D'azur à une colline mouvant du flanc senestre et descendant vers une plaine, le tout de sinople, la colline chargé d'un arbrisseau du même et la plaine d'un arbre également du même ; à la rivière en cascade d'azur mouvant du senestre chef de la colline et mourant en dextre pointe de la plaine ; au chef tiercé en pal d'azur (foncé), d'argent et de gueules, qui est de la République française.
L'écu entouré d'une couronne de laurier et de chêne de sinople, nouée d'un ruban du même sur lequel est inscrit " verdir toujours jamais tarir. Le tout posé sur un écu parti de gueules et d'or portant en chef l'inscription " Charbonnières " et en pointe " Les Bains ", le tout de sable et en caractères gothiques. »
Il subsiste un point qui n’est pas éclairci actuellement : celui des couleurs rouge et jaune du fond du blason. Les avis divergent sur la disposition de ces couleurs : jaune et rouge ou rouge et jaune ?
Mr Castagnary n’a pas vu le blason qui comporte le drapeau national suivant copie ci jointe.
On peut supposer que quand les couleurs nationales sont reprises, le rouge ne doit pas être confondu avec le fond rouge du blason. Donc le fond jaune est alors à droite.
Auteur : J. Ph Castagnary (01-2004)
Source : Association Groupe de Recherches Historiques de Charbonnières les bains
Les plaques de rues communales reprennent une version non officielle du blason.
La chapelle de la Sainte Vierge a été restaurée en 1859.
L'église est devenue trop petite et un architecte est mandaté par le conseil de fabrique pour étudier une solution de reconstruction d'un bâtiment ou de la reconstruction de la partie comprenant le chœur, les chapelles latérales et les travées. Après examen des offres, c'est la reconstruction partielle qui s'impose.
Les travaux débutent comme prévu le 17 avril 1899.
La première pierre sera posée et bénite le dimanche 27 août 1899 par Monseigneur DÉCHELETTE, vicaire général délégué du Cardinal COUILLÉ. [1]
La consécration de l'église a eu lieu le 15 août 1900 par Monseigneur DÉCHELETTE [2]
Destruction du dernier pavillon de la station thermale en 2003 pour la construction de l’Hôtel.
Depuis le mois de novembre 2020, le symbole de l'histoire est installé , avenue du Gal de Gaulle, à coté de la stèle de l’Abbé Marsonnat.
Repères géographiques
Démographie
Année
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
Population
250
195
291
279
346
368
396
486
585
585
Année
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
Population
602
621
602
710
839
974
954
931
972
957
Année
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
Population
963
1 033
1 196
1 440
1 317
1 510
2 096
2 148
2 448
3 086
Année
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2021
-
-
-
Population
3 973
4 033
4 377
4 835
4 782
5 016
-
-
-
-
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.
Louis ROUGEAT de MASSONNAT curé de Charbonnières et Tassin du 2 avril 1740 au 25 septembre 1797. Découvreur de la source d'eau minérale de Charbonnières le 30 septembre 1778.[3]
Jules BRUNARD, né le 6 mai 1837 à Cublize (69). Entrepreneur de travaux publics à Lyon. Conseiller municipal, puis adjoint au maire de Lyon en 1896, également conseiller d'arrondissement. Député du Rhône du 11 mai 1902 au 31 mai 1910 [8] . Décédé le 25 juillet 1910. Inhumé au nouveau cimetière de la Guillotière à Lyon (69) .