62610 - Neuville-sous-Montreuil
Neuville-sous-Montreuil | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 62610 |
Code postal | 62170 |
Population | 650 habitants (2020) |
Nom des habitants | (Monasti)Neuvillois(es) |
Superficie | 882 hectares |
Densité | 73.7 hab./km² |
Altitude | Mini : 2 m |
Point culminant | 100 m |
Coordonnées géographiques |
50.475556° / 1.776667° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Fichier:62610 - Neuville-sous-Montreuil carte administrative.png | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Toponymie
- Nom qui vient de nova, nouveau et de villa, domaine
- (extrait du Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, par le comte de Loisne, 1907) :
- -1042 : NOVA VILLA (Historique de France)
- -1204 : NOVILLE (abbaye de Saint-André-au-Bois)
- -1239 : NOEVILLE (cartulaire d'Auchy)
- -1245 : NOVAVILLA prope MONSTEROLUM (cartulaire de Dommartin)
- -1260 : NUEVILLE (layette du Trésor des chartes)
- -1278 : NEUVILLE-en-le-CAUCHIE (chapitre d'Artois)
- -XIIIe siècle : NOEVILLE-en-le-KAULCHIE (mémoires de la Socuété académique de Boulogne)
- -1308 : NUEVILE (charte d'Artois)
- -1366 : NOEFVILLE (cartulaire de Montreuil)
- -XIVe siècle : NEFVILLE empress MONSTREUEL (archives nationales)
- -1436 : NEUVILLE-lez-MONSTROEUL (cartulaire des chartreuses de Gosnay)
- -1477 : NOEUFVILLE-lez-MONSTROEUL (terroir de l'hôtel-Dieu de Montreuil)
- -1583 : NOEUFVILLE (Bibliothèque de Nielles)
Héraldique
De sinople à la chartreuse d'or; au chef d'or chargé de trois fleurs de lis de sinople[1].
Histoire administrative
- Département - 1801-2025 : Pas-de-Calais
- Arrondissement - 1801-2025 : Montreuil
- Canton - 1801-2015 : Montreuil --> 2015-2025 : Berk
- Commune - 1801-2025 : Neuville-sous-Montreuil (Neuville)
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Ancienne chartreuse Notre-Dame-des-Prés ou chartreuse de Neuville
Plusieurs fois dévastée, elle fut reconstruite en 1870 par Clovis Normand, et rendue aux chartreux, qui en avaient été chassés par la Révolution. Transformée en hôpital après le départ des chartreux en 1905 pour l'Angleterre, hôpital qui ferma ses portes en 1998.

La chartreuse de Notre-Dame-des-Prés est fondée en 1324 par Robert III, comte de Boulogne et d'Auvergne, 200 ans après l'édification du monastère de l'ordre, en Isère. Elle est achevée en 1338. Elle subit, entre autres, les attaques de Charles-Quint, Henri VIII en 1537 puis les attaques des Huguenots en 1584.
À la Révolution Française, le monastère est confisqué puis vendu comme bien national. Blaise Duval de Hautmarest, gouverneur de Montreuil, l'achète et l'utilise comme carrière de pierre.
F. Couvreur
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le monastère subit de très gros dommages. En 1870, l'Ordre cartusien achète le terrain pour y rétablir un monastère. La construction est confiée à un architecte local Clovis Normand (1830-1909). Il édifie en trois ans une des plus grandes chartreuses de France, 18 000 m² de bâti au cœur d'un terrain de 12 hectares. L'église est consacrée en 1875 par l'évêque d'Arras. La chartreuse de Neuville a abrité l'Imprimerie Générale de toutes les chartreuses de l'ordre, se constituant ainsi une très riche bibliothèque. .
En 1904 sont promulguées les lois sur les associations qui vont mener à la séparation de l'Église et de l'État, puis à l'expulsion de nombreuses communautés religieuses. Les moines quittent le monastère en 1905, ils s'exilent à l'abbaye de Parkminster en Angleterre en emportant leur bibliothèque.
À partir de 1907, les bâtiments hébergent le sanatorium du Pas-de-Calais, et de 1908 à 1912 s'installe en parallèle un Phalanstère culturel (résidence d'artistes) où séjournent notamment Adolphe Gumery, Paul Fort, Henri Le Sidaner ou encore Guillaume Apollinaire.
Lors de la Première Guerre mondiale, les lieux sont réquisitionnés et la grande chartreuse devient le plus grand hôpital civil et militaire belge.
Dès 1946, la chartreuse est un hospice public puis un hospice-asile jusqu'en 1998, date de sa mise en vente par le Centre Hospitalier de l'Arrondissement de Montreuil (CHAM).
Achetée par la Congrégation des petites sœurs de Béthléem, elles la remettent en vente en 2001 après avoir découvert que les bâtiments sont attaqués par la mérule.
En 2008, l' Association de la chartreuse de Neuville est créée afin de restaurer et valoriser l'édifice et mettre en place un projet social et culturel. [2]
La chartreuse de Neuville est inscrite partiellement depuis 1993 aux Monuments historiques [3].
Un monastère chartreux
Saint Bruno, fondateur de l'ordre des chartreux est né à Cologne en 1032, il est à partir de 1057 directeur de l'école de siège épiscopal de la ville de Reims. Il refuse par la suite d'accéder à la haute fonction d'archevêque considérant que cette vie ne lui permet pas de vivre la foi dans une spiritualité qu'il désire absolue.
En 1087, il donne l'entièreté de ses biens aux pauvres et part sur les routes avec 6 compagnons. Ils arrivent dans le massif de la Chartreuse, à côté de Grenoble, et rencontrent le futur saint Hugues qui leur offre sur son diocèse un terrain leur permettant de fonder le premier monastère de la Grande Chartreuse.
L'ordre des chartreux
Saint Bruno n'a pas eu l'intention de fonder un ordre religieux.
La particularité de cet ordre est d'unir à l'intérieur d'une même communauté deux pratiques de la vie religieuse :
- - celle des frères, cénobitiques : leur vie est consacrée à la communauté et au travail
- - celle des pères, érémétiques : ils vivent en ermites et se consacrent au silence et à la prière.
Les deux communautés du monastère se composaient de 24 pères et de 24 frères qui cultivaient les légumes et les fruits et soutenaient les Pères ; ils étaient tous végétariens.

L'architecture d'un monastère chartreux reflète cette organisation. On peut diviser une chartreuse en trois parties :
- - à l'arrière : autour du grand cloître, le centre de vie des pères, le monde du silence et de la prière
- - au centre : les lieu communautaires : église, salle du chapitre, réfectoires, bibliothèque, tous réunis autour d'un petit cloître
- - à l'avant : le centre de vie des frères, autour de la cour d'honneur, et les dépendances à l'extérieur.
Chaque père vivait seul dans une cellule, dans le silence et sans compagnie. leur nourriture leur était fournie par un frère dans un petit placard ; il était interdit aux pères de faire des travaux hormis la coupe de bois de chauffage, ils devaient uniquement se consacrer à la spiritualité, chaque cellule disposait d'un petit jardin où ils pouvaient faire pousser des fleurs. Ils disposaient d'un couloir promenoir pour faire de l'exercice.
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Ermitage d'un père
F.Couvreur -
Intérieur cellule -
L'hôpital civil belge
En 1914, la chartreuse est réquisitionnée pour servir d'hôpital civil et militaire aux Belges, placé sous la protection du ministre belge de l'Intérieur Paul Berryer et sous le haut patronage de sa majesté la reine. Les alliés ont décidé d'inonder les plaines de l'Yser pour retarder l'avancée des troupes allemandes, jetant ainsi sur les routes de nombreux Belges. Afin de reloger ces populations, l'édifice a accueilli jusqu'à 5 000 civils et militaires belges en exil durant la Première Guerre mondiale.
C'est une véritable petite ville de 1 200 réfugiés qui occupe le site jusqu'en 1919. Une véritable communauté voit le jour, tous les corps de métiers sont représentés par ses habitants (menuiserie, boulangerie, jardinerie). Une école y est même créée. L'hôpital comprend des civils, des religieux, ainsi qu'une section militaire qui accueille les soldats en permission ou en convalescence. Si le monastère offre un espace suffisant, les conditions de vie restent toutefois rudimentaires. 600 Belges ont perdu la vie lprs d'une épidémie de fièvre typhoïde. Une plaque commémorative a été inaugurée dans le jardin de la mémoire (à l'entrée de l'allée) en 2022. En mars 1919 l'hôpital se vide et les derniers réfugiés quittent la Chartreuse.
L'asile-hospice
La chartreuse de Neuville, propriété des hôpitaux de Montreuil puis du Centre Hospitalier de l'Arrondissement de Montreuil (CHAM), devient un hospice-asile pour personnes en situation de handicap mental et/ou moteur, personnes âgées sans ressources, orphelins et sortants de prison. Tous ont en commun de ne pas être adapté et/ou de ne pas avoir de place au sein de la société.
Pour palier le manque de personnel devant l'afflux des résidents (jusqu'à 600), une organisation atypique se met en place : les résidents, selon leurs capacités et contre rémunération symbolique, participent au fonctionnement de l'institution (cuisine, blanchisserie, ménage, jardins, assistance aux résidents alités...). Certains soignants et leur famille vivant sur place, ce système permet à chacun de devenir colocataire et collègue de travail. Il n'y a plus, d'un côté, les personnes dépendantes et, de l'autre, des soignants, mais une communauté interdépendante où chacun trouve sa place et reconnaissance.
Cependant, dès les années 80, le bâtiment et son fonctionnement ne répondent plus aux normes, les résidents le quittent progressivement pour être répartis dans des structures spécialisées, l'édifice se vide et n'est plus entretenu.
Les bâtiments

Deux clochers dominent l'espace, l'église et l'horloge, soit l'esprit et le temps.
La cour d'honneur
Une immense cour centrale autour de laquelle se dressent des cloîtres, dominée par deux clochers, un pour Dieu et l'autre pour l'Homme avec des cloches sonnant à l'heure.
L'architecte Clovis Normand a choisi une architecture sobre, simple et épurée en accord avec l'esprit de l'ordre cartusien. Il n'a pas opté pour le néo-gothique, l'architecture phare de cette époque développée par Viollet le Duc.
La cour d'honneur est le centre de la vie des pères.
Au rez-de-chaussée de l'aile sud se trouvaient les salons de l'évêque, qu'il a occupés lorsqu'il a consacré l'église en 1875. Pendant la période de l'hospice-salle, c'étaient les bureaux du directeur.
Au premier étage c'était le quartier des étrangers, qu'il faut comprendre comme les étrangers à l'ordre, les frères logeaient aux premiers étages des deux ailes latérales.
Au rez-de-chaussée de l'aile nord se trouvait la première imprimerie. À la place de la bibliothèque actuelle se trouvait la cordonnerie.
Les locaux techniques étaient placés au nord après la grille, c'était le lieu le plus bruyant avec la basse-cour, la forge, la menuiserie, la laverie et la boulangerie. Par la grille opposée, on accédait au potager du monastère (le verger était situé dans le préau du cloître).
La chapelle des Familles
Cette chapelle était à l'origine ornée de statues de la Sainte Vierge, de saint Joseph et de saint Bruno. Elle servait aux frères et aux ouvriers du monastère. C'est pour cette raison qu'elle se trouve proche de leurs lieux de vie. Ils s'y réunissent chaque jour pour la prière, assister à la messe ou bien entendre les instructions du dimanche.
Le nom Chapelle des Familles a un sens profond, écrit un religieux chartreux : selon lui, tous ceux qui travaillent au sein du monastère, même s'ils ne sont pas convertis à l'
ordre, font partie intégrante de la famille, la famille des chartreux.
Dans le prolongement se trouve une petite chapelle dédiée à saint Hugues d'Avalon, évêque français né en 1140.
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Tympan portail chapelle -
Autel -
Occulus -
Le Bon Pasteur
La chapelle Saint-Anthelme
Cette chapelle était ornée d'un autel en marbre et d'un retable en chêne représentant saint Anthelme. Anthelme de Chigny est né en 1106 ; il a été élu le 7e prieur de la Grande Chartreuse en 1132. Il a également fondé les premières chartreuses pour femmes. Il a été par la suite nommé Évêque de Belley par le pape Alexandre III.
Le réfectoire des pères
Les moines se retrouvent dans le réfectoire pour prendre leur repas tous les dimanches midis, les jours fériés et exceptionnellement les jours d'enterrement.
Il ne servait que pour les pères, tandis que les frères et les étrangers avaient leur propre réfectoire, lui aussi non loin des cuisines. Installés sur des tables alignées, les moines étaient placés en fonction de leur ancienneté. Une table au fond de la pièce, surmontée d'un grand crucifix, était réservée au père prieur.
À côté de l'entrée, en haut de l'escalier, se trouve une chaire, un père lecteur y lisait, lors des repas, les coutumes de l'ordre ou les écritures Saintes. Les moines prenaient leur repas dans le silence. Les moines chartreux vivent dans la pénitence, le jeune et la privation.
Le régime alimentaire était rigoureusement observé : pas de mets gras chez les chartreux, ils se nourrissent de pain, d'œuf, de poisson, de légumes et de fruits.
L'église
F.Couvreur
L'église du monastère est un des lieux les plus importants de la chartreuse, car les moines (pères et frères) s'y rendent plusieurs fois par jour pour les différents offices.
L'église est divisée en trois parties : le chœur des frères, le chœur des pères et le sanctuaire. Les deux chœurs sont séparés par un jubé (élément architectural de séparation).
Le premier chœur en entrant dans l'église est celui des frères. Il est composé de 24 stalles en bois de chêne. Les stalles sont des rangées de sièges en bois à dossiers élevés. Dominant l'église du côté de la rosace, le balcon des étrangers servant aux personnes importantes désirant assister à l'office.
Le deuxième chœur est celui des pères, avec 28 stalles. À l'origine en bois de chêne comme du côté des frères, ces stalles ont été cérusées par la Congrégation des petites sœurs de Jérusalem présente de 1998 à 2005.
Ce choix rompt avec la symbolique première d'une église chartreuse : la couleur sombre en partie inférieure représente le monde matériel et terrestre, tandis que la couleur claire dans la partie supérieure évoque le monde spirituel et céleste. Les moines chartreux prient afin de s'élever vers la clarté et la pureté de Dieu.
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Eglise sur cour et cloître -
Chœur -
Jubé et stalles cérusées -
Balcon des étrangers et stalles en bois -
Vierge à l'Enfant -
Décor du maître-autel -
Chœur des pères -
Décor chœur des pères
Cour intérieure et cloîtres
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Église sur cour intérieure et cloître -
Un des cloîtres -
Vitrail d'origine sur cloître -
Un cloître -
Cour intérieure et cloître
Les jardins
Réaménagés en 2012, les jardins de la chartreuse poursuivent 4 objectifs :
- - préserver la biodiversité sauvage et cultivée
- - transmettre et partager des savoirs botaniques médiévaux et maraîchers respectueux de la nature et du vivant
- - régaler les yeux des visiteurs et leur offrir un lieu de ressourcement
- - contribuer à la mission d'inclusion en permettant à des publics fragilisés d'en être acteur et/ou bénéficier de leurs bienfaits.
Les jardins appartiennent au réseau des jardins connectés Vavilov. Ces jardins permettent de sensibiliser à la préservation de la biodiversité cultivée, de découvrir la diversité des fruits et légumes et leur histoire, de multiplier et d'étudier des végétaux pour nourrir les travaux des chercheurs de l'Institut Vavilov et du Centre Botanique de Recherche appliquée, partenaires scientifiques du projet.
4 espaces visibles forment ces jardins :
- - le potager
- - les herbes médicinales
- - le carré mosaïque
- - le cloître végétal
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Historique de la liqueur de la Chartreuse -
Institut Vavilov
Le projet de l'association
Depuis 2008, l'association redonne une nouvelle vocation et un sens à la chartreuse de Neuville. L'objectif est de faire de l'association une fondation reconnue d'utilité publique. La labellisation Centre Culturel de Rencontre au service de l’innovation artistique et sociétale depuis 2016 participe à cette mission (manifestations culturelles, expositions, résidence d'artistes).
Depuis 2016, la chartreuse de Neuville a débuté des travaux de restauration sur ses 18 000 m² de bâtiments. Elle est actuellement le plus gros chantier de rénovation d'un monument historique en France, après Notre-Dame de Paris.
Autre patrimoine
- Église Saint-Vaast du XVIIIe siècle, possédant de très nombreux objets classés dont son orgue de 1869 du facteur d'orgue Émile Neuville [4]
- Cimetière indien de la 1ère guerre mondiale
- Manoir de la Beausse du XVIe siècle
- Ferme de la Raderie
Repères géographiques
- Située sur la Canche, à 15 km de Berck, à 92 km de Lille et à 183 km de Paris
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 783 | 849 | 874 | 867 | 979 | 991 | 990 | 974 | 975 | 888 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 878 | 898 | 867 | 924 | 879 | 833 | 835 | 842 | 824 | 758 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 729 | 772 | 877 | 862 | 823 | 761 | 901 | 1 106 | 1 096 | 1 290 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 123 | 984 | 740 | 681 | 661 | 655 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
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Étienne BERNARD | 2001-2008 | |
Daniel BOURDELLE | 2008-2020 | |
Jérôme JEUMER | juillet 2020-2023 | Démission[5] |
Olivier DEKEN | juin 2023-(2026) |
Cf. : MairesGenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1919)
Documents numérisés
- Archives notariales de Maître Claude PAPIN (1754) (1754-1754)
- 4E115/193 Notaire PAPIN Claude - AD Dainville - 1751-1761 (1751-1761)
- 4E115/193 Notaire CRENDALLE Jacques François - AD Dainville - 1785-1791 (1785-1791)
- 4E115/193 Notaire CRENDALLE Jacques François - AD Dainville - 1792-1800 (1792-1800)
- Liste des Belges enterrés au Cimetière de l'Hôpital La Chartreuse (1915-1919)
- Archives notariales de Maître Claude PAPIN (1758) (1758-1758)
- 4E115/193 Notaire FRANCOIS Pierre François - AD Dainville - 1762-1784 (1762-1784)
- 4E115/193 Notaire CRENDALLE Jacques François - AD Dainville - 1785-1810 (1785-1810)
- Archives notariales de Maître Claude PAPIN (1757) (1757-1757)
- 4E115/193 Notaire LERICHE Pierre Alexandre - AD Dainville - 1739-1743 (1739-1743)
Cimetières
- Ancien cimetière belge de l'hôpital à La Chartreuse de Neuville
- Neuville-sous-Montreuil Indian Cemetery
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 9h-12h15 | 9h-12h15 | 9h-12h15 | 9h-12h15 | 9h-12h15 | - | - |
Après-midi | - | 14h-17h30 | 14h-17h30 | 14h-17h30 | - | - | - |
![]() Mairie |
Adresse : 5 rue de Boulogne - 62170 NEUVILLE-SOUS-MONTREUIL
Tél : 03 21 06 06 49 - Fax : 03 21 81 54 56 Courriel : Site internet : GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr () |
Associations d'histoire locale
ASSOCIATION DES AMIS DU VIEUX CALAIS BP 27 62101 CALAIS CEDEX - adresse mail : [email protected] SITE INTERNET: http://lesamisduvieuxcalais.com
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Dépliant de la visite
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Palissy
- ↑ La Voix du Nord
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