Vers 1730 , les habitants des hameaux de la future commune des Houches obtiennent auprès des autorités ecclésiastiques l'érection de leur territoire en paroisse sous prétexte d'éloignement de Chamonix auquel ils appartenaient. Ils s'engagent à construire l'église a leurs frais.
Les travaux ont été réalisés par étapes successives sur une période d'environ soixante ans.
Le clocher à bulbe qui rappel les clochers du Tyrol date quant à lui de 1839.
Le style de l'édifice est de type Baroque comme la majorité des églises de Savoie des XVIIe siècle et XVIIIe siècle.
On dénombrait au hameau de la Griaz une centaine de foyers en 1561.
Chapelle du hameau de la Griaz édifiée en 1643.
Les chapelles possèdent souvent plusieurs vocables pour protéger les hameaux de plusieurs causes.
Le clocheton permet d'appercevoir la cloche car il n'y a pas d'abats-son. Celle ci a été fondue en 1828 par Louis GAUTIER, fondeur de Briançon. Elle possède encore tous ses équipements d’origine et elle est actionnée encore aujourd’hui à la corde depuis là chapelle. Elle pèse environ 100 kilos pour 60,4cm de diamètre. Elle porte le doux nom de « Marie Josèphe Geneviève » et tinte un « Mi aigu ».
Source[1][2]
Chapelle désacralisée située dans le parc du Merlet. A la mort de M. Im-off en 1939, le domaine est habité par son épouse pendant quelques années. En 1947, elle se résoud à le vendre en viager à la famille Cachat. Etant très croyante et pratiquante, une des conditions du viager est la construction d’une chapelle. René Cachat est menuisier charpentier, il la réalise donc tout en bois. La chapelle, dédiée à Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus est inaugurée en 1949. Cette chapelle a été utilisée plusieurs années, un prêtre habitait alors à Merlet l’été.