54528 - Toul
Toul | |
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![]() ![]() Croix de guerre 1914-1918 | |
Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | - |
Canton | Canton de Toul (Canton 54 20)
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Code INSEE | 54528 |
Code postal | 54200 |
Population | 16 271 habitants (2012) |
Nom des habitants | Toulois, Touloises |
Superficie | 3 059 hectares |
Densité | 531.91 hab./km² |
Altitude | Mini : 200 m |
Point culminant | 400 m |
Coordonnées géographiques |
48.675° / 5.891666° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- La cité originelle prend forme durant l'époque romaine, et Toul devient la capitale des Leuques. Les activités agricoles, viticoles et commerciales se développent et la christianisation démarre au IVe siècle.
- Lors des invasions, malgré des premiers remparts, la cité est détruite par Attila en 451 ou 456. Après reconstruction, « Toul devint un pôle religieux et intellectuel »[1].
- Quand l'Empire est divisé en trois par le traité de Verdun, Toul se retrouve en Lotharingie, entre France et Empire, et devient l'objet de convoitises et de rivalités. Par ailleurs, la bourgeoisie cherche à s'affranchir de la tutelle des évêques, et les querelles vont se succéder sur plus d'un siècle, avec révoltes et destructions. À cela se rajoutent peste et famine.
- En 1366, suite à une bulle d'or de Charles IV, la cité est désormais une ville libre d'Empire. Mais les tensions et difficultés s'amplifient au siècle suivant.
- Le 15 janvier 1552, le traité de Chambord donne au roi Henri II « le titre de vicaire de Cambrai, Toul, Metz et Verdun »[2]. Le roi fait alors le tour de ses possessions austrasiennes et laisse une garnison à Toul.
- Quand le traité de Westphalie de 1648 constitue la province des trois évêchés, la cité touloise est dotée d'un gouverneur. Commencent alors des jours meilleurs et la ville s'entoure de fortifications suivant les plans de VAUBAN. Le XVIIIe siècle voit la ville s'agrandir et prospérer avec des chantiers comme celui du palais épiscopal.
- La Révolution bouleverse tout : plus de province mais un département, plus d'évêché, le palais épiscopal est transformé en lieu d'administration. Et le 26 janvier 1794, toute la statuaire de la cathédrales est démolie.
- En 1814 l'empereur est en déroute et les Prussiens prennent d'assaut la place de Toul : le commandant Chaudon se voit contraint de capituler. Le milieu du XIXe siècle est plus calme et laisse libre cours à l'arrivée du chemin de fer et à la construction du canal de la Marne au Rhin.
- 1870 : Nouveau siège, encore plus dur. Le commandant Huck se résout lui aussi à se rendre. Quand la France décide de se protéger, en 1874 en construisant la ligne Séré de Rivières, Toul devient un camp retranché, avec : « 12 forts, 16 ouvrages et 3 redoutes, 76 batteries armées de plus de 400 canons [...] plus de 42 000 militaires »[3].
- La Première Guerre mondiale ne fait pas trop de dégâts. L'hôpital militaire Gama est géré par Jean Eugène Germain officier d'administration de l'hôpital militaire, chevalier de la Légion d'honneur.
- Lors de la Seconde Guerre mondiale, le 227e R.I. secondé par la 58e D.I. livrent en juin 1940 une bataille acharnée de cinq jours qui retarde l'avancée allemande. Mais la ville est ravagée, et un incendie aggrave le tableau. Durant la guerre naissent des groupes de résistants dont un des objectifs est de saboter la ligne ferrée Paris - Strasbourg. La ville est libérée en août 1944.
- Ensuite Toul connaîtra la reconstruction et une embellie de son économie, grâce aux Américains présents jusqu'en 1966.
Héraldique
« De gueules au tau d’or ».
Au Moyen-Âge, l'écusson actuel avec la lettre T était centré sur les armes des villes impériales, symbolisées par un aigle noir sur fond jaune.
Toponymie
Pendant la période romaine, Toul s'appelait « Tullum Leucorum ».
Mont Saint-Michel : beaucoup de collines aux pentes fortes portent ce nom.
Mont Barine : bar = (hauteur, colline).
Ferme de Sébastopol : elle se trouve derrière le mont Saint-Michel.
Histoire administrative
- Département - 1801-1871 : Meurthe, 1871-2023 : Meurthe-et-Moselle
- Arrondissement - 1801-1926 : Toul, 1926-1943 : Nancy, 1943-2023 : Toul
- Canton - 1801-2015 : Toul-Nord et Toul-Sud, 2015-2023 : Toul
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
- Nom de la commune donné pendant la période révolutionnaire : Toul.
Patrimoine bâti
Cathédrale Saint-Étienne
Depuis sa forme originelle du IVe siècle jusqu'à l'édifice actuel, la cathédrale a connu bien des péripéties et a maintes fois été reconstruite, en gardant malgré tout une certaine homogénéité.
Une de ses particularités est sa façade occidentale, de style gothique flamboyant, dépourvue de tout sa statuaire depuis la Révolution.
L'édifice, classé, est accompagné d'un des plus grands cloîtres de la région Grand-Est.
Article détaillé : Cathédrale Saint-Étienne
Collégiale Saint-Gengoult
Cette église, classée aux Monuments historiques[4], a été élevée à la fin du Xe siècle sous l'épiscopat de saint Gérard et placée sous le vocable de saint Gengoult, un religieux devenu martyr.
- Prise d'assaut lors du siège d'Eude de Champagne, elle est reconstruite vers 1065. Puis au milieu du XIIIe siècle, lorsque la construction de la cathédrale gothique est en cours, le chapitre de Saint-Gengoult décide également de rebâtir l'édifice dans ce style novateur. Après le chœur et trois travées, le chantier se poursuit au XIVe siècle par le transept et les autres travées de la nef. La tour nord-ouest, terminée en 1513, sert de logement à la ban-cloche municipale, chargée d'appeler les Toulois, et ce jusqu'à la Révolution.
- Au début du XVIe siècle est rajouté un cloître entourant un jardin. Chaque galerie compte douze arcades avec des baies de style gothique flamboyant et des gâbles Renaissance.
- À l'intérieur, certains éléments tels une porte de 1513, avec essai de perspective, sont attribués à Jean Pélerin, dit "Le Viator", auteur du « Traité de perspective »[5].
- Les trois grands vitraux du chevet à cinq pans datent du XIIIe siècle et étaient, à l'époque, « les plus grands en Lorraine »[6].
Fortifications
- Toul étant à l'origine située sur la "Via Agrippa" reliant Lyon à Trèves, une enceinte a été élevée dès l'époque romaine, agrandie par la suite, consolidée au Moyen Âge et rasée plus tard.
- Elle est reconstruite au XVIIIe siècle suivant les plans de VAUBAN. Il opte pour une enceinte à neuf bastions et neuf fronts, percés de trois portes : la porte de Metz, la seule qui a réussi à conserver son élévation originelle, la porte Moselle, reconstruite en 1882 avec suppression du passage voûté, la porte de France, également reconstruite à cette époque. Le projet de VAUBAN prévoyait des demi-lunes pour protéger les tenailles : celle de 1725 subsiste encore, une autre a disparu ; mais le reste du projet n'a pas pu se concrétiser, faute de moyens.
- Au XIXe siècle, le général Séré-de-Rivières[7] remanie l'enceinte et les portes pour les élargir, et complète l'ensemble par différents ouvrages : entrée et sortie des eaux avec herses et vannes, car elles faisaient partie du système défensif, poudrière, canonnière enjambant le canal Vauban, avec chambre de tir protégée par une voûte, et bien sûr casernes avec casemates et bâtiments de manutention. Il fait également construire des forts extérieurs à la ville, tel que celui de Villey-le-Sec, et Toul devient alors, de 1874 à 1914 « l'une des plus grandes places fortes du monde »[8].
Ancien palais épiscopal, devenu hôtel de ville
- À l'endroit d'une ancienne demeure médiévale, Monseigneur Bégon a fait bâtir au milieu du XVIIIe siècle ce palais épiscopal qui communiquait avec la cathédrale par une petite porte. La construction s'est achevée vingt ans plus tard, selon les plans de « Jean Antoine, architecte messin et Nicolas Pierson, frère prémontré »[9].
- Lors de la Révolution, l'évêché n'existe plus et le bâtiment devient hôtel de ville. En décembre 1939, il est incendié. À partir de 1977, il est reconstruit en respectant fidèlement son allure du XVIIIe siècle.
- Alors que la façade côté cour présente un fronton triangulaire (voir la photo en section "Informations pratiques"), la façade côté jardin présente un avant-corps en forme de semi-hexagone, couronné d'un dôme à huit facettes.
- L'édifice est classé aux Monuments historiques[10].
Repères géographiques
Cette ville de Meurthe-et-Moselle est située au sud-ouest du département, à 25 km environ à l'ouest de Nancy, près des côtes de Meuse et de Moselle marquant la fin du bassin parisien.
C'est une particularité géographique qui a favorisé le développement de la cité touloise à cet endroit : la fameuse "capture" de la Moselle, coude où le fleuve change de direction[11]. Le lit vacant a alors formé un seuil favorisant les liaisons en tous sens.
Entourée par les collines de la côte Barine et la côte Saint-Michel, la ville de Toul est traversée par la Moselle, la Moselle canalisée, le canal de la Marne au Rhin et l'Ingressin.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 8 015 | 6 940 | 6 973 | 7 535 | 7 507 | 7 333 | 7 037 | 7 158 | 7 271 | 8 191 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 7 687 | - | 6 930 | 10 085 | 10 012 | 10 459 | 12 138 | 12 201 | 12 287 | 13 663 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 15 884 | 12 363 | 11 951 | 12 656 | 13 267 | 9 389 | 12 134 | 14 155 | 14 780 | 16 454 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 17 406 | 17 281 | 16 945 | 16 617 | 16 002 | 15 707 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2016.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Charles-François BICQUILLEY | 4/02/1790 - 13/11/1791 | Né le 20/08/1738 à Toul. Capitaine de cavalerie, garde du Roi. Décédé le 20/10/1814 à Toul. |
Dominique JACOB | 13/11/1791 - 9/12/1792 | |
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Philippe GENNEVAUX | 23/02/1794 - 7/05/1795 | |
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Dominique-Étienne HOUILLON | 11/05/1800 - 6/01/1814 | Né le 2/01/1746. Avocat, lieutenant de police. Décédé le 24/11/1814. |
LE LIMONIER de LA MARCHE | 5/04/1814 - 7/04/1815 | |
LE LIMONIER de LA MARCHE | 9/08/1815 - 28/12/1815 | |
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Jean-François CROISSANT | 1829 - 1848 | Né le 3/12/1775 à Remiremont. Député. Titulaire de la Légion d'honneur. Décédé le 18/12/1865 à Toul. |
DIDELOT | 1848 - 1851 | |
François DROUARD | 1851 - 1860 | |
Donat DESLOGES | 1860 - 1871 | |
Édouard DELIGNY | 1871 - 1881 | Conseiller général du canton de Toul-Nord. |
Étienne MANGINOT | 1881 - 1884 | Conseiller général en 1883. |
Jules DOLLOT | 1884 - 1886 | |
Étienne MANGINOT | 1886 - 1894 | Chevalier de la Légion d'honneur en 1889. |
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Albert DENIS | 1898 - 1914 | Né le 12/01/1866 à Charmes. Avocat, historien. Député de 1911 à 1914. Décédé le 26/01/1931 à Meudon. |
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Clément BAUE | Mai 1953 - 1955 | |
Pierre SCHMIDT | Janvier 1955 - 1971 | |
Jacques GOSSOT | 1971 - 2001 | |
Nicole FEIDT | 2001 - 2013 | Démissionnaire |
Alde HARMAND | 2013 - (2020) |
Cf. : MairesGenWeb et : Portraits des anciens maires de Toul, musée de Toul
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Clément BAUÉ | 1940 - 1941 | Enregistré à Toul le 20/02/1940. Mobilisé le 14/02/1941. |
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Les curés de la collégiale Saint-Gengoult
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Frédéric De MALDEMAIRE | 1428 - | Doyen de Saint-Gengoult. Il préside le procès matrimonial de Jeanne d'Arc en 1428. |
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Joseph AUBRY | ? - juillet 1827 | Né le 31 juillet 1758. Dernière nomination à Saint-Gengoult. Décédé le 27 juillet 1827. |
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Jean BAGARD | 1847 - 1859 | Né le 1er février 1808 à Maizières-les-Toul. Ordonné en 1831. Chanoine honoraire en 1848. Décédé le 21 septembre 1859. |
Jean-Baptiste BOULANGER | 30/10/1859 - 1859 | Né le 13 mars 1820 à Clayeures. Ordonné le 6 juin 1846. Chanoine honoraire en 1858. Décédé le 20 novembre 1859 à Clayeures. |
Pierre PIERSON | 23/02/1860 - 1875 ? | Né le 26 septembre 1803 à Chambray. Ordonné le 5 juillet 1829. Chanoine honoraire en 1851. Décédé le 18 mars 1875. |
Adolphe BRIEY | 18/05/1875 - 1900 ? | Né le 20 juillet 1831 à Raville. Ordonné en 1856. Chanoine honoraire en 18812. Décédé le 18 avril 1900. |
Auguste Henri BOULANGER | 13/10/1900 - 1928 ? | Né le 19 septembre 1846 à Barisey-au-Plain. Ordonné en 1870. Chanoine honoraire en 1910. Décédé le 12 mars 1908. |
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Les titulaires de la Légion d'honneur
Les Toulois sont 362 à être titulaires de la Légion d'honneur.
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
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Laurent GOUVION de SAINT-CYR | 13 avril 1764 | 17 mars 1830 | Marquis, Pair de France, Maréchal. Grand Croix le 2 février 1805. Son dossier | |
Charles Jean Baptiste LEGRAND | 22 août 1809 | décembre 1882 | Chevalier de la Légion d'honneur en qualité de proviseur du lycée Saint-Louis. Officier de la Légion d'honneur en qualité de proviseur du lycée Bonaparte. Commandeur du Lion et du Soleil de Perse le 23/01/1866. | |
Louis Jean Sylvestre MAJORELLE | 26 septembre 1889 | 15 janvier 1926 Nancy |
Fils de Joseph Constantin Auguste. Fabricant de meubles. Chevalier le 14 août 1900. Son dossier | |
Étienne MANGINOT | 4 mars 1823 | février 1900 | Maire et conseiller général. Chevalier le 23 septembre 1889. Son dossier | |
Victor MERMET | 25 mars 1891 Saulxures-les-Vannes (54) |
15 janvier 1986 Toul |
Cheminot résistant 39-45, investit dans la défense des œuvres sociales du chemin de fer, ancien combattant 14-18. En septembre 54 un décret daté du 2 le nomme chevalier de la Légion d’honneur avec attribution de la croix de guerre avec palme. Cette distinction est attribuée au titre du Ministère de la Défense. | |
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Monument aux morts

Article détaillé : Toul - Morts aux guerres
Ville de naissance ou de décès de
Naissances :
- Marcel BIGEARD, militaire, né et décédé à Toul les 14 février 1916 et 12 juin 2010. Prisonnier en 1940, il s'évade et rejoint Londres. Parachuté en Ariège, il intègre le maquis et libère Foix. Il dirige un régiment en Algérie. Il commande la région de Bordeaux en tant que général. Secrétaire d'État à la Défense. Député de Meurthe-et-Moselle.
- Louis MAJORELLE, ébéniste né le 26 septembre 1859, décédé à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 15 janvier 1926. Il prend la suite de son père dans l'entreprise de décoration de meubles, et crée le "style Majorelle". Louis Majorelle est le père du célèbre artiste Jacques MAJORELLE, fondateur du jardin qui porte son nom.
- Roger NICOLAS, humoriste né le 16 janvier 1919, décédé à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) le 17 août 1977.
Décès :
- Jean PÈLERIN, dit Le Viator (le voyageur), né en Anjou vers 1440, fait des études de droit et sert la Maison d'Anjou avant d'entrer dans les ordres. Devient chanoine de Saint-Dié en 1478, de Nancy en 1484, puis de Toul en 1490. Voyage beaucoup, notamment à Rome où il rencontre Léonard de Vinci et Michel-Ange. Dessinateur, géographe et érudit, il écrit en 1505 le "Traité de perspective", ouvrage en latin avec 37 planches de bois gravées de schémas, qui sera à nouveau imprimé, à Toul, en 1509 et 1521. On lui doit aussi le plafond à caissons de la chapelle Saint-Forget dans la cathédrale touloise. Décédé à Toul en 1524.
- Octave LAPIZE, coureur cycliste vainqueur du tour de France 1910, né à Montrouge (Hauts-de-Seine) le 24 octobre 1887, mort au combat à Toul le 14 juillet 1917.
- Victorine BATAILLE, veuve de François, née à Toul en 1826. Bienfaitrice à l'origine de la première crèche. Reçoit la médaille d'argent pour son dévouement envers les enfants et leur protection. Femme de lettres et historienne. A publié des ouvrages sur Toul. Décédée à Toul en janvier 1890.
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1919)
- Recensements (1911-1911)
- Recensements (1911-1911)
Documents numérisés
- Etat-civil régimentaire - Hôpital Gama à Toul (1914-1918)
- Etat-civil régimentaire - Hôpital Gama à Toul (1914-1918)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 68 (1668-1794)
- Décès. AD54 5 Mi 527/R 45 (1738-1790)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 67 (1593-1791)
- Décès. AD54 5 Mi 527/R 64 (1823-1842)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 14 (1642-1791)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 21 (1723-1740)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 24 (1755-1773)
- Mariages. AD54 5 Mi 527/R 58 (1813-1832)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 39 (1741-1770)
- Naissances. AD54 5 Mi 527/R 53 (1796-1803)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 38 (1724-1746)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 29 (1594-1791)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 35 (1674-1792)
- Mariages. AD54 5 Mi 527/R 59 (1833-1862)
- Naissances. AD54 5 Mi 527/R 56 (1823-1842)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 47 (1678-1682)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 54 (1804-1812)
- Décès & Mariages & Naissances. AD54 5 Mi 527/R 34 (1668-1681)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8 h 30 - 12 h | 8 h 30 - 12 h | 8 h 30 - 12 h | 8 h 30 - 12 h | 8 h 30 - 12 h | - | - |
Après-midi | 13 h 30 - 17 h | 13 h 30 - 17 h | 13 h 30 - 17 h | 13 h 30 - 17 h | 13 h 30 - 17 h | - | - |
Mairie |
Adresse : 13, rue de Rigny - BP 70319 - 54201 TOUL
Tél : 03 83 63 70 00 - Fax : 03 83 63 70 01 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Mai 2018) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Toul
Le canton de Toul-Sud
La cathédrale de Toul
Messire Charles-Adrien de Cholet et Messire Ignace de Cholet
- Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
- Jean-Louis JOLIN, Toul, la collégiale Saint-Gengoult, la cathédrale Saint-Étienne, Metz, Éditions Serpenoise, 2004, 112 pages, ISBN 2-87-692-617-2
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ Page 6, in Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
- ↑ Page 8, in Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
- ↑ Page 13, in Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Page 20, in Jean-Louis JOLIN, Toul, la collégiale Saint-Gengoult, la cathédrale Saint-Étienne, Metz, Éditions Serpenoise, 2004, 112 pages, ISBN 2-87-692-617-2
- ↑ Page, 22, in Jean-Louis JOLIN, Toul, la collégiale Saint-Gengoult, la cathédrale Saint-Étienne, Metz, Éditions Serpenoise, 2004, 112 pages, ISBN 2-87-692-617-2
- ↑ Raymond Adolphe Séré-de-Rivières, né le 20 mai 1815, décédé le 16 février 1895. Auteur d'un système de fortifications élevées après la guerre de 1870 dans l'Est de la France. Constitué par des rideaux défensifs de forts enterrés, autour des villes, ce système fait office de ceinture armée et remplace les traditionnels bastions de Vauban
- ↑ Dépliant Toul, itinéraire des fortifications, de Vauban à Séré-de-Rivière, office de tourisme de la ville
- ↑ Page 39, in Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
- ↑ Fiche Mérimée
- ↑ Alors qu'auparavant l'eau de la Moselle coulait vers le Nord en direction de la Meuse, la source d'un affluent reculant par érosion a détourné ses eaux vers la Meurthe.