un nouveau cloître côté ouest, modifiant l'accès au chœur de l'église.
Visite de Dom V, Innocent Le Masson, (51e Général de l'Ordre) le 25 décembre 1661
Au XVIIe siècle se déroule un grand chantier : ancien couvent presque entièrement reconstruit, nouveaux bâtiments annexes, restauration du toit de l'église et de son clocher.
Enfin, aux XIXe et XXe siècles, des restaurations précédentes sont effacées pour rendre à l'église « son aspect médiéval »[8].
Après cinq siècles de prospérité grâce au mode de vie des moniales (extension de leur domaine, fructification, et repartage des gains notamment par des prêts d'argent), la vie monastique de la chartreuse se termine au moment de la Révolution. Les biens sont vendus.


Contreforts sur murs du cloître
F.Couvreur
  • En 1803, l'abbé Marin DUCREY (1766-1834) rachète une partie du domaine cartusien dans le but d'y établir un collège privé. L'établissement ouvre en 1804 et permet d'accueillir 120 élèves;
Quatre ans plus tard, le collège est élevé au rang de Petit séminaire, qui reçoit un avis très favorable lors d'une visite pastorale l'année suivante.
En 1809 a lieu un incendie, sans victime. Mais les dégâts nécessitent des travaux. La reconstruction dure trois ans et permet d'agrandir les lieux par un étage supplémentaire.
Suite à des tensions avec le Grand séminaire d'Annecy, le collège de Mélan passe aux mains des Jésuites de 1833 à 1848, date à laquelle ils sont expulsés en vertu d'une nouvelle loi.
Le Petit séminaire est alors géré par le clergé diocésain jusqu'en 1857. Enfin ce sont les missionnaires de saint François-de-Sales qui vont s'en occuper jusqu'en 1905. C'est la fin de la vocation religieuse de ce lieu.
En 1913, le cloître de la chartreuse est classé aux Monuments historiques, puis l'église en 1932[9].
  • Dix ans plus tard, la commune jacquemarde transforme les lieux en orphelinat départemental. Jusqu'en 1967, des centaines d'enfants y trouvent refuge et reprennent goût à la vie grâce à l'esprit de groupe et aux activités.
Malheureusement la vie de l'orphelinat se termine mal, car en 1967 se produit un incendie qui fait 18 victimes parmi les enfants.
Ce qui subsiste des bâtiments est rasé. Il ne reste plus que la ferme, l'église et son cloître. Le site deviendra petit à petit un lieu culturel, avec l'appui de l'association A.R.C.A.D.E. de Taninges[10].

Architecture

  • L'église cartusienne, construite en tuff et couverte d'ardoises, adopte un style gothique savoyard.
Orienté, le sanctuaire présente un chevet plat, éclairé par un triplet, tandis que sur la façade occidentale, la lumière entre par un oculus en hauteur (autrefois quadrilobé).
L'édifice de cinq travées atteint à l'intérieur « 31,50 mètres de long et 9,85 de large »[11]. Ses voûtes en ogives, chanfreinées, retombent sur des culots.
  • La travée de l'abside est surélevée d'une marche par rapport au reste de la nef. Les quatre autres travées étaient séparées en vertu de la règle de clôture[12] imposée aux chartreusines. Ainsi le chœur liturgique des pères occupait la travée contigüe à l'abside ; le chœur liturgique des moniales occupait les trois autres travées occidentales.
  • Lors des restaurations du XVIIIe siècle, les baies gothiques des façades avaient été murées et de nouvelles baies, quadrangulaires, ouvertes. Mais un retour à la physionomie d'origine a été décidé au siècle suivant. Les vitraux, par contre, sont contemporaines : ils ont été réalisées en 2002 par Claude BAILLON (Aveyron) pour la nef et par Yves MAIROT (Haute-Savoie) pour les chapelles latérales.
  • Récemment, suite à une collecte de documents et d'informations, les spécialistes ont proposé une vision vraisemblable mais hypothétique de l'intérieur de l'église au XVIIIe siècle. D'après les traces de peinture subsistantes, les ogives étaient peintes en noir, avant d'être colorées en ocre par la suite.


Parc

Le parc fait partie du Parcours d'art contemporain du Giffre, dans lequel sont exposées 10 œuvres contemporaines, chacune exprimant le regard de l'artiste sur le site, son histoire et sur l'environnement.


Chapelle de Flérier

Construite au XIIIe siècle, elle fut pendant longtemps l'église paroissiale de Taninges.
Son architecture présentait des points communs avec l'église de la chartreuse. Elle a également été agrandie par des chapelles commanditées par des notables locaux, et on y a retrouvé des sépultures médiévales.
Sa démolition a commencé en 1824 et ses pierres ont servi à la construction de l'église Saint-Jean-Baptiste au centre du bourg. Ainsi, la chapelle actuelle correspond au chœur de l'ancienne église.

Chapelle Sainte-Anne

Chapelle au début du XXe siècle, au temps de la scierie


Chapelle en 2021

Cette chapelle située sur une rive du Foron date de 1583. Son clocher à bulbe est recouvert de fer blanc.
Elle a servi de chapelle intermédiaire pour les paroissiens éloignés du centre de Taninges et ne souhaitant pas monter jusqu'à Flérier.
Après sa désaffection, elle a abrité la scierie BURTIN au XIXe siècle.


Église Saint-Jean-Baptiste

Façade occidentale donnant sur la place
Photo B.ohland
  • C'est à partir de 1824 que commence la construction de cette église, en réutilisant les pierres de la chapelle de Flérier.
L'architecte Prosper DUNANT opte pour un plan de type basilical, dans un style néo-classique sarde[13]. Avec 58 mètres de long sur une largeur de 27, l'église était à l'époque la plus spacieuse du diocèse, et son clocher le plus haut du département.
  • La façade occidentale d'aspect massif, voire austère, est agrémentée de deux niches accueillant des statues.
L'intérieur de la nef et des bas-côtés présentent de nombreuses peintures en trompe-l'œil et du mobilier en bois sculpté.
L'orgue néo-classique a été réalisé par Athanase DUNAND, de Villeurbanne, en 1960.
  • L'édifice est inscrit aux Monuments historiques[14].


Clos du chalet

Linteau devenu banc

Laurent-Marie HUMBERT, pourtant natif de la cité jacquemarde, la quitte pour faire du commerce dans le secteur du bois. Une fois enrichi, il revient au pays et s'installe sur l'ancien domaine des comtes de Taninges. Il y fait construire une vaste demeure : le Clos du Chalet (voir section "En photos"), qui sera souvent surnommée "le château". La demeure reste habitée par sa descendance jusqu'en 1977, année où la commune la rachète.

Mais en 1995, un incendie ravage les lieux. Lors des travaux de démolition, un linteau est préservé. Il sera installé devant la Maison du Patrimoine pour y faire office de banc.


Carillon de Taninges

Cloches en ribambelle Photo B.ohland

Si vous souhaitez visiter Taninges, allez-y plutôt un jeudi, jour de marché, car vous aurez le plaisir d'entendre tintinnabuler le carillon du clocher de l'église, plus grand carillon de Haute-Savoie.

Une équipe de Jacquemards passionnés a en effet créé une association pour sortir de l'oubli l'ancien carillon, le restaurer, puis l'agrandir et le perfectionner.

Et la montée des 127 marches jusqu'au carillon a été aménagée en musée de l'art campanaire et de l'harmonium.

Des visites hebdomadaires sont l'occasion de découvrir le fonctionnement du carillon et l'habileté du carillonneur. Enfin, le site est souvent animé par des concerts renommés.


Article détaillé : Cliquer ici pour une visite virtuelle...


Mémorial Mes'anges

18 tiges et leurs mésanges, messagères célestes de la mémoire
Explications concernant ce mémorial

En 1967 a lieu un terrible incendie à l'ancienne chartreuse de Mélan. L'orphelinat départemental qui l'occupe depuis 1923 est presque entièrement ravagé, faisant dix-huit victimes parmi les enfants.

Quarante ans plus tard, pour célébrer ce triste anniversaire, l'association "Élèves, Anciens Élèves et Amis de Mélan" demande la réalisation d'un mémorial.

L'artiste Régine RAPHOZ conçoit une installation en bronze, faite de 18 tiges surmontées de petites mésanges, messagères célestes de la mémoire. Le mémorial, appelé Mes'anges, est inauguré le 22 septembre 2007.


Repères géographiques

Taninges se trouve à peu près au milieu du département, dans la moyenne vallée du Giffre.

L'agglomération se situe à 32 kilomètres au sud-est d'Annemasse et à 11 kilomètres au nord-ouest de Samoëns.

Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 2 254 2 671 2 684 3 257 abs. 3 020 abs. 3 188 abs. 2 736
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 2 765 2 640 2 457 2 397 2 253 2 302 2 197 2 203 2 249 2 225
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 2 144 1 913 1 925 2 072 1 970 1 926 2 028 1 969 2 109 2 354
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 2 682 2 791 3 140 3 394 3 381 3 406 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

En photos

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Jean-François ORSAT - Né en 1757, décédé en 1817.  
- -  
Laurent (Marie Joseph) HUMBERT 1860 - 1863 Né en 1810, décédé en 1873. Charpentier négociant - Conseiller général du canton de Taninges (1861-1870).  
- -  
Joseph TETAZ 1878 - 1879 Notaire, conseiller général du canton de Taninges (1871-1883).  
- -  
- -  
(Laurent François) Achille HUMBERT 1916 - Fils de Laurent HUMBERT ci-dessus. Né en 1866, décédé en 1926. Médecin, conseiller général du canton de Taninges (1900-1926). Chevalier de la Légion d'honneur en 1921.  
- -  
- -  
- -  
Ernest NYCOLLIN 1977 - 1986 Né en 1937 - Cadre de banque, conseiller général du canton de Taninges (1973-2008), conseiller régional (1992-1998), président du conseil général (1998-2008).  
- -  
Yves LAURAT 2001 - 2020  
Gilles PEGUET 2020 - (2026)  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Louis Antoine ORSAT 1883 - Né en 1847, décédé en 1900. Conseiller général du canton de Taninges (1883-1900).  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
de BAUDRY 1803 - Né en 1736, décédé en 1809. Curé de Saint-Julien en 1767, chanoine de la cathédrale en 1768, prête serment en 1793.  
- -  
abbé CARTON 1897 - En lien étroit avec les professeurs du petit séminaire.  
- -  
abbé BASTARD-BOGHAIN 1932 - 1967 C'est à lui que l'on doit la construction du carillon de Taninges en 1939. Décoré de la Légion d'honneur pour faits de résistance.  
- -  
Père DUPONT 1993 -  
- -  

Monument aux morts

Monument aux morts de 1870-1871,
Œuvre des fonderies Durenne,
inauguré en 1902
Monument aux morts de 14-18 et 39-45
Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le monument aux morts ...


Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

  • Maurice DESCHAMPS, acteur, né le 10 juin 1938, décédé à Saint-Agnin-sur-Bion (Isère) le 10 juin 2006.

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 9 h - 12 h - 9 h - 12 h 9 h - 12 h 9 h - 12 h 9 h - 12 h -
Après-midi 13 h 30 - 18 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 16 h 30 - -

Mairie
Adresse : 75 Avenue Thézières - 74440 TANINGES

Tél : 04 50 34 20 22 - Fax : 04 50 34 85 84

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : http://www.annuaire-mairie.fr (mars 2013)

Associations d'histoire locale

Bibliographie

  • Taninges, histoire locale
  • Collectif d'auteurs, La Chartreuse de Mélan, (Re) faire le mur, Cinesello Balsamo, Milan, Département de la Haute-Savoie, 2020, 126 pages, ISBN 9782849970423
  • Visite de la maison du Patrimoine
  • Visite de la chartreuse de Mélan

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références

  1. Patrimoine, un peu d'Histoire
  2. Taninges, histoire locale
  3. Appelée aussi Béatrice de Savoie, fille de Pierre de Savoie, aristocrate, dauphine et régente du Viennois
  4. Collectif d'auteurs, La Chartreuse de Mélan, (Re) faire le mur, Cinesello Balsamo, Milan, Département de la Haute-Savoie, 2020, 126 pages, ISBN 9782849970423
  5. Affluent du Giffre
  6. Taninges : historique
  7. Le Jacquemard, Taninges
  8. Collectif d'auteurs, La Chartreuse de Mélan, (Re) faire le mur, Cinesello Balsamo, Milan, Département de la Haute-Savoie, 2020, 126 pages, ISBN 9782849970423
  9. Base Mérimée, Chartreuse de Mélan
  10. Association née en 1997 dans le but de mettre en valeur le patrimoine jacquemard, grâce à deux espaces : la Maison du patrimoine, et l'espace Jacquem'Arts
  11. Collectif d'auteurs, La Chartreuse de Mélan, (Re) faire le mur, Cinesello Balsamo, Milan, Département de la Haute-Savoie, 2020, 126 pages, ISBN 9782849970423
  12. Décret appelé Periculoso, édicté en 1298 par le pape Boniface VII
  13. Le dernier style architectural concernant les États de Savoie
  14. Base Mérimée, église Saint-Jean-Baptiste
  15. Base Mérimée, fontaine


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