52250 - Joinville
Joinville | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 52250 |
Code postal | 52300 |
Population | 3 037 habitants (2018) |
Nom des habitants | Joinvillois, Joinvilloises |
Superficie | 1 894 hectares |
Densité | 160.35 hab./km² |
Altitude | Mini: 181 m |
Point culminant | 350 m |
Coordonnées géographiques |
48.442500° / 5.138056° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Joinville, est appelée également Joinville-en-Vallage.
La fondation de Joinville remonte, selon certains auteurs, à Jovinus qui, en 354, y aurait élevé un fort et des remparts pour contenir les Gerlains vaincus par Julien l'Apostat.
Etienne de Vaux (mort en 1060) fait édifier le château en 1027.
Parmi les descendants directs d'Étienne de Vaux, Geoffroy III, en 1163 fonde l’église collégiale Saint Laurent où Jean de Joinville est le premier à être inhumé. La famille directe Vaux-Joinville donne deux évêques à l’église : celui de Châlons meurt en croisade et celui de Langres devient archevêque de Reims et sacre Louis VIII, roi de France.
Geoffroy IV meurt en Terre Sainte en 1197.
Geoffroy V se bat en Palestine en 1199 aux côtés du roi d’Angleterre, Richard Cœur de Lion, qui, à la vue de son courage, l’autorise à porter la moitié de ses armes. Son écu écartelé Vaux-Joinville et Angleterre sont les armoiries de la ville de Joinville aujourd’hui.
Le fief de Joinville se transmet par trois Maisons :
- - Vaux-Joinville avec une descendance directe par les mâles.
- - Lorraine-Guise par liens du sang au travers des filles.
- - Orléans par héritage : Philippe d'Orléans (1674-1723) et frère de Louis XIV, devient Prince de Joinville en 1693.
La ville obtient des chartes communales en 1258 et 1524.
La dernière descendante d’Étienne de Vaux épouse en effet Ferry, deuxième fils de Jean Ier, duc de Lorraine.
Geoffroy II, en 1163, fonde l’église collégiale Saint-Laurent où Jean de Joinville est le premier à y être inhumé en 1317.
En 1544, Charles Quint assiége Joinville et la livre aux flammes. Elle est rebâtie peu après par les soins de Claude de Lorraine, puis érigée en principauté en 1552 par Henri II, en faveur des ducs de Guise.
Jusqu’au XVIIIe siècle, le château joue un rôle militaire indéniable face à la frontière de Lorraine qui dépend de l’empire Germanique, ce qui justifie sa devise "omnia tuta time" : quand tout paraît calme, reste vigilant.
Joinville passe à la maison de Lorraine au XIVe siècle (1386) et est érigée au XVIe siècle en principauté en faveur de François de Guise. L'héritage du dernier duc de Guise, François-Joseph de Guise, mort de la petite vérole à l'âge de quatre ans en 1675, passa à sa sœur, puis à la nièce de celle-ci, Mademoiselle de Montpensier, et enfin au duc d'Orléans, frère de Louis XIV. A la Révolution, en 1791, la seigneurie appartient à Philippe-Égalité, duc d’Orléans et prince de Joinville. Il meurt guillotiné le 6 novembre 1793 après avoir été injustement accusé de trahison. Les douze membres du Comité Révolutionnaire de Joinville profitent de l'anarchie qui règne en 1793 et 1794 pour faire main basse sur le château en faisant rédiger un faux acte de vente au nom des sieurs Bergé et Passerat, en stipulant qu'ils ont la charge de le faire démanteler. Le château était en réalité occupé par des membres de la famille de Louis-Philippe Ier et des personnes attachées à leur service, une cinquantaine de personnes vivaient au château contrairement à ce qu'affirmaient les bourgeois révolutionnaires qui justifiaient le démantèlement du château en disant qu'il était à l'abandon.
Héraldique
- D'azur, à trois broyes d'or posées en pal et rangées en fasce, au chef d'argent chargé d'un lion naissant de gueules.
Article détaillé : Voir la page du blason de Joinville ...
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Haute-Marne
- Arrondissement - 1801-1926 : Wassy --> 1926-1948 : Chaumont --> 1940-2023 : Wassy [Tcl.1943, Saint-Dizier]
- Canton - 1801-2023 : Joinville
- Commune - 1801-2023 : Joinville
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Jumelage
- Joinville est jumelée avec Sprendlingen, municipalité dans l'arrondissement de Mayence-Bingen en Rhénanie-Palatinat (Allemagne).
Patrimoine bâti
Église Notre-Dame
Construite au XIIe siècle et au XIIIe siècle, elle présente notamment :
- - Un ensemble statuaire intitulé « Mise au Tombeau du Christ » du XVIe siècle.
- - De très belles orgues d'époque Renaissance, superbement sculptées, à la tribune.
- - La ceinture "dite de Saint Joseph", exposée dans une chapelle latérale, rapportée de Palestine par Jean de Joinville en revenant de croisade.
...
Article détaillé : Église Notre-Dame de Joinville
Chapelle Sainte-Anne
De style gothique flamboyant, elle est édifiée dans le cimetière.
Elle possède de remarquables vitraux de l'école troyenne datant du XVIe siècle illustrant la vie de Sainte-Anne et de la Vierge...
Article détaillé : Chapelle Sainte-Anne de Joinville
Château du Grand Jardin
Entre 1533 et 1546, Claude de Lorraine, premier duc de Guise, construit le château du Grand Jardin, grand pavillon dédié aux fêtes, un des fleurons de l'architecture de la Renaissance.
Le site, en friche et en ruine au début des années 1980 a été racheté par le conseil général de la Haute-Marne.
Le bâtiment a pu être ainsi restauré et le grand parc créé au XIXe siècle a retrouvé pour partie son aspect d'origine. Ce jardin remarquable, superbement restauré, est considéré comme le troisième grand jardin historique français de la Renaissance avec Villandry (Indre-et-Loire) et Chamerolles, situé sur la commune de Chilleurs-aux-Bois dans le Loiret.
Il est composé en partie d'une reconstitution d'un jardin Renaissance, comprenant des parterres fleuris, des carrés bouquetiers (fleurs pour les bouquets d'autels) et des carrés de plantes aromatiques et médicinales. Une importante collection d'arbres fruitiers taillés en espalier et en plein-vent agrémente cette partie du jardin.
Le jardin Renaissance laisse progressivement place à un jardin à l'anglaise, sous forme d'arboretum, qui présente différentes essences d'arbres plus ou moins rares.
« Le plus beau et le plus accompli qu'on pourrait souhaiter…soit pour le comptant d'arbres fruitiers…soit pour la beauté du parterre… » a écrit Rémy BELLEAU, poète de la Pléiade, à propos du Grand Jardin.
Le site a retrouvé sa vocation première en redevenant un lieu de Culture : on y présente ainsi des concerts de musique classique, des expositions d'art contemporain, des colloques à vocation culturelle. Le château du Grand Jardin est devenu membre du réseau européen des Centres culturels de rencontre dans les monuments historiques.
Localisation par rapport à l'église C. PIEMINOT
Parc du Petit Bois
Ancienne partie du domaine du château du « Grand Jardin », le « Petit Bois » est le premier parc public créé à Joinville dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.
Il est dessiné par des allées géométriques organisées autour d'un axe de symétrie encore orienté en fonction du château...
Article détaillé : Parc du Petit Bois de Joinville
Vestiges du château d'En-Haut
Le château d'En-Haut a disparu à la Révolution.
Des vestiges subsistent au sommet de la colline surplombant la ville.
Cavé
Le site du Cavé correspond à une chute d’eau naturelle de la Marne, qui se divise en deux bras à cet endroit.
Le second bras, canalisé, est appelé le Bief. Il a longtemps servi de douves, longeant les remparts de la ville.
Avant la création de la place de la Grève, une pente douce herbeuse permettait aux lavandières de rincer et sécher leurs grosses pièces de linge.
Quai des Peceaux
Il tire son nom des échalas (bâtons de bois servant à soutenir les pieds de vigne), appelés « peceaux » en Haute-Marne. Le terme renvoie ainsi à l’importante activité viticole de la ville. Un nombre important de vignerons était en charge de l’exploitation des vignes plantées sur l’ensemble des coteaux environnants, y compris sur le flanc de la butte castrale.
Il apparaît comme le trait d’union entre la ville enserrée dans ses murs et le faubourg Est, développé à l’intérieur des remparts. L’enceinte médiévale longeait le Bief jusqu’au XVIIe siècle au moins. Dès cette époque, les remparts ont peu à peu été démantelés pour laisser place à des habitations qui se sont installées directement sur les fondations de la muraille.
De nos jours, de ce système défensif, subsiste uniquement une tour datant du XIIIe siècle.
Poncelot
Dit du Poncelot, ce petit pont comprend quatre arches en pierre de Savonnières. Il est aujourd’hui le plus ancien de Joinville puisqu’il date de la deuxième moitié du XVIe siècle. A ce titre, c’est un témoin important pour l’histoire de la ville, qui connaît une période faste au XVIe siècle, sous la protection des premiers duc de Guise.
Le Poncelot est contemporain du château du Grand Jardin, de l’Auditoire ou encore de l’hôpital Sainte-Croix.
Sa bonne conservation lui a valu d’être inscrit au titre des Monuments Historiques le 13/10/1942 [1] .
Entièrement restauré en 2014 - 2015, il enjambe le bief, un bras de la Marne.
Une petite tour se trouve à l’une des ses extrémités. Elle est souvent considérée comme un octroi ou un pigeonnier, alors qu’elle a été construite en 1850 comme habitation, extension d'une ferme (distincte sur la photographie de droite). Cette ferme est la seule encore présente dans le centre ancien de Joinville.
Lavoir
Il est situé au milieu et en contrebas de la rue de la Fontaine.
Il était autrefois surmonté d’une fontaine publique qui permettait d’alimenter en eau une partie de la ville ancienne enfermée dans ses remparts.
Il est encastré dans les habitations. Il présente un bassin à deux margelles en vis-à-vis, protégées par des appentis soutenus par les murs des maisons et sur une poutre soutenue par un poteau.
Outre son pavage rudimentaire et étroit qui laissait peu de place aux lavandières, il tire son originalité de son alimentation en eau vive qui arrive directement du dessous de la rue.
Hôtel Leclerc et d’Annonville
Cet hôtel particulier, situé dans le centre ancien de Joinville, en face de l’Auditoire de justice (objet paragraphe ci-dessous), est un des plus beaux de la ville.
Il est d’ailleurs inscrit au titre des Monuments Historiques depuis le 25/05/2010 [2] .
L’immeuble se compose de plusieurs corps de bâtiments allant du XVIe au XVIIIe siècle. Il est augmenté d’une aile en retour d’équerre au XVIIIe siècle. Profondément remanié à cette époque, il présente un bel escalier en pierre, à la rampe en fer forgé, relativement rare à Joinville, les balustres en bois y étant plus courantes.
Les décors intérieurs composés d’un ensemble de boiseries, de cheminées et de parquet en font une habitation typique d’un grand hôtel particulier. Ils soulignent l’évolution du goût au cours du XVIIIe siècle et la volonté du propriétaire des lieux de s’y conformer.
Auditoire
Cet imposant édifice a été construit en 1561 par Antoinette de Bourbon, veuve de Claude de Lorraine, et son fils François, deuxième duc de Guise. Il présente une façade austère et massive qui rappelle l’autorité seigneuriale.
Cet auditoire, un des rares conservés en France, assure, dès sa fondation, plusieurs fonctions. Il est d’abord un tribunal seigneurial et une prison : à ce titre, c’est un lieu où s’exerce le pouvoir des princes de Joinville. De plus, la grande taille de l’édifice permet d’entreposer dans les greniers le champart, soit la part des récoltes dues au seigneur. Cette autre fonction est également symbolique, puisqu’elle fait de l’édifice un endroit représentatif des devoirs des habitants de la ville vis-à-vis de leur seigneur.
Les seuls éléments de décoration présents sur la façade sont les armoiries de la fondatrice, Antoinette de Bourbon (photographie de droite).
La moitié droite présente des fleurs de lys, symbole de la famille de Bourbon dont elle est issue. La moitié gauche reprend les armes de la famille de Lorraine, dont son époux est issu. La couronne ducale qui surplombe l’ensemble rappelle que Claude de Lorraine est duc de Guise, quand le collier de Saint-Michel symbolise sa fonction de chevalier au sein de cet ordre royal, fondé par Louis XI.
Couvent des Ursulines
Du couvent des Ursulines, autrefois situé à l’extérieur de la porte des Royaux, ne subsiste que très peu de trace. Seule une partie de la chapelle est encore débout, bien qu’elle ait été profondément transformée. En effet, cette chapelle faisait autrefois partie d’un vaste ensemble, visible notamment sur le Plan géométral de la ville de Joinville de 1789. Le couvent était constitué autour d’un cloître, disposait d’une église (dont les vestiges de la chapelle sont les seules traces) et d’importants jardins. Les Ursulines proposèrent alors une éducation gratuite à destination des filles.
Les religieuses quittèrent le couvent des Ursulines à la suite de la Révolution.
Les bâtiments sont alors achetés par la ville, pour devenir une école. Ils sont en réalité utilisés comme entrepôt, puis comme Gendarmerie. C’est seulement en 1911 que le bâtiment subsistant est détruit pour laisser place à une école, dont l’architecture est typique de cette époque : un large corps surmonté au centre d’un fronton et d’un petit clocheton, de larges baies pour laisser entrer la lumière, le tout précédé d’une vaste cour. L’école est alors réservée aux filles. L’ancienne chapelle est transformée en appartement pour les institutrices.
Le bâtiment est resté une école jusqu’au début des années 2000. Il accueille depuis une annexe du centre hospitalier de Saint-Dizier (52), le centre Gabriel Pertat.
Clocheton C. PIEMINOT
Hôtel de ville
Cette ancienne demeure, construite sur les restes des remparts de la ville, est vendue par monsieur LECLERC en 1777.
Elle est alors acquise comme maison communale. En 1912, la façade est modifiée : une balustrade est ajoutée, ainsi qu'un large cartouche, portant l'inscription « Hôtel de Ville ».
L'intérieur a subi de nombreuses modifications, mais conserve tout de même un monumental escalier de bois avec balustrade, datant du XVIIIe siècle, ainsi qu'une bibliothèque contenant plus de 1500 ouvrages anciens.
On retrouve d'ailleurs cette forme d'escalier dans de nombreuses demeures du centre-ville.
Apothicairerie
Ancienne pharmacie de l'hôpital construite en 1567, devenue un musée rassemblant une collection de plus de 230 pots en faïence et ustensiles rangés dans des boiseries d'un état remarquable.
Autres
- Anciennes demeures du XVIe siècle et du XVIIe siècle.
- Cariatides du mausolée de Claude de Lorraine à l'intérieur de l'hôtel de ville.
Sources
- Panneaux informatifs et guides touristiques.
Repères géographiques
- Placée au carrefour de la Champagne et de la Lorraine, à 239 km de Paris, Joinville est la quatrième ville de la Haute-Marne. La marne qui traverse la ville est régulée en aval par le plus grand plan d'eau artificiel d'Europe, le lac du Der-Chantecoq.
- Situation géographique de Joinville sur Gencom (Cassini).
- Carte routière d'accès à Joinville, sur le site ViaMichelin.
- Coordonnées et cartes géographiques de Joinville, sur le site de l'IGN.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 3 160 | 3 086 | 2 989 | 2 857 | 3 061 | 3 137 | 3 196 | 3 318 | 3 505 | 3 460 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 3 390 | 3 805 | 3 811 | 3 904 | 3 909 | 4 129 | 4 478 | 3 814 | 3 942 | 3 680 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 825 | 3 692 | 3 808 | 3 662 | 3 698 | 3 429 | 3 543 | 4 015 | 4 565 | 4 774 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 4 804 | 4 755 | 4 380 | 3 886 | 3 560 | 3 177 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Ville de naissance ou de décès de
Naissance de :
- Jean de Joinville dit Jehan, Sire de Joinville, en 1224. Chroniqueur et ami du roi Saint Louis. Décédé en 1317.
- Charles de Guise, le 17 février 1524. Cardinal de Lorraine.
- Henri duc de Guise (le balafré), le 31 décembre 1550. Assassiné à Blois par la garde d’Henri III
- Claude Antoine GUYOT dit GUYOT des HERBIERS ou GUYOT DESHERBIERS, le 20 mai 1745. Fils de Prudent Nicolas GUYOT, écuyer et procureur du roi de la ville de Joinville et contrôleur ordinaire des guerres, et de Catherine GUÉRIN de La ROCHE PAILLIER. Littérateur, Député aux Cinq-Cents, Membre du Corps Législatif. Grand-père d'Alfred de Musset. Décédé le 5 mars 1828 à Le Mans (72)
- François DEVIENNE, le 30 janvier 1759. Fils de Pierre et de Marie PETIT. Compositeur français du XVIIIe siècle. Décédé le 5 septembre 1803 à Charenton-Saint-Maurice (94)
- Paul André Marie MAISTRE, le 20 juin 1858. Fils de Pierre Hyppolite et de Thérèse Joséphine ADAM. Militaire français, il commande la VIe Armée du 4 mai 1917 au 11 décembre 1917 puis la Xe Armée jusqu'au 10 juin 1918, date à laquelle il prend en le commandement de l'Armée du Nord jusqu'à l'Armistice. Il décède en 1922.
Décès de :
- Claude de Lorraine, le 12 avril 1550.
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Jean-Baptiste PERRIN | 1789 - 1790 | |
Bernard LAURENT | 1790 - 1792 | |
François PETITJEAN | 1792 - 1794 | |
Louis-Joseph DENAYER | 1794 - 1795 | |
Jacques PAILLETTE | 1795 - 1798 | |
Pierre BOULLAND | 1798 - 1800 | |
Louis ROYER | 1800 - 1815 | |
Auguste CORNET | 1815 - 1815 | |
Louis ROYER | 1815 - 1823 | |
Georges HASTE-ROQUEMONT | 1824 - 1847 | Né en 1779 - Suppléant du juge de paix et conseiller général de ce canton (1833-1848) - Chevalier de la légion d'honneur en 1844 - Décédé en 1849 |
François PERIN | 1848 - 1848 | |
Antoine HANCENOT | 1848 - 1851 | |
François TANRET | 1852 - 1860 | |
Nicolas RAGON | 1860 - 1870 | |
François HERVOTTE | 1870 - 1874 | |
Georges GILLET | 1874 - 1876 | |
François HERVOTTE | 1876 - 1888 | |
Charles NOËL | 1888 - 1893 | |
Jules ROYER | 1893 - 1894 | |
Pierre CHERONNET | 1894 - 1908 | |
Émile HUMBLOT | 1908 - 1929 | Né en 1862 - Graveur et peintre - Conseiller général de ce canton (1919-1931) - Sénateur (1920-1931)[3] - Décédé en 1931 |
Louis SYLVESTRE | 1929 - 1944 | |
Albert GIGOUX | 1944 - 1958 | |
Raymond HANIN | 1958 - 1971 | Né en 1911 - Négociant - Conseiller général de ce canton et président du Conseil général (1973-1988) - Député (1958-1962)[4] - Décédé en 1999 |
Jacques JACOMME | 1971 - 2001 | |
Bertrand OLLIVIER | 2006 - (2026) | Chef d'entreprise - Conseiller général de l'ancien canton (2008-2015) puis élu conseiller départemental du nouveau canton |
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Cf. : Mairesgenweb.
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
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Les curés
Voir la page consacrée à l'église :
Article détaillé : Église Notre-Dame de Joinville ...
Personnages illustres
ayant habité ou étant passés à Joinville :
- François Ier, ami de Claude de Lorraine, le bâtisseur du Château du Grand Jardin.
- Louis de Guise, cardinal évêque de Metz.
- Henri II de Guise, le masque de fer selon les travaux de l'historien Camille BARTOLI.
- Louis XIII et Richelieu.
- Anne Marie Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier, « La Grande Mademoiselle ».
- François, prince de Joinville, fils de Louis-Philippe Ier, roi des Français, rapatrie les cendres de Napoléon BONAPARTE de Sainte-Hélène aux Invalides à Paris.
- À l’occasion d'un mariage dans la famille joinvilloise MÉNÉTREL, à laquelle appartient le docteur Louis MÉNÉTREL, compagnon d'armes de Philippe PÉTAIN durant la Grande Guerre, un président de la République, Paul DOUMER, et le Maréchal séjournèrent à Joinville : « on imagine l’émoi formidable provoqué, le 26/07/1931, dans le bourg de Joinville, lorsque le Président de la République et le Maréchal PÉTAIN sont les témoins au mariage d’Annie MÉNÉTREL ! Joinville qui s’émerveille aussi de voir le Maréchal canoter sur la Marne en manches de chemises »… (extrait de Le docteur Ménétrel - Éminence grise et confident du maréchal PÉTAIN de Bénédicte VERGEZ-CHAIGNON, page 53).
Monument aux morts

Morts aux guerres
- Monument aux Morts
- Plaque commémorative de l’Église Notre-Dame
- Plaque commémorative du cimetière
Article détaillé : Consulter les listes ...
Carré militaire du cimetière
Article détaillé : Consulter les listes des soldats inhumés ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Naissances & Mariages. AD52 E dépôt 11433 (1786-1792)
- Naissances & Mariages. AD52 E dépôt 11428 (1747-1760)
- Autres. AD52 8 (1873-1882)
- Mariages & Décès. AD52 E dépôt 16480 (1608-1657)
- Naissances. AD52 E dépôt 16479 (1626-1655)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 1 E 250/10 (1681-1691)
- Naissances. AD52 E dépôt 11464 (1891-1895)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 E dépôt 11427 (1732-1746)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 1 E 250/33 (1877-1881)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 E dépôt 16518 (1746-1775)
- Décès. AD52 E dépôt 16483 (1658-1667)
- Décès. AD52 1 E 250/8 (1745-1791)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 E dépôt 16497 (1681-1681)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 1 E 250/25 (1824-1829)
- Autres. AD52 1 E 250/7 (1738-1787)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 1 E 250/29 (1848-1855)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 1 E 250/23 (1813-1817)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 E dépôt 16496 (1680-1680)
- Naissances & Mariages & Décès. AD52 E dépôt 16517 (1690-1745)
- Autres. AD52 6 (1853-1862)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 9 h - 12 h | 9 h - 12 h | 9 h - 12 h | 9 h - 12 h | 9 h - 12 h | - | - |
Après-midi | 13 h 30 à 17 h 30 | - | 13 h 30 à 17 h 30 | - | 13 h 30 à 17 h 30 | - | - |
Mairie |
Adresse : Place Général Leclerc - 52300 JOINVILLE
Tél : 03 25 94 13 01 - Fax : 03 25 94 59 60 Courriel : Contact Site internet : Site officiel de Joinville GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr () |
Dépouillements des registres paroissiaux
Archives notariales
Patronymes
- Liste des patronymes de Joinville sur le site GeneaNet.
Remarques
Bibliographie
Histoire de Joinville
Tablettes historiques de Joinville
Joinville (Notre Vieux) - Son château d'autrefois, la collégiale de Saint-Laurent et ses tombeaux
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site de l'Auditoire (tribunal de haute justice) de Joinville.
- Le patrimoine de Joinville recensé par les Monuments Historiques dans les bases du Ministère de la Culture.
- Joinville sur le site Wikipedia.
- Le château de Joinville sur le site Wikipédia.
Notes et références
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