69202 - Sainte-Foy-lès-Lyon
Sainte-Foy-lès-Lyon | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | ![]() |
Canton | ![]() |
Code INSEE | 69202 |
Code postal | 69110 |
Population | 22 141 habitants (2018) |
Nom des habitants | Les fidésiens |
Superficie | 683 hectares |
Densité | 3241.73 hab./km² |
Altitude | Mini: 170 m |
Point culminant | 322 m |
Coordonnées géographiques |
45.733889° / 4.477778° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Bref historique
La première mention écrite de Sainte-Foy se trouve sur une charte de 1170. La présence dans le clocher de l'église de panneaux sculptés du Zodiaque, aux images archaïques de la première sculpture romane, confirme son appartenance au XIIe siècle.
Époque Romaine
Sainte Foy est sur la « Voie de Narbonnaise » reliant Lyon à Vienne, Orange et Arles et ensuite Nîmes, Narbonne et l’Espagne ou Marseille , Fréjus et l’Italie. Des traces de cette voie sont encore visibles derrière l’Odéon ».
Une autre voie traversait la commune empruntant le chemin de Chantegrillet permettant d'aller de Lugdunum en direction de Malataverne en passant par Francheville .
L’aqueduc « du Gier » reliant le massif du Pilat à Fourvière traverse la commune. L’Yzeron est franchi à Beaunant par un pont-siphon long de 269 mètres et 7 mètres de large, 17 mètres de haut. Sur les 30 arches de cet ouvrage situés sur la commune 10 sont encore visibles. Une datation archéomagnétique réalisée sur plus d'une centaine de briques du pont-siphon permet de situer la construction de l'ouvrage autour de 40 après JC avec une précision de + ou - 20 ans et fait état d'une restauration possible d'au moins une pile (effondrée ?) 30 ans après.
Cet aqueduc a laissé d'autres arches portant le canal. Ces vestiges aériens sont encore visibles chemin de Narcel et rue Georges Clemenceau. A l'occasion de travaux, le canal de l'aqueduc, qui était essentiellement souterrain, a été observé dans sa traversée du parc du Brûlet où un aménagement permet de le découvrir.
Aucune autre vestige de l’époque romaine n’est visible sur le territoire de la commune.
Le Moyen Age
Au XIIe siècle, Sainte-Foy dépend des Chanoines-comtes de Saint-Just qui possèdent les droits de justice sur leurs territoires. Les moines ont hébergé le pape Innocent IV réfugié politique à Lyon. Le pape fait don en reconnaissance des baronnies de Brignais et de Valsonne.
Vers 1187 , l’abbaye de Saint-Just cède ses droits sur Sainte-Foy au chapitre de Saint-Jean. Une église est alors bâti près de l’emplacement de l’église actuelle. De cet édifice, il ne reste que le clocher. Le troisième étage du clocher fût ajouté en 1890 pour accueillir les cloches.
En 1312 , le Lyonnais et par conséquent Sainte-Foy est rattachée à la couronne de France alors sous la tutelle de Philippe le Bel.
Vers 1356 , les Anglais sont au portes de la paroisse (Guerre de Cent Ans)
De la Renaissance à la Révolution
Durant cette période les principales pestes qui déciment la population sont datées de 1564 , 1572 , 1577 , 1582.
Durant les guerres de religion sous Henri III, la paroisse s’agrandit. Un acte daté de 1576 de Pierre d’EPINAC, archevêque de Lyon cède aux habitants de Oullins et de Sainte-Foy, la propriété qu’il possédait sur les Île Brotteaux et les Saulaies d’Oullins. Ces terres sont recouvertes par le Rhône une partie de l’année mais asséchées en été et donc sont cultivables.
D’autres épidémies sont signalées en 1628 et 1629 et entre 1637 et 1674.
Les famines de 1693 et 1709 ont entraînées une baisse de la démographie sensible chez les moins de vingt ans.
La Révolution
A cette époque Sainte-Foy est une commune rurale ou la viticulture tient une place importante , mais l’élevage permet aussi à la population de vivre. Le tissage de la soie après 1787 est en crise car les mûriers ont gelé au cour de l’hiver. La viticulture est restée importante jusqu’à l’apparition du phylloxéra en 1884. Notons que les dernières vendanges réalisées sur la commune se sont faites vers 1960. En 1793 la commune s'appela Bonnefoy et aussi Montchalier.
De la Révolution à nos jours
À partir de 1835, la commune se développe rapidement grâce à l'essor industriel.
1822 : construction de « la tour du télégraphe » Chappe sur la ligne « Lyon – Toulon ».
1835 : le sieur François Durand (traiteur) est autorisé à exploiter une liaison par voiture omnibus à chevaux entre Sainte Foy et Lyon. La Compagnie des Chemin de Fer achète les terrains sur Oullins et Sainte-Foy situés aux « Brotteaux » et « Les Saulaies ».
1834 : Installation d'une mairie-école dans un bâtiment existant acheté à Jean CHAUMIER, charron. Édifices démolis en 1929 .
1839 : le conseil municipal permet la construction d'une « usine à fer ».
Un inventaire des fabriques fait en 1861 dénombre : 20 fours à plâtre, 31 tanneries, 12 fabriques de fonte, 66 fabriques d'articles en acier etc.
Les chemins de fer et le Rhône ont contribué au « développement industriel » de la commune.
1845 : fin de la construction du fort de Sainte-Foy, le début de la construction datant de la période révolutionnaire.
1848 : la crise économique provoque l'arrêt de certaines usines.
1885 : naissance de la La Mulatière.
Un long désaccord entre les deux paroisses et une population du hameau de La Mulatière (1 923 hab.) supérieure à celle du bourg de Sainte-Foy (1394) va entraîner une division de la commune. Le 26 juin Jules GRÉVY, président de la République décrète la scission de Sainte-Foy en 2 communes (Sainte-Foy-lès-Lyon et La Mulatière).
1893 : création de l'Hôpital-hospice de la commune. Cet établissement fut fondé grâce à la générosité de deux prêtes (les abbés Châtelain et Deshay) qui léguèrent en 1864 et 1871 au conseil de fabrique de la fabrique des fonds. Ceux ci bien placés ont permis la création de l'établissement. L'ancien château de BRÜCK est acquit et aménagé et le 25 mai 1896 l'inauguration à lieu. La partie hôpital comprend quarante lits et la partie hospice douze.
1893 : le premier tramway électrique est inauguré (4 juin) entre Sainte-Foy et Lyon Saint-Just, celui-ci est exploité par la SA TSF (Tramway Sainte-Foy). Le premier tramway électrique de Lyon sera mis en service en 1894 seulement.
1894 : premier éclairage « par ampoule électrique » de la ville.
Héraldique
Blason dessiné par l'abbé Boulachon en 1888, alors que les armoiries des chanoines de Saint-Just (seigneurs jusqu'à la fin du XIIe siècle) ou celles des chanoines de Saint-Jean (seigneurs du XIIe au XVIIIe siècle) auraient pu être adoptées.
- "D'azur à la foi d'argent accompagné en chef d'une couronne d'or et en pointe d'une tête de lion du même."[1]
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Rhône
- Arrondissement - 1801-2023 : Lyon
- Canton - 1801-1973 : Saint-Genis-Laval ---> 1973-1985 : Oullins ---> 1985-2015 : Sainte-Foy-lès-Lyon
- Commune - 1801-2023 : Sainte-Foy-lès-Lyon
Résumé chronologique :
- 1801-1973 : Cton de Saint-Genis-Laval, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
- 1973-1985 : Cton d'Oullins, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
- 1985-.... : Cton de Sainte-Foy-lès-Lyon, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
Repères géographiques
La commune de Sainte-Foy les Lyon est située sur la rive droite de « l’axe Saône-Rhône » et domine le confluent du Rhône et de la Saône. Le « plateau » de Sainte-Foy situé sur le prolongement sud de la colline de Fourvière est encadré par trois sillons :
La Mulatière au sud, Beaunant à l’ouest et le chemin des prés en limite du 5e arrondissement de Lyon.
La commune est traversée par l’Yseron (affluent du Rhône) dont les crues sont régulières au printemps.
Patrimoine bâti
Séminaire Saint-Irénée
En 1900: Projet d'installation d'un nouveau séminaire destiné à remplacer celui d'Alix sur le terrain d'une ancienne maison de campagne appartenant depuis 1860 au séminaire Saint-Irénée de Lyon. La première pierre est posée le 13 mai 1901. Le séminaire fut construit en 1902-1903 par l'architecte Louis Jean Sainte-Marie-PERRIN co architecte de la basilique de Fourvière. Le plan présente la forme d'un H (105 m X 70 m), avec un corps de logis, un avant-corps central surmonté d'un fronton semi circulaire couronné d'une horloge et d'un lanternon, deux ailes de part et d'autre terminées par quatre pavillons carrés, ainsi qu'une chapelle en appendice. La chapelle située dans l'axe du vestibule d'honneur de l'avant-corps central est éclairée par deux niveaux de baies plein cintre. Tous les vitraux sortent de l'atelier du maître verrier lyonnais Lucien BÉGULE. Le séminaire est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 2007 [2].
Le diocèse a vendu la bâtiment en 2008 [3], et des appartements ont été aménagés dans ce vaste espace (10000 m2).
Séminaire des missions d'Océanie
Situé Chemin Du Grand-Roule.
En 1855, des pères Maristes ont acheté le domaine de la Croix-Pivort qui appartenait à Jean-Marie d'ARZAC du SAVEL.
Le bâtiment principal de la propriété ne convenait pas à l'usage de "la société de Marie" et il fut donc démoli en 1858.
Un nouveau bâtiment fut donc décidé. C'est l'architecte lyonnais Louis BRESSON (1817-1893) qui fut chargé du projet.
Le bâtiment devait pouvoir accueillir des novices, mais aussi des célébrations pour les retraites annuelles.
La construction débuta au printemps 1858 et s'acheva sauf la chapelle et la bibliothèque à l'automne 1860[4].
La construction de la chapelle est de la bibliothèque s'est achevée en 1866.
De 1880 à 1906, ce fut le siège de la congrégation de la société de Marie.
De 1906 à 1928, le grand séminaire de Lyon occupe les lieux .
Le bâtiment servi au "mobiles en 1870, d'hôpital complémentaire durant la première guerre, à nouveau d'hôpital complémentaire durant les années 1939 et 1940, puis servi à la Luftwaffe de 1943 à 1944.
Les locaux sont toujours la propriété des Maristes qui louent une partie "Au Grapillon" (accompagnent des personnes en situation de handicap).
En 1983, une partie du parc à été cédé à un promoteur immobilier.
Chapelle de style néo-roman, à nef unique de trois travées, précédée d'un narthex, abside semi-circulaire.
Les murs sont en pierre de taille, rehaussés de brique rouge.
Chapelle Sainte Marguerite
Chapelle terminée en 1675 et dédiée à Sainte Marguerite d’Antioche, patronne des femmes enceintes. La chapelle fut fermée en 1835 compte tenu de sa vétusté. Elle ne fut réouverte ensuite que de 1842 à 1843 pendant la construction de l'église paroissiale.
En 1868/69 quelques paroissiens voulurent remettre la chapelle en état et lancèrent une souscription. Il fut démolie le clocheton et percé un oculus dans la façade pou éclairer la nef.
Définitivement désaffectée en 1971 La chapelle est actuellement une salle d’exposition.
Les travaux d’aménagement intérieur réalisés par l'architecte Xavier TRONEL se sont achevés en 1973.
Chapelle Sainte-Jeanne-d'Arc
En 1938, une paroissienne cède à l'association des familles de Beaunant un terrain pour y construire une chapelle pour l'amélioration morale de ce quartier un peu difficile des aqueducs . L'ancien commerce qui s'y trouvait fut converti provisoirement en chapelle. En 1963, le diocèse se pose la question de la réalisation d'une véritable église dans ce quartier, des plans sont réalisés par J.G. MORTAMET et Ph VIDAL et à partir de 1968 un permis de construire est déposé. Mais dans les années 1970, la pratique religieuse est en baisse et le diocèse renonce a son projet. La chapelle est désacralisée en 2003.
La tour Chappe
La tour "Chappe" est la seconde station de la ligne "Lyon-Toulon" mise en service en 1822 . Elle est en "correspondance" avec la station de Lyon Saint-Just et le clocher d'Irigny.
La tour a été utilisée jusqu'au 13 mai 1852 date de l'arrivée du télégraphe électrique.
Le mécanisme actuel a été réalisé par les élèves du CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers) de Lyon et mis en place en 1995. L’inauguration de celui ci ayant eu lieu le 1er avril 1995.
Inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques en 1987 (22 septembre)[5].
Église Sainte-Foy
Les premières citation d'une église remonte à 1170. Cet édifice a subit de nombreuses transformations (reconstruction partielle en 1519, effondrement de la toiture en 1790 et du cœur en 1839) jusqu'à sa démolition presque totale au début du XIXe siècle. De l'église romane , il n'a resté que le clocher jusqu'en 1888.
En ce début du XIXe siècle l'église est devenue trop petite et en 1825 le curé adresse une lettre au conseil de fabrique exprimant les difficultés d’accueil. Le curé ayant discuté de son projet avec l'Archevêque et se sentant conforté dans son projet par les autorités.
Le conseil municipal réuni le 25 octobre 1825 refuse de financer le projet par 112 voix contre 4.
En 1835, le curé DUJAST ouvre un cahier de souscription, en vue de la réalisation d'une église. Le montant des dons s'élèvent à 31000 francs et sont confiés au notaire. Le 28 juillet 1838, une nouvelle délibération à lieu sur l'opportunité de cette construction. Par 19 voix contre 13 le projet est refusé.
La fabrique persiste et en 1838 et 1839, deux projets de l'architecte Fleury GROS seront examinés par le conseil. Après le décès de l'architecte c'est l'architecte Christophe CRÉPET qui propose une nouvelle étude.
Le 30 octobre 1839, le ministre secrétaire d'état aux cultes adopte le projet de CREPET et le préfet informe le maire Félix BON de cette décision. le projet est évalué à 50671 francs et le conseil dispose de 31000 francs.
Le préfet demande au maire d'intervenir dans l'adjudication et celle intervient le 19 janvier 1840. Le préfet autorise le maire à entreprendre les travaux sans l'accord du ministre.. Ce dernier sera délivré le 6 mai 1840.
La première pierre de l'église actuelle fut posée le 9 août 1840 par l'archevêque de Lyon sans la présence du maire celui ci ayant décliné l'invitation.
A la fin de la mise en place de la toiture de la nef, dans la nuit du 14 au 15 novembre 1841 la nef s'écroule. Le chantier et stoppé et un comité d'expert est nommé. Le préfet autorise en mars 1842 le conseil de fabrique à poursuivre en justice l'architecte et les entrepreneurs. Mais le procès ne se déroulera jamais car le 5 avril ces derniers décident de prendre à leur charge les conséquences du sinistre. La construction peut reprendre et le procès verbal de réception provisoire est signé le 8 Juin 1843.
Le coût final est de 105155 francs au lieu des 50671 prévus...
Le Cardinal Louis-Jacques-Maurice de BONALD , archevêque de Lyon, bénit la nouvelle église le 11 juin 1843 soit trois jours seulement après la réception provisoire.
Mais dès 1844 les conséquences des économies faites à la construction se manifeste et l'édifice devra périodiquement subir des travaux de renforcement.
En 1888, le conseil de Fabrique décide de transformer le clocher c'est l'architecte Édouard BISSUEL qui est chargé de cette modification et l'inauguration de celui ci eu lieu en 1890.
Le financement de cette transformation est assuré par les offrandes des paroissiens. Le montant de cette restauration/transformation aura été de 32600 francs.
L'ancien clocher roman a été conservé lors de la reconstruction et concerne les deux premiers étages de l'actuel clocher. L'étage intermédiaire recevant l'horloge et le troisième étage portant deux paires de baies géminées ainsi que la flèche pyramidale constituent la partie ajoutée.
Le clocher est équipé de cinq cloches:
- "Alexandrine" 780 kg coulée par BURDIN fils de Lyon en 1853;
- "Antoinette" 464 kg coulée par BURDIN en 1845;
- "Catherine" 550 kg coulée en 1884 par BURDIN en remplacement d'une cloche plus ancienne fêlée ;
- "Caroline Marguerite" 290 kg coulée en 1936 par Joseph GRANIER de l'Hérault;
- "Marie-Thérèse-Joséphine" 220 kg coulée en 1936 par Joseph GRANIER.
Ces deux dernière furent baptisées par le cardinal MAURIN le 18 octobre 1936.
L'église est suivant un plan basilical avec trois nefs de cinq travées. Les nefs sont voûtées en berceau au centre, en arête sur les bas-côtés. Le transept est "non débordant", il est suivi d'une travée de chœur et d'une abside centrale, flanquée de deux absidiales, toutes trois en cul de four. Les nefs reposent sur des colonnes toscanes maçonnées, peintes en faux-marbre. Une coupole sur pendentifs surmonte la croisée du transept, elle repose sur quatre piliers cruciformes.
L'orgue est des ateliers de MERKLIN et KUHN, il date de 1922 et il fut relevé et adapté en 1975.
Les vitraux des bas-côtés sont à motifs floraux. Les trois grands vitraux de l'abside, placés en 1948, sont dus à Jean COQUET, peintre-verrier fidésien. Ils représentent, de part et d'autre d'une Crucifixion centrale, Sainte Marguerite de Hongrie à gauche, Sainte Foy à droite. Le vitrail de la chapelle de la Vierge, dû à BRUN-BASTENAIRE, date de 1844. Il représente la généalogie du Christ. Il est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques Base Palissy depuis 1986.
Reliquaire de Sainte-Foy Inscrit au titre objet le 02 juillet 1982[6]
L'église Saint-Luc
Église située : 4 bis place St Luc
Le principe de la création d'une nouvelle paroisse par l'archevêque date du 21 janvier 1958.
Paroisse créée effectivement en janvier 1962 sur les communes de Sainte-Foy-les-Lyon et Lyon 5e dans le nouveau quartier de "Grange-Bruyères".
Un terrain fut cédé gratuitement le 4 janvier 1963 à l'association diocésaine sous réserve de l'obtention des autorisations administratives par la SCI "Les Bruyères" qui réalisait le nouveau quartier.
L'autorisation préfectorale fut délivrée le 26 août 1963 et les actes notariés furent rédigés le 24 octobre 1963
Le diocèse désigne l'architecte Lyonnais Joseph BACONNIER (auteur de Saint-Marie de la Guillotière) pour mener à bien ce projet.
L'architecte présente les plans de son projet à la commission technique de l'ODPN en février 1964, le permis de contruire est délivré en juillet de la même année et le chantier débute en octobre.
Le curé en charge de cette nouvelle paroisse est Jean PLAQUET qui sera en charge de constituer une équipe pour assurer la construction d'un nouveau lieu de culte.
L'église sera construite d'octobre 1964 à Noël 1966, date où est célébré le premier office. La bénédiction de l'église ayant eu le 3 octobre 1965.
L'église ne sera achevée qu'en 1968 . L'autel sera consacré par le cardinal RENARD le 28 avril 1968. Les cloches seront installées en 1977 (Deux cloches PACCARD d'Annecy et une offerte par M. BIROT provenant d'Algérie)et l'orgue en 1978.
Les curés de Saint-Luc
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Jean PLAQUET | 1962- 1991 | - |
Michel DESVIGNES | 1991-1993 | - |
Georges FRITSCH | 1993-1995 | (1933-2013) - Nouvelle organisation des paroisses |
L'église Sainte-Thérèse
Église située au 105, rue Commandant Charcot.
La paroisse de Sainte Thérèse la Plaine a été fondée par le Père Antoine MAGAT qui est nommé à Sainte-Foy-lès-Lyon le 10 Novembre 1935. Le 29 Mars 1936 création d'une Société Immobilière qui deviendra propriétaire en mai 1936 du terrain de 1,1 hectares situé au 105 rue Cdt Charcot .
La construction définitive débutera en Mai 1948 par l'entreprise de maçonnerie J. CLÉMENT & fils et par André PERAUDEAU pour la charpente et menuiserie. La couverture sera achevée en Juillet 1949. Les travaux seront arrêtés pendant trois ans pour raison d'impayés... Le chantier reprend en 1952 et le premier office aura lieu pour pâques en Avril 1953, puis les messes deviendront régulières à partir de Juin 1953. La bénédiction ayant lieu le 25 octobre 1953. A ce moment seul la neuf et deux travées sont construites. Les projets d'agrandissement se succèdent mais aucun ne verra le jour. Peintures intérieures réalisées pendant l'été 1982.
Architecte : Charles VIAL.
Les curés de Sainte-Thérèse
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Antoine MAGAT | 1935 - 1970 | - |
- | - | - |
Chapelle du Carmel Saint Joseph
Pagode Thiên Minh
Temple bouddhiste appartenant à la communauté vietnamienne situé: 51 Rue de Cuzieu .
La construction de la Pagode Thiện Minh dura près de six ans d'avril 1984 à 1990.
Un premier terrain fut acquis le 23 décembre 1982 par l'association et la pose de la première pierre se déroula le 18 décembre 1983. la statue de Bouddha de Villeurbanne fût transférée à la nouvelle pagode de Sainte-Foy-lès-Lyon durant l'été 1984 et l'inauguration de ce transfert eu lieu le 1er novembre 1984.
En 1989, une statue en bronze de Bouddha haut de 2m20 et revêtue de feuilles d’or fut offerte par une famille thaïlandaise.
Les 4, 5 et 6 mai 1990, la Pagode Thiện Minh fut officiellement inaugurée lors d'une grande cérémonie d'ordination de jeunes moines.
Afin d’agrandir la Pagode, une parcelle de terre de 1968m2 fût acquise le 13 Mai 1992 permettant la réalisation d'un parking. Une autre acquisition de terrain de 641m2 permit d'ériger, en 1995, une statue en pierre taillée de la déesse "Avalokiteśvara". Cette statue revêtue de feuilles d'or et pesant plus de dix tonnes et mesurant 6m est l’œuvre du grand sculpteur-architecte français GOUVAIN. [7]
À l'automne 2000, le jardin Lumbini symbolisant la naissance du prince "Siddhārtha Gautama" et la statue représentant le Bouddha Çâkyamuni couché ont été inaugurés.
Enfin, durant l'été 2001, le grand portique de la Pagode, entrée officielle du lieu de culte.
Dans la nuit du samedi au dimanche 18 juin 2006, un incendie ravagea l'édifice, détruisant complètement sa toiture.
La première pierre de la reconstruction de la pagode fut posée le 29 octobre 2006 .
Les 29, 30 et 31 août 2008, les nouvelles statues furent inaugurées lors d'une cérémonie officielle. À l'été 2009, des fresques colorées illustrant la vie de Bouddha furent scellés à l'extérieur de l'édifice. Les 3, 4 et 5 juin 2011 la nouvelle pagode fut inaugurée après cinq années de travaux.
La mairie
Mairie située : 8/10 rue Desbay.
Maison construite en 1882 par l'architecte Henri de CHAMP pur monsieur Guillaume BLANCARD, fabricant de dorures et d'ornements religieux.
En 1907, Guillaume BLANCARD, fabricant de soierie achète le château.
Le 28 juin 1977, la mairie acquit la propriété Charbin-Brossette [19 168 m2 pour 2 270 000 Fr] pour y installer la mairie actuelle dans le « Château ».
Les locaux sont adaptés à un usage de mairie et celle ci emménage en 1981.
Édifice s'inspirant des châteaux de la Loire du début du XVIIe siècle.
Une partie du parc à l'anglaise a été transformé en jardin public.
Aqueduc romain du Gier
L'aqueduc du Gier traverse toute la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon du sud-ouest au lieu-dit Beaunant, au nord-est dans le quartier du Petit Sainte-Foy, sur une longueur de 4 170 m, et franchi la vallée de l'Yzeron par 72 arches dont certaines sont conservées. Le Pont aqueduc est inscrit aux monuments historiques[8]
Fort militaire de Sainte Foy
Le fort de Sainte-Foy fait partie du système de forts dit de la petite ceinture de Lyon. Le but de ce fort était d’assurer la défense de Lyon contre un ennemi venant de l’Ouest ou du Sud, et d’avoir des vues dominantes sur la ville depuis le confluent des fleuves jusqu’à Bellecour.
Autres chapelles
Château de la Bachasse
Château dominant la vallée de l'Yzeron en limite avec la commune d'Oullins.
Quelques dates
- 1732 : Les terres appartiennent à Pierre GIRY, chevalier et baron de Vaux.
- 1784 : Antoine HÉRIS, bourgeois de Lyon, devient propriétaire des lieux.
- 1831 : Le domaine est acquis par Jean-Baptiste GERBES de TOURS, soyeux lyonnais.
- 1850 : Antoine Alexandre GIRAUD, avait épousé en 1827 Pauline GERBES de TOURS, fille du précédent propriétaire , décide la construction du château actuel. La construction faite par les architectes lyonnais Émile TURBET et Alexis TISSOT (1847 - 1926) se déroulera de 1880 à 1890.
- 1947 : Noémie GIRAUD (1877-1959), petite-fille des précédents et veuve du Docteur en droit, Avocat, Administrateur des Mines d'Anthracite de La Mure Henri MATHEI de VALFONS (1873-1947)[9] , qu'elle avait épousé en 1899, vend le bien à la Société nationale des chemins de fer français.
- 1965 l'ancienne maison de maître de laBACHASSE est démolie.
- 1969 la SNCF fait construire dans le parc une résidence hôtelière pour accueillir les agents en formation.
- 1986 : La gestion du domaine (hormis le château) est confiée au comité d'entreprise régional de la SNCF.
- 1998 : La SNCF confie à l'AGEFOREL (Association de Gestion des Foyers de la Région Ferroviaire de Lyon) la gestion du château.
Quelques caractéristiques
- Le château actuel, comprend un corps de logis rectangulaire flanqué dans ses quatre angles de pavillons carrés. Il comporte un rez-de-chaussée, un étage et un étage de combles percé de lucarnes. La toiture en ardoise du corps principal est à comble brisé, celles des pavillons sont à forte pente. Les baies sont surmontées de linteaux droits ou triangulaires. La façade sud est précédée par un Perron à balustrade comprenant un escalier à double volée de onze marches.
- Le parc, en partie boisé, couvre 8,2 hectares.
Château de la Bramafan
Cette maison répertoriée dès 1540 sous le nom de Chateaugay a été profondément remaniée entre 1883 et 1886 dans le style néo-gothique et Renaissance. Il aura divers propriétaires. C’est ce Jean- Antoine GUINAND, secrétaire des Facultés Catholiques (1880) qui commande à l’architecte Henri FEUGA les travaux de transformation dans le "style" Viollet Le Duc.
En 1942, le château est acquis par le docteur Léopold BUSSY, ophtalmologue lyonnais. A sa mort, ses enfants sont dans l’indivision mais ne partagent pas la même vision du patrimoine. Certains veulent vendre la propriété, d’autres la conserver. A la rentrée 2012, un compromis est trouvé entre les deux clans grâce à l’arrivée d’un investisseur étranger à la famille.
Le rez-de-chaussée a été brièvement utilisé comme hôpital de campagne allemand pendant l’occupation.
En photos
Cartes postales
Photos
Ville de naissance ou de décès de
- Marcel Augustin Férréol ACHARD , dramaturge et écrivain français (membre de l'académie française depuis le 28 mai 1959) sous le nom de Marcel ACHARD, né le 5 juillet 1899, décédé à Paris le 4 septembre 1974
- Alexis CAREL (docteur)de son vrai nom Marie Joseph Auguste CARREL-BILLIARD, chirurgien, biologiste et neuro-physiologiste français né à Sainte-Foy-lès-Lyon le 28 juin 1873 et mort à Paris le 5 novembre 1944.
- Patrice DARD, écrivain né le 9 juillet 1944
- Isabelle PATISSIER, alpiniste née le 1er mars 1967
- Éric Emmanuel SCHMITT, écrivain réalisateur né le 28 mars 1960
Démographie
- La commune cède en 1885 une partie de son territoire qui deviendra La Mulatière.
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 2 044 | 2 110 | 1 697 | 2 016 | 2 312 | 2 808 | 2 737 | 3 120 | 3 127 | 4 114 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 4 462 | 5 042 | 4 668 | 5 118 | 5 732 | 3 105 | 2 907 | 2 914 | 3 106 | 3 147 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 358 | 3 782 | 4 505 | 5 074 | 5 335 | 6 270 | 7 290 | 9 592 | 16 583 | 21 698 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 21 521 | 21 450 | 21 193 | 22 208 | 21 585 | 21 995 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
François DELORME | 1790 - | Premier maire |
François DEPIERRE | 1791 - 1793 | |
Simon LA COMBE | 1793 - | |
SALIGNAC | 1794 - | |
- | - | |
JAQUI | 1800 - | Maire provisoire |
? | 1801 - 1802 | |
Antoine SAGET | 1803 - 1813 | |
Charles RAMBAUD-BROSSE | 1813 - 1823 | |
Louis VALIOUD | 1823 - 1823 | Intérim |
REY-MONLÉAU | 1823 - 1830 | |
Pierre GIRERD | 1830 - 1835 | Décès |
Claude PINTUREL | 1835 - 1837 | |
Félix BON | 1837 - 1861 | |
Louis VALIOUD | 1861 - 1875 | décès[10] |
Joseph RICARD | 1876 - 1877 | |
Louis DEBOLO | 1878 - 1881 | |
Jean-Louis JAQUIER | 1881 - 1884 | |
Louis DEBOLO | 1884 - 1885 | |
Léon MICHON du MARAIS | 1885 - 1917 | Décès |
François MILLOU | 1917 - 1920 | |
Xavier RICARD | 1920 - 1938 | Décès |
Henri GIRAUD | 1938 - 1940 | |
Laurent PAUL | 1940 - 1944 | |
Adrien REPLUMAZ | 1944 - 1947 | À la libération, par arrêté préfectoral du 12 septembre cette municipalité fut dissoute et un arrêté préfectoral du 5 octobre 1944 nomma, en remplacement, municipalités un groupe de 20 personnes (sous l’égide de Louis JUHELl, administrateur provisoire). Celles-ci réunies en Conseil le 12 octobre élurent au poste de Maire Adrien Replumaz, ingénieur résistant communiste (19 voix contre une à JUHEL). Adrien REPLUMAZ fut confirmé dans son poste dans une élection générale en 1945. |
Maurice JARROSSON | 1947 - 1965 | |
Raymond BARLET | 1965 - 1977 | |
Maurice MOULIN | 1977 - 1983 | |
Jean SALLES | 1983 - 1995 | |
Michel CHAPAS | 1995 - 2014 | Réélu en 2001 ; 2008 |
Véronique SARSELLI | 2014 - (2026) | |
- | - |
Cf. : Mairegenweb
Les notaires
Notaires de Sainte-Foy dont les minutes sont déposés à la Chambre des Notaires de Lyon.
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
DRIVON | 1698 - 1723 | |
FAUCHEUX | 1753 - 1775 | |
DELABAT | 1777 - 1779 |
Notaires de Sainte-Foy dont les actes sont déposés à l'étude de Maitre GIRAUD.
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Hugues PIVOT | 1737 - 1760 | |
FABRY | 1762 - 1767 | |
Louis MARTIN | 1767 - 1788 | |
Jean-Prudent MERLE | 1788 - 1820 | |
Jean-Claude PINTUREL | 1820 - 1854 | |
Jacques JANTET | 1854 - 1869 | |
Hyacinthe DEPARDON | 1869 - 1883 | |
Louis PERRIN | 1883 - 1893 | |
Henry-Marie GIRAUD | 1893 - 1928 | |
Michel GIRAUD | 1928 - 1960 | |
Paul SAINT-PIERRE | 1960 - | |
- | - |
Les curés de Sainte-Foy
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | ||
Jehan MARTIN | 1582-1602 | Premier curé figurant sur les registres paroissiaux |
Pierre DUCREUX | ?-1625 | Vicaire à Sainte-Foy en 1596 |
Charles DEPERDUSSAIN | 1625-1628 | |
DEMONCHANIN | 1628-1631 | |
Blaize GLEIZE | 1631-1633 | |
Pierre de LACROIX | 17 Août 1633 | |
Joseph de ST MARTIN | 1 Juin 1675 | |
Benoît Baron (ou Barou) | - | |
Claude LEBE | 13 Mai 1701 | |
Louis BOYER | 10 Novembre 1733 | |
Pierre LARRIVÉE | 18 Mai 1762 | |
Antoine FRANCHET | 30 Mars 1787-1789 | |
André RICHARD | Février 1803 - | Auparavant missionnaire |
Benoît ALUMBERT | Juin 1810 - 1818 | Puis curé de Saint-Pierre à Lyon |
Benoit DELANDINE | Juillet 1818 - | |
Jean Louis TARPIN | 1824 - 1833 | Signale la nécessité d'une nouvelle église |
Antoine DURJAST | 1834 - 1840 | Pose de la première pierre de l'église - Ou DUJAST |
Antoine CHATELAIN | Juillet 1841 - 1858 | |
Claude PENET | Octobre 1858 - | |
Antoine CARIOT | Juin 1872 - 1882 | Savant botaniste ayant publié des ouvrages |
Alexis BOULACHON | Mars 1882 - 1889 | |
Etienne DALÉRY | Mars 1889 - 1900 | |
Alphonse SACHET | 1900 - 1906 | (1848 - 1924) - Ex supérieur du Petit-Séminaire de Montbrison |
Louis PICARD | - 1919 | Puis chanoine titulaire de la cathédrale |
François COLIN | 1919 - 1930 | Puis chapelain de Notre-Dame de Fourvière - Ex curé de Saint-Vincent de Paul |
Marius MUGUET | 1930 - | Ex curé de Duerne - (1874-1949) |
Joseph DEBIESSE | 1948 - 1957 | (1893-1958) |
Pierre RIBES | 1957 - 1970 | (1908-?) |
Louis LAFAY | 1969 - 1981 | (1925-?) |
Géraud BOULANGER | 1981 - ? | |
Georges FRITSCH | 1995 - 2003 | (1931-2021) |
- | - |
Monument aux morts

Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monument aux Morts ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1792-1920)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Décès - Contient une table annuelle (1875-1875)
- Décès - Contient une table annuelle (1878-1878)
- Décès - Contient une table annuelle (1902-1902)
- Mariage (1809-1809)
- Mariage - Contient une table annuelle (1826-1826)
- Mariage - Contient une table annuelle (1853-1853)
- Mariage - Contient une table annuelle (1901-1901)
- Informations sur la naissance (1805-1806)
- Décès (1796-1797)
- Décès - Contient une table annuelle (1801-1802)
- Décès - Contient une table annuelle (1827-1827)
- Décès - Contient une table annuelle (1839-1839)
- Décès - Contient une table annuelle (1851-1851)
- Répertoire - Me Pinturel Joseph Claude - Photos Jacques PRAS pour la SGLB (1820-1854)
- Répertoire - Me Depardon Huacinthe (1870-1883)
- Naissance - Contient une table annuelle (1864-1864)
- Naissance - Contient une table annuelle (1876-1876)
- Décès - Contient une table annuelle (1928-1928)
- Mariage - Contient une table annuelle (1801-1802)
- Mariage - Contient une table annuelle (1831-1831)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 9h à 11h50 * | - |
Après-midi | de 13h00 à 17h00 | de 13h00 à 17h00 | de 13h00 à 17h00 | de 13h00 à 17h00 | de 13h00 à 17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 10, rue Deshay - 69110 Sainte Foy-lès-Lyon
Tél : 04 72 32 59 00 - Fax : 04 72 32 59 49 Courriel : Contact Site internet : GPS : 45.734722°° / 4.803333°° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : La mairie de la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon est ouverte aux horaires suivants : du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h00 à 17h, samedi de 9h à 11h50 (service état-civil, uniquement). Source : Site (01/2009) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
- Sainte-Foy-lès-Lyon - Histoire - Fidésources : ISBN 2 9504022-0-8.
- Les paroisses du diocèses de Lyon par l'abbé Adolphe Vachet, Editeur : Abbaye de Lerins, Imprimeur : M. Bernard (Lérins) Edition 1889 - Bibliothèque Gallica
- Autour du clocher Association "La Fontanière" revue N°4 décembre 1996.
- Pré-inventaire des monuments et richesses artistiques Auteur : Lavigne-Louis Editeur : Département du Rhône ; Année d'édition : 1990
Voir aussi (sur Geneawiki)
- Le cimetière communal
- Carré militaire du cimetière de Sainte-Foy-lès-Lyon
- Carré militaire des combattants des territoires d'Outre-mer
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Fiche Mérimée - Séminaire Saint-Irénée
- ↑ Séminaire Saint-Irénée
- ↑ Archives de la congrégation, A DEVERRE, Notes pour servir à l'histoire de la maison de Sainte-Foy-lès-Lyon
- ↑ Fiche Mérimée
- ↑ Base Palissy - Buste reliquaire de Sainte-Foy
- ↑ Histoire de la pagode Thiên Minh
- ↑ Fiche Mérimée - Aqueduc
- ↑ Geneanet
- ↑ Recueil des actes administratifs
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