L'église actuelle est le résultat de modifications successives et d'agrandissement qui ont accompagné l'évolution de la communauté villageoise . Le chœur actuel (cul de four), est le témoin de l'église du XIVe siècle.
Château cantonné de quatre tours qui marquent l'importance du maître d'ouvrage Antoine THIBAULT : Procureur en la prévôté de Beaujeu, grenetier au grenier à sel de Beaujeu. Château édifié vers 1660.
Son fils Claude THIBAULT recevra le doit de noblesse en 1668.
Le château restera dans la famille jusqu'en 1721. A cette date il est acquit par Jean Baptiste de MAGNIN, puis il passera à Jean Claude de La SALLE.
En 1800 par mariage le domaine passe au chevalier comte de la Ferrière. Puis divers propriétaire se succéderont jusqu’à nos jours.
Le château possède une chapelle.
C'est le plus grand château viticole de la région. Les bâtiments ont été construits sur les plans de Jules HARDOUIN-MANSART entre 1674 et 1676. Le jardin a été dessiné par André Le NÔTRE. <br<
Sa construction fut confiée à deux maître artisans de Lyon, deux frères Humbert AYMÉ maçon et Claude AYMÉ charpentier.
Il est demeuré au sein de la même famille pendant plus de trois siècles. En 2017, Christophe GRUY a racheté l'ensemble de cette propriété viticole qui s'étend sur plus de 250 ha dont 150 de vignes avec les prairies et les bois.
Le cuvage et la cave sont sur deux niveaux mesurant chacun 108 m de longueur. La charpente refaite à neuf depuis la reprise du domaine à nécessitée plus de bois que la cathédrale de Paris.
Une chapelle aujourd'hui démolie faisait parti du domaine de La Chaize.
Le château, les jardins, le système hydraulique des eaux ainsi que le cuvage et divers parcelles sont inscrits ou classés aux monuments historiques[1]
Au départ, Nervers était un pavillon de chasse doublé d’un cuvage. L’ensemble appartenait au propriétaire du château de La Chaize.
En 1830, cette propriété est acquise par Pierre DENOYEL, spécialisé dans l’éclairage au gaz de grandes villes telles que Lyon, Rennes, Venise etc… Depuis, elle est restée dans la même famille.
Le château possède une chapelle intégrée au bâtiment, elle date de la fin du XIXe siècle, alors que le château date du XVIIIe.
Jacqueline BOEUF né le 8 décembre 1932 dans la commune , décédée le 2 mai 2017. Comédienne, metteure en scène et auteure. Fondatrice du théâtre Tête d’Or , premier théâtre privé de province[3]
Conseiller général[5] Jean Marie PERRAS sera l'adjoint qui assumera le quotidien de 1904 à son décès le 5 avril 1939 car le maire est souvent absent en raison de ses autres fonctions. Né en 1871 à Charentay (Rhône), décédé à Nice en 1953, Émile Bender, docteur en droit, membre du Barreau de Lyon , Conseiller Général du Canton de Belleville, élu en 1913, réélu en 1919, 1925, 1931, 1937, 1945. Président du Conseil Général du Rhône de 1920 à 1934 et de 1946 à 1951. Échec aux élections cantonales de 1951. Mandats locaux auxquels s’ajoutèrent, de 1907 à 1919 et de 1924 à 1928, ceux de député [6], puis, de 1931 à 1940, de sénateur [7]. - Officier de la Légion d’honneur le 10 janvier 1931 - Commandeur de la Légion d’honneur le 9 février 1952.
Pierre GAYOT
05/1953 - 1971
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Benoît TRICHARD
05/1971 - 1989
Une rue du village porte son nom
Louis BASSY
1989 - 1995
(1926-2017) - Achat du bâtiment de la mairie, rénovation de l’église, agrandissement de l’école avec création d’un accès à l’ouest sont des points concrets durables.[8]
Source[11] - né au Maisonny en 1746, fils de Simon et de Jeanne Brunel est nommé en 1803 curé d'Odenas . Il meurt dans cette paroisse le 1er mars 1808 à l'âge de 62 ans. Avant le Concordat il était prêtre dans la paroisse de Bard. Il a vécu la période révolutionnaire en trouvant refuge chez son frère André, à Fougerolle.
Il quitta Odenas sur ordre de sa hiérarchie qui ne voyait pas d'un très bon oeuil les séjours prolongés du bon Curé Réty dans les caves Beaujolaises.[12] - Puis curé de Collonges-au-Monts-d'Or - Peintre[13] - Ex vicaire à Saint-Irénée, à Lyon - Né le 26 juin 1887 à Dijon, il fit à Lyon ses études secondaires au petit séminaire de Saint-Jean, puis ses années de philosophie et de théologie au séminaire Saint-Irénée à Francheville. Ordonné prêtre à Lyon le 17 décembre 1910, il fut immédiatement nommé vicaire à Saint-Martin-la-Plaine (Loire), près de Rive-de-Gier, puis le 1edécembre 19 13 à Saint-Genis-Laval. En août 1914. c'est la Grande Guerre. Mobilisé dès les premiers jours. il restera sous les drapeaux jusqu'en 1919. Affecté dans les chasseurs alpins, il reviendra avec le grade de capitaine. Le 21 mai 1920. il fut envoyé à la paroisse Saint-Irénée. A Collonges il fut curé pendant une dizaine d'années sauf pendant les quelques mois où il fut mobilisé comme aumônier militaire au début de la guerre de 1939/45.En novembre 1944,il devint aumônier du pensionnat de jeunes filles de l'Orangerie. En octobre 1946, il fut nommé aumônier de l'école professionnelle de Sacuny-Brignais. En 1951 il fut affecté à l'aumônerie de l'hospice de Saint-Alban, fondation Richard, rue Laennec à Montchat, qu'on appelait encore " maison d'incurables ", tenue par les sœurs de Saint-Vincent de Paul. L'abbé Réty mourut à Lyon dans le 3e arrondissement le 16 avri1 1957, à l'âge
de 70 ans.
Alexandre LACROIX
1934 -
Ex vicaire à Notre-Dame-Saint-Louis
Henri MARTIN
1938 - 1941
Ex vicaire à Saint-Martin d'Oullins - Puis curé des Arboras
Pierre DUBOST
1941 -
Ex vicaire des Arboras
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Les instituteurs
Prénom(s) NOM
Période
Observations
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Philibert JACQUET
1876-1881
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Claudius SAVOYE
1881-1908
Natif d'Ouroux - ( 1856-1908) - Secrétaire de mairie [14]
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Les titulaires de la Légion d'honneur nés à Odenas
La médaille de Sainte Hélène, créée par Napoléon III, récompense les 405000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815.
7 personnes nées dans la commune ont été trouvées sur le site des médaillés de Sainte-Hélène.