68153 - Illhaeusern
Illhaeusern | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 68153 |
Code postal | 68970 |
Population | 691 habitants (2016) |
Nom des habitants | Illhousiens, Illhousiennes |
Superficie | 1046 hectares |
Densité | 66.06 hab./km² |
Altitude | Mini: 172 m |
Point culminant | 179 m |
Coordonnées géographiques |
48.0781° / 7.8745° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- Des traces d'une activité humaine dans le secteur à l'époque protohistorique puis à l'époque gallo-romaine ont été récemment mises au jour : en effet, sur le site "Niedere Eilache" ont été découverts des fragments de céramique « de l'âge du fer »[1] et d'autres tessons ainsi qu'une pièce de monnaie en bronze, un « dupondius de l'Empereur Trajan »[1] des 2 premiers siècles après J.C.
- C'est en 1482 que le village est cité pour la première fois, dans une charte, « comme étant un village de pêcheurs »[2]. Par la suite ces pêcheurs deviendront bateliers (notamment pour le transport du vin) et se regrouperont en corporation. Au XIXe siècle, les habitants se tourneront vers l'agriculture, plus particulièrement la culture du tabac qu'ils font sécher dans de grands séchoirs en bois.
- Jusqu'à la Révolution française, la cité fait partie des possessions des sires de Ribeaupierre. Ceux-ci possédaient un moulin au bord du Riedbrunnen, déjà mentionné en 1469, dont la fonction a évolué au fil du temps et qui est maintenant devenu une minoterie moderne. La métairie seigneuriale est transmise ensuite à la famille des Deux-Ponts.
- Le village, qui jusque là était rattaché à Guémar, prend son indépendance en 1833. Au bord de l'Ill, une guinguette voit le jour en 1882 et prend le nom de "L'arbre Vert". Elle va devenir la célèbre "Auberge de l'Ill". Mais un autre restaurant, protestant, se développe et une concurrence se créée. En 1883, un pont en métal vient remplacer le pont de bois.
- La Seconde Guerre mondiale se termine par les combats de la Libération qui durent du 5 décembre 1944 au 25 janvier 1945 et ravagent une grande partie des habitations ainsi que l'église et le pont. Il subsiste le "Char de la Libération", ou "Char Porc-épic", à l'Est du ban communal, direction Elsenheim. En 1949 le village est décoré de la Croix de guerre 1939-1945.
- En 1968 Illhaeusern est jumelé avec Collonges-au-Mont-d'Or.
Héraldique
« De sinople à la truite d'argent posée en pal, la queue vers le chef » ou « De sinople à une truite d'argent posée en pal, versée et contournée, tachée de six cercles de gueules, alignés le long du flanc »
Ces armories sont créées en 1967. Mais au XIXe siècle, le village avait déjà un emblème en forme de poisson. Et lors de l'achèvement de la nouvelle église, en 1958, c'est un poisson qui chapeaute la girouette et non un coq.
Toponymie
Lors de sa première mention écrite, la dénomination germanique du village est « zŭ den hŭseren der Yllen gelegen »[3] soit "les maisons installées au bord de l'Ill" . En 1553, se rencontre la forme "Yllheŭsern", au XVIe siècle la forme "Illhisere".
La racine germanique "Haus (Hausen)" signifiant "maison" a souvent pris la forme de suffixe en -hausen francisé en -house (Comme Mulhouse et beaucoup d'autres villages). Ici c'est une variante plus rare qui a été conservée.
Histoire administrative
- Département - 1801-1871 : Haut-Rhin - 1871-1919 : Haut-Rhin (Allemagne) - 1919-2023 : Haut-Rhin
- Arrondissement - 1801-1871 : Ribeauvillé - 1871-1919 : Kreis Rappoltsweiler - 1919-2023 : Ribeauvillé
- Canton - 1801-1871 : Ribeauvillé - 1871-1919 : Rappoltsweiler - 1819-2015 : Ribeauvillé - 2015-2023 : Sainte-Marie-aux-Mines
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saints-Pierre-et-Paul
Historique
- Au préalable existait une chapelle construite en 1728 et consacrée 20 ans plus tard, mais pas de grande église car le village dépendait de la paroisse de Guémar. En 1862 est créée une paroisse catholique ; une nouvelle église est construite et terminée en 1863. Elle n'a pas encore cent ans qu'elle est victime de la Seconde Guerre mondiale, à plusieurs reprises, jusqu'à l'incendie fatal du 3 janvier 1945.
- Pendant 13 années, le culte se déroule dans une baraque en bois. Car si la première pierre de la nouvelle église est posée en 1955, c'est seulement en 1958 qu'est consacré l'édifice[4].
Architecture
- Cette église contemporaine est l'œuvre de l'architecte Pierre Pouradier-Duteil. Elle se singularise par trois points forts : une grande nef rectangulaire dont la façade ouest est constituée d'une grande paroi vitrée, un clocher isolé abritant trois cloches[5] et surmonté d'une girouette en forme de poisson, une façade avec un fronton décoré d'une grande mosaïque en galets (œuvre d'Yvonne Argand) représentant saint Pierre en pasteur et saint Paul.
Intérieur
- Les trois nefs ont la même hauteur et leur légère voûte en huit travées fait référence à la tente du peuple juif.
- Sur le mur plat de l'abside est accroché un retable de Christoff BARON[6], inauguré en 2008. L'artiste a utilisé neuf madriers en bois de récupération, isolés les uns des autres, et y a représenté la Crucifixion du Christ. L'ensemble forme un carré de 3,50 mètres de côté, au style et aux couleurs s'accordant avec l'ensemble des vitraux.
- Les fonts baptismaux du XVIIIe siècle proviennent de l'ancienne église, sauf le couvercle en cuivre, offert par les "Artisans du sanctuaire" et œuvre de Paul Beucher.
- Le porte-cierge du chœur a été sculpté en 2005 par André Bosshardt et offert par la corporation des pêcheurs et bateliers, qui le portent en procession tous les ans lors de la fête patronale (voir photo des vitraux du chœur).
- L'orgue, réalisé par le facteur Curt Schwenkedel a été béni en 1961. Son positif intérieur est tout à fait classique. Le buffet caisse se compose de deux parties : le récit à gauche et le grand-orgue à droite.
- La Vierge à l'Enfant (de même que saint Joseph et le logo de la communauté de paroisses) est également l'œuvre du sculpteur André Bosshardt.
Les vitraux de l'église
- Afin de vitrer l'église dans un style contemporain, un concours a été lancé avec une commande détaillée, par exemple davantage de clarté dans le chœur que dans la nef, vitraux non figuratifs mais possibilité d'utiliser des symboles si ils sont « traités de façon très simple »[7]. Malgré un coût plus élevé que le budget prévu, c'est le projet de l'artiste Pierre POTET[8] des "Artisans du Sanctuaire" qui a été retenu pour sa technique particulière : « des dalles de verre fragmentées prises dans une résille irrégulière de béton »[7]. Les vitraux sont réalisées en 1956 dans les ateliers réputés de Saint-Just-Saint-Rambert (Loire) et posés au printemps 1957.
- Détail des différents vitrages :
- - dans la nef : 18 baies verticales hautes de 5,90 mètres et large de 50 centimètres, à dominante rouge et orange. Quelques motifs symbolisent des évènement forts de l'histoire entre Ancien testament et Nouveau testament, comme les deux colombes au temple ou le serpent d'airain par exemple.
- - dans le chœur : 7 baies hautes où la couleur bleu vient accentuer la lumière. Elles commencent par la lettre α et se terminent par la lettre Ω, incluant les 7 symboles des 7 sacrements de l'église.
- - dans la chapelle de la Vierge Marie : 74 carrés de verre dont 14 représentent le Chemin de Croix.
- - sur la tribune : 8 ouvertures très simples.
Chapelle protestante
Une communauté protestante était présente dès le XVIIIe siècle.
La première chapelle a été construite en 1868, puis a été victime des bombardements de 1939-1945. Une nouvelle chapelle a vu le jour en 1952, suivant les plans de l'architecte strasbourgeois Herrenschmitt, et a pu être décorée grâce à l'utilisation des Dommages de guerre et à la générosité de ses paroissiens. Sa construction s'est achevée en 1953.
L'édifice présente des vitraux de R. Muhl.
La paroisse illhousienne est incluse dans la paroisse protestante d'Ostheim.
Auberge de l'Ill
En 1882, Frédéric HAEBERLIN achète l'ancienne auberge À l'arbre vert.
Il se marie avec Frédérique et le couple s'applique à servir des plats de qualité, avec des poissons pêchés sur place, et la "matelote au Riesling" devient célèbre. Avec les deux générations suivantes, l'auberge acquiert davantage de renommée.
Le bâtiment est complétement détruit pendant la Seconde Guerre mondiale. Au retour des cuisiniers après l'armistice, l'activité de restauration reprend, mais dans une cabane en bois. C'est seulement en 1952 que Jean-Pierre HAEBERLIN construit un nouveau restaurant au même endroit et aménage un parc tout autour.
Grâce à ses talentueux chefs, L'Auberge de l'Ill a obtenu une étoile en 1952, une deuxième étoile en 1957, une troisième en 1967 (qu'elle vient de perdre en 2019).
Remarque : « L'Auberge du Pont de Collonges de Paul BOCUSE se situe quai d'Illhaeusern et L'Auberge de l'Ill se situe rue de Collonges-au-Mont-d'Or »[9]
Quatre générations aux fourneaux
- Frédéric HAEBERLIN (1859-1931), fondateur. Il se marie en 1884 avec Frédérique REIST et ont deux enfants : Frédéric (Fritz) et Henriette.
- Frédéric Julian (Fritz) HAEBERLIN (1888-1957) se marie en 1922 avec Marthe Ève OBERLIN. À cette époque ce sont les femmes qui cuisinent (Frédérique, Henriette et Marthe) pendant que les hommes gèrent l'exploitation. Fritz et Marthe ont deux fils : Paul et Jean-Pierre.
- Paul HAEBERLIN (1923-2008) va suivre des apprentissages chez de grands chefs, à Ribeauvillé et Paris. Jean-Pierre HAEBERLIN (1925-2014), suit des formations paysagiste et d'Arts appliqués et donne forme à la nouvelle auberge après la guerre. Ce sont eux qui visent la fine gastronomie et sont récompensés de leurs efforts. Paul se marie avec Marie ITTEL. Ils ont deux enfants : Marc et Danièle.
- Marc HAEBERLIN (né en 1954) se joint à son père et son oncle, avec toujours le même souci de perfection. Marc est promu chevalier de la Légion d'honneur en 2007.
Repères géographiques
Le village s'est installé dans la plaine d'Alsace, au confluent de l'Ill et de la Fecht, conditions propices à l'activité de la pêche.
La bordure orientale de son ban communal se confond avec la limite entre Bas-Rhin et Haut-Rhin.
L'agglomération se situe à 3 kilomètres à l'est de Guémar et 18 kilomètres au nord-est de Colmar.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 346 | 450 | 533 | 627 | 726 | 686 | 683 | 676 | 686 | 598 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 628 | 680 | 647 | 579 | 593 | 568 | 596 | 582 | 576 | 570 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 538 | 561 | 534 | 519 | 513 | 410 | 453 | 481 | 488 | 517 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 557 | 578 | 646 | 711 | 676 | 691 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017.
En photos
Char de la Libération
Ce char restauré est le Tank-Destroyer "Porc-Épic", char de chasse utilisé par le 8e Régiment de Chasseurs d'Afrique lors des opérations de la Poche de Colmar et de la Libération des communes alsaciennes du secteur.
Il a été bombardé à cet endroit le 26 janvier 1945, et trois membres de l'équipage y sont morts carbonisés. Le chef du char a survécu, mais a souhaité que ses cendres rejoignent le char en mémoire de ses camarades.
Le même jour, le char "Crotale IV" connaissait le même sort à Grussenheim.
À cet endroit existe aussi le Mémorial du régiment concerné.
Article détaillé : Pour en savoir plus sur le Régiment, les chars ou les victimes ...
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
André UHL | 1795 - 1798 | - |
François Xavier MEYER | 1798 - 1798 | Né en 1745 - Batelier - Décédé en 1830 |
Jean MULLER | 1798 - 1799 | - |
François MEYER | 1799 - 1813 | - |
Georges MULLER | 1813 - 1816 | - |
Maximin HARTMANN | 1816 - 1846 | - |
Joseph HARTMANN | 1846 - 1860 | - |
François Joseph MEYER | 1860 - 1870 | - |
Georges REIST | 1871 - 1886 | - |
Michel BOEHR | 1886 - 1896 | - |
Antoine MEINRAD | 1896 - 1925 | - |
Henri UHL | 1925 - 1929 | Né en 1875 - Cultivateur - Décédé en 1956 |
Charles MEINRAD | 1929 - 1941 | - |
Charles HERZOG | 1941 - 1945 | - |
Joseph GASCHY | 1945 - 1947 | - |
Charles HERZOG | 1947 - 1965 | - |
Jean-Pierre HAEBERLIN | 1965 - 1989 | Le chef cuisinier ? |
Jean-Paul MEINRAD | 1989 - 2001 | - |
Bernard HERZOG | 2001 - 2020 | - |
Jean-Claude HIRN | 2020 - (2026) | - |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Valentin ERBLAND | 1863 - 1867 | Auparavant curé à Guémar - Sera ensuite à Froeningen. |
Joseph LIPPACHER | 1867 - 1876 | Auparavant curé à Brunstatt. |
François Xavier BANDSEPT | 1876 - 1908 | Auparavant curé à Mulhouse Dornach - Est membre en 1895 de la société pour la conservation des monuments historiques - Décède en 1908 |
Joseph FOUR | 1908 - 1920 | Était d'abord aumônier - Sera ensuite curé à Houssen. |
Jules STAUFFER | 1920 - 1921 | Était d'abord aumônier - Sera ensuite curé à Oberlag. |
Victor MERTIAN | 1921 - | Né en 1881 - Auparavant curé à Retzwiller - Décédé en 1954 et inhumé au cimetière communal. |
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Pierre DECK | 1952 - 1970 | Né en 1913 - Est à l'initiative de la nouvelle église et organise de nombreuses actions pour financer les vitraux ou la décoration - Décédé en 1984 |
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Liste des titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Jules Marie Joseph GANTER | 1er juillet 1865 | 6 février 1946 | Général de brigade commandant l'infanterie divisionnaire. Chevalier en 1909, officier en 1916, commandeur en 1921. Son dossier | |
Michel HUSSER | 15 décembre 1819 | 4 février 1886 | Maréchal des logis au 16e Régiment d'Artillerie. Chevalier en 1866. Son dossier | |
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Monument aux morts

Article détaillé : Consulter la liste des victimes inscrites sur le monument
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1793-1892)
Documents numérisés
- État civil (1793-1862)
- Tables décennales (1883-1892)
- Tables décennales (1873-1882)
- État civil (1793-1862)
- Tables décennales (1803-1872)
- État civil (1864-1865)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1793-1862)
- État civil (1883-1892)
- Recensements (1866-1866)
- Recensement de 1836 Haut-Rhin de la commune de Illhaeusern (1836-1836)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1863-1866)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1824-1840)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1863-1866)
- État civil (1883-1892)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | - | - | - |
Après-midi | 13h00 - 19h00 | - | - | - | 13h00 - 16h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 27 rue du 25 janvier - 68970 ILLHAEUSERN
Tél : 03 89 71 83 27 - Fax : 03 89 71 83 55 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : () |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
- Daniel DELATTRE, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
- Article d'Hubert Meyer, intitulé "Les vitraux de l'église Saints-Pierre-et-Paul d'Illhaeusern 1957" in Annuaire de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried, n° 30, 2018, Niederhergheim, ISSN 0990-6894
- Article de Jean-Philippe Strauel, intitulé "Vestiges protohistoriques et gallo-romains à Illhaeusern" in Annuaire de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried, n° 7, 1994, Niederhergheim, ISSN 0990-6894
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Page du village de Illhaeusern, par le CDHF de Guebwiller
- GenCom Le site des communes pour et par les généalogistes
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 Article de Jean-Philippe Strauel, intitulé "Vestiges protohistoriques et gallo-romains à Illhaeusern" in Annuaire de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried, n° 7, 1994, Niederhergheim, ISSN 0990-6894
- ↑ Daniel DELATTRE, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
- ↑ AD du Haut-Rhin, Armoiries des communes
- ↑ par Monseigneur J.J. Weber, évêque de Strasbourg
- ↑ La plus petite "Saint-Pierre et Saint-Paul", de 1947, fondue avec les restes des cloches détruites pendant la guerre. Et deux autres de 1956 : "La Sainte Famille" et "L'Immaculée Conception"
- ↑ Né en 1972 au Blanc-Mesnil. Établi à Strasbourg. Se spécialise dans la récupération de bois usagé (palettes ou autres)
- ↑ 7,0 et 7,1 Article d'Hubert Meyer, intitulé "Les vitraux de l'église Saints-Pierre-et-Paul d'Illhaeusern 1957" in Annuaire de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried, n° 30, 2018, Niederhergheim, ISSN 0990-6894
- ↑ Né en 1924. Entre à l'école d'Arts Appliqués de Paris. Il y créé un atelier de vitrail et devient professeur dans cette école jusqu'à sa retraite. Il peint beaucoup et réalise de nombreux vitraux d'église y compris dans d'autres pays. Décédé en 2015.
- ↑ Marc et Paul Haeberlin
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