S'est appelé La Chapelle-en-Vaudragon jusqu'à la Révolution, puis Vaudragon et prit ensuite son vocable actuel.
Fief de l'église de Lyon, possession des Lavieu au XIIIe siècle.
la Chapelle passa, en 1340, dans les mains de Hugues de la Chapelle, qui possédait de grands biens à Condrieu; il laissa en mourant la terre de Vaudragon à Pierre de la Chapelle, chanoine de Vienne. Artaud de la Chapelle, fils de Hugues, devint après la mort de Pierre, seigneur de Vaudragon; c'est sans doute de cette famille de la Chapelle que la paroisse a reçu sa dénomination.
Au cours du VIe siècle Saint Genis, ancien archevêque de Lyon martyrisé en 678, fut désigné aux populations de la région et fit construire plusieurs chapelles dont une sur un mamelon dominant la Coise; probablement à l'emplacement de l'église actuelle.
Un document des archives du diocèse de Lyon atteste que La-Chapelle-en-Vaudragon fut confirmée au chapitre de Saint-Just en 1170 par le pape Alexandre III. Un acte de 1292 mentionne l'existence de deux chapelles.
Une plaque sur la façade de l'église rappel ceux qui on participé pour que la réalisation de cette église soit possible. Elle est datée de 1847.
BAUVOIR Curé
C. VILLARD Maire
R. VILLARD Adjoint
PERRIN Architecte
Le clocher qui était situé sur le côté de l'église fut démoli en 1914 et le nouveau qui en en façade fut réalisé en 1926.
En 1924 le nouveau maire de la Chapelle monsieur VERICEL décide la reconstruction d'un clocher. Les quêtes, dons et une subvention communale permettent d'entreprendre les travaux.C'est l'architecte BAGNEUX qui accole à la façade un clocher-porche percé de trois arcs brisés. Le clocher est couvert d'un toit de tulles pavillons.
trois cloches sont installées dans la chambre campanaire. Les deux anciennes datées de 1818 et 1883. En 1927, une nouvelle cloche est installée.
Lors de la restauration de l'intérieur de l'église en 1990 et 1991, de vitraux modernes signés Françoise GORMAND-DUVAL (Peintre verrier de Sainte-Consorce) ont été installés dans la nef. Le programme des vitraux a été élaboré par le père BEAUVERY, responsable diocésain de la commission d'art sacré. Les couleurs retenues deviennent de plus en plus chaude en avançant dans le chœur.
Les vitraux du Chœur ont été conservés, ils sont du XIXe et sont du maître verrier de Saint-Galmier Alexandre MAUVERNAY.
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