Chronologie des possesseurs des terres, puis du château de Gilocourt
En 1355, Jean DENOU, vicomte d'Oulchy, chevalier de l'ordre du roi, possède le fief de Noue (ou se trouve le château).[1]
Aux environs de 1483 à 1523, Nicolas CACQUEREL,écuyer, maître du four d'en haut, époux de Jeanne de Montigny, était propriétaire et seigneur de Gillocourt, en 1482, il possède également le fief de Bellival. [2]
En 1525, Nicolas CACQUEREL, fils du précédent, et son beau-frère, Pierre GERARD, époux de Jacquelines CACQUEREL, devinrent propriétaire de Gillocourt. [1]
En 1550, Claudine GERARD épouse Christophe DE COCHET,[1] écuyer, sieur de Javage, demeurant au Four-d'en-haut (Commune de Morienval), en la foret de Cuise. Encore vivant en 1591 (Source :Bnf-Gallica)
Le château de Pierrefitte, vers 1581 a 1591, était en possession de François de MENEAC (Noblesse du duché de Valois, page 237- Gallica).
En 1604, Raymond DE LA POINTE, possède le fief de Bellival, il le cède a Éléonore DE COCHET, Fille de Claude DE COCHET. [1]
En 1610, François DE LIGNIÈRES, capitaine de la forêt de Compiègne, achête la terre de Gillocourt a Claude DE COCHET[1]
La terre de Gillocourt comprend les fiefs de Noue, Leblanc, Bellival et la loge Lambert.[1]
En 1617, il semblerait, qu'un certain P. François de MARTIN, fut seigneur de Pierrefitte (Château féodal de Gilocourt), comme le montre l'inscription sur la cloche de Béthancourt-en-Valois (Base Palissy)
En 1617, Paul de MANSAN, vicomte de Morcourt, capitaine au régiment des gardes du Roi, et sous gouverneur de Monsieur, frère du roi, achète la terre de Gilocourt a François DE LIGNIÈRES. [1]
En 1634, François Paul DE MANSAN, fils du précédent, et époux de Madeleine DE MORTAINVILLE hérite des terres de Gillocourt. Leurs enfants décèderont n'ayant eu aucune postérité.
Le 29 juin 1649, a sa mort, François Paul DE MANSAN, fils de Paul d'ANTIST DE MANSAN (Noble originaire de Bigorre), vicomte de Feigneux Morcourt, Bourgon et autres lieux, capitaine au Régiment des gardes (Sources: Daniel GIBERT, historien de Feigneux), était également seigneur de Gilocourt, c'est son fils François Paul, qui a offert la cloche, baptisée Marie à l'église Saint-Martin de Gilocourt, en 1654 .
en 1654, François Paul DE MANSAN,Seigneur et Vicomte de Morcourt , feigneux , Gilocourt et autres places, Chevalier, a offert, la cloche de l'église de Gilocourt, Baptisée Marie, et qui fut fondue dans la commune.
Ce sera donc, en 1667, le marquis Nicolas DURAND DE VILLEGAGNON, qui sera le seul héritier de François Paul DE MANSAN et la terre de Gillocourt lui reviendra.[1]
En 1682, Nicolas DURAND DE VILLEGAGNON, vend Gillocourt, a monsieur COUTURIER DOUBLET,commissaire aux guerres, dont la fille épousera en 1704, Jacques GOUDIN DE LABORY, capitaine d'artillerie. [1]
Le 19 Juin 1704, Messire Charles-Nicolas de MARTIN, Chevalier, seigneur de PIERREFITTE a été cité comme témoin lors de l'inhumation dans l'église Saint-Jacques de Compiègne, de François-Augustin de HAVART de SENANTES, écuyer, chevalier et seigneur de SENANTES, âgé de 16 ans ou environ, fils unique de défunt Messire Augustin de HAVART et de Dame Marie-Anne de GAYA. (Sources: BMS Compiègne Saint-Jacques 1704-1707: Vue 28, et Généalogie de Louis CHASSERIAU, sur Généanet)
Avant 1750, Charles Louis Raymond DE GOUDIN fut seigneur de Labory, Gilocourt, Bellival, Pierrefitte et autres lieux. (époux de Marie Madelaine de CONDREN, décédée le 2 mars 1750 à Gilocourt (voir sa plaque mortuaire située dans l'église, photo dans le paragraphe : Dalles et plaques mortuaires de l'église).
17 mars 1757, Charles Louis Raymond DE GOUDIN, fils ainé de Jacques GOUDIN DE LABORY, veuf de Marie Madelaine de CONDREN, vend à André Constant Julien VAULTIER, commissaire des guerres, (marié avec Anne Nicole DORBAY, à Paris, le 24 mars 1743), les terres et seigneuries de Gilocourt, (relevant du Prince de CONDÉ, a cause de sa terre d'Ormoy), de Bellival (relevant du Duc d'ORLÉANS, a cause du château de Crépy), et de Pierrefîtte, (fief à l'ouest du village de Gilocourt, relevant du seigneur de Glaignes), pour la somme de 65 000 livres. (A la suite d'énormes dettes, les biens de André Constant Julien VAULTIER seront saisis)
23 septembre 1773, adjudication des biens saisis sur André Constant Julien VAULTIER, à Pierre Joseph HENNON, contrôleur des Guerres, pour la somme de 68 150 livres. (qui a son tour, s'endettera, a tel point, que ses biens furent mis également en adjudication en 1785)
En 1778, Pierre Joseph HENNON était seigneur de Gilocourt et du Plessier-Gobert (sur les territoire de Rocquencourt - Somme, et Tartigny - Oise, dans la région de Breteuil)[3], Écuyer et contrôleur des guerres. [4]
4 mai 1785, adjudication par décret forcé au Chatelet de Paris, des biens (dont la terre de Gilocourt) saisis sur Pierre Joseph HENNON, ancien contrôleur des Guerres, elle comprenait autrefois les seigneuries de Champlieu, Orrouy et Donneval, avec haute, moyenne et basse justice, la terre de Gillocourt fut adjugée à Pierre Louis Alexandre DE MONCHY, originaire de Compiègne, avocat et procureur honoraire, du roi, à l'élection de Compiègne, qui en devint propriétaire.[5]
En 1785, Pierre Louis Alexandre DE MONCHY, procureur du roi en l'élection de Compiègne, acheta le château de Gilocourt, où il y mourut le 17 septembre 1785 (père de Jean Charles Alexandre DE MONCHY, maire de Gilocourt d'avril à octobre 1798, et grand-père d'Antoine Hyacinthe Alexandre DE MONCHY, également maire de la commune de 1835 à 1845). Il a été inhumé dans le cimetière de la paroisse et une plaque en sa mémoire se trouve dans l'église Saint-Martin (voir sa plaque mortuaire située dans l'église, photo dans le paragraphe : Dalles et plaques mortuaires de l'église).
Après 1785 c'est Jean Charles Alexandre DE MONCHY, qui deviendra propriétaire de Gilocourt, comme unique héritier [1]
En 1829, Antoine Hyacinthe Alexandre DE MONCHY, héritera du domaine de Gilocourt, tenu de son père Jean Charles Alexandre DE MONCHY[1]
Le 13 fevrier 1856, Antoine Hyacinthe Alexandre DE MONCHY' vendra a son neveu, Henri DE MONCHY,(né le 20 juin 1825), fils de son frère Hector DE MONCHY, et frère de Marie Noémie DE MONCHY, épouse de Jules MOLLOT), Gillocourt pour la somme de 50 000 francs. Par la suite Henri DE MONCHY transmettra le domaine de Gillocourt, a ses deux filles Agnès et Élisabeth DE MONCHY, cette dernière, mariée au colonel Maurice de MASCAREL DE LA CORBIÈRE, mourra sans aucune postérité. [1]
Une branche de la famille DE MONCHY, possédait la seigneurie de Sénarpont (Somme) ; Antoine DE MONCHY[6] , chevalier, seigneur de Longueval, gentilhomme de la maison du roi et chevalier de son ordre, épousa en 3e noces Françoise de VAUX, veuve du baron Jean de Vieuxpont, fille de Hugues de VAUX, Seigneur de Saintines et grand bouteiller de France (Le grand bouteiller de France était l'un des grands officiers de la couronne de France pendant l’Ancien Régime)Au XVIe siècle, il est l'un des personnages les plus importants de l'État. Puis, tout comme le grand maître de France, sa charge eut de moins en moins d’importance politique et devint de plus en plus honorifique. La fonction fut supprimée à la Révolution.).
Gédéon DE MONCHY, baron de Vismes, seigneur de Sénarpont, chevalier de l'ordre du roi, fils de Antoine DE MONCHY et de Jeanne Olivier de LEUVILLE, épousa par contrat du 9 Octobre 1586, à Verberie, Christine de Vieuxpont, fille du baron Jean de Vieuxpont et de Françoise de VAUX, marié en 1ère noces à Antoine DE MONCHY ; en sorte que Gédéon devint par suite de son mariage, le beau-fils de son père, et sa femme, belle fille de sa mère, ils eurent pour enfant : Anne DE MONCHY, chevalier, seigneur de Sénarpont.
La famille DE MONCHY de Gilocourt est originaire de Ressons-sur-Matz, plusieurs membres remplirent avec distinctions les fonctions de tabellions et notaires royaux, relevant du baillage de Roye (Somme) ; Le plus ancien notaire de Ressons-sur-Matz, dont une généalogie à été retrouvée fut Antoine DEMONCHY, né en 1560, tous ses descendants furent également notaires, le dernier titulaire fut Pierre alexandre DE MONCHY(Grand-père de Jean-Charles Alexandre DE MONCHY, qui fut maire de Gilocourt en 1798), qui mourut a l'âge de vingt neuf ans le 19 Juin 1736, tué accidentellement par un coup de fusil.
C'est a cette famille qu'appartient Antoine DE MONCHY, appelé DEMOCHY, grand inquisiteur de la foi, qui poursuivit les protestants avec ardeur et qui devint chanoine pénitencier du chapitre castral de Noyon, il mourut en 1574.
Sources : recherches diverses sur l'histoire de Gilocourt, issu de divers documents prêtés par des anciens du village)[1]
(le 31 décembre 1900, dans le registre d'état-civil des décès d'Amiens (Somme), se trouve la transcription intégrale du jugement de rectification de nom (DE MONCHY au lieu de DEMONCHY) rendu le 5 décembre 1900 en faveur d'Henry DE MONCHY et ses enfants.), de plus ce document de 8 pages, est une source importante de généalogie pour la famille DE MONCHY de Gilocourt. [7] -Cette transcription figure également, a la date du 4 janvier 1901, sur l'état civil de Gilocourt, acte n°1, page 5/171
Chronologie des évènements marquants de la commune
Le 16 septembre 1358, lettres de rémission accordées par le Dauphin Charles, régent de France, à Guillaume de TRIE de la Ferté-Milon; au curé de Gilocourt, Jéhan NERANGET; au capitaine HULOT d'Etavigny; a Gilles et a LE PUTOIS, de Pierrefonds; et a d'autres personnes du Valois qui avaient participé a la Jacquerie qui avaient démarrée en Mai 1358[9]. [10]
Un château féodal, ruiné pendant la Révolution, existait sur la commune depuis le Moyen Âge, situé sur le fief de Pierrefitte, entre Gilocourt et Orrouy, pas loin de la rivière "Automne". Maintenant sur le territoire d'Orrouy (une rue porte encore ce nom à Orrouy).
Le chemin qui menait à Pierrefitte passait derrière le centre commercial des Aubaines, et portait d'ailleurs ce nom.
En 1593, d'après une tradition, Henri IV, couchant dans une auberge de Gilocourt, faillit y être assassiné en 1593 [8], par des émissaires envoyés par Jean Antoine de RIEUX[11], [12] gouverneur du château de Pierrefonds, et célèbre ligueur [13], petit-fils d'un maréchal-ferrant de Rethondes. Jean Antoine de RIEUX fut finalement capturé par la garnison de Compiègne alors qu'il revenait de Paris où il avait assisté aux États généraux de 1593. Jugé comme régicide, il fut pendu à Compiègne en mars 1594. Cette exécution eut lieu sur la place du Marché, au son de la cloche du beffroi.
En 1652, Les frondeurs du Prince de Condé saccagent et déciment la population de Gilocourt [8].
En 1653, Louis de SAINT-JUST le Jeune, est receveur de Gilocourt, il est le fils de Louis de SAINT-JUST l'Aîné, laboureur à la ferme de Beauvoir à Orrouy [14]
Le 13 juillet 1788 - Un orage de grêle extrêmement violent, s'abat sur la vallée de l'Automne et dévaste la commune, en occasionnant de nombreux dégâts aux récoltes, ainsi qu'a la route de Gilocourt à Bellival, jusqu'à Rocquigny, en outre le pont d'Automne, n'a pas été épargné. A tel point que le conseil municipal de l'époque à du se réunir le lendemain, pour évalué l'ampleur des dégâts.
Le 2 novembre 1789 - L'assemblée met les biens du clergé a la disposition de la nation. La vente en est confiée aux municipalités le 17 février 1790[15].
Assignat de quinze sols époque de la Révolution française [15] Capricorne60
Le 14 décembre 1789 - La vente des biens du clergé servira a créer des assignats. Ce sont des sortes de bons du trésor émis sur la caisse alimentée par toutes ces ventes, ils rapportes 5% en 1789, puis se dévaluent rapidement[15].
Le 14 mai 1790 - On décide que les biens nationaux seront vendus d'un seul tenant, ce qui désavantagera beaucoup les petits cultivateurs[15].
En 1790 - M. le curé LANOT, refuse de prêter le serment civique à la constitution
En 1791 - Le maire Jean PORTEJOYE et Jean Charles DEMONCHY, jure fidélité à la constitution.
En 1792, une épidémie de fièvre putride, attribuée au rouissage du chanvre, frappa la population, qui fut encore décimée en 1822 par le même fléau. [1]
En 1832 - Une épidémie de choléra, sévit dans la région, 1581 décès sont à déplorer dans l'arrondissement de Senlis, dont 23, pour le village.
Le dimanche 25 juillet 1909 : inauguration officielle de la Mairie-école, par M. LAFARGUE, sous-préfet de Senlis, et M. le docteur Gustave CHOPINET[16], député de l'Oise, en présence des sociétés locales et des compagnies de pompiers de la région, de la municipalité, des maires des communes environnantes, des instituteurs et des enfants des écoles. S'en est suivi une réception officielle, vin d'honneur, revue des pompiers, défilé, banquet et bal, tel a été le bilan de cette journée de fête, au cours de laquelle de nombreuses allocutions ont été prononcées [17].
Le 28/07/1921 : M. le maire demande au Conseil de fixer la date de l'inauguration du monument aux morts a la mémoire des enfants de Gilocourt, morts pour la France, au cours de la Grande Guerre et de fixer approximativement le programme de la fête. Le Conseil, après discussion : 1/ fixe au 21/08/1921, 15 h, la date de cette inauguration ; 2/ prie le maire de demander à M. FAISANT, Ministre et à M. CABROL, sous-préfet, de présider cette fête 3/ décide à l’unanimité qu’un service religieux sera dit en l'église de Gilocourt ; le Conseil s’y rendant en corps constitué 4/ décide, par cinq voix contre quatre qu’il n’y aura pas de bénédiction religieuse du Monument 5/ décide d’inviter par lettres les personnes habitant hors de la commune qui ont souscrit pour le monument 6/ décide de demander une permission de 48 h pour les jeunes soldats actuellement sous les drapeaux 7/ D’inviter les Maires des communes voisines 8/ d’offrir un vin d'honneur aux autorité officielles. [18] Voir les photos d'époque, concernant cet évènement, dans la page Morts aux Guerres/Inauguration du monument
le 31 août 1944 : Libération de Gilocourt / Les forces alliées libèrent l'Oise du 28 août au 2 septembre 1944 / Société d'histoire moderne et contemporaine de Compiègne / Une du n° 61-62 Automne 1995 des Annales historiques compiègnoises [19]
Le 21 août 1945 : fêtes de Bellival et de la Libération, le conseil municipal décide de fêter l’anniversaire de la libération de la commune en même temps que la fête de Bellival. Il décide qu’une plaque sera scellée sur la Stèle du Monument aux morts et qu’une autre sera apposée sur le parapet du pont de Bellival, dénommé « Pont de la Libération » en souvenir de l’arrivée des tanks américains le 31 Août 1944 qui franchirent la rivière sur l’ancien pont démoli par la suite. [18]
21 avril 1956 : dissolution du corps des Sapeurs Pompiers[18].
Hameau de Bellival
Son origine remonte a une haute antiquité, puisque parmi les privilèges que le roi Carloman[20] fit a l'abbaye de Morienval, alors que Thierry, prieur de Rivecourt, en était l'abbé laïc, se trouvent dix manses situées à Bellival.
Ce hameau possédait un moulin, qui fut donné en 1396 par Jehan NERANGET, doyen de Saint-Thomas de Crépy, aux célestins de Saint-Pierre-en-Chastres, en échange d'une rente.
La charité de la paroisse Saint-Antoine de Compiègne (par suite d'un legs de Madame de FOURNET en 1740), possédait une ferme à Bellival, située dans le manoir qui existait a cette époque, le fermier GATTELET (Laboureur), leur devait alors la somme de Sept cent quarante deux livres en argent, et sept mines de blé, au termes d'un contrat passé le 25 mai 1778, devant Me BOITEL notaire. Cette ferme, fut plus tard démolie, par décision du conseil d'administration du bureau de bienfaisance de Compiègne (les murs de clôture qui limitaient cette propriété tombaient en ruine).
Ville de naissance ou de décès de
Pierre Louis Alexandre DE MONCHY, Procureur du Roi à Compiègne, Né le 15 septembre 1733, à Ressons-sur-Matz(Oise),décédé le 27 septembre 1785, en son château de Gilocourt, à l'âge de 52 ans, procureur du Roi à Compiègne. Frère de Pierre Louis Alexandre de MONCHY (1733-1785), Fils de Pierre Alexandre de MONCHY (1706-1736) et de Marie Madeleine de BOURGES ( Décédée en 1775), Marié le 8 novembre 1757 à (Compiègne, (Oise), avec Antoinette Françoise POULLETIER de PLAISANCE (1727-1795), père de Jean Charles Alexandre de MONCHY (1760-1845)
Jean Charles Alexandre de MONCHY,Maire de Gilocourt du 21 avril 1798 au 12 octobre 1798. Président à la Cour Royale d'Amiens (amoiries de 1824),substitut de monsieur le procureur général du 31 juillet 1786 jusqu'a la dissolution du parlement en octobre 1790 [1]. Titulaire de la légion d'honneur, voir son Dossier LEONORE Né le 12 octobre 1760, à Compiègne, (Oise), Décédé le 15 avril 1845, en son château de Gilocourt, à l'âge de 84 ans, Fils unique de Pierre Louis Alexandre de MONCHY (1733-1785), et de Antoinette Françoise POULLETIER de PLAISANCE (1727-1795), Marié le 17 novembre 1789 à Compiègne, avec Catherine Marie Hyacinte MOREAU de CHAMPLIEU de DONNEVAL.
Alphonse Jean Nicolas de MONCHY, Conservateur des hypothèques, Né le 18 juillet 1792, au Château de Gilocourt, Décédé le 4 mars 1865 à Chinon, (Indre-et-Loire), à l'âge de 72 ans. Fils de Jean Charles Alexandre de MONCHY (1760-1845), et de Catherine Marie Hyacinthe MOREAU de CHAMPLIEU de DONNEVAL (1760-1829), Marié le 4 janvier 1823 à Paris, avec Jeanne Scholastique Hélène CHRESTIEN de POLY (1797-1852).
Pierre Charles DEMONCHY, nommé substitut à Saint-Quentin (Aisne) le 20 janvier 1821 et juge d'instruction à Compiègne le 25 octobre 1826, fin d'activité le 28 mai 1862 pour admission à la retraite. Fils de Jean-Charles Alexandre DEMONCHY et de Catherine, Marie, Hyacinthe MOREAU DE CHAMPLIEU DE DONNEVAL, né le 19 mai 1799 (30 floréal an VII) à Gilocourt, Marié le 24 septembre 1827, à Compiègne avec Eugénie CHARMOLUE, Décédé le 24 Janvier 1894 à Compiègne (Oise).
Henri DE MONCHY, Maire de Gilocourt de 1864 a 1879, et du 16 juin 1881 a mai 1900. Juge suppléant près du tribunal civil d'Amiens au moment de son mariage. Né le 20 avril 1835 à Montdidier (Somme), Petit-fils de Jean Charles Alexandre DE MONCHY. Marié le 24 septembre 1856 à Noyon (Oise), avec Élise MICHAUD (1832-1896), Décédé le 10 janvier 1901 à Gilocourt et Inhumé dans le cimetière de cette commune.
Histoire religieuse
Gilocourt avait son pèlerinage de la Saint-Prix, où l'on venait pour guérir de la paralysie. Les comptes de la fabrique de 1585, font mention des recettes et des dépenses occasionnées par la fête du 25 janvier et la neuvaine de la Saint-Prix d'été, à cette occasion, une affluence considérable venait de toute la région du Valois et du Soissonnais. En raison de la proximité des moissons, cet événement avait donné naissance à une foire, appelé « La foire aux vans », parce qu'il s'y vendait beaucoup d'objets de vanneries[21].
Gilocourt en tant que commune n'a pas de blason propre. Dans ce cas, on est autorisé à personnaliser le blason de l'Oise pour la commune.
À partir du blason de l'Oise, celui de Gilocourt a été personnalisé par Thierry DELACOURT, qui l'a d'ailleurs mis sur le site officiel de Gilocourt et Bellival.
Taillé : 1) d’or à trois bandes d’azur – 2) d’azur semé de fleurs de lys d’or – à la barre d’argent brochant sur la partition.
Détail du clocher en bois datant du 18e siècle. Capricorne60
Le clocher d'origine, situé sur le coté méridional du mur pignon, s'est écroulé au XVIIIe siècle, et a été remplacé par le clocher actuel en bois recouvert d'ardoises.
Histoire de la cloche de Gilocourt, par Robert LECURU [2] Voir notice (de la base Palissy / Ministère de la culture) sur la cloche de l'église de Gilocourt (Baptisée Marie), offerte en 1654 par François Paul DE MANSAN, seigneur et vicomte de Morcourt, feigneux, Gilocourt et autres places. Chevalier, fils de François, Paul DE MANSAN décédé en 1649, capitaine d'une compagnie au régiment des gardes du Roy, et petit fils de Paul d'ANTIST DE MANSAN (Capitaine de la compagnie de gardes-françaises affectées au dauphin d'Henry IV, futur Louis XIII (François Paul DE MANSAN sur Généanet)[24] Source : Village en Automne, Feigneux et Morcourt (Petit fascicule de Daniel GIBERT).
Le clocher du XVIIIe, reconstruit après un incendie par un charpentier local sur ordre de Charles Louis Raymond de GOUDIN, Seigneur de Labory, Gilocourt, Bellival, Pierrefitte et autres lieux,partant pour la guerre, celui-ci, a son retour, fut furieux en constatant, que ce clocher en bois, ne correspondait pas a ses attentes, et voulut trucider le charpentier.
Vue sur la nef le chœur et le chevet de l'église Saint-Martin Vers l'est Capricorne60
Statuaire
Saint-Jean-Baptiste se trouvant au musée de l'Archerie de Crépy-en-Valois[25] Capricorne60
Statue de Saint Jean-Baptiste - Musée de l'archerie Crépy en Valois [26] Capricorne60
Statue de Saint Martin -Fin XVe, début XVIe siècle- Musée de l'archerie - Crépy en Valois [27] Capricorne60
Statue de Saint Prix - Bois polychrome du XVIe siècle. Évêque de Clermont-Ferrand au VIIe siècle [28] Capricorne60
Statue de Saint Quentin- Musée de l'archerie Crépy en Valois Capricorne60
Statue sainte Anne Patronne des menuisiers Capricorne60
Vierge de Douleur- Musée de l'archerie - Crépy en Valois Capricorne60
Statue saint Jacques-le Majeur - Musée de l'archerie - Crépy en Valois [29] Capricorne60
Vierge de Douleur-Saint-Martin de Gilocourt - Musée de l'archerie - Crépy en Valois [30] Capricorne60
Saint-Prix - Église de Gilocourt-Bois polychrome-XVIe siècle Capricorne60
Statue en fonte bronzée de saint Éloi - évêque du VIIe siècle. Il a été offert en 1869 par les cultivateurs et maréchaux-ferrands de Gilocourt Capricorne60
Statue en bois polychrome de Saint Bernard -1090 - 1153- docteur de l'Église. -Il est le fondateur et le premier abbé de Clairvaux, ordre des Cisterciens et prêcha la 2e croisade[31] Capricorne60
Saint Jean - Bois polychrome du XVIe - Église St Martin de Gilocourt [32] Capricorne60
Cartouche du restaurateur du vitrail daté de 1972, au dessus du maitre-autel, sur la lancette de droite Capricorne60
Cartouche du vitrail du maitre-autel restauré en 1972 avec le nom de l'abbé Léon GRUART, sur la lancette de droite Capricorne60
Coté occidental - le vitrail de Saint-Martin Capricorne60
Vitrail de Saint-Martin-Eglise Saint-Martin de Gilocourt de nuit Capricorne60
Vitrail de Saint-Martin vue de l'intérieur vers l'Ouest Capricorne60
Copie de la plaquette explicative du vitrail consacré à la Vierge Marie et représentant l'arbre de Jessé, actuellement visible à l'église Saint-Antoine de Compiègne (Oise) Capricorne60
Vitrail de l'église Saint-Antoine - Arbre de Jessé - Consacré à la vierge Marie [34][35].
Ces vitraux ont été acheté en 1837 par le curé de l'église Saint Antoine de Compiègne pour la somme de 1500 francs, une somme insuffisante. L'abbé LESCOT, s'apercevant par la suite que son église avait été lésée, vu la grande valeur de ces magnifiques vitraux, s'en est plaint, et pour compenser cette perte, la paroisse Saint-Antoine a fait cadeau a l'église de Gilocourt de la chaire qui depuis, a été retirée.
Cette verrière provenant de l'église de Gilocourt, a été gravement endommagé en 1918 par une explosion, la verrière fut envoyée au Panthéon. Elle fut ensuite restaurée avec les autres verrières de l'église Saint-Antoine, par Tournel entre 1919 et 1926. Déposée en 1944 dans l'atelier Daumont Tournel, l'oeuvre fut définitivement reposée en 1955 dans l'église Saint-Antoine de Compiègne. Sa composition évoque celle de l'Arbre de Jessé de Saint-Étienne de Beauvais. Actuellement, la verrière ne comporte plus que quelques éléments anciens.
L'arbre de Jessé est un motif fréquent dans l'art chrétien entre le XIIe et le XVe siècle : il représente une schématisation de l'arbre généalogique présumé de Jésus de Nazareth à partir de Jessé, père du roi David.
Reliquaire de Saint-Prix - XIXe siècle - Don a la paroisse de 1857, en dépot au musée de l'archerie de Crépy-en-Valois Capricorne60
Fiche du Reliquaire de Saint-Prix-Musée de l'archerie de Crépy-en-Valois Capricorne60
Bas relief de Saint Martin avant son retrait pour restauration - Était situé à l'extérieur et à gauche de la petite porte de l'église, une copie le remplacera Capricorne60
Bas-relief de Saint-Martin, datant du XVe siècle. Ensemble restauré, en attente d'une copie qui le remplacera dans son ancienne niche à l'extérieur de l'église . Capricorne60
Le bas-relief restauré de Saint-Martin à maintenant repris sa place dans l'église depuis le 4 novembre 2021 [36]
Tableau peint sur bois-XVIe siècle- Il représente le sacre d'un évêque qui pourrait-être Saint Prix ou Priest- Evêque de Clermont-Ferrand Capricorne60
Le maître-autel, et dessus le retable en bois doré du XVIIe et le tabernacle Capricorne60
Peinture polychrome représentant La cène - Dernier repas du christ le soir du Jeudi-Saint, la veille de sa crucifixion - Appelé aussi la passion par les chrétiens Capricorne60
Le maître-autel, et dessus le retable en bois doré du XVIIe siècle et le tabernacle, provenant de l'ancien couvent des Ursulines de Crépy-en-Valois Capricorne60
Retable en bois doré du XVIIe et tabernacle, provenant de l'ancien couvent des Ursulines de Crépy-en-Valois acheté par M. PRAQUIN,au moment de la révolution, et qui en fit don en 1802 a la paroisse de Gilocourt. Capricorne60
Le retable et le tabernacle, déposé au château de Chantilly le 18 juillet 1918, par le service d'évacuation des œuvres d'arts [37]
Détail du haut du tabernacle, déposé au château de Chantilly - Tel qu'il était le 18 Juillet 1918
Église Saint-Martin Le retable et le tabernacle en Juillet 1918, au moment de son retrait, par le service d'évacuation des œuvres d'arts
Christ en croix (Croix tétramorphe), placé autrefois sur une poutre de gloire à l'entrée du Chœur, et qui a été déplacé après 1840. Cette croix possède a chaque extrémité des médaillons sculptés d'animaux emblématiques des quatre évangélistes, Mathieu, Jean, Marc et Luc. Capricorne60
Détail du Christ en croix tétramorphe - Saint Jean et l'Aigle Capricorne60
Détail du Christ en croix tétramorphe - Saint Luc et le taureau Capricorne60
Détail du Christ en croix tétramorphe - Saint Marc et le Lion. Capricorne60
Détail du Christ en croix tétramorphe - Saint Mathieu et l'homme Capricorne60
Notre-Dame de Lourdes cet autel a été construit en 1880 Capricorne60
Dalle mortuaire de Marie Madelaine DE CONDREN épouse de Charles Louis Raymond DE GOUDIN, seigneur de Labory, Gilocourt, Bellival, Pierrefitte et autres lieux, décédé le 2 mars 1750 à Gilocourt et inhumé dans l'église Saint-Martin Capricorne60
Détail de l'écusson sur la dalle mortuaire de Marie Madelaine DE CONDREN Héraldique : Trois maillets posés 2 et 1 (de gueules a trois maillets d'or). Surmontés d'une couronne de Comte, et deux lions lampassés de gueules pour support Capricorne60
Acte de baptême, de Alexandrine Augustine de GOUDIN de la BORY le 29 avril 1749, fille de Marie Madelaine de CONDREN et de Charles Louis Raymond de GOUDIN, seigneur de Labory. Capricorne60
Plaque à la mémoire de Pierre-Louis Alexandre DE MONCHY décédé le 17 septembre 1785 Capricorne60
Plaque de fondation de Pierre PILLON décédé le 6 Septembre 1677 sur un des piliers de l'église Saint-Martin Capricorne60
Transcription de la plaque de fondation de Pierre PILLON
Les mystérieuses niches ossuaires
11 niches ossuaires ont été retrouvées, au cours des premières restaurations de l'église en 1992, c'est dans l'ensemble Chœur/croisillons nettement plus récent que la nef que les découvertes ont été faites, sous un lit de plâtre, donc jusqu'alors invisibles, a 4,35m de hauteur, de part et d'autre des baies qui éclairent le chœur au nord et au sud. C'est a la demande de M. POREAU , maire de l'épôque, qu'une intervention à eu lieu en Février 1992, pour effectuer un constat archéologique, a la suite des travaux de restauration entrepris par les monuments historiques [39]
Croix discoïdale (La plus haute de toute les croix, aurait été déplacée et se trouvait auparavant, dans l'ancien cimetière, nord ou sud, on l'ignore.) Nouveau cimetière nord (Non répertorié sur le plan) Capricorne60
Détails des stèles discoïdales du cimetière avec dimensions - Source site de Charles FEVRE.[40]
Croix discoïdale n° 1 Cimetière nord (au bas du mur est, et à la limite du muret entre l'ancien et le nouveau cimetière) Capricorne60
Croix discoïdale n° 2 Cimetière nord (au bas du mur est) Capricorne60
Le château actuel de Gilocourt est une construction relativement moderne du début du XIXe siècle.
Pierre Louis DEMONCHY, procureur du roi, en l'élection de Compiègne, acheta le château de Gilocourt en 1785, il y mourut, le 27 septembre 1786.
Le calvaire situé devant la mairie en bas de la rue Sallez en 2019 Capricorne60
La croix du Val inaugurée le 5 Septembre 1875 Capricorne60
La croix du Val inaugurée le 5 Septembre 1875 A la suite d'une forte rafale de vent survenue le 2 Avril 2019, ce calvaire est tombé et le Christ s'est brisé en plusieurs morceaux[41] Capricorne60
Le calvaire de la croix du val restauré par Philippe LOISEL et remis en place le 11 Avril 2019[42] Capricorne60
Plaque de cocher - Rue de la Vallée à Bellival Capricorne60
Plaque de cocher au carrefour anciennement Méresse Capricorne60
Repères géographiques
Gilocourt est situé au Nord de Paris, entre Crépy-en-Valois et Compiègne, au bord de la rivière Automne, dans la vallée qui porte le même nom) qui coule d'est en ouest, et lui sert de frontière au sud, avec Béthancourt-en-Valois.
La commune se situe au carrefour de la Départementale 123 (Verberie-Villers-Cotterêts) et de la Départementale 332 (Crépy-en-Valois-Compiègne).
09/12/1792 - 19/05/1794 (19 frimaire an I au 30 floréal an II)
-Vigneron -Né vers 1747 à Béthancourt-en-Valois. -Fils de Jacques DELACROIX et Marie-Louise RACINE. -Marié avec Marie-Anne DELAGE [43] décédée le 20 septembre 1807 à Gilocourt)
23/12/1792 - 26/11/1795 (3 nivôse an I au 5 frimaire an IV)
-Né le 8 juin 1760 à Gilocourt, fils de Claude RACINE, vigneron et de Michelle CARON -A été maître d'école à Ognon (Oise). -Maître d'école (depuis 1786) encore instituteur en 1821 à l'âge de 61 ans. -Marié le 16 janvier 1781 à Gilocourt avec Marie Anne LOUART. -Marié le 22 novembre 1790 à Gilocourt avec Marie Catherine HEROUARD. -Marié le 2 novembre 1795 (11 brumaire an IV) à Gilocourt avec Cécile HEROUART (ouvrière en linge, née à Morienval, hameau de Saint-Clément). -Décédé le 29 mars 1830 à Gilocourt.
21/04/1798 - 12/10/1798 (2 floréal an VI au 21 vendémiaire an VII)
-Fils de Pierre Louis Alexandre DEMONCHY, avocat au parlement et baillage de Compiègne et notaire royal, et de Antoinette Françoise POULLETIER DE PLAISANCE. -Né 11/10/1760 Compiègne, baptisé en l'église Saint-Antoine. -Décédé le 14/04/1845 en son château de Gilocourt, à l'âge de 84 ans. -Marié à Compiègne, en l'église Saint-Antoine, le 17/11/1789 à Catherine Marie Hyacinthe MOREAU DE CHAMPLIEU et de DONNEVAL, fille de Nicolas de CHAMPLIEU de DONNEVAL et de Jeanne le CARON de FLEURY. -Avocat -Procureur général au parlement de Paris -Président de la cour royale d'Amiens -Conseiller du roi -Titulaire de la légion d'honneur, voir son Dossier LEONORE -Grand-père de Henry DE MONCHY. -Maire de Gilocourt en 1864-1879 et 1881-1900 (Voir plus bas). -Ex seigneur de Gilocourt[45]. -Inhumé à Gilocourt
Victor RACINE
07 /11/1798 - 17/04/1799 (17 brumaire an VII au 28 germinal an VII)
-Cultivateur. -Né le 6 mars 1743 à Gilocourt [46]. -Fils de Jean Portejoye (décédé le 3 mars 1747 à Gilocourt) et de Marie-Jeanne BELLOT -Marié le 24 février 1797 (6 ventôse an V) à Gilocourt avec Marie Joseph CHEVAUX. -Décédé le 7 mars 1822 à Gilocourt [47].
-Vigneron -Né vers 1747 à Béthancourt-en-Valois. -Fils de Jacques DELACROIX et Marie-Louise RACINE. -Marié avec Marie-Anne DELAGE [48] décédée le 20 septembre 1807 à Gilocourt) -Jean Jacques DELACROIX [49] est décédé le lendemain 21 septembre 1807 à Gilocourt. -Son fils, Victor DELACROIX est mort le 25 janvier 1809 à
l'hôpital de Vergara (Espagne), au cours des campagnes des armées d'Espagne de Napoléon Ier (Voir dans la liste plus bas des soldats nés dans la commune et ayant servis dans les armées de Napoléon Ier de 1802 a 1815).
-Né le 17 Août 1756 à Gilocourt [50] -Fils de Nicolas Racine et de Marie Louise CREQUY -Marié le 25 Novembre 1783 à Gilocourt, avec Catherine DEGRAINE [51] -Décédé le 5 Juillet 1834 à Gilocourt [52]
-Cultivateur. -Né le 15 août 1782[54] à Gilocourt. -Fils d'Edouard PRAQUIN et de Marie Gabrielle DECROIZETTE. -Marié en 1807 à Vic-sur-Aisne (Aisne) avec Marie Joséphine Emélie MANCHE née en 1786 (dont deux fils, Edouard Théodore né en 1810, et Charles Auguste, né en 1813). -Décédé le 12 mars 1847[55] à Gilocourt.
-Fils de Jean Charles Alexandre DE MONCHY et de Catherine Marie Hyacinthe MOREAU de CHAMPLIEU et de DONNEVAL. -Né 11/09/1790 Compiègne, décédé 20/02/1872 Compiègne, Marié le 29 Novembre 1823, à Crépy-en-Valois, avec Marie Eugènie BEZIN d'ELINCOURT (née en 1800), chevalier de l'ordre Royal et militaire de Saint-Louis par ordonnance du 26 octobre 1825 et Chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur par décret du 14 septembre 1813. -Il devint le beau-père de Alexandre Marie Raymond de BREDA, dont les données figure ci-dessous.
-Né le 17 octobre 1813 Compiègne -Lieutenant-colonel à l'état-major des gardes nationales de la Seine -Ancien élève de l'école polytechnique, rentré dans la vie civil, il devint le gendre de Antoine Hyacinthe Alexandre de MONCHY,par son mariage, avec la fille de ce dernier, le 27 Septembre 1842, à Gilocourt, avec Marie Eugénie de MONCHY de Gillocourt, et vint habiter le château de Gilocourt -Voir commentaire complet sur paragraphe médaillés de la Légion d'honneur. -Capitaine commandant de la garde nationale de Gilocourt (1843-1846) -chevalier de la Légion d'honneur. -Décédé à Paris 10ème Arrondissement le 4 Avril 1857
-Maçon, propriétaire. -Fils de Christophe Antoine CARANDAS et de Marie Marguerite CHAMPION. -Né le 23 décembre 1814 à Orrouy. -Marié le 25 octobre 1836 à Orrouy (Oise) avec Marie Louise Victoire GAGE.
-Fils de Hector DE MONCHY, notaire, et de Marguerite Pauline BOITEL de DIENVAL (décédée à Paris le 26 juillet 1853). -Petit-fils de Jean Charles Alexandre DE MONCHY, maire de Gilocourt en 1798. -Né le 21 juin 1825[56] à Montdidier (Somme). -Marié le 24 septembre 1856 à Noyon (Oise)[57] avec Elise Marie Alexandrine MICHAUX (née à Noyon - Oise, le 30 mars 1832). -Juge suppléant près du tribunal civil d'Amiens au moment de son mariage. -Décédé le 10 janvier 1901 à Gilocourt [58]. -Inhumé dans le cimetière de Gilocourt [59]
Aimé Xavier CARANDAS
8 mai 1879 - 1881
-Maçon, Féculier, propriétaire. -Né à Orrouy le 23 décembre 1814. -Fils de Victor Antoine CARANDAS et de Marie Margurite CHAMPION. -Marié le 25 octobre 1836 à Orrouy (Oise) , avec Marie Louise Victoire GAGE. -Adjoint faisant fonction de maire. -Décédé le 13 Mai 1884 [60], à Gilocourt
-Né le 11 novembre 1837 [61] à Gilocourt. -Fils de Honoré Pierre GLOUX (maréchal-ferrant) et de Marie-Anne Justine CHEVAUX. -Marié le 5 mai 1859[62] à Orrouy (Oise) avec Emélie Anasthasie TOURNEUR. -Décédé le 30 novembre 1920 à Gilocourt.
-Représentant de commerce. -Fils de Henri Antoine Joseph AVEZ, bottier, et de Clémentine Eugénie ROUSSEAU. -Né à Ham (Somme) le [63] 3 mai 1853. -Marié le 28 mars 1881[64] à Morienval avec Angéline Félicie CARANDAS dont il a divorcé le 11 avril 1905. -Il apparait sur le recensement de 1911[65] de Gilocourt qu'il s'est remarié avec Julienne HARLÉ (Née à Liancourt (Oise) en 1876), dont il a eu trois filles, Henriette, Solange et Simone. -Remarié le 24 avril 1926 a Senlis (Oise) à l'âge de 73 ans avec Berthe Marie Louise "CHANEL ??". -C'est au cours de son mandat que fut construite la nouvelle mairie-école, inaugurée le Dimanche 25 Juillet 1909 [17]
-Né le 29 Juillet 1879 [66] à Béthisy-Saint-Martin -Fils de François Barthélémy THIEUX et de Louise Eugénie HAZARD -Marié le 6 Juillet 1901 [67], à Béthancourt-en-Valois, avec Noémi AMORY -Décédé le 6 Décembre 1958, à Gilocourt
-1er adjoint : Henri POREAUX. -2e adjoint : Michel MOISAN.
Henri Jules Prosper POREAUX
11/03/1983 - 09/03/1989
-1er adjoint : MmeEliane D'ABOVILLE. -2e adjoint : M. Lucien LERAY. -Né le 2 février 1915, à Senlis (Oise) -Marié avec Elisabeth BOURBIER -Décédé le 7 novembre 2010, à Crépy-en-Valois (Oise), âgé de 95 ans [69]
Note sur les registres de Gilocourt, écrite de la main de Jean PORTEJOYE, maire provisoire, instituant le passage des registres religieux aux registres d'état civil le 5 novembre 1792 [70] Capricorne60
-Fils de Jean-Charles Alexandre DEMONCHY et de Catherine, Marie, Hyacinthe MOREAU DE CHAMPLIEU DE DONNEVAL, né le 19 mai 1799 (30 floréal an VII) à Gilocourt, nommé substitut à Saint-Quentin (Aisne) le 20 janvier 1821 et juge d'instruction à Compiègne le 25 octobre 1826, fin d'activité le 28 mai 1862 pour admission à la retraite. -Acte de naissance de Pierre Charles DEMONCHY à Gilocourt le 30 floréal an VII - 19 mai 1799 [71]. -Marié le 24 septembre 1827[72] à Compiègne avec Eugénie CHARMOLUE (née à Compiègne le 5 messidor an IV)[73]. -Décédé le 24 Janvier 1894 à Compiègne (Oise)[74]
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Annuaire rétrospectif de la magistrature du XIXe et XXe siècle. Fiche de Pierre Charles DEMONCHY [75]
-Prêtre curé. doyen de Saint-Thomas de Crépy -Il prit part au soulèvement de la Jacquerie en 1358, le trouvant légitime; il obtint du Dauphin Charles, alors régent du royaume, des lettres de rémission, datées du 16 Septembre 1358, [9] lui faisant grâce de la peine qu'il avait encourue, comme ayant assisté aux dévastations commises par les Jacques. -Sources : Histoire de la Jacquerie sur Gallica (Le 21 mai 1358, cent paysans du Beauvaisis s'attaquent aux châteaux de leur région, violant et tuant les habitants, brûlant les demeures. Leur révolte s'étend très vite à la paysannerie du bassin parisien.).
Pierre de SAINTE-GRÉE
1425
-Inventaire des archives anciennes du château de Chantilly / Page 1148 et 1149 - Gilocourt: Fiefs Le Blanc, de Noue et des Dimes [76]
Pierre PILLON
1623 - 1670
-Curé de Gilocourt durant 40 ans, fut ensuite curé-doyen de Béthisy durant 14 ans, décédé le 5 septembre 1677, âgé d'environ 78 ans (copie de l'acte en début de liste), il voulut être enterré dans l'église de Gilocourt, une pierre de fondation en marbre noir à son nom se trouve toujours dans l'église [40][77]. -Pierre PILLON est présent sur divers actes de la paroisse jusqu'au 10 Janvier 1670 .[78]
[40] Déjà malade en 1740, était remplacé fréquemment par Pierre de MONTREUIL, prêtre capucin -Né en 1771 -Décédé le 14 Décembre 1741 à Gilocourt [80]
SIVANTON
1738 - 1749
-Fut nommé vicaire général à l’évêché de Soissons, il confia la cure à l'abbé MERLOT qui n'y restera que 6 mois puis à l'abbé LAURENT qui fut vicaire de 1742 à 1749 [40][77].
-Oncle de l'abbé Antoine Joseph LANOT -Né le 6 Novembre 1728 à la paroisse Saint-Julien de Tulle (Corrèze) [81] -Fils de Jean MAUGIN et de Marguerite LACOMBE -Décédé à Gilocourt le 29 août 1778 (copie de l'acte en début de liste) Acte -Il fut enterré sous le porche de l'église de Gilocourt [77][40].
Louis DE LEYRIES
entre le 14 et le 21 mai 1773 - 1778
-Né vers 1727 -Décédé à Gilocourt le 11 mai 1778 (copie de l'acte en début de liste) Acte[77], a l'âge d'environ 51 ans.
Jean François MIAUD
1778
-Vicaire, Assura l'intérim jusqu'à la nomination de l'abbé Antoine Joseph LANOT [77].
-Baptisé le 14 Septembre 1752 à la paroisse Saint-Julien de Tulle (Corrèze) [82] -Fils de François Hélène LANOT, Avocat, juge au châpitre de Tulle (Corrèze), et de Aimée MAUGEIN -Neveu de l'abbé Jean Léonard MAUGIN -Il desservit la paroisse durant 57 ans, avec une coupure de 1792 à 1798, ayant refusé de prêter serment à la constitution civil du clergé, il quitta la paroisse début Octobre 1792, et emmigra tout le temps de la terreur, en allemagne et en Italie, soit de 1792 a environ 1800. [40]. -Au cours des dernières années de sa vie ,il devint infirme, et c'est François Eléonard DANGUILLECOURT, curé d'Orrouy, qui l'assista dans ses fonctions sacerdotales, jusqu'a la nomination de l'abbé LESCOT -Décédé le 20 Novembre 1835 à Gilocourt, âgé de 83 ans. [83] -Il est mort des suites de brulures ,après être tombé accidentellement dans le feu. -
L'abbé Antoine Joseph LANOT repose près de la croix du cimetière [40].
-L'abbé MARTIN fait un legs de mille francs au bureau de bienfaisance de la paroisse de Gilocourt le 14 avril 1840. Sources : Éphémérides du Valois.
Charles Cyprien DEMOUY
08/1842 - 1862
-Né le 9 Septembre 1812 [84], au Plessier-sur-Saint-Just (Oise) -Fils de Jean François DEMOUY et de Marie Anne CARDON -Il fut curé de Candor [85], près de Lassigny durant 4 ans, avant d'ètre nommé à Gilocourt -Décédé le 5 mars 1863 [86], à Crépy-en-Valois, et inhumé le 7 mars 1863 près de la croix du cimetière de Gilocourt [40].
-Né le 22 février 1842 à Choisy-au-Bac (Oise). -Fils de Jean Louis Nicolas QUIQUERET et de Alexandrine Julie CAILLEUX. -Frère de Léon Augustin Edmond QUIQUERET, prêtre à Fresnoy-la-Rivière de 1884 à 1886. -Ordonné prêtre le 6 avril 1867, il célébra ses noces d'argent sacerdotales le 18 avril 1892. -Sous son pastorat, fut ouvert le 25 Octobre 1877 une école de filles que dirigèrent deux religieuses des sœurs de l'enfant Jésus de Soissons, il mourut en 1909 à l'âge de 67 ans [40][77]. -Pendant son ministère fut ordonné prêtre le 10 mars 1894 François Joseph QUINARD, né le 5 juin 1867 à Bellival, commune de Gilocourt, fils de Virgile Philéas QUINARD et de Aurélie Mélanie ARRONDELLE, il dit sa 1re messe à Gilocourt le 14 mars 1894 [77].(Il fut curé à Vauciennes, Oise, puis à Silly-le-Long, ou il mourut le 3 Avril 1904.[88])
Renseignements sur sa famille : généalogie de Jacques JUMEAUX (Euclide 7789) Généanet. -Décédé le 9 Août 1909,en l'hospice des frères de Saint-Jean-de-Dieu, 19 rue Oudinot, Paris 7ème Arrondissement - (Voir son acte de décès dans le bas de cette section)
-Fils de Pierre MAGNIEN et de Marie PERRUCHOT. -Né à Tamnay-en-Bazois (Nièvre) le 3 juin 1881. -Mobilisé en 1914, il ne reviendra à Gilocourt qu'en 1919 [77]. -Voir sa fiche matricule militaire aux AD de l'Oise en ligne - Service militaire du 3 mai 1914 au 2 mai 1919. -Décédé le 12 décembre 1957 à Beauvais (Oise). -Inhumé à Tricot (Oise).
Alphonse Joachim Julien Marie HENRIO
-
-Curé de Morienval, qui administra la paroisse durant la Grande Guerre, mais Gilocourt fut surtout desservie par des prêtres mobilisés de passage -Né 5 Septembre 1898, à Pluvigner (Morbihan) -Fils de Julien Marie HENRIO et de Marie Anne POQUET -Fichier matricule militaire aux AD du Morbihan en ligne -✞ Décédé le 17 Novembre 1988
-Démobilisé en 1919, il revient à Gilocourt où il demeurera jusqu'en 1932, il décèdera à Beauvais, le 12 Décembre 1957. (Voir ses données plus haut sur la période de 1909 a 1914) [77].
Acte de naissance le 6 octobre 1863 à Gray (Haute-Saône)
1921 - 1932
-Né le 6 octobre 1863 [89] à Gray (Haute-Saône) -Fils de Claude Joseph Gérard et de Anne Marie Joséphine CARRET -Curé de Bard-lès-Pesmes (Haute-Saône),; de 1896 à 1903 -Prêtre à Bouillancy (Oise) en 1906 -Le 19 juin 1925, une demande du conseil municipal de la commune à été adresser à l'évêque pour demander son remplacement, considérant que l'abbé GERARD n'avait pas su conserver la confiance des habitants de la commune, que son maintien dans ses fonctions était plutôt de nature à écarter les fidèles de la fréquentation de l'église. [18] -Décédé le 15 septembre 1932 et inhumé à Gilocourt [40].
-Né le 18 octobre 1901[90] à Fresnoy-le-Luat (Oise). -Fils de Pierre Georges Louis Adolphe LAVALLART et de Louise Marie PARMENTIER. -Il fut le dernier curé résidant à Gilocourt [77][40]. -Fut ensuite vicaire à Crépy-en-Valois puis curé de Pont-l'Évêque, Vieux-Moulin et Croutoy pour ensuite devenir aumônier de l'hôpital général de Compiègne. -Voir sa fiche Matricule militaire aux AD de l'Oise en ligne. -Décédé à Compiègne (Oise) le 8 décembre 1974.
VEDEL
novembre 1935 -
-L'évêché de Beauvais a nommé officiellement M. l'abbé VEDEL comme curé de Gilocourt en remplacement de M. l'abbé LAVALLART en novembre 1935.
-Curé résidant à Orrouy. Ensuite fut nommé curé-doyen de Grandvilliers [40].
Claude LABBE
1957 - 1966
--Né le 13 avril 1925 à Cambronne-les-Clermont (Oise) -Curé résidant à Orrouy [40]. -Décédé le 23 septembre 2018 à Compiègne (Oise) -Ses obsèques ont été célébrées le jeudi 27 septembre 2018 à 15 heures
en l'église Notre Dame de la Source, rue Lavoisier à Compiègne -L'inhumation a eu lieu au cimetière d’Haudivillers dans le caveau familial
Acte de sépulture de l'abbé Pierre PILLON curé de Gilocourt le 6 septembre 1677
Transcription de l'acte de sépulture de Pierre PILLON, curé de Gilocourt Capricorne60
Plaque de fondation de Pierre PILLON décédé le 6 septembre 1677, sur un des piliers de l'église Saint-Martin Capricorne60
Transcription de la plaque de fondation de Pierre PILLON
Acte de sépulture de l'abbé Louis CLOU le 23 mars 1723 à Gilocourt
Transcription de l'acte de sépulture de Louis CLOU, curé de Gilocourt Capricorne60
Décès de Henry COTHON prêtre curé de Gilocourt le 14 décembre 1741-n°1
Décès de Henry COTHON prêtre curé de Gilocourt le 14 décembre 1741-n°2
Transcription du décès de Henry COTHON prêtre curé de Gilocourt le 14 décembre 1741 Capricorne60
Acte de sépulture de l'abbé DELEYRIE, curé de Gilocourt le 11 mai 1778
Transcription de l'acte de sépulture de Louis DE LEYRIS, curé de Gilocourt Capricorne60
Acte de sépulture de l'abbé Jean Léonard MAUGIN, curé de Gilocourt le 30 août 1778
Transcription de l'acte de sépulture de Jean Léonard MAUGIN, curé de Gilocourt Capricorne60
Acte de décès de l'abbé Paul Gustave QUIQUERET le 9 août 1909 à Paris 7e arrondissement
Les curés de la paroisse de la vallée de l'Automne / paroisse Saint-Pierre - 1996-2025
En 1996, à la suite du synode de 1989 une réorganisation eut lieu et 45 nouvelles paroisses furent créées en remplacement des anciennes. La paroisse de la vallée de l'Automne / paroisse Saint-Pierre de Verberie fut alors crée. [91] cette paroisse englobe les 14 communes de :
-Curé résidant à Béthisy-Saint-Pierre. -Abbé. Nominé à Plailly en 2012
Pascal FLAMANT
2012-.......
Abbé. Anciennement en mission au diocèse aux armées. [92]
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Les instituteurs et institutrices
Ancienne école religieuse des filles puis école laîque en 1905 Aujourd'hui salle du conseil Capricorne60
Mairie-école dont la construction débutas en 1908 et fut inaugurée le dimanche 25 juillet 1909[17] Capricorne60
Salle du conseil-Ancienne école des filles et logement des religieuses Capricorne60
La construction d'une maison d'école, sur la place communale, fut décidée au cours d'une réunion du conseil municipale, le 14 septembre 1828. Des travaux d'agrandissement de cette école furent effectuées en 1878, afin d'avoir une école de filles, l'enseignement y était prodiguée, depuis son ouverture le 25 octobre 1877, par Marie Léonice DEVILLERS (Sœur SAINT-CHRYSOSTÔME) et de son adjointe Onésime Joséphine DEBRIE (Soeur SAINT-ONESIME), qui faisaient partie de la congrégation des soeurs de l'enfant Jésus de Soissons, jusqu'a la loi de 1905, sur la séparation de l'église et de l'état, ou cette école devint laîque [93].
-Né le 11 mai 1687, à Verberie [94] . -Fils de François Léger DOTTIN et de Françoise LE TELLIER. -Marié le 9 novembre 1706, à Verberie [95], avec Marie Jeanne LEFORT (Décédée à Gilocourt, le 24 juillet 1745 [96]) -Maître d'école à Chelles (Oise), Avant 1711, et un peu après 1716 -Marié en seconde noce, le 8 novembre 1745, à Gilocourt, avec Marie LANGLOIS [97] -Décédé à Gilocourt, le 14 février 1750, et inhumé dans le cimetière de la paroisse, le 16 février 1750. [98]
-Né le 8 juin 1760 à Gilocourt, fils de Claude Racine, vigneron et de Michelle CARON. -Marié le 16 janvier 1781 à Gilocourt avec Marie Anne LOUART. -Veuf en première noce de Marie Anne LOUART (décédée le 18 juillet 1790 à Gilocourt). -Marié le 22 novembre 1790 à Gilocourt, avec Marie Catherine HÉROUART. -Veuf en seconde noce de Marie Catherine HÉROUART (décédée le 4 juin 1792 à Gilocourt). -Marié le 2 novembre 1795 à Gilocourt, avec Cécile HÉROUART (décédée le 23 octobre 1840 à Gilocourt) (Sœur de Marie Catherine HÉROUART). -Officier public du 23 décembre 1792 à 1795. -Est encore noté comme instituteur en 1821 sur les registre d'état civil de Gilocourt (acte de décès de François RACINE) [99]. -Décédé le 29 mars 1830 à Gilocourt.
-Né à Grandfresnoy (Oise) le 2 janvier 1810, fils de Jean Louis DESJARDINS et Marie Anne GUILLOT. -Marié le 20 septembre 1831 à Gilocourt avec Marie Françoise Joséphine RACINE. -Décédé à son domicile de Gilocourt, rue Sallez, le 27 avril 1869 [100].
Louis Joseph Alfred LESAGE
1872 -
-Né le 23 juin 1844 à Lassigny (Oise) [101]. -Fils de Jean-Baptiste Antoine Joseph LESAGE et de Marie Catherine Thérèse POINTIN. -Marié avec Mathilde Artémise MAQUET (née à Guiscart en 1847). -Habitait 1 rue Salée en 1872. -Ancien Greffier de la Justice de paix du canton Crépy en 1876. -Décédé le 14 février 1899 à Paris 20e arrondissement.
Plaque funéraire de soeur Saint-Chrysostôme (institutrice de l'école des filles) et soeur Saint-Onésime Capricorne60
Sœur SAINT-ONESIME
-1881
- Faisait partie de la congrégation des soeurs de l'enfant Jésus de Soissons (Aisne) [102]-Cette fondation avait pour objet les écoles gratuites pour les filles et le soins des pauvres malades dans la ville et le diocèse de Soissons -Adjointe de l'institutrice Marie Léonice DEVILLERS (Sœur SAINT-CHRYSOSTÔME) -Née le 7 octobre 1811 à Abbecourt (Aisne) [103] -Fille de Louis Prosper DEBRIE et de Marie Joséphine LESCART -Décédée le 3 mai 1892[104] à Gilocourt -Voir sa plaque funéraire en photo dans le paragraphe " Croix et plaques mortuaires du cimetière déposées dans la cour de la bibliothèque "
-Né le 8 février 1853 à Cormeilles (Oise). -Fils de Jean Baptiste Auguste JODART et de Marie Argentine Adélaïde MOURET. -Marié le 15 juin 1881 à Chamant (Oise), avec Emélie Angélique COMPIÈGNE. -Décédé le 21 avril 1884 à Gilocourt (Oise), a l'âge de 31 ans des suites de la fièvre Typhoïde. -Inhumé à Chamant (Oise)[105] .
-Née le 24 novembre 1859 à Chamant (Oise). -Fille de Louis Pierre Simon COMPIEGNE et de Julie Angélique CHAMBELANT. -Mariée le 15 juin 1881 à Chamant (Oise), avec Jean de Matha Alphonse Martin JODART. -Décédée le 13 mars 1897 à Chamant (Oise).
-Nommé par arrêté préfectoral du 12 mai 1884 en remplacement de monsieur JODART, décédé. -Fils de Etienne Jean François GAGE, instituteur (à Rocquemont en 1851), né le 16 décembre 1828 à Orrouy, Hameau de Champlieu (Oise) et de Louise Elisabeth LEROY née le 13 mars 1835 à la Villeneuve-sur-Verberie (Oise). -Né le 30 mai 1861 à Villers-Saint-Frambourg (Oise) [106]. -Marié le 26 mars 1883[107] à Ivry-le-Temple (Oise), avec Marie LEQUEUX née le 5 mai 1859 à Compiègne (Oise), institutrice. -Voir fichier matricule aux AD de l'Oise en ligne.
-Né le 11 janvier 1844 à Hardivillers (Oise). -Marié avec Marie Ismérie Eugénie DROBECQ. -Pensionné de l'état à dater du 1er octobre 1901 -Décédé à Gilocourt, inhumé à Eaubonne (95).
Plaque funéraire de soeur Saint-Chrysostôme (institutrice de l'école des filles) et soeur Saint-Onésime Capricorne60
Sœur SAINT-CHRYSOSTÔME
1881 - 1896
-Faisait partie de la congrégation des soeurs de l'enfant Jésus de Soissons (Aisne) [108] -Cette fondation avait pour objet les écoles gratuites pour les filles et le soins des pauvres malades dans la ville et le diocèse de Soissons -Née le 20 octobre 1843[109] à Marteville, ancienne commune faisant maintenant partie de Attilly (Aisne). -Fille de Joseph Florimond DEVILLERS et de Rosalie Honorée Clémence QUANIAUX. -Institutrice publique, son nom apparait sur le recensement de Gilocourt de 1896 (page 7/13 à droite). -Décédée à Gilocourt le 14 février 1926 [110] -Note : Compte-rendu du C.M. du 14 février 1926 -Voir sa plaque funéraire en photo dans le paragraphe " Croix et plaques mortuaires du cimetière déposées dans la cour de la bibliothèque "
-École des garçons. -Fils de Ignace André CARON et de Magloire Joséphine DIDELET. -Né le 2 janvier 1864 à Béthisy-Saint-Pierre. -Marié le 18 juillet 1887 à Rocquemont (Oise) avec Eugénie Joséphine PLATAUT. -Voir sa fiche matricule aux AD de l'Oise en ligne.
-Née à Paris 4ème Arrondissement le 21 novembre 1880. -Fille de Gaspard Gustave MADËR, tailleur d'habits, né à Niederwil (Suisse), le 25 avril 1854, et de Marie Clotilde Naël -Nommée à Gilocourt par arrêté du 22 mars 1907. -Anciennement institutrice-adjointe à Gouvieux (Oise).Recensement de Gouvieux 1906 -École des filles. -Épouse Jean CORN (Le 14 janvier 1909 à Gilocourt). -Décédée à Le Mans (Sarthe), le 3 janvier 1946
Jean CORN
1911
-Intituteur public à l'école des garçons. -Son nom apparait sur le recensement de Gilocourt en 1911. -Fils de Jean CORN, cordonnier et de Françoise PAYRAL (Née en 1844 à Sousseyrac - Lot). -Né le 31 juillet 1874[112] à Cayrols (Cantal). -Domicilié à Grimancourt (Hameau de Morienval) , au moment de son mariage en 1909,marié à Gilocourt le 14 janvier 1909 [113] avec MÄDER Antoinette Marie, née à Paris en 1880, institutrice. -Décédé à Le Mans (Sarthe) le 30 octobre 1950.
-Instituteur à Sery-Magneval en 1915. -École des garçons. -Déjà secrétaire de mairie depuis le 1er octobre 1919. -Né le 18 avril 1878 à Abancourt (Oise), fils de Aimable Prudent DUPONCHEL et de Clémence Zélonie LEDOUX. -Marié à Gilocourt le 20 mai 1901 avec Jeanne VINCENT (Née le 24 juin 1882 à Gilocourt et décédée LE 12 avril 1970 à Gilocourt). -Décédé le 2 mai 1941 à Gilocourt -Voir son fichier matricule aux AD de l'Oise en ligne. -Inhumé avec son épouse dans le cimetière communal de Gilocourt.
-Né le 13 septembre 1913 à Saint-Sauveur (Oise) -Fils de André EB et de Adrienne LECONTE -Marié le 11 août 1945, à Catigny (Oise), avec Fernande ESMERY -Décédé le 25 avril 2001, à Noyon (Oise) -Inhumé à Catigny (Oise)
-École des filles, en remplacement de Mlle BAILLEUX. -Ancienne institutrice à l'école de garçon de Ressons-sur-Matz. -Née le 11 novembre 1918, à Paris 13e arrondissement -Fille de Henri Anatole MAITTE et de Eugénie PAYEN -Mariée le 5 septembre 1953, à Saint-Mard (Seine-et-Marne), avec Camille Mathieu GOUDENECHE -Décédée le 15 juin 2002, à Crépy-en-Valois (Oise)
-Fils de Rémy MEUNIER, vigneron, et de Marguerite LECLERC. -Marié le 24 janvier 1816 à Gilocourt avec Victoire GAILLARD. -Fiche matricules des sous-officiers et hommes de troupes de l'infanterie de ligne 1802-1815 -Lieutenant au 9e Régiment d'infanterie de ligne, puis capitaine -Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 22 août 1812.Dossier -A combattu dans les armées d'Allemagne et du Nord comme soldat, en l'an 2, 3 et 4, sous les ordres des généraux, PICHEGRU, JOURDAN, MOREAU, KLEBER et BOURNONVILLE, en Italie en l'an 5 et 6, comme caporal, sous les ordres de BONAPARTE, en Égypte et en Syrie, en l'an 7, 8 et 9,comme sergent, sous les ordres de BONAPARTE, en Italie, de 1814 a 1806, comme sergent-major, sous les ordres du général MASSENA, nommé adjoint sous-officier le 1er juin 1808, combat en Italie et en Allemagne en 1809, au Tyrol en 1810, comme Sous-lieutenant, sous les ordres du Prince Vice-Roi en Russie et Pologne en 1812 et 1813, comme lieutenant, sous les ordres de l'Empereur, devient capitaine en 1813, il combat en Italie, Sous les ordres du Prince Vice-Roi -Il a été blessé au siège de Saint-Jean-d'Acre en Syrie le 25 floréal an 7, en Styrie (Autriche) le 16 juin 1809, à la bataille de Wagram, le 6 juillet 1809, et à la bataille de la Moskova, le 6 juillet 1812 -Maire de Gilocourt d'août 1817 au 26 novembre 1819 -Décédé le 24 octobre 1854 à Crépy-en-Valois et inhumé à Orrouy.
-Fils de Jean Charles Alexandre DE MONCHY et de Catherine Marie Hyacinthe MOREAU de CHAMPLIEU et de DONNEVAL. -Dossier - Capitaine au 4e Régiment d'infanterie de la Garde - Maire de Gilocourt du 19 novembre 1835 au 24 décembre 1845 - Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 14 septembre 1813 - Chevalier de l'Ordre Royal et militaire de Saint-Louis par ordonnance du 26 octobre 1825 - Médaillé de Sainte-Hélène (campagne du 2 décembre 1802 au 24 janvier 1827 - Grade de capitaine). Sources : Les Médaillés de Sainte-Hélène.
-Fils de Jean Charles Alexandre DE MONCHY et de Catherine Marie Hyacinthe MOREAU de CHAMPLIEU et de DONNEVAL. Dossier - Chef à l'Administration Centrale des Contributions Directes - Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 27 avril 1846.
-Fils de Antoine DE BREDA et de Marie Thérèse LAMIRAULT de NOIRCOURT. -Marié Le 27 octobre 1842 avec Marie Eugénie DE MONCHY [124]. -Dossier -Élève de l'école Polytechnique, capitaine commandant de la garde nationale de Gilocourt le 17 septembre 1843, jusqu’à sa nomination comme maire de Gilocourt du 12 septembre 1846, jusqu'au 31 mars 1848, il devint ensuite capitaine de la garde nationale de Compiègne jusqu'en décembre 1850, à la suite de quoi il fut nommé capitaine à l'état major des gardes nationaux de la Seine par décret présidentiel du 21 février 1851- Chevalier de la Légion d'honneur - Décret du 18 septembre 1852.
-Fils de Louis Benoit LECURU et de Marie-Louise BRUNELLE. -Dossier -Entré à l'usine de fonderie et cuivrerie d'Elincourt-Morienval le 16 février 1876. -Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 7 février 1938.
-Fils de Joseph FORTIER et de Célinie Batilde CREQUY (mariés le 6 avril 1875 à Gilocourt). -Marié à Orléans (Loiret) le 23 août 1917 avec Fernande Marguerite GANDON. -Dossier -Blessure du crâne par balle reçue le 27 septembre 1914 à Maricourt (80513-Somme) - Croix de Guerre 1914-1918 avec palme-Médaille militaire-Décret du 13 août 1914 - Chevalier de la Légion d'honneur le 13 février 1959. -Voir Fichier matricule militaire.
-Sergent d'infanterie de réserve -Blessé par 5 fois durant le conflit de la grande guerre, en 1914, 1915, 1916, 1917 et 1918. -Habitant du hameau de Bellival -Fils de Auguste Raphaël LEFEVRE et de Marie Louise Lucienne DESAINTQUENTIN. -Marié à Gilocourt le 15 juin 1914 avec Yvonne Alzire FREMONT (née à Vattier-Voisin, hameau de Fresnoy-la-Rivière-Oise, le 2 avril 1898 et décédée à Compiègne (Oise) le 1er avril 1976). -Voir son fichier matricule aux AD de l'Oise en ligne. -Le 7 juin 1952, un vin d'honneur à été offert pour sa remise de la Légion d'honneur. -Dossier.
-Fils de Nicolas VERNIER et de Marie Françoise HUART -Marié le 7 juillet 1807, à Gilocourt, avec Cécile Élisabeth DRIEUX -frère d'Antoine VERNIER décrit plus bas -Fusilier à la 9e demi-brigade d'infanterie de ligne Matricule 355, incorporé le 4 septembre 1793 -A combattu aux armées du Nord et en Allemagne en l'an 2, 3 et 4, en l'an 5 à l'armée d'Italie, en l'an 6, 7 et 8 en Egypte et en Syrie, à été blessé d'un coup de feu à la tête en Syrie, le 23 floréal an 7, à été mis en retraite à dater du 26 mars 1806 -Fiche
-Fils de Jean Baptiste CHORON et de Marie Claire QUIDECON -Marié, le 11 octobre 1808 à Gilocourt, avec Marie Anne Justine CHEVAUX -Frère de Nicolas CHORON, ci-dessous. -Fiche- Matricule 323, caporal à la 1ère batterie de la 2e Cie, de la 9e demi-brigade d'infanterie de ligne. -A fait les campagnes des années, 2, 3 et 4, aux armées du Nord, en Allemagne et en Italie, et celles des années, 6, 7, 8 et 9, en Égypte et en Syrie. à été congédié avec solde de retraite le 24 octobre 1806.
-Fils de Jean Baptiste CHORON et de Marie Claire QUIDECON -Marié, le 9 février 1813, à Gilocourt, avec Madeleine Joséphine DEGRAINE. -Frère de Jean Baptiste CHORON, ci-dessus. -Fiche - 9e demi-brigade d'infanterie de ligne - Caporal le 11 floréal an 7, puis sergent, rétrogradé le 9 juillet 1809, de nouveau sergent le 8 janvier 1810. -A fait les campagnes des années, 2, 3 et 4, aux armées du Nord, d'Allemagne et d'Italie, et celles des années, 6, 7, 8 et 9, en Égypte et en Syrie. -Congédié en retraite le 9 mai 1810.
-Fils de Crépin LANGLOIS et de Marie Martine HENRY (ou THOURRY) -1èreFiche - était chasseur au 2e bataillons d'élite, du 23e régiment d'infanterie de ligne -2eFiche -A fait les campagnes des années, 2, 3, 4, 5, et 6, aux armées du Nord, et de Sambre-et-Meuse, et celles des années 7, 8 et 9, de Naples, d'Italie et des Grisons. -Décédé à l'hôpital de Toulon (Var), le 22 pluviôse an XIII de la république
-Fils de Nicolas VERNIER et de Marie Françoise HUART -Frère de Nicolas VERNIER décrit plus Haut -Fiche-Caporal au 3e bataillon, de la 24e Cie, de la 9e demi-brigade d'infanterie de ligne -A fait les campagnes des années, 2, 3 et 4, aux armées du Nord, d'Allemagne et d'Italie, et celles des années, 6, 7, 8 et 9, en Égypte et en Syrie. -Congédié pour la retraite le 26 nivôse an 13 ( 16 janvier 1805 ).
8 février 1807 Bataille de Eylau [131] Bagrationovsk, anciennement Eylau ville de l'oblast de Kaliningrad, en Russie
-Fils de Jean François MARY, et d'Angélique Antoinette ARRONDEL. -Fiche - Fusilier de la 3e Cie du 1er bataillon du 43e Régiment d'infanterie de ligne, matricule n° 2918. -Transcription de l'acte de décès sur le registre de l'état civil de Gilocourt, après le 12 août 1807, page 512/634 [132] -Est décédé des suites de ses blessures , à deux heures et demi de l'après-midi, sur le champs de la bataille d'Eylau.
-Scieur de long, charpentier, aubergiste. -Fils de Jean Pierre DOYEN et de Marie-Louise Alexandrine BAILLET. -Marié le 24 avril 1815 à Gilocourt avec Cécile Elisabeth DRIEUX. -Fiche-page 194/552. -Fusilier, arrivé au corps le 7 octobre 1806, puis grenadier à daté du 6 novembre 1806, matricule n° 4 144, affecté au 43e régiment d'infanterie de ligne, 5e bataillon, 1re compagnie, blessé de deux coups de feu à l'affaire de Pampelune, au cours des campagnes des armées d'Espagne , le 1er au genou gauche et le 2e à la cuisse gauche [133].
Augustin GOMART
28 août 1786
-
-Cordonnier -Fils de Jean Marie GOMART et de Marie Thérèse MARTIN -Fiche- Fusilier au 3e bataillon de la 7ecompagnie, du 85e régiment d'infanterie de ligne, matricule n° 4349
-Fils de Nicolas PORTEJOIE et de Marie-Louise DEMARET. -Fiche - Matricule n° 4 636, Arrivé au corps le 12 février 1807, fusilier affecté au 43e régiment d'infanterie de ligne, 8e bataillon, 4e Cie, nommé caporal le 1er juillet 1807, passé à la gendarmerie à pied le 1er janvier 1810 [133].
-Manouvrier --Fils d'Antoine LANGLOIS et de Jeanne Constance ÉSMERY -Marié le 10 juin 1816 à Gilocourt, avec Marie Rosalie CARBON -Marié le 12 septembre 1826, à Gilocourt, avec Adélaïde Virginie DOYEN. -Fiche - Voltigeur au 1er bataillon du 155e régiment d'infanterie de ligne. Arrivé au corps le 16 avril 1812 (Conscrit de 1808) -A été signalé comme se trouvant à l'hôpital de Goldberg (devant Złotoryja, en Basse-Silésie)au cours de la campagne en Allemagne, le 5 août 1813. A été rayé des contrôles, pour une trop longue absence au corps, au mois de décembre 1813 -La bataille de Goldberg est un combat qui eut lieu, le 23 août 1813.
Louis Joseph Stanislas PRAQUIN
31 août 1789
27 avril 1810 [134] León (Espagne) province de León-Communauté autonome de Castille-et-León.
-Cultivateur. -Fils d'Edouard PRAQUIN et d'Elisabeth DECROISETTE. -Fiche - Fusilier au 70e régiment d'infanterie de ligne, arrivé au corps le 6 mai 1808, caporal le 26 juillet 1808, sergent le 6 octobre 1809. -Décédé à la suite des fièvres à l'hôpital de León (Espagne) province de León-Communauté autonome de Castille-et-León. -A fait les campagnes de 1808, 1809 et 1810 aux armées d'Espagne et du Portugal[133].
-Vigneron. -Fils de Jean Jacques DELACROIX (maire de Gilocourt du 30 mai 1800 au 21 septembre 1807) et de Marie-Anne DELAGE. -Fiche - Fusilier à la 4eCie, du 4e Bataillon du 70e régiment d'infanterie de ligne. -Mort au cours des campagnes des armées d'Espagne [133], des suites de fièvres, à l'hôpital de Vergara ou Bergara (situé dans La communauté autonome du Pays basque, en Espagne, province de Guipuscoa).
29 février 1812 Hôpital de Vittoria (province de Raguse en Sicile, Italie).
-Manœuvrier. -Fils de Jacques DECREQUI et de Marie DELORME. -Fiche-Soldat au 22e régiment d'infanterie de ligne, 5e bataillon, 2e Cie. Matricule n° 7 500 -Mort à l'hôpital de Vittoria des suites de fièvres.
Croix et plaques mortuaires du cimetière déposées dans la cour de la bibliothèque
Plaques et croix provenant du cimetière, de tombes ayant été détruites par la commune depuis quelques années, celles-ci se trouvent actuellement dans la cour de l'actuelle bibliothèque, ancien presbytère.
Croix du cimetière déposées dans la cour de la bibliothèque (Ancien presbytère) Capricorne60
Plaque funéraire de soeur Saint-Chrysostôme (institutrice de l'école des filles) et soeur Saint-Onésime Capricorne60
Histoire du Valois, année 2013, n° 3, La tombe de cœur du seigneur de Morcourt (1619-1649)
Histoire du Valois, numéro spéciale 15e anniversaire, Aspect historique de Feigneux-Morcourt par Daniel GIBERT, autodidacte, historien du village de Feigneux.
↑Inventaire des archives anciennes du Château de Chantilly - 60272 - Gilocourt - Les fiefs Le Blanc de Noue et des Dîmes - Page 1148 et 1149 (Inventaire des titres de ces fiefs de 1370 a 1774, dressés au XVIIIe siècle)
↑Les chefs de la ligue convoquent à Paris les états du royaume , c'est a dire ceux de leurs partisans. A cette assemblée assista Rieux, capitaine du château de Pierrefonds, qui prononça un discours resté célèbre. (Éphéméride du Valois , par Émile COËT)
↑ 15,015,115,2 et 15,3La rurale, la Révolution vue des villages, information sur toutes les communes-1789-1799 dans le Valois-N° 44 - Fin 1989 - Page n° 20 - Bulletin de l'association " La rurale " à Ducy, par Fresnoy-le-Luat
↑ 17,017,1 et 17,2Sources : Le Petit Parisien du Lundi 26 juillet 1909 - article sur l'inauguration de la mairie-école de Gilocourt / RétroNews-Bnf-Gallica en ligne
↑ 18,018,118,2 et 18,3Sources : Extrait des délibérations du conseil municipal (Archives de la mairie)
↑Fils du roi des Francs Pépin le Bref et de Bertrade de Laon, il aurait été associé avec son frère Charles au sacre de leur père en 754 à Saint-Denis. Après la mort de son père, tandis que son frère Charlemagne est sacré roi des Francs à Noyon le 9 octobre 768, il reçoit l'onction le même jour à Soissons, qui devient capitale de son royaume.
↑Courses archéologique autour de Compiègne/Chanoine Eugène Müller/1904
↑Transcription des inscriptions sur la cloche: L'AN 1654 M[AIT]RE FRANÇOIS PAUL DE MANSAN CH [EVALI] ER S [EI] G [NEU] R ET VICOMTE DE MORCOURT GILLOCOURT BELLIVAL FEIGNEUX PONDRON ETC. ET NOMMEE MARIE PAR LES SIEURS PAROISSIENS ET HABITANTS DE CE LIEU DE GILLOCOURT MES PARRINS ET MARAINES FRANÇOIS THOMAS BOCQUET MARGUILLIERS
↑ 'Ces vitraux ont été acheté en 1837 par le curé de l'église Saint Antoine de Compiègne pour la somme de 1 500 francs, une somme insuffisante. En s'apercevant par la suite que son église avait été lésée, vu la grande valeur de ces magnifiques vitraux, le curé de Gilocourt s'en est plaint, et pour compenser cette perte, la paroisse Saint-Antoine a fait cadeau à l'église de Gilocourt de la chaire qui depuis a été retirée. L'arbre de Jessé est un motif fréquent dans l'art chrétien entre le XIIe et le XVe siècle : il représente une schématisation de l'arbre généalogique présumé de Jésus de Nazareth à partir de Jessé, père du roi David.
↑Source : Par Pline — Travail personnel sur Wikipédia, CC BY-SA 3.0, [1]
↑Vitrail sur la base Palissy du ministère de la culture Cette verrière proviendrait de l'église de Gilocourt. Gravement endommagé en 1918 par une explosion, la verrière fut envoyée au Panthéon. Elle fut ensuite restaurée avec les autres verrières de l'église par Tournel entre 1919 et 1926. Déposée en 1944 dans l'atelier Daumont Tournel, l'œuvre fut définitivement reposée en 1955 dans l'église Saint-Antoine de Compiègne. Sa composition évoque celle de l'Arbre de Jessé de Saint-Etienne de Beauvais. Actuellement, la verrière ne comporte plus que quelques éléments anciens.
↑[14/02/1926 : Concession temporaire de 15 années à titre gratuit.
Suite au décès de la Religieuse Soeur Ste-Chrysostome,
Le maire demande au Conseil s'il ne jugerait pas à propos de concéder à titre gratuit, le terrain qui renfermera ses restes mortels et ce en raison des services rendus par elle pendant 48 années dans la commune comme institutrice publique, comme garde-malade et enfin comme gardienne des petits enfants de Gillocourt.
Sa vie fut toute de dévouement et d'abnégation.
Le maire ajoute que la part qui doit être attribuée au Bureau de Bienfaisance sur les concessions ne sera pas, dans l'espèce, sacrifiée, que M. MASCAREL Maurice s'engage à verser dans la Caisse du Receveur de cet établissement la dite part qui s'élève à 6,67 F
Le Conseil, rendant hommage à la Mémoire de la défunte et à titre de reconnaissance,
décide qu'une concession à titre gratuit de 15 années, est accordée à la dite Dame DEVILLERS Marie, dite Soeur Ste-Chrysostome, et décide également que les frais d'inhumation et de sonnerie seront à la charge de la commune.
Note/Compte-rendu du C.M. du 14 février 1926]
↑[18/11/1906 : Demande de changement de l'institutrice. Suppression du supplément de traitement qui lui avait été alloué.
Sur proposition de plusieurs de ses membres, le Conseil prend la délibération suivante :
Considérant que Mme SIRE, institutrice de la présente commune est l'objet d'une mécontentement général, qu'elle paraît peu attachée à ses devoirs professionnels, et que, si on ajoute foi aux plaintes journalières et unanimes des familles dont les enfants fréquentent son école, on est porté à conclure que les résultats de son enseignement laissent beaucoup à désirer ;
Considérant qu'en 1903, après un an d'exercice dans la commune, elle obtenait sur sa demande un changement pour un poste qu'elle n'a pas accepté ; que le même fait s'est présenté à nouveau au mois de septembre dernier, où elle fut nommée dans une commune qui pour des raisons qu'il n'appartient pas au conseil d'apprécier, ne l'a pas reçue, que ces deux faux départs ont produit une très mauvaise impression dans la population qui avait accueilli chaque fois, mais surtout il y a deux mois la nouvelle de son changement avec satisfaction non dissimulée ; qu'il est constant que c'est bien contre son gré qu'elle reste à Gillocourt et que dès lors, elle ne peut pas s'attacher à sa classe, ni travailler sérieusement à l'instruction des enfants qui lui sont confiés ;
Considérant qu'il est du devoir de l'administration municipale de veiller à ce que les enfants soient bien enseignés ;
Considérant que la commune fait les sacrifices nécessaires pour arriver à cette fin,Demande avec instance à M. le Préfet le départ de Mme SIRE et l'envoi d'une autre institutrice plus zélée et mieux pénétrée de ses devoirs.]
↑Relevés partenaires - Acte de décès,Relevé effectué par : GeneaNet / Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE à partir des informations reçues des communes dans le cadre de leur mission de service public.