68224 - Mulhouse
Mulhouse | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]() ![]() ![]() Anciens cantons : |
Code INSEE | 68224 |
Code postal | 68100/68200 |
Population | 109 443 habitants (2017) |
Nom des habitants | Mulhousiens, Mulhousiennes |
Superficie | 2 218 hectares |
Densité | 4934.31 hab./km² |
Altitude | Mini : 231 m |
Point culminant | 336 m |
Coordonnées géographiques |
47.749481° / 7.33994° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Antiquité
- Des peuplades fréquentent le secteur dès le Paléolithique supérieur, comme peuvent en témoigner des traces à Ferrette ou Illfurth, mais ils ne s'établissent pas en habitat pérenne.
- Nulle voie romaine n'est attestée à Mulhouse, mais on sait qu'en - 58 avant J.C. le chef gaulois Arioviste est vaincu par Jules César, lors de la bataille de l'Ochsenfeld. Si l'endroit exact n'est pas encore certain, il se situe tout de même aux alentours de Mulhouse[1].
Moyen Âge
- La cité est mentionnées pour la première fois en 803, sous la forme "Mulinhusen". C'est alors un fief qui dépend de l'abbaye Saint-Étienne de Strasbourg. Les habitations commencent à se regrouper autour d'un moulin à eau.
- Au XIIe siècle Frédéric Ier de Hohenstaufen, dit Barberousse, accorde de l'intérêt à la cité, en fait une étape lors de ses trajets, et encourage son développement. Frédéric II, durant le premier quart du XIIIe siècle, fait fortifier la bourgade. Il en subsiste une portion de rempart et la Tour du Bollwerk, ainsi que les noms de différentes portes[2]. Il en fait une véritable ville et lui confère quelques privilèges. En 1262, l'évêque de Strasbourg y fait élever un château-fort, dont le seul témoin est la Tour Nessel. Mais la bourgeoisie est en désaccord avec les évêques et préfère dépendre de l'empereur Rodolphe Ier de Habsbourg.
- Au XIVe siècle, Mulhouse devient ville impériale, sous l'administration d'un prévôt. Mais elle s'individualise et se constitue en république libre à partir de 1347. Elle s'administre alors elle-même grâce à son Conseil[3]. En 1354, déjà ville importante, elle devient avec d'autres villes partie intégrante de la Décapole[4]. Commerce aidant, « les bourgeois affirment, peu à peu, leur autorité au détriment des notables »[5].
- Mais face à la domination des Habsbourg, Mulhouse décide en 1466 de s'allier à des villes suisses, d'abord Berne et Soleure, ensuite Bâle. Puis en 1515, elle sort de la Décapole pour « s'unir à la Confédération suisse »[6], ce qui lui confère un statut particulier.
Époque moderne
- En 1523, la ville adhère massivement à la Réforme avec la publication d'un édit au mois de juillet, ordonnant « d'abandonner les rites antérieurs »[7].
- Au XVIIe siècle, le commerce se développe, mais Mulhouse doit aussi faire face à des épidémies et des conflits. Lors du traité de Westphalie, en 1648, les possessions habsbourgeoises sont rattachées à la France, mais Mulhouse tient à garder son indépendance.
- En 1746 est créée la première manufacture d'indiennes qui va entraîner dans son sillage un essor économique et industriel au siècle suivant.
Époque contemporaine
- En 1798, la ville est menacée de blocus douanier et finit par se rattacher volontairement à la France. Deux ans plus tard les portes et remparts sont abattus.
- Le début du XIXe siècle s'oriente vers une industrialisation phénoménale. Les manufactures textiles bien sûr, avec filatures, tissages et impression sur étoffes, qui créent « près de 30 000 emplois »[8] entre 1800 et 1840, mais aussi l'industrie qui lui est directement liée, à savoir, les constructions mécaniques, la chimie, et les moyens de transport. Mulhouse devient un des pôles industriels majeurs d'Europe. D'ailleurs la cité est surnommée la ville aux 100 cheminées ou "le Manchester français". Dès 1826, les industriels fondent la SIM (Société Industrielle Mulhousienne) qui prend une place dominante dans la ville et son administration. Elle cherche aussi constamment à améliorer les techniques, et, avec une certaine philanthropie, crée des cités ouvrières et se préoccupe du bien-être des travailleurs.
- L'annexion à l'Allemagne, en 1870, ralentit le cours des évènements et provoque une émigration massive. Puis le début du XXe siècle apporte un renouveau avec l'exploitation de la potasse. Mais un déclin des industries s'amorce entre les deux guerres.
- Après 1945 commence une reconstruction, dont un des symboles est la Tour de l'Europe, et une orientation vers d'autres technologies (automobile, nucléaire...) entraînant avec elles créations de grandes écoles ou universités.
- La ville a reçu la Croix de guerre 1914-1918 avec palme et celle de 1939-1945 avec palme également.
- Au XXIe siècle, Mulhouse, classée "ville d'art et d'histoire", développe fortement le partenariat économique avec ses deux pays voisins, et joue la carte du tourisme autour de ses musées industriels.
Héraldique
- Les Grandes Armes de Mulhouse « apparaissent dès 1267 et figurent dans leur disposition actuelle dès 1390 »[9].
- Elles se blasonnent ainsi : « D'argent, à une roue de moulin de gueules, supportée par deux lions d'or, surmontée d'une couronne murale à 5 tours, soutenue d'un ruban d'argent au nom de la ville de Mulhouse ». La couronne murale fait référence à la Décapole.
- Les armes simples symbolisent la roue d'un moulin hydraulique, celui qui serait à l'origine de la ville.
- Elles se blasonnent ainsi : « D'argent à la roue de moulin de gueules ».
- Le drapeau mulhousien est flammé de 20 pièces d'argent et de gueules, avec un canton armorié en haut à gauche qui reprend l'emblème de la roue de moulin. C'était le drapeau officiel de la République de Mulhouse au XVIIIe siècle jusqu'à sa réunion à la France en 1798. « Il est remis à l'honneur en 1901 »[10].
Toponymie
La base du toponyme est la dénomination germanique "Mülhausen" composé du suffixe "hausen" signifiant maisons complétant le nom "Mûhl" signifiant moulin. Ce qui se traduit par maisons du moulin.
Ce toponyme a légèrement varié au fil du temps, à partir de la même base :
en 803 : Mulinhusen -- en 1153 : Mulhusen -- en 1347 : Stadtrepublik Mülhausen -- en 1798 : Mulhausen -- depuis 1848 : Mulhouse (le toponyme Mulhausen refaisant son apparition pendant les périodes d'annexion à l'Allemagne).
Histoire administrative
- Département - 1801-1871 : Haut-Rhin, 1871-1919 : Haut-Rhin (Allemagne), 1919-2023 : Haut-Rhin
- Arrondissement - 1801-1857 : Altkirch, 1857-1871 : Mulhouse, 1871-1919 : Kreis Mulhouse, 1919-2023 : Mulhouse
- Canton - 1801-1861 : (Mulhausen) Mulhouse, 1861-1958 : Mulhouse-Nord et Mulhouse-Sud, 1958-2015 : Mulhouse-Nord, Mulhouse-Sud, Mulhouse-Ouest et Mulhouse-Est, 2015-2023 : Mulhouse-1, Mulhouse-2 et Mulhouse-3
Résumé chronologique :
- 1801-.... : Cton de , Arrt. de , Dép. de
Patrimoine bâti
Musées de Mulhouse
La cité mulhousienne offre de nombreux musées.
Outre un musée historique et un musée des Beaux-Arts, on dénombre quatre musées industriels et technologiques, de grande importance au niveau européen ou mondial, comme la Cité du Train ou la Cité de l'automobile, dont une grande partie de la collection est classée aux Monuments historiques.
Certains sont labellisés "Musées de France".
Quand au musée du Sapeur Pompier d'Alsace, avant de s'installer à Vieux-Ferrette, il était présent quelques années à Mulhouse.
Article détaillé : Pour en savoir plus...
Édifices religieux
Les édifices religieux de Mulhouse sont très nombreux. Certains situés au départ dans le village de Dornach sont devenus mulhousiens en 1914.
Ils reflètent l'histoire mouvementée de la ville et de son essor industriel.
Différents cultes sont représentés. Certains édifices ont changé d'affectation cultuelle au cours du temps, ou ont même été séparés en deux parties pour la célébration de deux cultes différents.
Du XIIIe au XXe siècle, le panorama de ces édifices est très varié....
Article détaillé : Pour une découverte, non exhaustive
Patrimoine civil
- La Tour du Bollwerk ou Tour du cochon date du XIIIe siècle et est classée aux Monuments historiques depuis 1898[11]. Sa popularité a amené les habitants à surnommer Mulhouse "La cité du Bollwerk".
- La Tour Nessel, également du XIIIe siècle, est un vestige du château épiscopal détruit en 1262. Tour porte qui permettait d'entrer dans la cité, elle a été transformée en tour simple au XVe siècle.
- L'hôtel de ville : édifice de style Renaissance rhénane à deux étages édifié en 1552, partiellement classé (description plus détaillée sur la page des musées).
- La Maison Mieg, construite en 1560 et décorée au XVIIe siècle par le décorateur Mieg. Son élévation et ses décors intérieurs sont inscrits aux Monuments historiques depuis 1929 et 1994[12].
- Le théâtre municipal : situé rue de la Sinne, ce théâtre qui a ouvert ses portes en 1868 est devenu municipal en 1875. Dans son prestigieux cadre à l'italienne tout en rouge et or du XIXe siècle, il offre une programmation très éclectique.
- Les tribunaux :
- - le Tribunal de Grande Instance date de 1878 et est l'œuvre de M. Dietrich. Sa façade principale, son hall et son escalier d'honneur sont inscrits aux Monuments historiques depuis 1992[13].
- - le Tribunal d'Instance a été construit dans un style éclectique, en 1899, par l'architecte Joseph Müller. Le peintre verrier Adolf Schell y a réalisé des verrières en 1902. Le bâtiment est inscrit partiellement aux Monuments historiques depuis 1987[14].
- La Caisse d'Épargne : un concours lancé en 1907 a choisi les architectes Louis Seltzer et Charles Schulé pour un édifice imposant avec façade à colonnes et fronton sculpté par Albert Schultz, terminé en 1912.
- Les Bains Municipaux : commencé en 1913, interrompu par la guerre, le projet se termine en 1925. L'architecte Maurice Baumeister et le peintre verrier Joseph Ehrismann ont conçu; là aussi, un grand édifice, avec deux bassins, des bains romains et des cabines munies de baignoires. Hall, vitraux et bains romains sont inscrits aux Monuments historiques depuis 2008[15].
- La Tour de l'Europe : cette tour moderne, haute de 99 m, avec un restaurant tournant au dernier étage, est l'œuvre des architectes F. Spoerry et B. Michau, à l'endroit où existait l'ancienne digue de la ville fortifiée.
Patrimoine industriel
La patrimoine industriel était fort étoffé, puisqu'on dénombrait 15 manufactures d'indiennes en 1766 (où travaillaient 2 250 ouvriers) puis 22 juste avant la Révolution. Elles se sont encore multipliées au siècle suivant. Se rajoutaient les usines mécaniques, déjà 5 au XIXe siècle, pour construire les machines textiles ou les machines à vapeur. Tuileries et usines chimiques comme Péchiney complétaient l'ensemble.
La plupart ont été rasées pour faire place à de nouveaux quartiers ou à des lycées par exemple. La tuilerie Lesage, de 1897, existe encore, avec sa cheminée. Une partie des bâtiments de l'usine DMC est restée intacte. Et la fonderie de la SACM a été entièrement reconvertie.
Dollfus-Mieg et Cie (DMC)
- Cette immense entreprise, devenue mondialement célèbre pour sa production de fils à broder, a été créée par Daniel Dollfus (second fils de Jean) en 1800. En deux entités différentes, d'abord une à Dornach, puis à Mulhouse. Petit à petit les bâtiments se sont multipliés car le site s'est diversifié : après les indiennes se sont rajoutées tissage et filature. En 1841, Émile Dollfus innove en rajoutant la fabrication de fil à coudre, puis Frédéric-Engel Dollfus y rajoute le fil à broder qui fera la renommée internationale de la maison DMC. C'est l'époque glorieuse de cette aventure textile.
- À la fin du siècle commence le déclin des indiennes. Pendant la seconde guerre mondiale, les locaux sont réquisitionnés pour la production de matériel de guerre. En 1961, DMC fusionne avec l'entreprise Thiriez & Cartier-Bresson, à l'origine du logo avec la tête de cheval. L'entreprise emploie alors 30 000 salariés. Mais le choc pétrolier survient, ainsi que la concurrence asiatique. En 1990, le nombre de salariés est descendu à 15 000. Au XXIe siècle a lieu une restructuration, une mise en cessation de paiement, une liquidation judiciaire, enfin le rachat en 2016 par un fonds d'investissement britannique.
- Le site DMC occupait une surface de 75 hectares, le long du ruisseau Dollerbaechlein, dont la qualité des eaux était favorable au blanchiment du tissu. Les bâtiments se sont multipliés au fil du temps, variant un peu les formes : bâtiment trapu pour l'administration, sheds ou très grand bâtiment pour la filature de 1812[16], des blocs en forme de barres au XXe siècle. Mais tous sont en briques rouges, créant une certaine unité. Les bâtiments portaient des numéros et les allées des noms, comme allée des brodeuses ou rue Lily Ebstein[17].
- Nombre de ces bâtiments on été rasés. Mais il en demeure certains, sur 5 hectares, dont le fameux réfectoire, construit en 1886 dans un style un peu plus travaillé et agrémenté d'une pièce d'eau, qui constituait une réalisation sociale d'avant-garde à cette époque. Ce réfectoire et son environnement sont inscrits aux Monuments Historiques depuis 2015[18].
- Le reste du site et de ses bâtiments est en pleine mutation : il accueille diverses associations créatrices d'évènements. Prend aussi forme un grand projet de réhabilitation en nouveau quartier, tout en préservant le bâti industriel.
Fonderie (ancienne SACM)
- "La Fonderie" est devenu un quartier de Mulhouse, mais auparavant elle désignait une grande usine de constructions mécaniques.
- Le précurseur en est André Koechlin, associé de DMC, à sa Direction en 1818, maire de Mulhouse, mais aussi ingénieur. En 1826, il fonde une usine de production pour les machines textiles, puis en 1839 créé un atelier de construction de locomotives, appelé "André Koechlin & Cie". Bien installée à proximité du canal du Rhône au Rhin, et tout près de la voie ferrée Mulhouse-Thann (dont A. Koechlin est aussi à l'initiative), l'usine fait provenir son charbon des houillères de Ronchamp. L'usine prospère et s'associe aux Ateliers de Graffenstaden. Mais avec l'annexion de 1870, la production se rabat sur Belfort, et en 1871 est créée la Société Alsacienne de Constructions Métalliques (SACM), qui va désormais produire sur trois sites. Au fil du temps, elle deviendra l'entreprise "Alsthom" et sa production ne se limitera plus aux locomotives, mais s'élargira avec les chaudières, les moteurs diesel, le matériel des mines ou des Ponts-et-Chaussées, et plus tard la pile atomique.
- À l'origine, la fonderie elle-même était complétée d'un atelier d'usinage et d'un autre bâtiment abritant une machine à vapeur. Elle fonctionnait avec une certaine autonomie et disposait même d'un « service d'incendie spécifique prêt à intervenir à tout moment »[19]. Après le mouvement de contestation de 1936, la fonderie a été transférée à Masevaux, et le bâtiment transformé en atelier de découpe. La production s'est arrêtée en 1986.
- Depuis l'an 2000, une partie des friches est en réhabilitation. La fonderie elle-même a été remaniée et aménagée en édifice contemporain, souvent surnommé "la Cathédrale". Depuis 2007, elle fait partie du campus de l'Université de Haute-Alsace, abritant notamment la Faculté des sciences économiques, sociales et juridiques, ainsi qu'un centre de formation des enseignants et formateurs, une section des archives municipales et une bibliothèque universitaire.
Patrimoine militaire
Suite à l'annexion de 1870, quatre casernes sont érigées pour abriter la garnison :
- la caserne Lefebvre : construire en 1874 dans un style wilhelmien, avec des façades imposantes, elle a été réhabilitée en 108 logements. Dans son jardin intérieur subsiste le char du lieutenant Jean de Loisy, mort en 1944.
- la caserne Barbanègre : construite en 1889 pour le 22e régiment de dragons badois et composée de 7 immeubles. Une reconversion a été opérée en 1903, puis une réhabilitation en 178 logements en 2014. Son porche d'entrée a été conservé et installé au milieu d'un giratoire.
- la caserne Coehorn : construite en 1891 sous le nom de "Grossherzog Friedrich Kaserne", elle prend ensuite le nom de caserne Vauban, puis caserne Turenne, avant de devenir caserne Coehorn. Elle accueillait le 1er bataillon du 171e RIF.
- la caserne Drouot : caserne de cavalerie construite en 1906, en l'honneur d'Antoine Drouot, général d'artillerie du Ier Empire, elle abritait le 57e régiment de transmissions. Elle aussi à été réhabilitée en logements et village artisanal.
Repères géographiques
Mulhouse est située dans la partie sud du département, à 47 km au nord-est de Belfort.
La ville initiale s'est logée entre les rivières de l'Ill et de la Doller, dont les eaux, de qualité différentes mais complémentaires se sont avérées propices à l'industrie textile.
De légères collines bordent la cité sur le flanc sud-est, notamment le Rebberg, lieu de résidence des grands patrons industriels de l'époque. Au nord-est commence à s'épanouir la forêt de la Hardt et au nord s'étale la plaine d'Alsace.
Les cantons de Mulhouse (6899) : |
Démographie
Mulhouse absorbe en 1914 l'ancienne commune de Dornach et en 1947 l'ancienne commune de Bourtzwiller.
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | - | 6 018 | 8 053 | 9 603 | 13 300 | 16 932 | 20 129 | 29 415 | 29 574 | 45 981 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 45 587 | 58 773 | 52 892 | 58 513 | 63 629 | 69 759 | 76 892 | 82 986 | 89 118 | 94 498 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 95 041 | 99 226 | 99 892 | 99 534 | 96 697 | 87 655 | 99 079 | 108 995 | 116 336 | 117 013 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 112 157 | 108 357 | 110 359 | 110 514 | 110 351 | 108 999 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017, *Supplément au n° 21 de l'Industriel Alsacien pour l'année 1835.
- *Compléments
Année | 1812 | 1813 | 1814 | 1815 | 1816 | 1817 | 1818 | 1819 | 1820 | 1821 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 10 784 | 11 168 | 10 080 | 9 856 | 9 248 | 8 832 | 8 736 | 9 792 | 11 424 | 12 260 |
Année | 1822 | 1823 | 1824 | 1825 | 1826 | 1827 | - | - | - | - |
Population | 14 624 | 14 080 | 15 164 | 16 000 | 13 848 | 20 864 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
En photos
Cartes postales anciennes
Article détaillé : Pour découvrir d'autres cartes anciennes de la ville...
Photos
Ville de naissance ou de décès de
- Jeanne BECKER, née ici en 1878, épouse de Carl SCHLUMPF, mère de Hans et Fritz, qui vont devenir de grands industriels textiles et vont collectionner de nombreuses voitures à l'origine de la création de la Cité Automobile - Collection Schlumpf, à Mulhouse.
- Marcel BERNHARDT, dit ALCANTER de BRAHM, écrivain sous le nom de "BRAND", né le 3 mai 1868, époux de Jeanne Ichard, décédé en 1942.
- Pierre CHAMBON, biologiste et généticien, né le 7 février 1931.
- Alfred DREYFUS : Officier, lieutenant-colonnel,
- Né à Mulhouse le 9 octobre 1859, décédé à Paris le 12 juillet 1935.
- Fils de Raphaël Dreyfus et de Jeannette Libmann. Marié le 18 avril 1890 à Lucie Eugénie Hadamard.
- Chevalier de la Légion d'Honneur le 25 janvier 1919.
- Plusieurs statues à l'effigie d'Alfred Dreyfus : à Mulhouse : Square Steinbach et à Paris : Place Pierre-Lafue.
- Huguette DREYFUS, pianiste, née le 30 novembre 1928, décédée en 2016.
- Marie-Émilie EBSTEIN, dite Lily EBSTEIN, dessinatrice de mode. Née ici, le 2 août 1920, elle part à Vichy en 1939 avec sa famille d'origine juive, est convoyée à Drancy et déportée à Auschwitz où elle meurt en 1943. Un membre de sa famille a retrouvé une valise avec ses dessins. Une rue dans l'enceinte DMC porte son nom depuis 2017.
- Charlotte GONIN, chanteuse connue sous le nom de VITAA, née le 14 mars 1983, ayant à son actif plusieurs albums sortis en 2007, 2009, 2013, 2015.
- Gérard HÉROLD, acteur, né à Mulhouse (Haut-Rhin) le 10 septembre 1939, décédé à Paris le 19 août 1993.
- Louis Lazare JACOB, musicien (groupe Les Compagnons de la Chanson) sous le nom de Jean-Louis JAUBERT, né le 29 août 1920, décédé à Paris le 23 février 2011.
- Le père Albert MORGENSTERN : professeur, aumônier, curé de la congrégation du Saint-Esprit, ancien missionnaire en Guadeloupe. Né en 1925, décédé en 2015.
- Thierry OMEYER, handballeur, né le 2 novembre 1976.
- Il est né le 02 février 1925 et est décédé à Wolxheim le 11 décembre 2015. La cérémonie religieuse de ses obsèques a été célébrée en l'église de Wolxheim le 16 décembre 2015.
- Rémy PFLIMLIN : A travaillé pour "Jours de France", pour les "Dernières Nouvelles d'Alsace", pour la "Société Alsacienne de Publications". PDG du quotidien "L'Alsace". Directeur général de France 3. Président du festival Musica. Directeur général de Presstalis. Administrateur de la société SOLINEST. Président du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Président du conseil d'administration de TV5 Monde. Président de France Télévisions. Chevalier de la Légion d'honneur, Officier de l'Ordre National du Mérité. Il est le petit-neveu de Pierre PFLIMLIN, maire de Strasbourg.
Né à Mulhouse le 17 février 1954, décédé à Paris le 03 décembre 2016. La cérémonie religieuse des obsèques a eu lieu en l'église du Sacré-Cœur de Mulhouse le 09 décembre 2016. Elle a été présidée par Monseigneur Grallet, archevêque de Strasbourg. France 3 Régions - Informations. ( Source : Faire-part de décès - Dernières Nouvelles d'Alsace. et Wikipédia - Rémy PFLIMLIN)
- Isabelle PIA, actrice, de son vrai nom Geneviève BOUSSAGEON, née le 13 juillet 1935, décédée à Paris le 10 juillet 2008.
- Jean SCHLUMBERGER, industriel du textile, né à Mulhouse (Haut-Rhin) (23 février 1819-1908).
- Christiane SCRIVENER, femme politique, née le 1er septembre 1925.
- Frank TÉNOT, journaliste, né le 31 octobre 1925, décédé à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) le 8 janvier 2004.
- Antoine WAECHTER, homme politique, né le 11 février 1949.
- Alfred WERNER, Suisse, prix Nobel de chimie en 1913, né le 12 décembre 1866, décédé à Zurich (Suisse) le 15 novembre 1919.
- Delphine WESPISER : Miss Haut-Rhin, Miss Alsace, Miss France 2012. Née en 1992.
- William WYLLER, réalisateur producteur, né le 1er juillet 1902, décédé à Los Angeles (États-Unis) le 27 juillet 1981. Réalisateur du film Ben Hur, en 1959, qui remporta « 11 Oscars sur 12 nominations »[20]. William WYLLER lui-même a reçu de nombreuses distinctions au cours des 45 années de sa carrière.
- Christian ZUBER, journaliste, né le 19 février 1930, décédé à Paris le 23 juillet 2005.
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Pierre THIERRY | 1798 - 1800 | Lors de la réunion de Mulhouse à la France, il a le statut de président de la municipalité, ancienne fonction apparentée à celle de maire |
Jean Michel HOFER | 21 Décembre 1800 - mai 1807 | Fiche , officiellement, le premier maire |
Antoine SPOERLIN | mai 1807 - mai 1811 | Portrait |
Josué KOECHLIN | mai 1811 - septembre 1814 | Fiche |
Jean-Henri DOLLFUS (fils) | septembre 1814 - 1815 | Fiche |
Jean-Jacques KOECHLIN | 1815 | Fiche |
Mathieu HOFER | juin 1815 - juillet 1816 | Maire provisoire |
Alexandre MOLL | juillet 1816 - décembre 1819 | Fiche |
Jean-Jacques KOECHLIN | décembre 1819 - avril 1821 | Le même. Né en 1776. Petit-fils de Samuel KOECHLIN cofondateur de la 1ère manufacture d'indiennes. Député en 1820. Décède en 1834. |
Jean-Henri DOLLFUS (fils) | avril 1821 - juillet 1825 | Le même. Né en 1755. Son père était aussi un des cofondateurs de la 1ère manufacture d'indiennes. |
Armand BLANCHARD | juillet 1825 - juillet 1830 | Né en 1779. Ancien capitaine de la garde et aide de camp dans l'Armée de Napoléon Ier. Sous-préfet dans des villes différentes. Décède en 1862. |
Sébastien SPOERLIN | juillet 1830 - septembre 1830 | Maire provisoire |
André KOECHLIN | septembre 1830 - avril 1832 | Cousin de Jean-Jacques KOECHLIN ci-dessus. Né en 1789. Directeur de DMC en 1818. Crée sa propre usine de constructions mécaniques : André Koechlin & Cie, qui deviendra la SACM puis Alsthom. Actionnaire de la Société civile des Houillères de Ronchamp. |
André BAUMGARTNER | avril 1832 - août 1832 | Maire provisoire |
André KOECHLIN | août 1832 - mars 1843 | Le même. Député du Haut-Rhin de 1832 à 1848. Chevalier de la Légion d'honneur en 1836. Démissionne de son mandat de maire en 1843. Sera conseiller général du canton d'Altkirch de 1846 à 1848 - Décède en 1875. |
Jean Georges WEISS | mars 1843 - juillet 1843 | Maire provisoire |
Émile DOLLFUS | juillet 1843 - septembre 1848 | Frère de Jean ci-dessous. Né en 1805. Un des patrons de DMC. Cofondateur de la SIM. Plutôt conservateur. Député en 1846. Conseiller général en 1852. Décède en 1858. Fiche |
Émile KOECHLIN | septembre 1848 - août 1852 | Fils de Rodolphe KOECHLIN. Né en 1808. Ingénieur chez André Koechlin & Cie. Crée sa propre filature. Démissionne en 1852. Décède en 1883. Fiche Républicain modéré, il démissionna en 1852 pour protester contre le rétablissement de l'Empire. |
Joseph KOECHLIN-SCHLUMBERGER | août 1852 - octobre 1863 | Fils de Josué KOECHLIN ci-dessus. Industriel, directeur d'une filature. Cofondateur de la SIM. À l'origine d'une école professionnelle. Conseiller général du Haut-Rhin. Fiche |
Jean DOLLFUS | novembre 1863 - juillet 1869 | Fils de Daniel DOLLFUS, fondateur des usines DMC. Donc frère d'Émile ci-dessus. Né à Mulhouse en 1800. Directeur de DMC jusqu'en 1826, puis des indiennes jusqu'en 1876. Fondateur de la première cité ouvrière. Chevalier de la Légion d'honneur puis commandeur en 1867. Il représente Mulhouse au Reichstag de 1877 à 1878 et de 1881 à 1884. Il démissionne en 1869. |
Henri Léopold BOCK | juillet 1869 - 1870 | Né en 1797. Associé des usines de constructions mécaniques André Koechlin & Cie. Premier adjoint faisant fonction de maire. |
Auguste DUJARDIN | 1870 - 1871 | Né en 1825. Notaire. Président de la commission municipale durant la guerre de 1870-71. Expulsé par les Allemands. Décède en 1882. |
Jean de Frédéric SCHOEN | août 1871 - septembre 1872 | Né en 1805. Maire provisoire. décède en 1884. |
Jean MIEG-KOECHLIN | septembre 1872 - mai 1887 | Gendre de Joseph KOECHLIN-SCHLUMBERGER. Né en 1819. Manufacturier. Également Conseiller général de Haute-Alsace. Député au parlement régional. Fiche Dernier maire issu du grand patronat mulhousien. Décède en 1904. |
Au sein de l'Empire allemand, sous le Reichsland Elsaß-Lothringen
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Karl HACK | 1887-1901 | |
Josué WICK | 1901-1902 | Démocrate-socialiste |
Émile KAYSER | 1902-1908 | |
Auguste KLUG | 1908-1913 | Parti catholique & centriste ( Deutsche Zentrumspartei ) |
Alfred WOLFF | 1913-1914 | Parti catholique & centriste ( Deutsche Zentrumspartei ) |
Joseph COSSMANN | 1914-1918 | Parti catholique & centriste ( Deutsche Zentrumspartei ) |
Période de l'entre-guerres
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Alfred WOLFF | 1918-1919 | Commission provisoire |
Alfred WOLFF | 1919-1923 | Bloc républicain |
Émile RÉMY | 1923-1925 | Bloc républicain. Né à Issenheim le 14/03/1861. Industriel de l'entreprise Heilmann et Cie. Adjoint au maire de Mulhouse en 1919. |
Auguste WICKY | 1923-1925 | Fiche SFIO, premier maire socialiste de Mulhouse |
Annexion de la seconde guerre mondiale
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Philippe HERBOLD | 1918 - 1919 | Nommé par le chef de l'administration civile nazie |
Auguste WICKY | 1825 - 1940 | Né à Bourbach-le-Bas le 4/03/1873. Décédé à Mulhouse le 12/01/1947. Ouvrier tailleur. Conseiller général du canton de Mulhouse-Sud de 1909 à 1918 puis de 1919 à 1937. |
Paul MAAS | 1940 - 1944 | Nommé par le chef de l'administration civile nazie |
De la libération à nos jours
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Auguste WICKY | 1944 - 1947 | Le même que ci-dessus. Distingué maire honoraire jusqu'à sa mort. |
Lucien GANDER | 1947 - 1953 | Fiche |
Jean WAGNER | 1953 - 1956 | |
Émile MULLER | 1956 - 1981 | |
Joseph KLIFA | 1981 - 1989 | Né en 1931. Conseiller municipal puis adjoint. Désigné par Émile MULLER, malade. Député du Haut-Rhin. Conseiller régional. Décède en 2009. |
Jean Marie BOCKEL | 1989 - 2010 | Né en 1950. Secrétaire d'État à plusieurs reprises. Député. Sénateur en 2010. Démissionne de son mandat de maire. |
Jean ROTTNER | 2010 - 2017 | Né en 1967. Médecin urgentiste. Directeur du SAMU. Ancien conseiller municipal puis adjoint. Vice-président du Conseil régional du Grand-Est de 2016 à 2017, puis président depuis 2017. Démissionne de son mandat de maire pour non cumul des mandats. |
Michèle LUTZ | 2017 - (2026) | Première femme à être maire de Mulhouse. Auparavant première adjointe, elle avait assumé l'intérim pendant certaines absences de Jean ROTTNER. Réélue en 2020 au deuxième tour. |
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Cf. : Mairesgenweb; Wikipedia
Autre source : François IGERSHEIM, L'Alsace des notables 1871-1914, la bourgeoisie et le peuple alsacien, Strasbourg, bf éditions, 1981, 318 pages
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Ernest HELMER | - | - Né le 04 juin 1869 à Barr (Bas-Rhin) - Officier de la Légion d'Honneur - Notaire à Masevaux - Notaire à Saint-Amarin - Voir commune de Barr "les Titulaires de la Légion d'Honneur" |
Les curés
Pour les curés, pasteurs ou rabbins des différents édifices, se reporter à la sous-page des édifices religieux (voir lien dans la section "Patrimoine bâti").
Les curés de lycée
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Robert METZGER | - | Voir Les curés de la paroisse Saint-Antoine de Strasbourg. |
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Les titulaires de la Légion d'honneur
Les Mulhousiens ayant été décorés de la Légion d'honneur sont au nombre de 475, dont bien sûr les grands patrons industriels ou notables de la ville. En voici deux, les autres peuvent être trouvés s en consultant la Base Léonore.
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Frédéric Ernest AMSLER | 29 juillet 1851 | 25 février 1929 | Officier d'administration principal du Génie. Officier en 1923, Son dossier | |
Achille KATZ | 15 Mai 1853 | 12 Mai 1924 Paris |
Fils de Joseph KATZ, marchand de grains, et de Françoise LEVY. Chevalier de la Légion d'Honneur le 20 février 1922 en qualité de Conseiller à la Cour d'Appel de Paris. | |
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Émigration
Émigration en Algérie
Article détaillé : Mulhouse - Émigration en Algérie
Émigration aux États-Unis d'Amérique
Article détaillé : Mulhouse - Émigration aux États-Unis d'Amérique
Émigration au Mexique
Article détaillé : Mulhouse - Émigration au Méxique
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1863-1872)
- Mariages (1813-1822)
- Registre de cimetières (1914-1918)
- Mariages (1873-1882)
- Mariages (1798-1812)
- Mariages (1803-1812)
- Mariages (1883-1892)
- Mariages (1823-1832)
- Mariages (1853-1862)
- Mariages (1589-1798)
- Registre de cimetière militaire (1914-1945)
- Registre de cimetières (1700-2001)
- Mariages (1843-1852)
- Mariages (1833-1842)
Documents numérisés
- État civil (1828-1837)
- État civil (1857-1858)
- État civil (1859-1860)
- État civil (1887-1888)
- Tables décennales (1802-1832)
- Tables décennales (1843-1852)
- Tables décennales (1873-1882)
- Tables décennales (1863-1872)
- Registres de la communauté juive (1808-1811)
- État civil (1869-1870)
- État civil (1831-1835)
- État civil (1840-1845)
- État civil (1880-1881)
- Tables décennales (1883-1892)
- État civil (1890-1891)
- État civil (1879-1880)
- État civil (1883-1883)
- État civil (1883-1889)
- État civil (1886-1887)
- État civil (1889-1889)
Cimetières
- Cimetière central de Mulhouse, protestant
- Cimetière central de Mulhouse, catholique
- Nécropole nationale Les Vallons - Tiefengraben
- Cimetière Nord
- Cimetière de Bourtzwiller
- Cimetière central de Mulhouse, cimetière Israélite
- Cimetière de Dornach
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h15-12h00 | 8h15-12h00 | 8h15-12h00 | 8h15-12h00 | 8h15-12h00 | - | - |
Après-midi | 13h00-17h00 | 13h00-17h00 | 13h00-17h00 | 13h00-17h00 | 13h00-17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 2, rue Pierre et Marie Curie - B.P. 10020 - 68948 MULHOUSE Cedex 9
Tél : 03 89 32 58 58 - Fax : Courriel : Page Contact ou Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Site de la Mairie (Mars 2011) |
Archives & Dépouillements des registres paroissiaux
Etat civil récent
Associations d'histoire locale
Bibliographie
FC Mulhouse
Mulhouse d'hier à aujourd'hui
Histoire de Mulhouse depuis ses origines jusqu'à nos jours
Mulhouse
Au temps des tram et du trolley à Mulhouse
Mulhouse dans les années 1900
Mulhouse d'antan
- Daniel DELATTRE, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
- Carmen RIFFENACH, Fabienne ALLEMANN, Musées industriels et techniques de Mulhouse, Collection Kaléidoscope, Molsheim, Édition des Dernières Nouvelles d'Alsace, 1988, 37 pages, ISBN 2-7165-0115-7
- André HECKENDORN et Frédéric GUTHMANN, Mulhouse, 80 lieux de cultes, histoire et patrimoine, Montreuil, 2017, Oko Éditions, 287 pages, ISBN 978-2-9561695-0-5
- François IGERSHEIM, L'Alsace des notables 1870-1914, la bourgeoisie et le peuple alsacien, Strasbourg, Nouvel Alsacien, 1981 (CDI collège de Lutterbach)
- Nicolas MENGUS, Ces Alsaciens qui ont fait l'Histoire, Villeveyrac, Le papillon Rouge Éditeur, 2017, 264 pages, ISBN 978-2-917875-87-2
- Collectif d'auteurs, Et si l'Alsace m'était contée, Brunstatt, F.S.C.M., 2017, 98 pages, ISBN 979-10-90239-34-0
- Jean-Paul GRASSER, Une histoire de l'Alsace, collection "alsatiques", Luçon, Jean-Paul Gisserot, 2013, 128 pages.
- Bernard VOGLER, Histoire de l'Alsace, Rennes, Éditions Ouest-France, 2002, 64 pages, ISBN 2-7373-2740-7
- Micheline LANG-REITZ et Bernard FISCHBACH, Mulhouse d'hier à aujourd'hui, collection "Regards croisés", Saint-Avertin, Éditions Alan Sutton, 2013, 96 pages, ISBN 978-2-8138-0578-2
- Nicolas MENGUS, Ces Alsaciens qui ont fait l'Histoire, Villeveyrac, Le papillon Rouge Éditeur, 2017, 264 pages, ISBN 978-2-917875-87-2
Voir aussi (sur Geneawiki)
- Archives municipales de Mulhouse
- Nécropole nationale Les Vallons, Tiefengraben à Mulhouse
- Dynastie des Habsbourg
- Tisserand
Liens utiles (externes)
- Page de la ville de Mulhouse, par le CDHF de Guebwiller
- GenCom Le site des communes pour et par les généalogistes
- Communes les plus proches de Mulhouse
- Mulhouse sur ElsasserWurtzle
- Relevés du livre d’Or de Mulhouse
- Mémoire Mulhousienne
- Focus : la grande aventure de DMC Mulhouse
Notes et références
- ↑ Soit Entre Mulhouse et Pfastatt, soit entre Cernay et Wittelksheim
- ↑ Porte de Bâle, Porte Haute, Porte Jeune, Porte du Miroir
- ↑ Petit Conseil (ou gouvernement) formé de 12 représentants de 6 corporations, auquel s'ajoute les chefs des corporations, forment le Grand Conseil
- ↑ Ligue de dix villes impériales libres en Alsace : Colmar, Haguenau, Kaysersberg, Mulhouse, Munster, Obernai, Rosheim, Turckheim, Sélestat et Wissembourg.
- ↑ Daniel DELATTRE, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
- ↑ Jean-Paul GRASSER, Une histoire de l'Alsace, collection "alsatiques", Luçon, Jean-Paul Gisserot, 2013, 128 pages
- ↑ André Heckendorn et Frédéric Guthmann, Mulhouse, 80 lieux de cultes, histoire et patrimoine, Montreuil, 2017, Oko Éditions, 287 pages, ISBN 978-2-9561695-0-5
- ↑ Bernard VOGLER, Histoire de l'Alsace, Rennes, Éditions Ouest-France, 2002, 64 pages, ISBN 2-7373-2740-7
- ↑ Archives départementales du Haut-Rhin, armoiries des communes
- ↑ Carmen RIFFENACH, Fabienne ALLEMANN, Musées industriels et techniques de Mulhouse, Collection Kaléidoscope, Molsheim, Édition des Dernières Nouvelles d'Alsace, 1988, 37 pages, ISBN 2-7165-0115-7
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Avec 138 m de long sur 12 de large, c'est le plus grand encore debout en Alsace
- ↑ Du nom d'une dessinatrice de mode mulhousienne, juive, déportée à Auschwitz.
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Micheline LANG-REITZ et Bernard FISCHBACH, Mulhouse d'hier à aujourd'hui, collection "Regards croisés", Saint-Avertin, Éditions Alan Sutton, 2013, 96 pages, ISBN 978-2-8138-0578-2
- ↑ Nicolas MENGUS, Ces Alsaciens qui ont fait l'Histoire, Villeveyrac, Le papillon Rouge Éditeur, 2017, 264 pages, ISBN 978-2-917875-87-2