Durant la Seconde Guerre mondiale (le 11 août 1944), des résistants furent exécutés au lieu-dit le Pont-des-Samsons, où une stèle a été érigée en leur mémoire.
Héraldique
Histoire administrative
Département - 1801-2025 : Rhône
Arrondissement - 1801-2025 : Villefranche-sur-Saône
En 1856, le curé ROUX voulait doter sa paroisse d'une nouvelle église. Le conseil municipal accepta qu'une souscription soit ouverte. Les legs reçus par le conseil de fabrique s'élevèrent à 25000 francs, la souscription récolta 20000 francs.
L'architecte Pierre BERNARD de Lyon est choisi par la fabrique et propose différents plans et devis.
Une commission municipale est nommée.
Le ministre de l'instruction et des cultes modifie le projet, puis la commission approuve celui-ci. L'autorisation par décret impérial a été reçue le 5 mars 1860.
L'expropriation du terrain a lieu le 28 mai 1860.
Le maître d’œuvre sera M. FAUGERON de Trévoux.
La réception du bâtiment a lieu le 1er Mai 1865.
Officiellement, le coût est de 88333,05 francs, couvert par une souscription de 23267 fr, un emprunt communal de 20000 fr, des subventions du département et de l'état pour 16000 fr. La fabrique couvrant le reste.
Première pierre posée par Mgr DUGELAY, supérieur du grand séminaire, le 30 juillet 1861.
La bénédiction eut lieu le 24 décembre 1864.
La consécration par Mgr CHARBONNEL, ancien évêque d'Amérique, eut lieu le 1er Août 1865.
Le perron fut édifié par un financement de Mme Sève en 1876.
La statue en albâtre de la Vierge est de FABISCH père et celle de saint Pierre de FABISCH fils.
Les vitraux sont de Alexandre MAUVERNAY de Saint-Galmier. Ils furent posés en 1864.
Don par le curé Roux du grand Autel, œuvre du Lyonnais Guillaume BONNET (1820-1873).
L'ancienne église fut détruite en 1865.
La flèche réalisée plus tard fut couverte par une souscription pour 8210fr.
Église de style baroque en remplacement d'une église trop petite et trop coûteuse à réparer, elle fut démolie en 1856.
Demeure construite durant la Renaissance (XVIe siècle) sur les fondations d'une ancienne demeure.
Château privé appartenant à la famille CHARVERIAT depuis décembre 1809.
Édifice construit vers 1560 pour une famille puissante du Beaujolais. Acquis en 1680 par les religieuses de Chazeaux.
Classé aux MH le 20 décembre 1994[1]
Château du XVIIIe siècle. Construit en 1765, ce manoir domine la vallée de l’Ardières. Il appartenait à la famille du Général du Souzy, ancien aide de camp du Maréchal Lyautey. Propriété privée.
Ce manoir possède plusieurs dépendances dont une métairie et un pigeonnier.
Chapelle édifiée à proximité du château de Varennes.
Chapelle datée de 1577 sur la porte en plein cintre, mais l'abside laisse penser que la réalisation est antérieur.
Édifice en maçonnerie de pierres non enduites.
Autres chapelles
Chapelle Saint-Nizier-Lestra située hameau de Saint-Nizier le brûlé. Ancien prieuré puis ancienne église paroissiale, puis chapelle de hameau et enfin transformation en habitation.
Chapelle Notre-dame de la Roche , chapelle détruite.
Chapelle saint-Cyr du hameau de Saint-Cyr, chapelle détruite.
Repères géographiques
La commune est située à environ 55 km au nord de Lyon; 30 km au sud de Mâcon et 5 km du chef lieu de canton.
L'Ardière, le Samson, le Thiélas et la rivière d'Huire arrosent la commune.
Démographie
Année
1794
1800
1806
1820
1831
1836
1841
1846
1851
1856
Population
1 145
1 172
1 175
1 241
1 369
-
1 497
-
1 618
-
Année
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
Population
1 568
-
1 632
1 732
1 622
1 709
1 569
1 601
1 635
1 657
Année
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
Population
1 527
1 223
1 170
1 144
1 173
1 110
1 139
1 047
1 056
1 022
Année
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2021
-
-
-
Population
1 018
1 059
1 121
1 164
1 222
1 322
-
-
-
-
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.
Bernard PIVOT, est un journaliste français né 5 mai 1935 à Lyon et mort le 6 mai 2024 à Neuilly-sur-Seine, animateur d'émissions culturelles à la télévision. Il alla à l'école élémentaire à Quincié. Ses parents du côté maternel sont originaires de la commune. Il possédait une résidence à Quincié et la bibliothèque municipale porte son nom. De nombreux ouvrages comportent des annotations manuscrites de sa main. Il fut également conseiller municipal. Il repose au cimetière de la commune.
Membre du conseil général de 1875 à 1888 - Né à Lyon le 18 septembre 1829 - Avocat à Lyon - Décès le 14 juillet 1901 à Épinal - Député de mars 1882 à Janvier 1900 [3] - Sénateur de Juillet 1899 à Janvier 1900[4]
Source[7] - Décédé le 24 janvier 1851 à l'age de 64 ans - Inhumé au cimetière communal
Jean Marie ROUX
Février 1851 - 1872
Source[7] - Curé en charge de la construction de la nouvelle église - Décédé le 1e juin 1881 à l'age de 72 ans - Inhumé au caveau des curés au cimetière communal
Jean BORIAS
Juin 1881 -
Source[7] - Curé Auxiliaire depuis 1872 devenu titulaire en 1881 au décès du curé ROUX- Ex vicaire à Saint-Symphorien-de-Lay – Né à La Renaudie (63) le 28 décembre 1832. Ordonné prêtre le 20 juin 1855 a Lyon. Décès le 23 juin 1897 à Quincié. Inhumé au caveau des curés de la commune - (1832-1897) - Né à Renaudie (Puy-de-Dôme)
Mathieu Jean Marie LAFOND
Juillet 1897 - 1922
(1844 - 1929) - Ex curé de La Ville - Retiré à Verrières
Joseph BIERCE
1922 - 1948
Ex curé de Lucenay - Décédé le 19 juin 1950 - Inhumé au cimetière communal au caveau des curés
Jean Marie JOMAIN
1948-1963
Décédé le 27 novembre 1967 à l'age de 82 ans - Inhumé au carré des curés