68118 - Habsheim

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Habsheim
Informations
Pays    France
Département Blasons du Haut-Rhin    Haut-Rhin
Métropole
Canton   68-13   Rixheim

  68-09   Habsheim (Ancien canton)

Code INSEE 68118
Code postal 68440
Population 5 055 habitants (2021)
Nom des habitants Habsheimhois, Habsheimoises
Superficie 1 563 hectares
Densité 323.42 hab./km²
Altitude Mini: 238 m
Point culminant 318 m
Coordonnées
géographiques
47.729444° / 7.418889° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

Antiquité

  • La carte archéologique de Habsheim[1] nous révèle une présence humaine à différentes époques de la préhistoire. Ont été découvertes en effet des traces d'habitats ou de nécropoles du néolithique, du chalcolithique et de l'âge de bronze. Le secteur était également occupé lors de la période celtique.
  • À l'époque romaine, la voie reliant Augst[2] à Strasbourg était plus ou moins parallèle au Rhin et son tracé se confondait par endroits avec celui de la D 201 qui traverse actuellement la commune. Des fouilles répétées dans le lotissement Lobelia II, au Landserer Weg, ont permis de mettre au jour des éléments d'une villa, d'une palissade et d'une tour « à vocation défensive »[3].

Moyen Âge

  • La première citation du hameau « date de 757 »[4], dans un acte de donation à l'abbaye de Saint-Gall (en Suisse). On en trouve une autre mention en 1004, lorsque le secteur de la Hardt est donné à l'évêque de Bâle. Et à partir de 1090, la paroisse relève d'une autre abbaye suisse, celle de Saint-Ursanne.
  • Durant la période médiévale, l'habitat habsheimois est réparti sur trois lieux différents : le cœur du village, Oberdorf cité à la fin du XIe siècle, et Ratzheim. Une fusion des trois sites s'opèrera au XVe siècle.
  • En 1303, la petite cité est rattachée à la seigneurie d'Ensisheim et devient donc propriété des Habsbourg. Cela lui vaut quelques privilèges : « le droit de mesure en 1258 »[5], le droit d'élever des fortifications et d'établir un marché. Ensuite le village fait partie de la seigneurie de Bas-Landser et est le siège d'une prévôté.
  • Le XVe siècle est mouvementé. Le bourg subit plusieurs incendies et pillages, notamment pendant la guerre du Sundgau, où il est totalement détruit en 1468. Il se reconstruit peu à peu et, à la fin du siècle, une petite communauté juive s'installe et fait construire une synagogue.

Temps modernes et contemporains

  • Au XVIe siècle, alors que les Habsbourg autorisent l'établissement de la foire de la Sainte-Catherine à Altkirch, ils consentent également à instaurer la "Foire de Simon et Jude" à la cité habsheimoise qui se trouve alors dans une situation prospère. Cette foire existant encore de nos jours est devenue « l'une des foires agricoles les plus réputées du Sundgau »[6].
  • Le XVIIe siècle est également une période difficile avec la guerre de Trente Ans, poussant certains habitants à s'enfuir, et une épidémie de peste particulièrement meurtrière. Après le traité de Westphalie (1648), le domaine passe aux mains de la famille Herwart jusqu'à la révolution française.
Si le bourg vivait en grande partie de la viticulture au XVIIIe siècle, il accorde une part croissante à l'agriculture au siècle suivant. À cela s'ajoutent une petite industrialisation avec des tissages, une scierie et une tuilerie.
  • Durant la Grande guerre, « le village est occupé par les troupes coalisées »[7].
En 1940, les habitants sont évacués dans le Gers. La commune est libérée le 8 mai 1945.

Héraldique

Ancien blason, en deux écus, sur la fontaine
Ancien blason, soutenu par deux lions, sur la façade du Dorfhus
  • L'autour devient l'emblème du village dès 757.
  • Les premières armoiries, apparaissant au XVIe siècle, sont différentes : « La partie dextre comporte une divise de sable accompagnée en chef de deux lézards adossés de sinople et en pointe de deux feuilles de chêne de même. À sénestre figure un autour, à la tête contournée, perché sur un sautoir ».[8]. L'autour fait référence à au premier toponyme connu du village, devenu emblème ; les lézards correspondraient au surnom donné aux habitants et les feuilles de chêne évoqueraient la forêt de la Hardt ; quand à la bande rouge, ce sont les couleurs des Habsbourg.
Ces anciennes armoiries sont représentées en deux écussons sur la fontaine, et assemblées, soutenues par deux lions, sur la façade du Dorfhus.
  • Sur les nouvelles armoiries, datant de l'armorial décrété par Louis XIV, la partie dextre n'existe plus et l'autour tourne la tête de l'autre côté. Par la suite, Hans Brunner, prévôt de la commune en 1628, fait rajouter ses initiales.
Voici donc le blasonnement actuel : « D'azur à l'autour d'argent, la tête contournée, perché sur un sautoir alésé d'or et accompagné en chef des deux lettres capitales H et B de même ».


Toponymie

La première mention du village, en 757, est "Habuhineshaim" et correspond au surnom donné au chef franc à la tête de la communauté. Ce surnom provient de "Habuchino", diminutif de "Habucho" (en vieil haut allemand) ou "Habicht" (en allemand), c'est à dire l'autour. De là découlent l'emblème puis les premières armoiries.
Il serait donc erroné de croire que le radical Habs est lié aux Habsbourg.

Le toponyme va ensuite varier de forme : Habschen par un moment.

Histoire administrative

  • Département - 1801-1871 : Haut-Rhin - 1871-1919 : Haut-Rhin (Allemagne] - 1919-2025 : Haut-Rhin
  • Arrondissement - 1801-1871 : Altkirch puis Mulhouse - 1871-1919 : Kreis Mulhouse - 1919-2025 : Mulhouse
  • Canton - 1801-2015 : Habsheim - 2015-2025 : Rixheim
  • Commune - 1801-2025 : Habsheim


Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine bâti

Église Saint-Martin

Façade occidentale donnant sur la rue principale Photo B.ohland

Historique :

  • Compte-tenu de son vocable et de son implantation à côté de la voie romaine, les historiens locaux estiment que l'édifice aurait pu être élevé à l'époque mérovingienne, entre les IVe et VIIe siècles. Au XIe siècle, il est certain que l'église et la dîme relèvent de l'abbaye suisse de Saint-Ursanne. Une autre mention de 1186 est confirmée.
  • Jusqu'à la Révolution, la paroisse relevait du doyenné "Inter Colles"[9] de l'évêché de Bâle. Au XVe siècle ont lieu diverses processions régulières : Lundi de Pâques, Fête-Dieu, kilbe locale.
  • Lors de la reconstruction du XVIIIe siècle, les fouilles parviennent à déterminer trois phases de constructions antérieures en ce qui concerne la nef et le chœur. C'est donc une quatrième reconstruction qui a lieu entre 1787 et 1789, tout en préservant les trois étages inférieurs de la tour. Le haut du clocher, autrefois en bâtière comme le prouve des traces au niveau des combles, est cette fois-ci recouvert d'un toit à quatre pans. Les paroissiens n'ont pas beaucoup le temps de profiter du nouveau sanctuaire, car l'église est transformée en entrepôt militaire de 1796 à 12797. Elle est toutefois rendue au culte en 1806.
  • Des rénovations intérieures ont lieu en 1971 et une restauration extérieure est effectuée en 1988.

Description:

  • Un arc en anse de panier sépare la nef à vaisseau unique de l'abside semi-circulaire, bien éclairée par trois baies.
  • Derrière le maître-autel en marbre rouge (tout comme les fonts baptismaux) est exposé un grand tableau du XVIIIe siècle, représentant saint Martin.
  • Sur un mur de la nef figure un grand Christ en Croix, encadré de deux statues représentant la Vierge et saint Jean. Sculptées dans du bois de tilleul au XVe siècle, peut-être par Tilman Riemenschneider, elles figuraient auparavant sur un groupe de crucifixion, à l'extérieur. Par la suite elles ont été "oubliées" au grenier, et retrouvées dans en 2001. Ces deux statues sont classées au titre d'objet historique[10].
  • Un premier orgue existait en 1719. L'instrument actuel, réalisé par C. Bloch, date de 1820 et a été aménagé par Claude Ignace Callinet. En 1988 il a été restauré par les soins d'Alfred Kern.
  • Les vitraux sont issus des ateliers des frères Ott, en 1920.
  • Quant à la sacristie, elle abrite une pierre tombale de Mathieu Bernappel (mort en 1696), qui était aubergiste à Habsheim[11], fermier capitulaire de l'abbaye et procureur fiscal de la seigneurie de Landser.


Chapelle Notre-Dame-des-Champs

Chapelle au milieu du cimetière
Photo B.ohland
  • Là aussi, il est probable qu'un lieu de culte remonte à l'époque gallo-romaine. En tout cas, un lieu de pèlerinage est attesté au XIVe siècle et la construction de l'édifice à cet emplacement serait lié à une légende.
La chapelle est agrandie en 1493, comme en témoigne une inscription sur le pignon nord, restée visible jusqu'à la restauration de 1959. En 1613, le sanctuaire abritait deux autels, un dédié à la Vierge, et l'autre à saint Urbain, que l'on invoquait pour qu'il protège les récoltes.
La chapelle est profanée pendant la guerre de Trente Ans,puis consacrée une deuxième fois en 1655. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le pèlerinage retrouve son importance d'autrefois. L'édifice est aussi privilégié par les nobles ou notables pour de grands mariages.
Tout s'arrête à la Révolution ; il est question de vendre et de démolir. Mais la chapelle est rendue au culte en 1806, et accueille le cimetière en 1811. Une restauration a lieu en 1959, supprimant cependant le vieil ermitage accolé au mur qui était la résidence du chapelain. Une dernière rénovation a été réalisée en 2008.
  • De construction gothique à chevet plat, la chapelle abrite quelques éléments de valeur :
- Une pietà en bois de tilleul, réalisée vers 1500 par un sculpteur inconnu, et mise en valeur depuis le XIXe siècle sur une console en bois très ouvragée. Elle est classée au titre d'objet historique[12].
- Une statue de la Vierge à l'Enfant occupant le centre de l'autel du chœur. Elle date des années 1520 à 1530 et est également classée au titre d'objet historique[13].
- Deux autres éléments sont classés : uns sculpture de la tête décolletée de saint Jean-Baptiste, sur une assiette en étain, et un ancien tronc d'église en bois.
- Les vitraux sont l'œuvre de deux maîtres verriers : Albert Gerrer et Ernest Stelzl.


Synagogue

Une présence juive s'accroît peu à peu entre la moitié du XVIIIe siècle et 1850, et finit par représenter 12 % de la population habsheimoise. Bien que le siège du rabbinat soit à Rixheim, une synagogue est construite vers 1800. Un enseignement hébraïque était dispensé dans une petite école adjacente à la synagogue.

La communauté se réduit progressivement sous le Second Empire, et plus fortement de 1871 à 1919 (époque du Reichsland).

Maintenant déclassé, le bâtiment encore debout relève du domaine privé. La grande pièce sert de remise ; l'ancienne maison du rabbin, qui était attenante, a été transformée en logement en 1930.

Dorfhus (Ancien hôtel de ville)

Façade latérale côté église Photo B.ohland
Pignon arrière Photo B.ohland

Habsheim étant le siège d'une prévôté au XIVe siècle, une première maison commune (attestée par des fouilles) permettait de rendre la Justice. Au musé historique de Bâle existe un vitrail de 1550 qui représente ces séances.

L'hôtel de ville que nous connaissons, Rothus ou Dorfhus, date de 1578 comme en témoigne la pierre armoriée en pignon sur rue. De style Renaissance, il présente des arcades et a conservé à l'arrière un pignon crénelé, des fenêtres et une balustrade typiques de cette période, malgré divers remaniements. Il a également conservé des caves voûtées.

Ce bâtiment a multiplié les fonctions au cours du temps : d'abord tribunal et prison, ainsi que halle aux blés au XVIIIe siècle ; « caserne de gendarmerie d'août 1799 à 1801 »[14] ; mairie jusqu'au XIXe siècle ; école et logement des instituteurs de 1820 à 1990 ; enfin dépôt des pompes à incendies.

L'édifice est inscrit partiellement aux Monuments historiques[15]. Sa dernière restauration, en 1995, a permis de réhabiliter la salle des conseils. Mais les services de la mairie avaient pris place entre-temps dans une autre maison située à l'arrière, puis sont désormais dans la nouvelle mairie en face de l'église.

Fontaine Stockbrunna

Fontaine et chevet de l'église

Il s'agit d'une fontaine à accumulation dont l'eau provient d'une source au lieu-dit Brunnstube. Elle date de 1562 comme nous l'indique la gravure sur son fût d'origine, et comprenait au départ un bassin octogonal.

Aux XIXe et XXe siècles, elle était placée au centre du village et avait un bassin rectangulaire. De 1964 à 2006, elle se situait rue du Champ des Dîmes, près de l'école, avec à nouveau un bassin octogonal dont une face portait les armoiries de la commune.

Depuis 2006, elle se trouve près du chevet de l'église et son bassin a été refait.


Repères géographiques

Vue générale, carte datée de 1917

Habsheim se situe dans la partie sud-est du département, dans la grande couronne de Mulhouse, à 12 kilomètres à l'est de Brunstatt et 8 kilomètres à l'ouest de Petit-Landau.

Il s'agit là d'un relief de plaine, non loin du Rhin et de l'Allemagne.

Le ban communal est traversé du nord au sud par l'A35 reliant Mulhouse à Bâle. Il s'y trouve également un aérodrome.

Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 1 269 1 522 1 451 1 493 1 546 1 637 1 690 1 706 1 712 1 970
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 2 044 2 073 1 971 1 854 1 878 1 825 1 749 1 896 1 966 2 023
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 2 024 1 796 1 903 2 091 2 081 2 015 2 003 2 124 2 207 2 560
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 3 644 3 799 4 313 4 684 4 865 4 833 5 055 - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2021.

En photos

Cartes postales anciennes

Photos

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Mathieu KUPFFER 1790 - 1791  
- -  
Jean Henri BUTSCH 1795 - 1795 Né en 1746 - Cabaretier à l'auberge "Au bœuf" - Décédé en 1809  
François Joseph RAUCH 1795 - 1797 Né en 1752 - Sellier - D'abord adjoint - Décédé en 1814  
- -  
François Louis Sébastien BILLIG 1800 - 1801 Né en 1768 - Tenancier de l'auberge "À l'étoile" - Lieutenant général - Inspecteur forestier - Décédé en 1836  
- -  
Henri BUTSCH 1816 - 1819 Fils de Jean Henry ci-dessus - Né en 1787 - Propriétaire - Décédé en 1838  
Grégoire MULLER 1819 - 1821 Né en 1780 - Propriétaire - Premier suppléant du juge de paix - Décédé en 1843  
- -  
Pierre BUTSCH 1834 - 1853 Né en 1790 - Propriétaire - Décédé en 1859  
Robert Gabriel WENDLING 1853 - 1860 Notaire du canton à la résidence de Habsheim[16]  
Auguste FENNINGER 1860 - 1879  
François Antoine KETTLER 1879 - 1888 Né en 1817 - Cultivateur - Décédé en 1899  
Camille HEILMANN 1888 - 1902 Né en 1843 - Propriétaire - Décédé en 1905  
Charles Édouard REYMANN 1902 - 1915 Né en 1857 - Propriétaire d'une huilerie - Décédé en 1930  
- -  
Charles GENG 1920 - 1922 Né en 1878 - Tenancier de l'auberge "Au Cygne" - Décédé en 1922  
Ernest André KANKOWSKY 1922 - 1940 Né en 1873 - Administrateur de la caisse centrale des banques populaires Chevalier de la Légion d'honneur en 1923  
- -  
Ernest KANKOWSKY 1944 - 1945 Le même - Décédé en 1951  
Alphonse RASTETTER 1945 - 1953  
Joseph DENTZ 1953 - 1959  
Lucien GENG 1959 - 1983 Fils de Charles ci-dessus - Né en 1919 - Tenancier de l'Auberge "Au Cygne" - Décédé en 2001  
Jean SEILLER 1983 - 1995 Né en 1932 - Décédé en 2013  
Gérard LAMY 1995 - 2014  
Gilbert FUCHS 2014 - (2026)  
- -  

Cf. : MairesGenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Étienne KRAFFT 1791 - 1810 Fils de prévôt - Né en 1752 - Auparavant curé à Rixheim - Décédé en 1837  
Michel WIRIATH 1810 - 1817 Sera ensuite curé à Sierentz  
Conrad ERNY 1817 - 1824 Né en 1789 - Ordonné en 1814 - Administrateur ici - Sera ensuite curé à Village-Neuf, puis chanoine à Strasbourg - Également poète - Décédé en 1864  
François Joseph Michaël SCHULL 1824 - 1829 Né en 1792 - Sera ensuite curé à Hirsingue  
Ignace DELLINGER 1829 - 1833 Auparavant curé à Orbey-Pairis - Sera ensuite nommé à Sainte-Croix-en-Plaine  
Michel ULMER 1833 - 1835 Auparavant curé à Mulhouse (Saint-Étienne) - Sera ensuite nommé à Willer-sur-Thur  
Romain MUESS 1835 - 1873 Auparavant curé à Osenbach - Décède en 1873  
Virgile BIECHER 1873 - 1893 Auparavant curé à Wildenstein - Décédé en 1898  
Denis BOEGLIN 1893 - 1908 Auparavant curé à Osenbach - Décédé en 1909  
Joseph DORNSTETTER 1903 - 1908 Né en 1852 - Sera ensuite curé de Masevaux - Décédé en 1931  
Lucien SCHMITT 1908 - 1920 Auparavant curé à Flexbourg  
Alphonse SCHMOLL 1920 - Né en 1867 - Auparavant curé à Gildwiller - Décédé en 1963  
- -  

Liste des titulaires de la Légion d'honneur

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Alfred Édouard DREYFUS 26 décembre 1877 25 septembre 1954 Avocat et administrateur de sociétés - Chevalier en 1932 : Dossier  
François Joseph EINHORNY 8 juillet 1822 environ 1886 Premier canonnier servant - Chevalier en 1849 : Dossier  
Victor Joseph Eugène HEITZ 2 janvier 1861 3 février 1926 Médecin major de première classe - Chevalier en 1916 : Dossier  
Léon Adrien Maurice BRILL 30 janvier 1871 6 avril 1956 capitaine territorial - Chevalier en 1918 : Dossier  
Sébastien WURTH 19 mai 1814 18 avril 1901 Gendarme à Dieuze - Chevalier en 1864 : Dossier  
Thiébaut MEISTERLÉ 3 mai 1774 Brigadier de grenadiers à cheval - Chevalier en 1820 : Dossier  
André NASS 20 mai 1833 22 janvier 1921 Chef d'escadron - Officier en 1889 : Dossier  
Louis HEITZ 25 novembre 1840 4 janvier 1894 Soldat au 35e RI - Chevalier en 1870 : Dossier  
Ernest André KANKOWSKY 12 juillet 1873 31 juillet 1951 Administrateur de la caisse centrale des banques populaires et maire - Chevalier en 1923 : Dossier  

Monument aux morts

Le monument aux morts

Personnalités liées à la commune

Plaque commémorative
  • Pierre GEORGES, connu sous le nom de Résistance de Colonel FABIEN,
né à Paris le 21 janvier 1919, décédé ici le 27 décembre 1944


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Nom de la commune en langues régionales

  • en alsacien : Hàbsa
  • en allemand : Habsheim

Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 9 h - 11 h 9 h - 11 h 9 h - 11 h 9 h - 11 h 8 h - 12 h - -
Après-midi 14 h - 16 h 14 h - 19 h 13 h - 16 h 14 h - 18 h - - -

Mairie
Adresse : 92, rue du Général de Gaulle - 68440 HABSHEIM

Tél : 03 89 44 03 07 - Fax : 03 89 54 10 58

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : http://www.annuaire-mairie.fr (juin 2013)

Associations d'histoire locale

Bibliographie

    Liens utiles (externes)

    Voir aussi (sur Geneawiki)

    Notes et références

    1. Historique de Habsheim sur le site de la mairie
    2. En Suisse
    3. Bilan scientifique 2001 de la DRAC pour la région Alsace, avec les détails des fouilles archéologiques à Habsheim
    4. Daniel DELATTRE, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
    5. Société d'Histoire et de Traditions de Habsheim
    6. Mag' Haut-Rhin n° 60, magazine trimestriel édité par le Conseil départemental du Haut-Rhin et distribué aux habitants en février 2018
    7. Société d'Histoire et de Traditions de Habsheim
    8. AD du Haut-Rhin, armoiries des communes
    9. De Mulhouse à Bâle
    10. Base Palissy, Deux statues de calvaire
    11. Auberge "Au Bœuf"
    12. Base Palissy, Vierge de pitié
    13. Base Palissy, Vierge à l'Enfant
    14. Dominique TOURSEL-HARSTER, Jean-Pierre BECK, Guy BRONNER, Alsace, dictionnaire des monuments historiques, Strasbourg, Éditions La Nuée Bleue, 1995, 662 pages, ISBN 2-7165-0250-1
    15. Base Mérimée
    16. Gallica : Journal de l'industrie, du commerce et de l'agriculture, 1841