67368 - Ottrott
Ottrott | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Bas-Rhin |
Métropole | |
Canton | 67-10 Molsheim
67-18 Rosheim (Ancien canton) |
Code INSEE | 67368 |
Code postal | 67530 |
Population | 1 552 habitants (2020) |
Nom des habitants | Ottrottois, ottrottoises |
Superficie | 2 889 hectares |
Densité | 53.72 hab./km² |
Altitude | Mini: 230 m |
Point culminant | 1 052 m |
Coordonnées géographiques |
48.458611° / 7.426389° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Histoire
Un bombardier AVRO LANCASTER est abattu le 29.07.1944
De retour d'un raid de bombardement sur STUTTGART auquel participaient près de 500 Lancaster, l'appareil NE 164 a été abattu par un chasseur de nuit allemand piloté par le Lt Hannick, et se "crasha" à 1h50, au lieu-dit "Saegmuhlmatt" à droite de la route qui monte au Mont Ste Odile, près du Willerhof.
Sur les 7 membres d'équipage, deux ont été tués lors du crash et sont enterrés au cimetière d'Ottrott, 3 ont été fait prisonniers et internés dans des camps, un autre s'est évadé et a été pris en charge par la Résistance. Le Sergent FH HAGBOOD a été remis à la Gestapo et interné au Camp du Struthof, où il a été exécuté le 31 juillet 1944.- Source : Ministry of Defence UK
Site web : http://monsite.orange.fr/bombercrash
Héraldique
Parti: au 1er d'argent au lion de gueules et au chef d'or, au 2e d'argent à l'arbre arraché de sinople sommé de trois corbeaux essorants de sable.[1] .
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Blason sur le monument aux morts -
Blason sur une plaque de rue
Territoire communal
- Absorbe en 1858, Ottrott-Haut
Histoire administrative
- Département - 1801-2025 : Bas-Rhin [1871, Bas-Rhin (Allemagne) ... 1919, Bas-Rhin ... 1919, Bas-Rhin]
- Arrondissement - 1801-1806 : Barr --> Transfert de Chef Lieu : 1806-1871 : Sélestat --> 1871-2025 : Kreis Molsheim [1919, Molsheim]
- Canton - 1801-2015 : Rosheim --> 2015-2025 : Molsheim
- Commune - 1801-2025 : Ottrott (Ottrott-Bas)
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Couvent du Mont Sainte Odile
- L'église du couvent reconstruite en 1687 (les murs latéraux avec contreforts remontent au XII e) est divisée en trois nefs par un double rang de colonnes doriques ; les fenêtres du chœur en arc brisé sont peut-être celles de l'église incendiée en 1546.
- Les vitraux de la nef avec motif de la vie de la Vierge selon le Hortus, l'autel et les décorations du chœur en marbre turquin bleu (1946), les boiseries de l'abside et de la nef sont du XVIIIe siècle, de même que les confessionnaux. Le chemin de croix en marquetterie a été réalisé par Charles Spindler (1964).
- Dans une des galeries du couvent, une fresque représente une copie des pages du Hortus deliciarum (Jardin des délices), et une stèle historiée romane du XII e représente le duc d'Étichon donnant le monastère à sa fille.
- « Le 21 octobre 2018 »[2], Charles de Habsbourg-Lorraine, petit-fils du dernier empereur d'Autriche Charles Ier, se rend au Mont et y dépose solennellement une relique de son grand-père ainsi qu'un tableau le représentant. Le recteur du site l'accueille par cette phrase : « Bienvenue, Monseigneur, chez vous ! »[2], confirmant la thèse désormais certaine pour la majorité des historiens, selon laquelle : le duc d'Alsace Adalric Ier, ou Étichon, père de sainte Odile, est bel et bien l'ancêtre des Habsbourg[3].
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Nef de l'église -
Sainte Odile -
Vitraux du XIIe -
Marquetterie Spindler 1934 -
Fresque Hortus -
Stèle XIIe : Étichon donnant le monastère à sa fille -
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Les chapelles
Sur la grande terrasse, deux vieilles chapelles du XII e (restaurées) se présentent comme deux avant-postes du couvent face à l'Alsace :
- La Chapelle des Larmes :
Elle doit son nom aux pleurs de sainte Odile qui, après la mort de son père, est venue prier ici pour le délivrer du purgatoire.
Érigée vers le XIe siècle, elle a été rebâtie au milieu du XIXe, en adoptant un style néo-roman.
Les mosaïques représentent les symboles chrétiens ainsi que les figures des grands saints d'Alsace.
Derrière la chapelle, de vieilles tombes rappellent le cimetière du couvent au Moyen-Âge.
- La Chapelle des Anges :
Jadis chapelle Saint-Michel, elle est construite sur un rocher en saillie, ce qui lui a valu d'être surnommée « Chapelle pendante »[4].
Remontée au XI e, restaurée en 1617.
Les mosaïques (1948) montrent saint Michel terrassant le dragon et le Christ entouré d'anges.
Église Saint-Simon et Saint-Jude
Église située à Ottrott le Haut.
L'église a été construite en 1771 dans le style d'une église alsacienne du XVIIe siècle.
l'église abrite un orgue du Strasbougeois André Silbermann (1678-1734), construit en 1721 et installé dans la Collégiale de Saint-Léonard de Boersch. Il est modifié au XIXe siècle. En 1968, il est restauré par Jean-Georges KOENING de Sarre-Union sans un retour complet à l'instrument d'origine. L'orgue figure à l'inventaire du patrimoine[5]
Le maître-autel postérieur à la construction de l'église est dédié à saint Simon et saint Jude. Le tableau provient de l'ancien couvent de Saint-Léonard Boersch. Saint Simon et saint Jude ayant prêché ensemble en Syrie et en Mésopotamie sont souvent associés. L'ensemble est classé au titre des objets le 6 février 1992[6].
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Ensemble du maître Autel -
Maître Autel -
Orgue de Tribune -
Saint-Florent - Signé OTT frères Strasbourg 1930
Chapelle Saint-Nicolas
Chapelle située à Ottrott le Bas.
La chapelle Saint-Nicolas est construite vers la fin du XIIe siècle[7] par les parents de Gertrud de Rathsamhausen. Gertrud, devenue veuve, se remarie avec Eberhard d’Andlau et décide avec l’accord de celui-ci et de son fils Hartmann de Rathsamhausen de remettre les droits patronaux de la chapelle à l’abbesse de Niedermunster. La cession est formalisée dans une chartre datée de 1227.
Endommagée pendant la Guerre de Trente Ans (1622), elle fait l'objet du reconstruction dès 1623 et de réfections et d'aménagement du XVIIe au XIXe siècle. La décoration intérieure est refaite en 1942[7].
L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 2000[7].
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Plaque Comte Joseph de PASCALIS -
Statue Saint-Nicolas [9] -
Vierge à l'enfant [10] -
Vierge de Piété -
peinture de la voûte
Château de Rathsamhausen
Les vestiges du château de Rathsamhausen se dressent au côté de son voisin, le Château du Lutzelbourg. Les deux donjons circulaires sont distants de 75 mètres environ.
Un château primitif du nom de Vieux Lutzelbourg, construit au cours du XIème siècle par les comtes d’Eguisheim, se trouvait entre les ruines des deux actuelles forteresses.
Endommagé par les Hohenstaufen au début du XIIe siècle, il est complètement détruit par un incendie à la fin du même siècle.
Au début du XIIIe siècle, la construction d’un nouveau donjon rectangulaire est lancée, ce sont les premières pierres de l’actuel Rathsamhausen.
Le château porte d’abord le nom de Hinterlutzelbourg jusqu’à son rachat vers 1557 par Conrad de Rathsamhausen.
La famille reste propriétaire des deux édifices jusqu’à la Révolution française.
Source[11]
Le Rathsamhausen est le seul château fort d’Alsace à disposer d’un donjon-palais regroupant l’ensemble des fonctions du château en un seul bâtiment : Cuisines, celliers, magasins, logis, corps de garde, défense ...
Le Château de Rathsamhausen est inscrit au monument historique en 1985[12].
Château de Lutzelbourg
Ce bâtiment est situé au lieu-dit Jungrain. Le château de Rathsamhausen et de Lutzelbourg sont à quelques dizaines de mètres l'un de l'autre.
Les ruines du Château de Lutzelbourg sont inscrites aux monuments historiques depuis le 30 décembre 1985[13]
Le mont Sainte-Odile
La légende de Sainte-Odile
En l'année 486, les Alamans furent vaincus par les Francs dans les environs de Strasbourg, et les Francs, qui ont donné leur nom à la France, demeurèrent les maîtres de l'Alsace. Au nom de leur roi, un duc gouvernait le pays. Vers l'année 660 ap. J.-C., le duc d'Alsace s'appelait Adalric. Il avait épousé une pieuse femme nommée Béreswinde. Or, voici qu'il leur naquit une fille aveugle.
Le père, qui était fort violent, voulut la faire tuer, mais la mère en secret la confia à une nourrice qui prit soin d'elle. Un évêque baptisa l'enfant et lui donna le nom d'Odile. Pendant la cérémonie, elle recouvra subitement la vue. Elle grandit dans un monastère loin de l'Alsace; mais un jour l'un de ses frères la fit revenir.
Le père se montra très mécontent et, dans un accès de vive colère, il tua ce fils qu'il aimait pourtant bien. Mais aussitôt il fut pris de remords. Il accueillit sa fille, lui donna son château de Hohenbourg, dont elle fit un monastère; c'est le couvent qui porte aujourd'hui le nom de la fondatrice, le couvent de Sainte-Odile.
Elle y vécut avec cent trente religieuses, donnant l'exemple de toutes les vertus. Au pied de la montagne, elle bâtit un second monastère, le monastère du bas, Niedermunster. Elle y planta trois branches de tilleul qui donnèrent naissance à trois grands arbres. Elle mourut fort âgée vers l'an 740, un 13 décembre.
Beaucoup de jeunes filles d'Alsace portent le prénom d'Odile, et le 13 décembre est le jour de leur fête. Sainte Odile, leur patronne, est considérée comme la patronne de l'Alsace tout entière. Sa réputation n'a fait que croître avec les âges. De nombreux pèlerins se rendent chaque lundi de la Pentecôte à son tombeau, et la montagne de Sainte-Odile est l'endroit le plus vénéré de l'Alsace, en même temps que l'un de ses sites les plus pittoresques.
(C.Pfister, Lectures alsaciennes, A. Colin, éditeur.)
^ Sommaire
Le mont Sainte-Odile et le Mur païen
Le sommet du mont Sainte-Odile fut hanté par des hommes, presque depuis le jour où il y a eu des hommes. Les Gaulois établirent au sommet du mont une forteresse et un collège de druides, les Romains une citadelle et un temple.
Contre les pierres de la citadelle romaine et du Mur païen se brisèrent les efforts barbares des Cimbres et des Teutons. Le temple élevé sur le mont était un refuge pour la population des campagnes, à l'approche des invasions.
Afin de barrer la route aux envahisseurs, les habitants avaient construit le grand mur qui subsiste encore et qui s'eppelle le Mur païen. Tous les sentiers y aboutissent et quelques-uns le coupent.
Ce rempart mégalithique a onze kilomètres de tour et enferme plus de cent hectares. Avec une souplesse dont on n'aurait pas cru capables ses gigantesques matériaux, il suit les mouvements du terrain, cédant la place aux rochers quand il les juge d'aussi bonne garde que lui-même. Il a encore, çà et là, deux ou trois mètres d'épaisseur et autant de hauteur.
Pour maintenir les blocs de pierre, juxtaposés ou superposés sans chaux ni mortier, furent employées des tiges de bois longues de ou trois mains, étroites au milieu, élargies aux deux bouts en queues d'aronde, lesquelles s'emboîtaient à des fentes pratiquées dans les pierres...
Deux rochers forment une entrée qu'on appelle la Porte Romaine.
(Emile Hinzelin, Légendes et Contes d'Alsace, pages 28 et suivantes. Librairie Fernand Nathan, éditeur, 1913.)
^ Sommaire
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 733 | 686 | 838 | 1 009 | 1 073 | 1 953 | 1 887 | 1 898 | 1 877 | 1 822 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 1 776 | 1 806 | 1 692 | 1 663 | 1 664 | 1 706 | 1 605 | 1 548 | 1 416 | 1 459 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 1 371 | 1 275 | 1 214 | 1 186 | 1 183 | 1 171 | 1 115 | 1 043 | 1 074 | 1 115 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 303 | 1 501 | 1 513 | 1 622 | 1 611 | 1 548 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.
En photos
Cartes postales
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Gravure ancienne -
Sainte Odile Dessin Igor -
Couvent Dessin Maillard -
Chapelle de la croix -
Châteaux d'Ottrott et Lutzelbourg -
Ruines des châteaux
Photos
-
Croix à Ottrott le Bas près de la Chapelle -
Croix frontière entre Ottrott le Haut et le Bas - XIXe
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | |
Simon BUHR | 1833 - 1834 | |
- | - | |
Louis FISCHER | 1843 - 1848 | |
- | - | |
Armand Théodore de DARTEIN | 1858 - 1871 | Conseiller général |
- | - | |
André OESINGER | 1902 - 1919 | |
Joseph HOFFBECK | 1920 - 1934 | |
De WITT-GUIZOT | 1934 - 1939 | |
Charles VONVILLE | 1939 - 1943 | |
Joseph MARTIN | 1943 - 1943 | |
Charles STEIMER | 1943 - 1944 | |
De WITT-GUIZOT | 1945 - 1947 | |
Marcel FOUQUIER | 1947 - 1957 | |
Charles THOMSEN | 1957 - 1965 | |
Robert OTT | 1965 - 1989 | Conseiller général |
Jean SCHREIBER | 1989 - 1995 | |
François SCHREIBER | 1995 - 2008 | |
Claude DEYBACH | 2008 - (2026) | |
- | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - | |
Kilien SCNHOERING | après 1878- | Pour plus d'informations, voir Leutenheim - Les curés. |
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Monument aux morts
Morts aux guerres
- Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur les monuments aux morts...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
Documents numérisés
- Autres. AD67 4 E 368/20 (1853-1862)
- Mariages. AD67 4 E 368/18 (1862-1862)
- Naissances. AD67 4 E 368/21 (1877-1877)
- Mariages. AD67 4 E 368/29 (1903-1903)
- Mariages. AD67 4 E 368/26 (1899-1899)
- Naissances. AD67 4 E 368/21 (1881-1881)
- Mariages. AD67 4 E 368/26 (1901-1901)
- Autres. AD67 4 E 437/124 (1933-1942)
- Mariages. AD67 4 E 368/24 (1890-1890)
- Décès. AD67 4 E 368/24 (1890-1890)
- Décès. AD67 4 E 368/27 (1897-1897)
- Naissances. AD67 4 E 368/25 (1898-1898)
- Mariages. AD67 4 E 368/18 (1863-1863)
- Décès. AD67 4 E 368/22 (1876-1876)
- Décès. AD67 4 E 368/19 (1870-1870)
- Décès. AD67 4 E 368/19 (1868-1868)
- Mariages. AD67 4 E 368/18 (1864-1864)
- Décès. AD67 4 E 368/33 (1915-1915)
- Mariages. AD67 4 E 368/22 (1878-1878)
- Naissances. AD67 4 E 368/23 (1887-1887)
Cimetières
- Cimetière du Mont Sainte-Odile
- Cimetière communal d'Ottrott, rue des sapins
- Cimetière communal d'Ottrott, route de Klingenthal
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 08h00-10h00 | - | 08h00-10h00 | 08h00-10h00 | 08h00-10h00 | - | - |
Après-midi | 16h00-18h00 | 16h00-18h00 | 16h00-18h00 | 16h00-18h00 | 16h00-17hh00 | - | - |
Mairie |
Adresse : - 67530 OTTROTT
Tél : 03.88.95.87.07 - Fax : 03.88.95.82.11 Courriel : Contact via site Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr () |
Dépouillements des registres paroissiaux et d'état civil
Les registres paroissiaux et l'état civil sont consultables en ligne sur le site Adeloch des Archives départementales : Adeloch
Associations d'histoire locale
Bibliographie
- Revue Les Saisons d'Alsace, hors-série consacré au Mont-Saint-Odile, novembre 2019, Strasbourg, SA Éditions des Dernières Nouvelles d'Alsace, 112 pages.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site officiel de la ville d'Ottrott.
- Site de l'Office de Tourisme d'Ottrott.
- La ville d'Ottrott sur Wikipédia.
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ 2,0 et 2,1 Article "Des ducs d'Alsace aux archiducs d'Autriche", in Revue Les Saisons d'Alsace, hors-série consacré au Mont-Saint-Odile, novembre 2019, Strasbourg, SA Éditions des Dernières Nouvelles d'Alsace, 112 pages.
- ↑ Le lien entre les deux branches des Étichonides et des Proto-Habsbourg se faisant au niveau de Guntram le Riche
- ↑ Page 60, in Dominique Roger, revue Détours en France, n° 204 spécial Mulhouse, Éditeur Uni-éditions SAS, 97 pages, ISSN 1148-0858
- ↑ Base Palissy - Orgue de Saint-Simon
- ↑ Base Palissy - Maître-autel
- ↑ 7,0 7,1 7,2 et 7,3 Fiche Mérimée| - Chapelle Saint-Nicolas d'Ottrott
- ↑ Panneaux sur la façade de la chapelle
- ↑ Base Palissy - Statue Saint-Nicolas
- ↑ Base Palissy - Vierge à l'enfant
- ↑ Ou Sortir
- ↑ Fiche Mérimée - Château de Rathsamhausen
- ↑ Fiche Mérimée - Château de Lutzelbourg