Un site de civilisation rubanée a été découvert par hasard, en 1977, au lieu-dit "Les Octrois", à six kilomètres de Munchhouse. La matériel issu des fouilles peut-être admiré au musée de La Régence, à Ensisheim.
Non loin de là, la forêt de la Hardt a également révélé quelques richesses : « En 1961, deux tertres ont été fouillés par Madeleine Jehl et Charles Bonnet, à la limite des bans d'Ensisheim et de Munchhouse. Le plus grand, appelé "Roemerhübel", doit remonter au début du Bronze final, vers 1200/1100 avant notre ère »[1].
Moyen Âge
« En l'an 1004, l'empereur Henri II cède à l'église de Bâle le lieu de Barenhausen (lieu de l'ours) au sein d'un important massif forestier à proximité du village »[2]. Les historiens s'accordent à considérer ce lieu comme l'ancêtre du village actuel.
Dès 1259, le nom de Munckhausen apparaît dans la liste des différents fiefs de l'abbaye de Murbach. Il semblerait que les moines, après le défrichement des terres par les vilains, construisaient des petites chaumières pour les habitants alentour...
En 1273, le comte Rodolphe de Habsbourg, élu roi d'Allemagne, rajoute Münckhausen à ses possessions, et on trouve en 1303 un document sur les impôts à payer par le village. Puis c'est au tour des STÖR (Stoer) d'obtenir Münckhausen en tant que fief.
À la fin de cette période, les paysans connaissent mauvaises conditions climatiques, famines, et épidémies. La peste noire de 1430 épargne plus ou moins le village, mais, à trois kilomètres de là, elle décime entièrement Sermersheim[3] ou Sermensheim[4]. Seules trois[3] ou deux femmes[4] auraient survécu et demandé asile à Münckhausen[3] ou Ensisheim[4], sans succès. Par contre Réguisheim les accueillit et hérita en conséquence des terres du village disparu. En souvenir une chapelle a été érigée en 1870 (on peut la remarquer près du giratoire situé sur la D47 reliant Munchhouse à Réguisheim).
1492 :
Les villageois ignorent complètement que Christophe Colomb a découvert l'Amérique, et que cette date servira de charnière entre le Moyen Âge et la suite de l'Histoire. Mais ils se souviendront sûrement du 7 novembre : une trainée lumineuse inquiétante au-dessus des Octrois, un coup de tonnerre assourdissant, puis... la chute d'une pierre, la fameuse météorite de 130 kg, dont un morceau est conservé au musée de La Régence à Ensisheim.
Époque moderne
Il ne subsiste pas de traces de la guerre de 1525.
Par la suite, comme bon nombre de ses voisins, le hameau appartient à la seigneurie de Landser.
Survient la guerre de Trente Ans, avec ses invasions et destructions. Puis, « En 1634, les Suédois mirent à feu et à sang le village. Une des tortures de l'époque consistait à ingurgiter aux villageois la fameuse "Schwedatrank". Les malheureux succombaient par une asphyxie au purin de vache »[5].
Le village, détruit et déserté, se repeuplera petit à petit.
Époque contemporaine
À la suite de la Révolution, le statut des paysans change, mais leurs conditions de vie restent difficiles à cause du sol ingrat et des impôts.
L'administration est en pleine réforme : Munchhouse se voit attribuer une mairie, avec comme premier maire, Jean-Michel REYMANN.
À cette époque, on compte dans le village quelques tisserands, deux gardiens de la paix, un détachement de douaniers. « La ferme qui abrita le poste de gardes forestiers à cheval au XIXe siècle, à proximité de l'église, est exceptionnelle par sa taille. Elle porte la date de 1794 »[6].
Le village traverse la guerre de 1870 sans trop de déboires.
Première Guerre mondiale
Dès la mobilisation, les Munchhousiens de 17 à 45 ans, doivent partir au combat ! Certains préféreront se cacher dans la forêt ou s'enfuir... « Le village accueille des familles entières de réfugiés de villages vosgiens, [...], les villageois ont également l'obligation d'héberger durant la quasi totalité de la guerre des soldats au cantonnement »[7]. S'ensuit une période de rationnement, réquisition des hommes, des bêtes, des machines, et le recours au système D pour faire face à certaines pénuries...
Seconde Guerre mondiale
En septembre 1939, comme de nombreux Haut-Rhinois, les habitants sont évacués dans le Sud-Ouest. À Gimont (Gers) « Venant de Munchhouse, 273 personnes sont installées grâce à l'aide officielle mais aussi l'entraide apportée par des particuliers »[8]. (En signe de reconnaissance, on trouve une rue de Gimont dans la commune actuelle.)
À leur retour, en 1940, les Munchhousiens découvrent une belle pagaille : des meubles déplacés ou disparus, des dégâts de toutes sortes.
Puis ils vont devoir s'adapter à l'occupation allemande, avec son lot de surveillance, interdictions, menaces, répressions, expulsions ou incarcérations, et surtout l'incorporation de force : en effet, à partir du 20 mai 1941, tous les jeunes de 17 à 25 ans sont obligés de faire leur RAD (Reichsarbeitsdienst).
Libération
Les bombardements de 1945 occasionnent de nombreux dégâts, l'église est dynamitée par les Allemands.
Le 8 février 1945, malgré 50 cm de neige, le village est libéré par la 2e compagnie du premier bataillon du 5e Régiment de Tirailleurs Marocains [9] et par le Régiment d'Infanterie des Chars de Marine (Depuis, la place de la mairie se dénomme "Place du 5e RTM").
Un tirailleur surnommé Mickey s'illustre en tant que libérateur et est blessé un peu plus tard : il s'agit de Roger ERTIANI qui sera distingué citoyen d'honneur de Munchhouse, le 5 février 1995, lors du 50e anniversaire de la Libération.
Le 8 février 2015, la commune rend hommage à deux autres libérateurs : Jean COUCHOT, présent à la cérémonie, et Jean-René GIROUD, décédé deux jours plus tôt, à l'âge de 90 ans [10].
1950 : Un tragique accident :
Le 10 janvier 1950, un accident d'autocar provoque la mort de 18 personnes.
Vers 1250, apparaît le nom de Munckhausen (littéralement : maison des moines). Puis Münckhausen.
En 1468, un document mentionne Munckhusen[11].
Pendant l'annexion de l'Alsace, le village prend le nom de Münchhausen(nom que l'on retrouvera pendant l'occupation allemande).
Héraldique
Les armoiries de Munchhouse sont créées en 1954.
Blasonnement :
Parti, au premier d'azur à trois fleurs de lys d'or, au second de gueules à la bande d'argent chargée de trois cloches de vair d'azur.
Signification :
Le premier rappelle l'appartenance au royaume de France et s'inspire de trois fleurs de lys qui figuraient sur une borne de 1584 (d'après Schoenhaupt). Le second évoque la famille noble des Stoer, qui tenait d'importants revenus de la part des Habsbourg, seigneurs de Munchhouse du XIIIe siècle à 1948 [12].
Une chapelle dédiée à sainte Agathe est mentionnée au XIVe siècle. Son entretien est alors assuré par la communauté de Munchhouse et les Johannites de Soultz.
Dans les années 1835 à 1840, une église remplace l'ancienne chapelle :
- le gros œuvre est terminé en 1838, mais l'argent fait défaut, et l'église se contente d'un clocher provisoire.
- c'est en 1908 que le nouveau clocher en ardoise prend forme, avec une vingtaine de mètres de haut et une pointe de 10 m. Il est l'œuvre de l'architecte LOUVET (Mulhouse).
Mais la veille de la Libération, en guise d'au revoir, les Allemands font sauter l'église ...
« Une chapelle provisoire en bois, surnommée "Barackenkirche", permet ensuite au culte d'être célébré, jusqu'à la construction de la nouvelle église »[13].
En 1955, on construit un nouvel édifice, à l'architecture contemporaine, qui sera achevé et inauguré en 1959.
Comme de nombreux édifices des années 1960, l'intérieur reflète une certaine sobriété marquée par des lignes épurées mais égayée des nombreux reflets des trois surfaces vitrées.
Voici quelques éléments du mobilier :
- En 2016, une statue de sainte Agathe, sauvée de la destruction à la fin de la guerre a été officiellement posée sur son socle dans le chœur de l'église [14].
- Une Vierge de Pitié en bois taillé, peint et doré, vraisemblablement de la fin du XVIIIe siècle.
- Trois toiles retrouvées dans le sous-sol de l'église représentent la Vierge à l'Enfant, saint Sébastien et saint Eustache.
- Des fonts baptismaux en grès rose, datés du XVIe siècle, et dont le couvercle a disparu.
- L'orgue : Au contraire de celui d'Hirtzfelden, l'orgue de Sainte-Agathe est une réalisation néo-classique, œuvre de Max et André Roethinger en 1961.
- Le chemin de croix : les stations sont constituées d'émaux de Blanchet, artiste réputé de Limoges et encadrées en bronze doré.
Les vitraux
Verrière de l'abside : la CèneVerrière occidentale
Un vitrail en sept panneaux représente la Cène. Il a été dessiné par un verrier parisien, et réalisé par une entreprise strasbourgeoise : les frères Ott.
Chaque façade latérale est dotée d'une grande verrière produisant de nombreux effets colorés dans l'allée centrale.
La chapelle Notre-Dame-Reine-du-Monde
Elle remplace une ancienne chapelle érigée en 1873 et est dédiée à Marie.
C'est le curé TSCHOPP qui est à l'origine de sa construction, en 1937, grâce à l'appui des dons des paroissiens. Consacrée le 21 novembre 1937, elle a servi pendant longtemps de point d'arrivée des processions.
Calvaires et croix
On dénombre dans le village quatre croix et trois calvaires, dont le plus ancien a été sculpté en 1825 par André FRIEDRICH (1798-1877). Il se trouve dans le jardin de l'ancienne demeure des sœurs gardes-malades.
La grande croix du cimetière a été offerte en 1907 par Ferdinand et Céline MEYER.
La mairie
Un bâtiment commun mairie-école a été conçu par l'architecte LANGENSTEIN en 1872.
L'école est maintenant séparée de la mairie.
Repères géographiques
Munchhouse est une commune du Haut-Rhin (Alsace), située à 8 km d'Ensisheim, sur le tracé de l'ancienne voie romaine Bâle-Eguisheim [15].
Située dans le canton d'Ensisheim, elle fait partie depuis 2017, avec sa proche voisine Roggenhouse de la Communauté de Communes "Pays Rhin-Brisach" (résultat d'une fusion entre les communautés "Essor du Rhin" et Pays de Brisach").
Installée dans la plaine alluviale du Rhin et à la lisière de la forêt de la Hardt, le sol y est caillouteux et peu fertile. La culture dominante est celle du maïs, mais on y trouve aussi du tabac.
Les 2400 hectares du territoire communal sont divisés en trois sections : « la partie urbanisée (environnement bâti du village), s'étendant sur environ 30 hectares, l'emprise agricole, développée sur presque 1200 hectares, et la forêt domaniale de la Hardt sur plus de 1200 ha »[16].
La commune a reçu le label "village fleuri".
La limite occidentale du ban communal se confond avec l'ancien canal du Rhône au Rhin, « sur 5 km 800 »[17]. Par ailleurs le ban est également irrigué par le canal de Munchhouse, lui-même dérivé du canal de la Hardt.
Démographie
Année
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
Population
450
520
516
665
771
791
829
893
1 004
941
Année
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
Population
949
970
912
875
973
932
937
915
906
883
Année
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
Population
849
870
861
905
830
838
808
834
818
903
Année
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2021
-
-
-
Population
937
1 216
1 429
1 552
1 617
1 547
-
-
-
-
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.
Également juré du chapitre de Rustenhart. En 1701, il signe un acte confiant aux Rustenhartois la charge de subvenir aux besoins de leur curé.
Jean FELLMANN
1712 - 1714
Jean-Martin WITSCHGER
1714 - 1730
De Soultz
Jean-Michel ERNST
1730 - 1747
D' Ungersheim
Jean-Jacques HOFF
1748 - 1803
De Sankt-Ulrich, près de Largitzen
-
-
Simon BADER
1805 - 1807
De Blotzheim. Moine franciscain du nom de Bernardinus
Georges MINERY
1807 - 1812
Administrateur
Blaise ENDERLIN
1812 - 1818
Administrateur à Hirtzfelden, et par intérim à Munckhausen
Antoine RAPPOLD
1818 - 1823
Administrateur
Joseph PATHE
1823 - 1827
François Joseph Sylvestre WILLMANN
1827 - 1831
Grégoire HENNER
1831 - 1850
De Bernwiller. Inhumé à Munchhouse
Georges CASPAR
1851 - 1856
Félix ANDRECH
1856 - 1859
Joseph STROHMEYER
1859 - 1865
De Heimsbrunn
Joseph BURR
1865 - 1886
De Gueberschwihr
Joseph KNECHT
1886 - 1897
De Spechbach-le-Bas
Théodore BLONDE
1897 - 1900
De Bruckenswiller
-
-
Auguste HURT
1905 - 1919
D'Aspach-le-Bas
Eugène SCHERRER
1919 - 1933
De Ranspach-le-Haut
Joseph TSCHOPP
1933 - 1945
De Pfastatt. Historien du village de Munchhouse.
Auguste MEYER
1945 - 1963
Martin SCHMIDLIN
1963 - 1967
Décédé à Munchhouse en février 1967
Jules DOCHLER
1967 - 1978
De Riedisheim
René BOLLIA
1978 - 1990
De Hattstatt. Décédé en 1990
André HASSENFORDER
1991 - 2005
De Issenheim
Bernard MUNSCH
2005 - août 2006
Curé doyen d'Ensisheim, par intérim
Père Christophe SMOTER
sept. 2006 - sept. 2009
Armand MARTZ
octobre 2009 -
Communauté de paroisses St-Éloi de la Hardt [19], presbytère de Fessenheim.
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Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM
Naissance
Décès
Observations
Hubert ISSENLOR
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Mineur de fond, 40 années de service aux mines de potasse d'Alsace. Membre du conseil de fabrique de 1953 à 1961.
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Les médaillés de Sainte-Hélène
La médaille de Sainte Hélène, créée par Napoléon III, récompense les 405 000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815.
Fils de Joseph FURLING et M.-Anne BACHMANN, veuf de M.-Anne HUSHERR - Réserve du 4e et 2e régiment de grenadiers, 1811 à 1814. Dossier 237074. Décédé à l'âge de 79 ans.
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Monument aux morts
Le monument aux morts
Liste des victimes
« Réalisée par le maître sculpteur BRUETSCHY de Ribeauvillé et entièrement financée par les dons des habitants de la commune en 1922, en mémoire des disparus de la 1ère Guerre Mondiale »[21], la statue du Christ, détériorée par le temps et non restaurable, vient d'être remplacée par une copie conforme, et son socle en grès des Vosges a été restauré. Pour cela la commune a établi un partenariat avec le Fondation du Patrimoine et mis en place une souscription auprès des particuliers et des entreprises.
Joseph RIETSCH, domestique, 25 ans en 1851, part pour New York : passeport délivré le 20 septembre 1851.
Michel MÜSSER, 24 ans en 1851, part également pour New York : passeport délivré le 22 septembre 1851.
Joseph REYMANN, maître de tissage, 54 ans en 1852, part pour le Texas : passeport délivré le 21 juin 1852.
Laurent KINDBEITER, chauffeur, né en 1839, part en Amérique en 1872 : il meurt à Wilmington en 1913.
Tous ces noms sont tirés du livre "Munchouse, une petite histoire dans la grande".
Deux couples sont aussi mentionnés, pour Castroville (Texas), et encore un départ pour New York en 1952.
Les optants
Voici quelques Munchhousiens et Munchhousiennes qui ont opté pour la nationalité française (repérés sur www.ancestry.fr, déclaration de citoyenneté ; dates de naissances confirmées par les registres d'état civil de Munchhouse) :
BURGLIN Joseph, né le 10 octobre 1810, fils de BURGLIN Joseph et BERG Catherine :
-déclaration signée le 8 août 1872 - Domicile Sidi Chamy (Algérie)
-décédé à Sidi Marouf (Algérie) (Décès déclaré par son fils Joseph, 27 ans, cultivateur)[22]
BURGLIN Antoine, né le 15 janvier 1837, fils de BURGLIN Jean et GANTNER Thérèse :
-déclaration le 2 mai 1842 - Domicile Foussemagne (Territoire de Belfort)
KINDBEITER Quirin, né le 7 janvier 1829, fils de KINDBEITER Jean et WIPF Marie :
-déclaration le 22 avril 1872 - Domicile Paris
KINDBEITER Martin, né le 14 novembre 1838, frère du précédent :
-déclaration le 28 septembre 1872 - Domicile Morvillars (Territoire de Belfort)
KINDBEITER Georges, né le 20 avril 1840, fils de KINDBEITER Bernard et DENNINGER Marie Anne :
-déclaration faite le 28 septembre 1872 - Domicile Morvillars
GANTNER Antoine, né le 9 mai 1817, fils de GANTNER Michel, et ECKERT Anne Marie :
-déclaration le 28 août 1872 - Domicile Nouvelle Orléans (Etats Unis)
GANTNER Catherine, née le 17 mai 1825, fille de GANTNER Jean et WALTISPERGER Marie Anne :
-déclaration le 22 juillet 1872 - Domicile Neufmaisons (Meurthe et Moselle)
GANTNER Bernard, né le 25 octobre 1845, fils de GANTNER Joseph et ISSENLOR Marie Anne :
-déclaration le 20 septembre 1872 - Domicile Paris
GANTNER Edouard, né le 16 juillet 1851, fils de GANTNER Sébastien et LIEBY Victoire :
-déclaration le 30 septembre 1872 - Domicile Lyon
MUESER François Antoine, né le 21 mars 1846, fils de MUESER Pierre et MUESER Madeleine :
-déclaration le 4 juin 1872 - Domicile Arras
MUESER Ferdinand, né le 25 avril 1847, fils de MUESER Jean et HURTER Madeleine :
-déclaration le 28 juin 1972 - Domicile Belfort
MUESER Hubert, né le 31 octobre 1853, frère de François Antoine :
-déclaration le 29 mai 1872 - Domicile Mascara (Algérie)
RIETSCH Quirin, né le 17 avril 1848, fils de RIETSCH Bernard et GROSHENNY Catherine :
-déclaration le 29 avril 1872 - Domicile Montbéliard (Territoire de Belfort)
Pour le Haut-Rhin, seuls sont numérisés et consultables en ligne les registres d'état civil de 1793 à 1892.
Pour les BMS, recensements ou registres de matricule, il faut se déplacer aux AD à Colmar, ou au CDHF à Guebwiller.
Archives notariales
Patronymes
Sont fortement implantés dans le village les Eckert, Frey, Gantner, Hanser, Hurter, Kieffer, Kindbeiter, Meyer, Rietsch, Waltisperger, Wipf ...
Remarques
Bibliographie
KAUFFMANN Marie-Madeleine et ALBARRACIN Christiane, Munchhouse, une petite histoire dans la grande, Mulhouse, Journal des ménagères, 2003, 240 pages, ISSN 0908 K 83551
BLOSSER Jean-Marie, feu DEYBER François, feu PARIS Guy, PETER Gérard et Jean-Louis, SCHMIDT René, Ensisheim, un voyage dans le temps, collection "Mémoire de vies", Strasbourg, Carré Blanc éditions, 2016, 248 pages, ISBN 2-84488-183-1
Le patrimoine des communes du Haut-Rhin, Tome 1, Charenton-le-Pont (94), Flohic éditions, 1998, 752 pages, ISBN 2-84234-036-1
POINSOT Gilbert, HAUSS Alain, LIND Olivia, SCHNEIDER-BARDOUT Michèle, Canton d'Ensisheim, collection "Images du patrimoine", Illkirch (67), Le verger éditeur, 1990, 72 pages, ISBN 2-908367-19-X
La route des orgues, festival Callinet, dépliant réalisé par la communauté de communes "Essor du Rhin". Création l'Atelier
Munchhouse.com, bulletin municipal annuel de la commune, n° 39, janvier 2016
↑Selon Suzanne Plouin, chargée des collections d'archéologie du musée d'Unterlinden à Colmar, page 5, in KAUFFMANN Marie-Madeleine et ALBARRACIN Christiane, Munchhouse, une petite histoire dans la grande, Mulhouse, Journal des Ménagères, 2003, 240 pages, ISSN 0908 K 83551
↑in La lettre de la section CGA "Ile de France", n° 1/2013, janvier 2013, page 4, Histoire de Munchhouse
↑ 3,03,1 et 3,2Selon le Cercle de Généalogie et d'Histoire de la Hardt
↑Page 37, in POINSOT Gilbert, HAUSS Alain, LIND Olivia, SCHNEIDER-BARDOUT Michèle, Canton d'Ensisheim, collection "Images du Patrimoine", Illkirch (67), Le Verger éditeur, 1990, 72 pages, ISBN 2-908367-19-X
↑Page 55, in KAUFFMANN Marie-Madeleine et ALBARRACIN Christiane,Munchhouse, une petite histoire dans la grande, Mulhouse, Journal des Ménagères, 2003, 240 pages, ISSN 0908 K 83551
↑LAJOUX Jacques, in Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers, séance du mercredi 7 juillet 2010
↑Archives Départementales du Haut-Rhin, armoiries des communes du haut-Rhin, résumé
↑Le Patrimoine des communes du Haut-Rhin, Tome 1, Charenton-le-Pont (94), Flohic éditions, 1998, 752 pages, ISBN 2-84234-036-1
↑Bulletin de la communauté de paroisses Saint-Éloi de la Hardt
↑notices-patrimoine.region-alsace.eu, inventaire topographique établi en 1987 par Gilbert Poinsot
↑"De la Hardt agricole à la forêt domaniale de la Hardt", page 10 et 11, in Munchhouse.com, bulletin municipal n°39, janvier 2016, mis à ma disposition par la mairie
↑Toute la liste est issue de : KAUFFMANN Marie-Thérèse et ALBARRACIN Christiane, Munchhouse, une petite histoire dans la grande, Mulhouse, Journal des Ménagères, 2003, 240 pages, ISSN 0908 K 83551
↑Paroisses St Blaise à Blodelsheim, Ste Colombe à Fessenheim, St Laurent à Hirtzfelden, Ste Agathe à Munchhouse, St Wendelin à Roggenhouse et St Gilles à Rumersheim-le-haut