69049 - Chasselay
Chasselay | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | - |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 69049 |
Code postal | 69380 |
Population | 2 793 habitants (2018) |
Nom des habitants | Chasselois(es) |
Superficie | 1 278 hectares |
Densité | 218.54 hab./km² |
Altitude | Mini: 189 m |
Point culminant | 524 m |
Coordonnées géographiques |
45.875278° / 4.773056° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Quelques dates
En 1861, la poste de Chasselay distribue sur trois communes : Les Chères, Lissieu et Chasselay.
En 1882, une souscription est lancée pour l’établissement d'une ligne télégraphique.
En 1886, une souscription est organisée pour financer un éclairage public (Lanterne à huile).
En 1907, l'éclairage est passé à l’électricité.
La séparation du hameau des Chères
Le hameau des Chères a toujours été considéré comme une annexe de la paroisse des Chères. Un prêtre desservait la chapelle Saint-Roch (actuellement église).
Les habitants se plaignaient de l'éloignement de l'église de Chasselay, le hameau étant situé sur le Grand Chemin de Bourgogne (RN6).
Le territoire de l'actuelle commune est composé d'une partie de Chasselay et de Lissieu.
Dès 1703, les habitants du hameau souhaitent la création d'une paroisse indépendante, mettant en avant l'éloignement de l'église mère. Le curé Benoist MALLET rejette ces arguments.
En 1748, nouvelle requête des habitants auprès de l'archevêché. Les arguments avancés restent les mêmes mais les habitants proposent d'entretenir financièrement un prêtre. Les curés de Lissieu et Chasselay réfutent les arguments.
En 1765, nouvelle requête mais cette fois Les Chères obtient du Cardinal DE TENCIN l'érection du hameau en paroisse annexe de Chasselay et la réunion des hameaux des Chères appartenant aux paroisses de Lissieu et de Chasselay.
Juin 1940
Le 16 juin, le maréchal PÉTAIN est appelé à la tête du gouvernement par le président de la République.
Le 12 juin, avec l'accord du préfet du Rhône Émile BOLLAERT, du maire de Lyon Édouard HERRIOT et du maréchal PÉTAIN, la ville de Lyon est déclarée « Ville ouverte » et de ce fait elle ne doit opposer aucune résistance aux envahisseurs. La ville est occupée le 19 dans l'après midi. Le maréchal prononce un discours annonçant que la décision d'un armistice est prise. Le 22 juin se sera chose faite ...
Du 19 au 20 juin 1940, à Chasselay, l'armée française et ses troupes coloniales sénégalaises retardent l'entrée des troupes allemandes dans Lyon, déclarée « ville ouverte », le 18 juin 1940. Le rapport de force entre les troupes française et allemande est d'environ 1 à 100.
À partir du 17 juin, la défense s'organise à Chasselay grâce à des civils et aux soldats du 405e R.A.D.C.A. de Sathonay-Camp et du 25e régiment de tirailleurs sénégalais.
N'ayant rencontré que très peu de résistance depuis Dijon, les Allemands du régiment Grossdeutschland et de la 3e Panzerdivision SS Totenkopf, arrivent le 19 juin 1940 à Montluzin (lieu-dit de Chasselay). Des combats violents les opposent aux troupes françaises et sénégalaises. Le bilan compte 51 morts, dont un civil du côté français, et plus de 40 blessés pour les Allemands.
Le 20 juin 1940, à l'issue d'une deuxième bataille, au château du Plantin, les prisonniers (environ 70) sont divisés en deux groupes, d'un côté les soldats français blancs et de l'autre les soldats sénégalais noirs.
Après avoir parcouru environ deux kilomètres à pied, les soldats français couchés dans l'herbe, le long d'un pré, assistent au massacre des soldats sénégalais par des mitrailleuses. Certains tirailleurs sont écrasés sous les chenilles des blindés allemands. Les Français sont emprisonnés à Lyon. Les habitants de Chasselay, horrifiés par le massacre, rassemblent les 48 corps des Sénégalais pour les enterrer dignement dans un cimetière le 21 juin. Deux ans plus tard, ils sont transférés dans le tata sénégalais, érigé par Jean MARCHIANI et inauguré le 8 novembre 1942.
Héraldique
D'azur à la tour d'argent senestrée d'un avant-mur du même, ouvert de sable, au chef cousu de gueules chargé de deux clefs d'or passées en sautoir.
Devise : « Espoir en Dieu »
Composé en 1914 par l'abbé MAGAT a partir d'un blason existant sur la commune.
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Rhône
- Arrondissement - 1801-2015 : Lyon --> 2015-2023 : Villefranche-sur-Saône
- Canton - 1801-2015 : Limonest --> 2015-2023 : Anse
- Commune - 1801-2023 : Chasselay
Résumé chronologique :
- 1801-.... : Canton de Limonest, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
- 01/01/2015 : Chasselay passe de l'arrondissement de Lyon (691) à l'arrondissement de Villefranche-sur-Saône (692).
Patrimoine bâti
Porte Nord Est
Porte de l'ancien château fort.
Musée
Église Saint-Martin et Saint-Jean-Baptiste
Depuis 1809 l'église a été rendue au conseil de fabrique qui doit en assumer les frais. Mais l'état du bâtiment engendre des travaux perpétuels que le conseil de fabrique ne peut supporter. La mairie doit souvent aider celui ci.
En 1842 un premier plan de l'ancienne église est levé pour élaborer quelques projets dont un agrandissement de l'église. Mais la révolution de 1848 arrête les projets.
En 1850 le préfet CHENAVARD, architecte lyonnais, estime urgents les travaux qui doivent être faits car le danger de chute du clocher et du plafond est réel. Un architecte est nommé et une souscription lancée. Mais le conseil de fabrique constate des malfaçons générales. Et il faut se résoudre à démolir le clocher jusqu'au niveau de la toiture. En 1851 une contre expertise est demandée à l'architecte BERNARD qui conseille au départ une démolition partielle et qui deviendra rapidement totale.
L'église actuelle s'est progressivement substituée à l'ancienne après des travaux qui débutèrent en 1850 et s'achevèrent en 1866 sous la direction de l'architecte Pierre BERNARD (1806 St Cyr au Mont d'Or – 1882 Lucenay)
Adjudication donnée le 22 juillet 1850 , Clocher et façade terminés le 25 octobre 1851. La nef et les bas-côtés sont achevés en juillet 1855. Construction du chœur en 1856.
Bénédiction faite le 20 décembre 1857.
Consécration faite le 4 décembre 1861.
Les aménagements extérieurs s'achèvent en 1866 après expropriation et démolition de maisons.
Trois cloches garnissent le clocher. Elles ont été bénies le 7 octobre 1818 par Joseph Marie CONDENTIA ; elles équipaient donc l'ancienne église. Cloches fabriquées à Lyon par Louis FRÈREJEAN.
Édifice de style Néo-Gothique réalisé en pierres de taille de calcaire blanc (Pierre de Lucenay), couvert de tuiles mécaniques avec un clocher dont la flèche est recouverte d'ardoise.
En 1858 on entreprend les travaux de finition. Les sols qui devaient être en dalles de marbre ne l'ont pas été car les fonds manquaient.
1860 : les fonts baptismaux restaurés sont mis en place.
1867 : une souscription est réalisée permettant la pose des statues des autels secondaires.
1874 : l'horloge à répétition à deux cadrans sera installée par le Lyonnais CHARVET.
1882 : mise en place du chemin de croix.
Une partie des vitraux (La rédemption , le 11 novembre 1918...) sont signés de l'atelier d'Antoine BESSAC à Pont-d'Ain (né à Lyon, 1824-1873) et installé à Grenoble en 1892 par son frère Jean-Augustin BESSAC . Antoine a été élève dans l'atelier MAUVERNAY, Maître-verrier à Saint-Galmier. Ces vitraux datent de 1936 et 1937. Ils ont été financés par une souscription familiale et collective.
Les vitraux du chœur, suite à un accord signé entre le curé GUILLOT et le maître verrier Antoine LUSSON de Paris en 1871, sont réalisés pour la somme de 1400 francs. Ceux des chapelles des autels secondaires (Saint-Joseph ; Marie...) sont signés Antoine LUSSON de Paris et datent aussi de 1871.
Les boiseries et stalles en chêne, néogothiques, sont dûes à MAGAT et ont été réalisées entre 1890 et 1892. La chaire surmontée de l'ange de la Résurrection en noyer provient de l'ancienne église. Cette réalisation de François DELABRE menuisier et de François CHALAND sculpteur date de 1835/1836.
Le tympan qui devait recevoir la sculpture de saint-Martin tendant son manteau à un mendiant n'a jamais été réalisée.
Le début des travaux de restauration de l'église actuelle date de 1978.
Vitrail du 11 novembre 1918 Vitrail du curé d'Ars
Tata sénégalais de Chasselay
Le tata de Chasselay, de son nom officiel « Nécropole nationale de Chasselay », est une nécropole militaire située à Chasselay (dans le Rhône) où sont enterrés 188 tirailleurs sénégalais massacrés par la division de SS allemande Totenkopf (« tête de mort ») en juin 1940.
Cette nécropole a été construite selon le style d'architecture de l’Afrique de l’ouest, où tata signifie « enceinte de terre sacrée », dans laquelle on enterre les guerriers morts au combat.
Voir aussi, projet de relevé photographique et nécropole nationale.
Mairie
Le 23 décembre 1843 la mairie acquiert la maison bourgeoise du XVIIIe siècle de la famille VIEUX. Cette maison était destinée a abriter l'école et la mairie. C'est l'architecte Pierre BERNARD qui est chargé des travaux d'adaptation.
Château de Machy
La construction du château tel que nous pouvons le voir débute au XVIIe siècle.
Le château est acquis en 1778 par Jean Antoine MORAND de JOUFFREY (1727-1794) pour son fils Antoine[1], alors âgé de 18 ans. Sa famille conserve le domaine jusqu'à la fin du du XXe siècle siècle, époque à laquelle le comte Pierre MORAND de JOUFFREY s'en sépare. Puis en 1978, c'est l'Office culturel de Cluny qui acquiert le domaine.
Le château a gardé des traces de l’époque de MORAND, notamment des peintures sur les poutres et au plafond, qui datent de l’époque d’Antoine et de Marie-Madeleine ; quelques pièces ont été ajoutées par les descendants.
Autres vues
Château de Montluzin
Pendant la guerre de 1939-1945. de violents combats se déroulent le 19 juin 1940, autour du couvent de Montluzin et le 20 juin dans le village de Chasselay. De nombreux soldats sénégalais du 25e R.T.S. sont faits prisonniers : 48 seront massacrés sur la route des Chères. Le cimetière de style Africain a reçu leurs dépouilles.
Au XVIe siècle le baron de Vaux, François PLATEL possédait à Mont-Luzin "Maison, Estable, cour". Au fil des siècles divers propriétaires se sont succédés.
Le lieutenant général d'artillerie Pierre de Brosses constitue le domaine en 1664, et reconstruit le château dont l'ample façade régulière, cantonnée de pavillons carrés, surplombe la plaine. Le domaine à été légué par Sabine Lacour, une des trois sœurs Lacour, dont la famille était propriétaire durant trois génération à la congrégation de Nevers en 1868. Le 1 août 1994, les sœurs de Nevers se retirent dans leurs maison mère et elle cèdent Mont-Luzin aux moines et moniales de la famille de St Joseph.
Le domaine est une propriété privée qui ne se visite pas.
Chapelle Saint-Joseph de Montluzin
Durant les combats de juin 1940 de Montluzin, les sœurs se sont réfugiées dans la chapelle Saint-Joseph sur la colline. La chapelle a été épargnée des dégâts dans le secteur.
Château du Plantin
Ancien fief de la seigneurie de Chasselay, cette maison forte appartenait au XIVe siècle à Henri du PLANTIN. Au fil des siècles ce château a vu de nombreux propriétaire parmi lesquels le famille MASSO de 1656 à 1771 , puis à partir de 1890 la famille GAUTHIER qui le conserva presque un siècle.
On accède à la propriété par une allée de marronniers. Le chemin d'accès est pavé de têtes de chat.
Charles Antoine LACOMBE, propriétaire dans la secode moitié du XIXe siècle à créé deux étangs sur la retenu du ruisseau du Plantin. L'un d'entre existe toujours dans le square A. Gauthier.
Le domaine est une propriété privée qui ne se visite pas.
Château de Bellescize
Face à la place de l’église, s’ouvre un beau portail clouté datant du XVIIe siècle, surmonté d’un arc appareillé en pierre blanche de Lucenay, à anse de panier. Au-dessus du portail, on a placé une croix de récupération signalant l’entrée du nouveau presbytère en 1872. Une partie du domaine au Nord est alors vendu au profit de la cure et de la municipalité qui en fait des salles communales. Ce portail ouvre sur les anciens communs (transformés en habitation au XIXe siècle), qui rassemblaient à l’origine le logis du fermier, deux cuviers et des "écuries, estableries, ménagerie", indiquées en 1742. Le château proprement dit, constitué de trois corps de bâtiment encadrant la cour principale à l’Est, au Nord et à l’Ouest, a vu cette dernière aile réhabilitée en 1900 d’une étonnante façade rococo, sorte de pastiche de l’hôtel parisien de Biron, élevé en 1727.
Source [2].
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 1 280 | 841 | 1 141 | 1 105 | 1 100 | 1 094 | 1 131 | 1 170 | 1 212 | 1 256 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 1 295 | 1 320 | 1 255 | 1 281 | 1 256 | 1 307 | 1 272 | 1 250 | 1 187 | 1 190 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 1 139 | 1 016 | 1 079 | 1 086 | 1 076 | 1 030 | 1 109 | 1 125 | 1 169 | 1 438 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 708 | 2 002 | 2 590 | 2 678 | 2 680 | 2 775 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Photos
Cartes postales
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Francis COLLONGES | 1791 - 1793 | - |
Philibert JAVELOT | 1793 - 1794 | - |
Christophe FORIS | 1794 - 1796 | - |
Pierre JOANNARD | 1796 - 1797 | - |
Pierre FILLION | 1797 - 1799 | - |
Pierre JOANNARD | 1799 - 1804 | - |
Pierre JOANNARD | 1804 - 1815 | Démission |
Félix de VERREY | 1815 - 1830 | - |
Dominique BOLO | 1830 - 1835 | - |
Pierre COLLONGES | 1835 - 1835 | - |
Jean-Claude DAMOUR | 1835 - 1837 | - |
Pierre COLLONGES | 1837 - 1840 | - |
Jean-Louis JOANNARD | 1840 - 1848 | Fils de Pierre - Notaire |
- | - | - |
Jean-Louis JOANNARD | 1852 - 1870 | - |
- | 1870 - 1871 | Maire provisoire |
Louis CLEMENT | 1871 - 1876 | - |
Jean-Marie RIVIERE | 1876 - 1881 | - |
BERTHIER | 1881 - 1882 | - |
Claire BERNARD | 1882 - 1884 | - |
Albert JOANNARD | 1884 - 1925 | - |
Philibert BLANC | 1925 - 1945 | - |
Camille MORAND de JOUFFREY | 1945 - 1965 | - |
Pierre BURNIER | 1965 - 1977 | - |
Joannès VOLAY | 1977 - 1983 | - |
Marcel CASALS | 1983 - 2001 | - |
Pascale BERNARD-GRANGER | 2001 - 2014 | - [ Photo] |
Jacques PARIOST | 2014 - (2026) | - |
- | - | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | - |
- | - | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Antoine DULIO | 11 juillet 1595- | - |
- | - | - |
Pierre CASSARIN | 7 août 1646-1652 | - |
Jehan COGNIASSE | 1652-1688 | - |
Claude JACQUEMIN | 1899-1701 | - |
Benoist MALLET | 6 décembre 1701-1717 | - |
Claude FONTANELLE | 1717-1751 | - |
Pierre MARQUET | 1752-1780 | - |
Joseph Marie CONDENTIA | 1782-1791 | - |
Jean Baptiste CUPILLARD | 1791-1792 | Prêtre Jureur |
Joseph Marie CONDENTIA | Février 1803-1832 | (?-1832) - Inhumé au cimetière communal - Décédé à l'age de 78 ans |
Jacques MONTAGNEUX | Mars 1832-1870 | Ex curé de La Fouillouse - (?-1869) - Inhumé au cimetière communal - Décédé à l'age de 78 ans |
Jean-Antoine GUILLOT | Mars 1870-1896 | (1815 - 1896) - Ex curé de Rivolet sources [3] - Né à Brullioles le 5 novembre 1815, décédé à Chasselay le 25 septembre 1896 - Inhumé au cimetière communal |
Emmanuel BARBEQUOT | 1896-1907 | (1848 - 1909) - Puis curé de Saint-Irénée à Lyon |
Laurent SOCQUET | 1907-1910 | (1852 - 1938) - Puis directeur des Cercles catholiques - Puis aumônier des Sœurs de Bon-Secours - Ex curé de Saint-Rambert-l'Île-Barbe - Chanoine honoraire de la Primatiale né à Lyon le Ier février 1852, décédé le 3 avril 1938 |
Camille JACOB | 1910-1929 | (?-1929) - Décédé à l'age de 79 ans - Inhumé au cimetière communal |
Francisque VARAINE | 1929-1932 | Puis curé de Saint-André à Lyon[4] |
Alphonse ARNAUD | 1932-1941 | Ex directeur de l'École d'agriculture de Ressins |
Joseph RIVOIRE | 1942 - 1958 | - |
ATUYER | 1958-1958 | - |
Antoine BROALLIER | 1958-1969 | (?-1969) - Décédé à l'age de 70 ans - Inhumé au cimetière communal |
Jean LAQUET | 1969-1975 | - |
Marius MANINI | 1975-1978 | - |
Jean Claude BRÉTÉCHÉ | 1978-1991 | - |
Bernard PIGEAUD | 1991-2003 | - |
Éric PEPINO | 2003-2009 | - |
- | - | - |
Monument aux morts

Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monument aux Morts ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1793-1922)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Minutes - Me Rozier (1758-1760)
- Minutes - Me Paradis Jean - Photos Philippe MONIER pour la SGLB (1706-1715)
- Décès - Contient une table annuelle (1807-1807)
- Décès - Contient une table annuelle (1832-1832)
- Décès - Contient une table annuelle (1844-1844)
- Décès - Contient une table annuelle (1871-1871)
- Décès - Contient une table annuelle (1883-1883)
- Décès - Contient une table annuelle (1895-1895)
- Décès - Contient une table annuelle (1916-1916)
- Décès - Contient une table annuelle (1928-1928)
- Mariage - Contient une table annuelle (1802-1803)
- Mariage - Contient une table annuelle (1815-1815)
- Mariage - Contient une table annuelle (1827-1827)
- Mariage - Contient une table annuelle (1830-1830)
- Mariage - Contient une table annuelle (1842-1842)
- Mariage - Contient une table annuelle (1866-1866)
- Minutes - Me Duclos - Photos SGLB. Photographe : Philippe MONIER (1697-1699)
- Décès (1794-1795)
- Décès - Contient une table annuelle (1827-1827)
- Naissance - Contient une table annuelle (1814-1814)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | - |
Après-midi | - | - | - | - | - | - | - |
Mairie |
Adresse : Le promenoir - 69380 CHASSELAY
Tél : 04 78 47 62 43 - Fax : 04 78 47 61 86 Courriel : Contact Site internet : GPS : 45.875278° / 4.773056° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Mairie (03/2012) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Chasselay - Tome I : des origines au XVIIIe siècle
Chasselay - Tome II : XIXe et XXe siècles
- Préinventaire des Monuments et richesses artistiques ISBN 2-910865-12-6 département du Rhône.
- CHASSELAY village des Monts d'Or par Marie THOZET ISBN 978-2-918607-15-1 tome 2 et CHASSELAY tome 1 ISBN 978-2-918607-04-5
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site officiel de la mairie
- GenCom Le site des communes pour et par les généalogistes
- Cartes postales anciennes du Rhône
Notes et références
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