Chevalier de la Légion d'Honneur le 11/01/1876. Médaille militaire le 24/06/1871. Gendarme à la 20ème Légion. Fils de Jacques, laboureur à Elsenheim, et de Marguerite MECKLEN. Incorporé au 1er régiment de carabiniers (01/07/1853), il passe au 2ème régiment de cuirassiers de la Garde Impériale lr 12/07/1856. Libérable le 31/12/1859. Il est ensuite gendarme à cheval aux compagnies de la Meurthe (23/11/1858), des Vosges (10/07/1871), puis à celle du Rhône. Campagnes : contre l'Allemagne du 06/08/1870 au 07/03/1871, à l'Intérieur, armée de Versailles, du 18/03 au 07/06/1871. Il opte pour la nationalité française le 19/06/1872. Il épouse à Wiwersheim (Bas-Rhin), le 24/05/1859, Thérèse WURM.
GASCHY Jean-Baptiste
27 décembre 1875 Elsenheim
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Chevalier de la Légion d'Honneur le 26/07/1928. Religieux Marianiste. Directeur de l'Ecole Saint-Joseph à Yokohama (Japon), professeur de français à l'Alliance Française de Yokohama. Fils de Jean-Baptiste, cultivateur, et de Marie Julienne JEHL. Décoration remise au Japon par M. Méric de Bellefon Joseph Marie Yves, chevalier de la Légion d'Honneur, consul de France à Yokohama.
"Avant le tremblement de terre, l'Ecole Saint-Joseph de Yokohama était en pleine prospérité et comptait plusieurs centaines d'élèves. La catastrophe dépeupla la ville et causa de grands dommages aux bâtiments. L'Ecole Saint-Joseph dut se transférer à Kobé, où elle séjourna jusqu'en 1925. Elle a rouvert ses portes l'année dernière à Yokohama, et grâce à l'activité de M. Gaschy, a réuni déjà un nombre d'élèves qui fait bien augurer de l'avenir. En outre, M. Gaschy a déployé le plus grand zèle pour l'organisation et le maintien des cours de français de l'Alliance française à Yokohama et c'est grâce à lui qu'un grand nombre de japonais ont pu apprendre notre langue." (fiche établie par le Ministère des Affaires Etrangères le 19/07/1928).
Chevalier de la Légion d'Honneur le 22/06/1929. Soeur du précédent. Supérieure des Sœurs de la Divine Providence de Ribeauvillé, concourant à la direction de l'Ecole de Réforme Saint-Joseph à Frasne-le-Château (Haute-Saône). Affectée à l'Ecole de Réforme Saint-Joseph à Frasnes-le-Château le 10/04/1880.
"A toujours fait preuve d'un grand dévouement dans l'instruction et l'éducation des enfants mineurs placés par autorité de Justice à l'Ecole de Réforme de Frasnes-le-Château". (note du Ministère de la Justice, 11/07/1929). Décoration remise à Frasnes-le-Château le 29/10/1929 par le Préfet de la Haute-Saône.
LUTIQUE Emile
16 octobre 1853 Elsenheim
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Chevalier de la Légion d'Honneur le 29/12/1903. Officier d'administration de 1ère classe (02/10/1893) du service de l'artillerie à l'école d'artillerie du 16ème corps d'armée. Engagé volontaire au 23ème régiment d'artillerie le 10/03/1873, puis 21ème régiment d'artillerie, il passe aux états-majors particuliers de Brest et d'Angoulème, avant de passer à l'état major particulier du 16ème corps d'armée. 30 ans 10 mois de services. Fils de Jean-Baptiste, employé des douanes, et de Barbe HOFFER. Il épouse à Brest (Finistère), le 21/03/1881, Marie Argentine Charlotte LEFEBVRE.
MUNCH Hubert
11 décembre 1831 Elsenheim
15 mai 1901
Chevalier de la Légion d'Honneur le 14/11/1855. Caporal au 97è régiment de ligne. Fils de Jean-Baptiste, aubergiste, et de Anne Marie SCHMITT. En avril 1893 il demeure à Boulogne-sur-Seine, rue de Billancourt n°61. Hubert MUNCH aura quelques problèmes financiers ! (voir : Dossier L.H.
Chevalier de la Légion d'Honneur le 15/05/1953. Médaille Militaire (01/01/1931).Croix de Guerre 1914-1918 avec palme. Ancien soldat au 216e régiment d'infanterie. Demeurant rue de la Malbranche n°58 à Belfort. Fils de Victor, cultivateur à Elsenheim, et de Madeleine VOGEL. Marié à Belfort, le 02/02/1922, avec Victorine SINGER, ils auront 4 enfants. Sans profession en raison de son état de santé, mutilé à 100%. Engagé volontaire pour la durée de la guerre le 09/08/1914, libéré le 05/10/1916, comme grand blessé. Il a travaillé un certain temps comme cisailleur aux usines Alsthom de Belfort. "Tous les renseignements recueillis sur lui sont excellents, ainsi que sur les membres de sa famille."
Pension définitive à 100% + 3 degrés. Plaie pénétrante par balle le 7 octobre 1914 à Montdidier. Nature des infirmités : 1° Ankylose du coude droit, 2° paralysie du radial droit, 3° douleurs névritiques dans le domaine du radial droit, 4° syndrome extenso progressif type barré à droite.
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Article détaillé : Elsenheim - Morts aux guerres
