Église située 66 Avenue Jean Jaurès.
La direction de la Société Lyonnaise de Soie Artificielle obtient la création d'une nouvelle paroisse à proximité de l'usine et finance la construction de l'église, un bâtiment provisoire de 25 mètres de long en mâchefer et bois est élevé en 1932. Le provisoire dur encore...
En 1952 la restauration est lancée par l'abbé Jean BERGER (Maître autel en bois, nouveau décor, tableau représentant les vingt nationalité de la paroisse, chemin de croix).
Suite à un incendie en 1967, l'église sera de nouveau restaurée.
En 2011, le diocèse vend le bâtiment à la commune qui l'utilisera comme lieu de stockage [1].
Édifice édifié de 1830 à 1831 pour remplacer la chapelle Saint-Ennemond qui n'était plus utilisée pour le culte depuis le XVIIe siècle. C'est l'entrepreneur lyonnais GUICHARD et sous la responsabilité de l'architecte SAVY, de Lyon que les travaux ont été exécutés.
A l'origine, une ancienne église Saint Pierre devait être agrandie vers 1820 par l'architecte lyonnais FOROBERT.
Des modifications ont été réalisés en 1873.
elle abrite, une sculpture grandeur nature tout en noyer de la Sainte-Vierge datée de 1940, réalisée par l'artisan-ébéniste CUPITI, la représentant en Reine de la Paix (Regina Pacis) écrasant le Serpent et tenant à la main un rameau d'olivier. Elle était précédemment à Notre-Dame-des-Bruyères.
Construite grâce à une souscription populaire à l'initiative de l'Association des dames chrétiennes arméniennes, présidée par Serpouhie HALEPIAN. La première pierre fut posée en 1932 par Mgr Krikoris BALAKIAN. Église consacrée en 1932, réaménagée puis reconsacrée le 27 avril 1946.
Joêl MOME, artiste lyonnais a été retenu pour la réalisation de vitraux lors des travaux de rénovation en 2004.
Les vitraux représentent leurs Bienheureux Saints favoris.
Centre situé 9 Rue Sully.
Lieu cultuel et culturel le bâtiment a ouvert ses portes en septembre 2017. Il comporte une salle de prière, une bibliothèque et des salle de classe.
Mémorial situé rue du 24-avril-1915.
La pose de la première pierre a eu lieu le samedi 24 avril 1965, jour du cinquantenaire du 24 avril 1915, et son l'inauguration le 4 juin 1972[2]. Il constitue le premier mémorial du génocide arménien érigé en France[3].
Son concepteur est Robert Darnas (1913-1980) [4][5].
Situé place Stépanavan depuis 1994 (son lieu d'origine).
Mégalithe situé entre le canal de Jonage et la route de Lyon à Crémieu, tout près d'une ancienne sucrerie. Le lieu où se trouve ce monument porte le nom du monument lui-même : il se nomme Pierra-Frita, Pierra-Freta, Pierre-Fritte (signifiant pierre fichée ou pierre plantée). Sur la carte de l’État-major, il est indiqué sous le nom de Pierrefite. C'est un bloc erratique en roche granitoïde mesurant exactement 3,90 m de long, 7,80 m de détour, 1,25 m de hauteur au-dessus du sol et 0,9 m de largeur moyenne[6]. Sur la partie supérieure, on remarque cinq entailles faites à environ quarante centimètres les unes des autres. On ne trouve sur ses différentes faces aucune autre trace de sculpture. Ce menhir, aujourd'hui presque couché, était encore debout au sommet des Balmes Viennoises en 1840. Le propriétaire voulait le détruire, mais le service de cartographie de l’État-major s'y est opposé, parce qu'il avait pris ce monument pour un point de repère. L’archéologue M. Chantre, le conseiller à la cour de Lyon Léopold Niepce et le juge de Paix à Meyzieu M. Broal le sauvent de la destruction et le font inscrire en 1887 aux M.H .
Le menhir est classé au titre des monuments historiques depuis 1889[7].
Repères géographiques
Démographie
Année
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
Population
406
503
620
735
832
769
860
984
976
1 027
Année
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
Population
1 082
1 094
1 106
1 047
997
1 085
1 077
1 220
1 159
1 062
Année
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
Population
1 130
1 618
3 602
6 942
6 078
6 445
7 546
10 931
15 297
20 031
Année
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2021
-
-
-
Population
22 832
24 564
24 193
24 668
25 794
28 604
-
-
-
-
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.
Jean et Youri DJORKAEFF tous deux footballeurs français. En avril2007 , Youri prend la présidence du club de football local, l'UGA Décines (Union générale arménienne), dans lequel son père et ses deux frères, Denis et Micha, étaient déjà très impliqués.
Conseiller général du canton de Meyzieu - Rétabli par le Comité Départemental de Libération
Marcel THERRAS
1947 - 1965
-
Emile PERNIN
1965 - 1967
-
Pierre MOUTIN
1967 - 1991
(1925-2021) - Démission en mai 1991, mais reste conseiller municipal jusqu'en 2001 - conseiller général (1970-2001) - Sous son mandat divers constructions ont été lancées : ouverture de plusieurs groupes scolaires (Charpieu en 1968, sablons en 1972 et Prainet 2 en 1976) ou autres équipements structurants : la bibliothèque municipale en 1976, la construction du stade municipal, la piscine des Tournesols, les gymnases Émile Zola et Berthaudière ou encore la Maison de la Musique en 1987.