68062 - Carspach
Carspach | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Haut-Rhin |
Métropole | |
Canton | 68-01 Altkirch 68-01 Altkirch (Ancien canton) |
Code INSEE | 68062 |
Code postal | 68130 |
Population | 2 048 habitants (2016) |
Nom des habitants | Carspachois, Carspachoises |
Superficie | 1717 hectares |
Densité | 119.28 hab./km² |
Altitude | Mini: 283 m |
Point culminant | 397 m |
Coordonnées géographiques |
47.615278° / 7.211944° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- La première mention écrite du hameau remonte à l'an 837, « parmi les biens du couvent de Hohenbourg »[1]. Trois siècles plus tard, certains domaines dépendent de divers prieurés, de l'abbaye de Lucelle, puis des comtes de Ferrette. Un noble, Conrad de Karolspach, y gère une cour colongère.
- Au XIVe siècle, suite au mariage de Jeanne de Ferrette avec un duc d'Autriche, Carspach et tout le comté entrent en possession des Habsbourg. La cité va ensuite connaître diverses guerres : conflit entre Armagnacs et Bourguignons, opposition entre Habsbourg et confédérés suisses, puis guerres de religion. Au siècle suivant la cour colongère est transformée en château. Il y en a même eu deux, le Niederschloss, situé non loin de la rivière, abandonné lors de la construction de l'Oberschloss, à la fin du XVIe siècle. Aucun des deux n'a survécu à la Révolution française.
- En 1648, lors du traité de Westphalie, le comté de Ferrette est réintégré à la couronne de France.
- Au XIXe siècle, malgré quelques déboires (guerre, cantonnement de cosaques, incendie) le village se développe : construction de la mairie-école, d'une manufacture textile, d'une usine mécanique et d'un établissement de cure. En même temps se construit la voie ferrée entre Altkirch et Ferrette.
- La grande guerre apporte son lot de difficultés. Les tranchées traversent le village de part en part. On demande à la population de rejoindre Zillisheim, à pied, pour prendre un train vers le nord de l'Alsace. Les habitants ne reviendront qu'après l'armistice et auront à affronter un long travail de reconstruction. En 1919, la commune est décorée de la Croix de guerre avec palme.
- En 1940, Carspach est occupé, les ponts dynamités. De nombreux jeunes s'enfuient en Suisse pour éviter l'incorporation de force, ce qui vaudra de nombreuses déportations de familles en guise de représailles. La commune est libérée le 22 novembre 1944 grâce à l'intervention du 2e escadron du 3e régiment de chasseurs d'Afrique.
- À noter, la ville de Colmar n'étant pas encore libérée, la préfecture du Haut-Rhin, qui s'était retranchée à Agen, vient se fixer à Carspach le 1er janvier 1945, faisant de la commune un chef-lieu transitoire du département.
- De 2004 à 2013, lors des travaux pour la déviation d'Aspach, de nombreux objets datant de la guerre sont détectés, entre autres « 1194 munitions (4 tonnes) dont 619 encore actives »[2]. Par ailleurs une galerie de la première guerre mondiale est mise à jour et des soldats allemands exhumés (voir section "Kilianstollen").
Héraldique
Les armoiries datent de la fin du XVIIIe siècle et se blasonnent ainsi :
« D'azur au Saint-Georges équestre d'or sur un cheval d'argent harnaché d'or »
Saint-Georges est le patron de l'église paroissiale.
Toponymie
Karoltespach en 837, Caroltespach en 1139, Heroldespach en 1144[3].
Histoire administrative
- Département - 1801-.... : ....
- Arrondissement - 1801-.... : ....
- Canton - 1801-2017 : Altkirch
- Commune - 1801-.... : ....
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saint-Georges
- L'église primitive est citée en 1280. L'édifice était alors orienté et entouré d'un cimetière.
- Une nouvelle construction s'élève à la place de la précédente, à partir de 1832, selon les plans de l'architecte Wagner. Elle est remaniée au milieu du siècle pour corriger des défauts, notamment au niveau du clocher. Mais la nouvelle église est victime de la Grande guerre.
- À partir de 1922, l'extérieur est reconstruit dans un style néo-roman par l'architecte Becker. Le chœur semi-circulaire est orienté à l'ouest pour placer l'entrée sur la rue principale. La nef, à vaisseau unique, comporte cinq travées. Le clocher qui s'élève au-dessus de la façade présente des baies géminées avec petit oculus. Parmi les quatre cloches, la plus ancienne date de 1561. De chaque coté de la porte principale, s'adossent depuis 1932 les deux parties du Monument aux morts.
L'intérieur :
Il est refait dans les années suivantes par Weiss et finalisé en 1926. Au plafond de la nef, une peinture de Rudmann reproduit Le couronnement de la Vierge de Velazquez. Quant au chœur, il est décoré de trois médaillons.
Le maître-autel détérioré lors de la guerre est remplacé par un ensemble maître-autel et retable, néo-renaissance, réalisé par Théophile Klem au deuxième quart du XXe siècle. Les autels secondaires, dédiées à la Vierge et à la Sainte Famille, avaient été sculptés par Dreyer en 1866, mais nécessitent aussi une restauration d'après-guerre , également réalisée par le colmarien Klem.
L'orgue actuel est le troisième. Le premier, mentionné en 1773, avait été transformé par Joseph Rabiny au tout début du XIXe siècle, puis détruit. Le second orgue, œuvre réalisée par F. I. Hérisé en 1838, avait été reconstruit par Valentin Rinkenbach vingt ans plus tard. Il n'a pas résisté aux assauts de 1916. En 1930, les ébénistes Rudmann et Guthmann conçoivent un buffet néo-baroque, sculpté par Alfred Klem, et Joseph Rinckenbach y installe un instrument néo-classique.
-
Chœur semi-circulaire -
Maître-autel -
Autel de la Sainte Famille -
Orgue -
Le couronnement de la Vierge,
plafond de la nef -
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Château du Sonnenberg
- À l'origine, c'est un château de type "résidence secondaire" qui est construit là, en 1818 par une baronne de Reinach-Hirtzbach, prénommée Philippine (° 1783). À sa mort, en 1870, le château passe aux mains de son frère Charles, qui décède l'année suivante, puis à sa fille Ludwina Philippine et pour finir à ses fils. Ces derniers le vendent à un propriétaire de Mulhouse qui le revend en 1893 à l'abbé Ellerbach.
L'abbé entrevoit le potentiel de cette grande demeure et, avec l'aide d'un autre curé pour l'économat, d'un médecin et de sœurs de la Divine Providence de Ribeauvillé, le transforme en établissement de cure. Les soins sont destinés au traitement des maladies chroniques et nerveuses selon la méthode Kneipp basée sur l'hydrothérapie et l'aromathérapie. L'établissement acquiert vite une bonne réputation et les baigneurs arrivent de partout.
- En 1914 les villageois sont évacués, le curé Ellerbach aussi. Et l'année suivante, le Sonnenberg est détruit par un bombardement. Après l'armistice, le curé y revient et se met à reconstruite l'édifice sur un nouvel emplacement. Mais survient le décès de l'abbé en 1924, et l'établissement à peine achevé reste inutilisé pendant quelques années.
- En 1937, les sœurs de Ribeauvillé qui dirigeaient une école à Issenheim cherchent un local plus grand et plus adapté. Elles acquièrent alors le Sonnenberg et l'aménagent. L'année suivante est inaugurée leur école d'enseignement ménager, délivrant un diplôme reconnu.
- Arrive l'année 1939 et l'établissement va connaître différentes affectations : entrepôt de la SNCF, école de chauffeurs de l'armée, centre sanitaire pour populations évacuées ou réfugiées, école d'instituteurs, annexe de l'hôpital mulhousien et enfin hôpital militaire au moment de la Libération.
- En 1945, il retrouve sa vocation d'école ménagère, devient en 1962 "Institut Sonnenberg" et désormais "Lycée du Sonnenberg", établissement géré par la Fondation Providence de Ribeauvillé.
École
Cette école primaire est située place de la Paix, derrière l'église. Elle a été construite en 1909 sans que l'on connaisse son maître d'œuvre.
Elle a vraisemblablement pris la suite de la mairie-école qui a été construite en 1841 et reconstruite après 1918.
Depuis, des bâtiments annexes s'y sont accolés.
Kilianstollen ou Galerie Kilian
- Le chantier préparatoire à la déviation routière d'Aspach a été complexe et a duré une dizaine d'années, car il se situait sur la première ligne de front allemande. Outre les précautions à prendre avec les divers objets et munitions présents dans le sol, l'objectif était de retrouver un abri sous-terrain allemand, construit en 1916, et qui s'était effondré le 18 mars 1918 lors d'un bombardement français. La mission, confiée au « Pôle d'Archéologie interdépartemental rhénan (PAIR) »[4] a été menée à bien et a permis d'exhumer 21 soldats restés ensevelis.
- Une partie de la galerie avait été en partie préservée et réaménagée plus tard, avec poêle à bois, électricité, téléphone, petit mobilier. La mise au jour et la restauration permettent de se faire une idée de la vie quotidienne de ses occupants.
- Le bombardement ayant provoqué l'effondrement de la galerie a fait 45 victimes au total, des soldats allemands appartenant tous à la 6e compagnie du "Reserve Infanterie Regiment 94". Parmi ces victimes, 35 ont été ensevelies dans les décombres. Lors des opérations de sauvetage qui ont suivi, 14 soldats ont été dégagés et inhumés au cimetière de Wittersdorf. Puis, après la guerre, 10 furent transférés au cimetière militaire allemand d'Illfurth et 4 restitués aux familles.
- Il restait donc 21 enfouis : tous ont pu être exhumés en 2011 lors de la mise au jour de la galerie, et ont rejoint leurs camarades à Illfurth.
- Quatre monuments aux morts se sont succédé pour leur rendre hommage : un premier, en bois, en 1918. Un deuxième en pierre calcaire sculptée, retrouvé en morceaux lors des fouilles. Un troisième, en grès rose, qui a été déplacé au cimetière d'Illfurth. Enfin, à l'issue des fouilles, le monument actuel a été conçu en intégrant un fragment du deuxième monument (bas-relief avec casque et épée) et inauguré en 2018, pour l'anniversaire du drame.
Repères géographiques
Carspsch est situé au sud du département, dans la région appelée Sundgau, caractérisée par son relief vallonné et ses nombreux étangs.
Son ban communal est traversé par l'Ill et son affluent le Belzbaechle.
Le village est tout proche d'Altkirch, et à 10 km à l'est de Dannemarie.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 682 | 670 | 815 | 929 | 1 064 | 1 140 | 1 217 | 1 318 | 1 372 | 1 281 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 1 280 | 1 314 | 1 288 | 1 211 | 1 210 | 1 186 | 1 159 | 1 295 | 1 376 | 1 473 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 1 518 | 1 125 | 1 291 | 1 396 | 1 447 | 1 604 | 1 603 | 1 533 | 1 558 | 1 500 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 448 | 1 399 | 1 620 | 1 786 | 2 048 | 2 048 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2016.
En photos
-
Vue sur le village en 1907 -
Le Sonnenberg après destruction de 1915
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
François Joseph BRAUN | 1790-1796 | Né en 1755. Cultivateur. Instituteur en 1788. |
? HARTMANN | 1796-1797 | |
? BRAUN | 1797-1805 | |
Jean ZURBACH | 1805-1809 | Né en 1750. Cultivateur. D'abord adjoint au maire. Décède en 1815. |
Jean HARTMANN | 1809-1813 | Né en 1782. |
Antoine ALLIMANN | 1813-1814 | |
Joseph BACH | 1814-1821 | |
Jean HARTMANN | 1821-1835 | Le même. |
Jean ZURBACH | - | |
Jean(Georges ALLIMANN | 1840-1848 | Né en 1783. Décède en 1852. |
Jean ZURBACH | 1848-1852 | |
Jean HARTMANN | 1852-1854 | Né en 1813. Cultivateur. Décède en 12873. |
Jacques BERTSCH | 1854-1874 | Né en 1811. Cultivateur. Décède en 1887. |
Jean-Georges CLAR | 1874-1881 | Né en 1816. Maréchal-ferrant, aubergiste. Décède en 1907. |
Jean HARTMANN | 1881-1899 | |
Joseph EBERLIN | 1899-1915 | |
Charles HABERMACHER | 1919-1925 | |
Aimé Marie-Paul MEYBERGER | 1925-1932 | Né en 1869. Agriculteur. Conseiller général. |
André ALLIMANN | 1932-1947 | |
Paul ZURBACH | 1947-1974 | Né en 1910. |
Marcel ROSBURGER | 1974-2001 | |
Jean-Pierre HARTMANN | 2001-2014 | |
Rémi SPILLMANN | 2014-(2026) | Réélu en 2020 |
Cf. : MairesGenweb
et Archives départementales, liste des maires des communes du Haut-Rhin
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Jean Romain GEIGER | 1789-1803 | |
Jérôme Louis CHEVRIER | 1803-1804 | Est ensuite nommé à Altkirch. Décède en 1838. |
Jean Thiébaut WALCH ou WALCK | 1804-1831 | Était auparavant à Illfurth. Décède en 1831. |
Richard DIRR | 1831-1833 | Était auparavant à Fessenheim. Sera ensuite curé à Andolsheim. |
Nicolas LOUIS | 1833-1835 | Était auparavant à Belfort. Sera ensuite curé à Hégenheim, où il meurt en 1880. |
Joseph SIDEL | 1835-1844 | Était auparavant à Hégenheim. Décède en 1844. |
Jacques CHERAY | 1844-1851 | Né en 1806. Était auparavant à Grentzingen. Sera ensuite curé à Durmenach , où il décède en 1880. |
Reinhard FISCHER | 1851-1854 | Était auparavant à Waldighofen. Décède en 1857. |
François Xavier FASHAUER | 1854-1862 | Ancien professeur au petit séminaire de Strasbourg. Auparavant curé à Rixheim. Décède en 1862. |
Joseph CORBÉ | 1862-1876 | Né en 1810. Auparavant curé à Rixheim. Sera ensuite curé à Heimersdorf, où il décède en 1879. |
Jean Théodore ABT | 1876-1912 | Né en 1835. Auparavant curé à Leimbach. Décède en 1914. |
Théotime BLONDÉ | 1912-1919 | Auparavant curé à Wettolsheim. Sera ensuite curé à Fellering. |
Jean-Baptiste ELLERBACH | 1919-1920 | Avait également été curé de Geispitzen et de Sondersdorf. À partir de 1918 il reconstruit le château du Sonnenberg. Décède en 1924. |
Lucien STRUB | 1920- | Auparavant curé à Hésingue. |
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Pierre RAPP | - | Source : Faire-part de décès - Dernières Nouvelles d'Alsace. |
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(Source : Le clergé régulier et séculier en Alsace et Revue catholique d'Alsace, 1898/06)
Liste des titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Charles Joseph DIETMANN | 20 mars 1880 | 1er avril 1960 | Ancien soldat du 2e régiment de la Légion étrangère. Mutilé de guerre. Gardien de cimetière militaire. Chevalier en 1946. Son dossier | |
Thiébaut HABERMACHER | 11 mars 1818 | 26 juillet 1883 | Brigadier de gendarmerie. Chevalier en 1863. Son dossier | |
Jean-Georges HARTMANN | 21 juillet 1832 | 8 juin 1876 | Lieutenant au 6e régiment de chasseurs.
Chevalier en 1871. Son dossier | |
Louis MARTIN | 5 août 1777 | 28 janvier 1850 | Brigadier à cheval d'une compagnie de gendarmerie. Chevalier en 1838. Son dossier | |
Xavier STOESSEL | 6 juillet 1852 | 6 février 1907 | Capitaine et trésorier au 35e régiment d'artillerie. Chevalier en 1902. Son dossier | |
François Joseph Albert WALCH | 11 février 1875 | Ingénieur en chef du Génie rural. Chevalier du Mérite agricole. Chevalier en 1926. Son dossier |
Monument aux morts
Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945
- Article détaillé : Consulter la liste des victimes des deux guerres mondiales...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1793-1892)
Documents numérisés
- Carspach - Contrats - Me Braüdlin (1693-1694)
- Carspach - Contrats - Me Braüdlin (1696-1699)
- Carspach - Contrats - Me Braüdlin (1715-1716)
- Carspach - Contrats - Me Braüdlin (1707-1709)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1793-1862)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1801-1852)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1873-1882)
- Carspach - Contrats - Me Braüdlin (1692-1693)
- Carspach - Contrats - Me Braüdlin (1714-1715)
- Carspach - Contrats - Me Braüdlin (1712-1713)
- Carspach - Contrats - Me Braüdlin (1705-1707)
- Tables décennales (1792-1819)
- Tables décennales (1863-1892)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1883-1892)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | jours pairs : 8h30 à 11h30 | - |
Après-midi | - | 14h00 - 18h00 | - | 14h00 - 17h30 | - | - | - |
Mairie |
Adresse : 1 rue de l'église - 68130 CARSPACH
Tél : 03 89 40 99 06 - Fax : 03 89 40 15 43 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr () |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
- Daniel DELATTRE, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
- Revue Haut-Rhin magazine n° 45, janvier 2014, éditée par le Conseil général du Haut-Rhin et distribuée à tous les Haut-Rhinois, ISSN 1772-3361
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site officiel de la commune de Carspach
- Page du village de Carspach, par le CDHF de Guebwiller
- GenCom Le site des communes pour et par les généalogistes
- Orgue de l'église Saint-Georges
- Histoire du Sonnenberg
Notes et références
- ↑ Daniel DELATTRE, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
- ↑ Revue Haut-Rhin magazine n° 45, janvier 2014, éditée par le Conseil général du Haut-Rhin et distribuée à tous les Haut-Rhinois, ISSN 1772-3361
- ↑ Forme mentionnée sur Wikipedia
- ↑ Revue Haut-Rhin magazine n° 45, janvier 2014, éditée par le Conseil général du Haut-Rhin et distribuée à tous les Haut-Rhinois, ISSN 1772-3361