52121 - Chaumont

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Chaumont
Blason de Chaumont
Croix de guerre 1939-1945
Croix de guerre 1939-1945
[1]
Informations
Pays    France
Département Blasons de la Haute-Marne    Haute-Marne
Métropole
Canton Blason de Chaumont   52-05   Chaumont-1
Blason de Chaumont   52-06   Chaumont-2
Blason de Chaumont   52-07   Chaumont-3

Anciens cantons
Blason de Chaumont   52-07   Chaumont - Nord
Blason de Chaumont   52-29   Chaumont - Sud

Code INSEE 52121
Code postal 52000
Population 21 990 habitants (2018)
Nom des habitants Chaumontais(es)
Superficie 5 526 hectares
Densité 397.94 hab./km²
Altitude Mini: 247 m
Point culminant 416 m
Coordonnées
géographiques
48.111667° / 5.138889° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

La mairie

Étymologie du nom « Chaumont »

Chaumont, “ Calvus Mons ” ou “ Mont Chauve ”, renvoie au site sur lequel la cité a été édifiée au Xe siècle : un éperon abrupt qui domine les vallées de la Suize et de la Marne. D’origine féodale, ancienne résidence des Comtes de Champagne qui rayonnèrent sur toute la région, la ville a ainsi très tôt bénéficié d’une position stratégique.

Chaumont ne serait pas une ville très ancienne : d’origine féodale elle est née au Xe siècle. Toutefois, des fouilles archéologiques menées de 1989 à 1992 dans la forêt du Corgebin ont permis de mettre en évidence les bases d'un petit "fanum" de surface rectangulaire, et divers objets et monnaies frappées sous le règne de Marc AURÈLE. Dans les secteurs des faubourgs de Saint-Aignan et du Moulin Neuf, des fouilles ont mis au jour les fondations de quelques villas et fermes gallo-romaines sur les bords de la Suize. La colline de saint Roch fut elle aussi occupée bien avant que l'ermitage soit édifié : un camp militaire romain aurait été placé temporairement sur ce site, les anciens nommaient l'endroit "la vieille cité".

Tout d’abord les paysans et les artisans s’installèrent en périphérie de la cité qui allait être construite. Ainsi les seigneurs décidèrent d’établir deux chapelles accompagnées de leur cimetière : Buxereuilles et Saint-Aignan. À peine deux siècles se sont écoulés qu'au XIIe siècle, la cité est endettée à cause des actions entreprises par les seigneurs (constructions d’édifices religieux, croisades...), ainsi elle sera cédée au Comte de Champagne.

Au XIIIe siècle Chaumont connait une période de prospérité : le nombre d’habitants est en constante augmentation (hommes puissants, artisans, paysans...), une véritable cité se crée durant cette période, après la construction de l’Église Saint Jean-Baptiste.

Thibault IV, Comte de Champagne de 1201 à 1253, et Roi de Navarre de 1234 à 1253, est attaqué par le Duc de Bourgogne mais il se réfugia dans son château fortifié.

La petite-fille de Thibault IV, Jeanne de Champagne épouse Philippe Le Bel encore fils aîné du Roi de France. Lorsque celui-ci accéda au trône de France, Chaumont prit de l’ampleur tant sur son extension que sur sa fortification. C’est en 1292 que Chaumont est reconnue capitale à part entière.

Chaumont souffrit comme toutes les villes de la guerre de Cent Ans et de la peste dans la première partie du XVe siècle. Lorsque cette guerre se stoppa progressivement, la féodalité aussi, et cette disparition profita à toutes les villes qui étaient assiégées en permanence. Chaumont ne suivit pas Charles le Téméraire dans sa lutte éternelle contre le roi Louis XI. Au début du XVIe siècle, Chaumont reçoit la visite de François Ier, il visita les fortifications et constata l’échevinage (sorte de municipalité) instauré en 1469.

Malgré l’extension de la ville au XVIe siècle, elle subit les guerres de religions qui commencèrent à Wassy en Haute-Marne le 1er mars 1962 par le massacre de plusieurs dizaines de protestants par le Duc François de Guise. Henri IV, qui signa l’Édit de Nantes marquant la fin des guerres de religion renforce par écrit le statut de la municipalité chaumontaise. Cependant les riches et puissantes personnes n’acceptent pas vraiment le pouvoir des élus qui ne sont pas toujours d’accord avec eux sur l’avenir de Chaumont.

Un peu avant le milieu du XVIIe siècle, la peste sévit à Chaumont, les artisans et les paysans se trouvant à l’extérieur moururent par centaines, les portes de Chaumont étant fermées. Louis XIII et Richelieu vinrent quelques années plus tard constater les dégâts de la peste et de la famine qui provoquèrent de nombreuses dettes.

Lorsque Louis XIV devint roi, tous les pouvoirs délégués aux villes sont peu à peu disparus dont ceux de Chaumont. En 1685, l’Édit de Nantes est révoqué par le roi, ce qu’approuvaient les seigneurs de Chaumont.

Au XVIIIe siècle, lorsque Louis XV fut roi, un jeune sculpteur se fit remarquer, il s’agit d’Édmé BOUCHARDON (1698-1762). En 1790, Chaumont est considéré comme une capitale à part entière. La cité resta impuissante face à la Terreur, une période sanglante de l’histoire. Chaumont connut un essor économique et industriel au XIXe siècle avec notamment la ganterie, la bonnèterie, la draperie... Une véritable révolution des transports a lieu : des canaux sont créés, des chemins de fer construits, le viaduc édifié (1856)...

Chaumont fut occupée en 1814 par les troupes ennemies de Napoléon 1er et signèrent secrètement le Traité de Chaumont le 9 mars 1814 prévoyant une alliance défensive de 20 ans (Grande-Bretagne, Russie, Prusse et Autriche). Un an après, le Pacte de Chaumont réunit les mêmes signataires et a pour but de lutter contre une nouvelle révolution de la part de la France.

La ville fut occupée également en 1871 par les troupes allemandes durant la guerre franco-allemande (juillet 1970 – mai 1971).

Lors de la Première guerre mondiale (1914-1918), le Président américain Wilson et ses troupes débarquent en France et plus particulièrement à Chaumont pour installer le quartier général du corps expéditionnaire du général John Pershing en septembre 1917. Chaumont est occupée de 1940 jusqu’au 13 septembre 1944 pendant la Seconde guerre mondiale. Après 1946, la population atteignait 16 000 habitants.

En 1951, l'OTAN débute la construction d'une base aérienne qui sera occupée par l'USAF jusqu'en 1967. Le 61e régiment d'artillerie est aujourd'hui sur cette base.

À Chaumont, se situe la plus ancienne école de gendarmerie de France.

Héraldique

Parti, au premier mi-parti de gueules à l'escarboucle pommetée et fleurdelysée d'or, mouvant du flanc senestre du parti, au second d'azur à la bande d'argent côtoyée de deux doubles cotices potencées et contre-potencées d'or (de Champagne), le tout sommé d'un chef aussi d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or (de France moderne). [2].

Article détaillé : Voir la page du blason de Chaumont ...

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Haute-Marne
  • Arrondissement - 1801-2024 : Chaumont
  • Canton - 1801-1973 : Chaumont --> 1973-2015 : Chaumont-Nord & Chaumont-Sud --> 2015-2024 : Chaumont-1 & Chaumont-2 & Chaumont-3
  • Commune - 1801-2024 : Chaumont

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine bâti

Ancien château (XIIe siècle)

Photo C. PIEMINOT
Panneau informatif


Ce château domine la vallée de la Suize et de la Marne, pour des raisons stratégiques. Il est l'effigie de la puissance des comtes de Champagne. Il est composé de 12 tours et de 3 portes. Le donjon a été construit à la même époque.

Donjon des comtes de Champagne (XIe - XIIe siècle)

Photo C. PIEMINOT
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Ce donjon fut construit sur un éperon naturel qui domine la vallée de la Suize, il est considéré comme le "berceau de la ville". La tour médiévale haute de 19 m et épaisse de 1,50 m à 2,60 m est conservée dans son intégralité. Des saillies sur les pierres ont été réalisées dans la partie inférieure dans la deuxième moitié du XIIe siècle. Lorsque que le seigneur décida de construire ce donjon c'était pour pouvoir se défendre, mais ensuite il servit de prison jusqu'à la fin du XIXe siècle. Le musée d'art et d'histoire de la ville est abrité par celui-ci.

Tour d'Arse (XIIIe siècle)

Photo C. PIEMINOT
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Celle-ci appartient à la ceinture des remparts, et se situe au sud-ouest de la cité.
Elle servait notamment d'arsenal pour la défense militaire de la ville. Alors que la défense était de moins en moins à l'esprit des habitants, cette tour est devenue une boulangerie.
Elle conserve de nombreuses structures en bois.

Cour Le Noble (XVIe siècle)

Photo C. PIEMINOT
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Son propriétaire fait acquisition de son terrain vers la fin du XVe siècle. Son escalier est relativement contemporain.

Basilique Saint-Jean-Baptiste (XIIIe ‑ XIVe siècle)

Photo C. PIEMINOT
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Cette basilique fut construite au cœur de Chaumont au XIIIe siècle et son architecture de l’époque fut conservée (façade et nef).

Elle sera modifiée dès la Renaissance. Jean-Baptiste BOUCHARDON réalisa plusieurs sculptures à l’intérieur.

Elle fut classée aux Monuments Historiques en 1862 [3] .

Article détaillé : Basilique Saint-Jean-Baptiste de Chaumont (Haute-Marne) ...


Place Saint-Jean-Baptiste

Photo C. PIEMINOT



Chapelle des Jésuites (XVIIe siècle)

Photo C. PIEMINOT
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Elle est remarquable par ses dimensions et témoigne de l'importance que pouvait avoir le collège des Jésuites en France.
Elle fut érigée entre 1629 et 1640. Elle reflète l'architecture jésuitique de son siècle, sa plus grande richesse n'est pas son architecture mais sa décoration intérieure comme le haut-relief que réalisa Jean-Baptiste BOUCHARDON.
À l'extérieur de cette chapelle, se trouve une fontaine qui rend hommage à Édmé BOUCHARDON.

Fontaine « Edmé BOUCHARDON »

(Né à Chaumont le 29 mai 1698)

Cette fontaine fut classée aux Monuments Historiques par arrêté du 13/07/1926 [4] .

Église Saint-Aignan

Photo C. PIEMINOT


Edifiée dans le cimetière de Saint-Aignan.
Inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 24 février 1992 [5] [6] .

Chapelle Notre-Dame-en-son-Assomption

Photo C. PIEMINOT


Edifiée dans le cimetière de Buxereuilles.

Hôtel de ville (XVIIIe siècle)

Photo C. PIEMINOT
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Il a fini d'être édifié en 1790 après la Révolution française. Son architecte était François-Nicolas LANCRET.

Statue « Edmé BOUCHARDON (1698-1762) »

Photo C. PIEMINOT


Erigée square du Boulingrin, cette réplique de la statue « L’Amour taillant son arc dans la massue d’Hercule », sculptée par Edmée BOUCHARDON et en hommage à celui-ci, fut offerte à la ville de Chaumont par « MMRS E.CAPITAIN ET SAFIN A BUSSY HTE MARNE ».


Fontaine du Boulingrin

Photo C. PIEMINOT


En fonte, elle fut acquise en 1865 auprès des fonderies de TUSEY, près de Vaucouleurs (Meuse). Après son installation, elle fut inaugurée le 14 juillet 1880.


Statue « Philippe LEBON (1767-1804) »

Photo C. PIEMINOT


Monument érigé en 1887, en hommage à Philippe LEBON, inventeur du gaz d'éclairage, né le 29/05/1767 à Brachay (52), à l’aide d’une souscription recueillie par la société technique de l’industrie du gaz en France.
Il fut inauguré par monsieur Jules TREFOUSSE, Maire de Chaumont.


Viaduc du chemin de fer (1857)

Photo C. PIEMINOT


Ses dimensions (600 m de long, 50 arches sur une hauteur de 52 m) en font l’un des plus remarquables ouvrages d’art du milieu du XIXe siècle en Europe, sinon dans le monde. Conçu par l’architecte Émile DÉCOMBLE, il a été édifié pour permettre au chemin de fer d’atteindre la partie haute de la ville. Le chantier est conduit en un temps record : 15 mois suffisent pour mettre en œuvre 60 000 m³ de maçonnerie, grâce à 2500 ouvriers et 300 chevaux qui travaillent nuit et jour. La mise en service du viaduc a été un moteur économique pour le chef-lieu. Partiellement détruit le 31 août 1944, l’ouvrage est aussitôt reconstruit pour rétablir la circulation ferroviaire. Son imposante majesté en fait la figure emblématique de la ville. Il a servi de cadre à plusieurs films.Vue d'ensemble


Tanneries

Les Tanneries font référence à l'endroit où les lavandières tannaient des peaux de bêtes ou simplement lavaient leur linge. C'était un travail difficile parce que le lavoir se situe en bas de la côte des tanneries ce qui suppose un voyage long et pénible de la part des lavandières (de nombreuses femmes travaillaient en ayant plus de 75 ans). Le Lavoir d'En Buez résulte de cette activité, il fut construit au XIXe siècle et est constitué de 4 lavoirs parallèles.

Lavoir d'En Buez

Le lieu dit « en buez » est situé au pied de la ville dans le faubourg des tanneries ; faubourg qui tire son nom de l’activité qui y était pratiquée. Bien desservi en eau, contrairement à la ville située sur son promontoire, le faubourg des tanneries accueillera dès le XVIe siècle un lavoir qui avec le temps se dégradera, notamment sous l’effet des crues régulières de la Suize. Les préoccupations de salubrité publique pour vaincre les épidémies, apparaissant à partir des années 1820, la ville de Chaumont sera conduite à confier, en 1826, la reconstruction ce lavoir au sieur GODARD, entrepreneur de maçonnerie qui mènera à bien les travaux dont la réception interviendra en 1832. Fortement rehaussé par rapport au cours de la Suize afin d’en éviter les crues, ce vaste ensemble de près de 400 m² est mis en eau grâce au captage de petits ruisseaux débouchant dans le vallon boisé avoisinant. L’eau ainsi captée est réceptionnée dans un profond bassin de stockage muni de vannes permettant la distribution de l’eau dans les bassins de lavage. Au nombre de trois, ces grands bassins rectangulaires profonds d’environ cinquante centimètres pouvaient accueillir 120 lavandières. Entièrement réalisé en pierre de taille ce lavoir, couvert à l’origine, possède également un bassin de basses eaux. D’une capacité de 90 lavandières, ce bassin aux formes arrondies est situé perpendiculairement au reste de l’ensemble. Outre ses belles banquettes de pierre destinées au repos le lavoir de Buez offrait des commodités fort appréciables à savoir des latrines dont les trois arcades de fond rappellent l’entrée. Au début du XXe siècle, les femmes à la pellotte (surnom des lavandières lié à l’usage des pellottes ou battoirs) délaissant peu à peu le lavoir de Buez, au profit du nouveau lavoir de la rue Jean Jaurès couplé aux bains douches municipaux, celui-ci sera découvert et tombera peu à peu en désuétude.

« Buer », en vieux français, voulait dire « faire la lessive ».

Halles

Photo C. PIEMINOT


Elles occupent l’emplacement d’une ancienne halle au blé, démolie en 1800.
De type Baltard, elles ont été conçues en 1889 par l’architecte Dupuy.
La structure métallique de fer et de fonte, incluant d'importantes parties vitrées, repose sur des soubassements de pierre et de brique.

Musée de la Crèche

Ce musée a été conçu notamment pour la fête de Noël, les plus belles collections de crèches napolitaines françaises du XVIIIe siècle y sont représentées. Ces crèches se différencient au niveau de leurs matériaux, elles peuvent être en terre cuite et verre filé de Nevers, avec des enfants en cire…

Maison du Livre et de l'Affiche "Les Silos" (1994)

"Les Silos" sont un centre culturel (médiathèque, centre des arts graphiques…) qui est également le support du Festival de l'Affiche et des Arts graphiques qui a lieu tous les ans en mai. Antérieurement, "les Silos" étaient une coopérative agricole de l'architecture des années 30 (érigée en 1935) avant d'être réhabilités en 1994.

Repères géographiques

Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 5 253 6 188 6 102 5 487 5 965 6 318 6 347 6 243 6 374 9 263
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 7 673 8 285 8 500 9 226 12 160 12 852 13 280 13 428 14 622 14 872
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 14 870 16 210 15 178 15 941 18 069 16 851 19 346 21 717 25 779 27 226
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 27 554 27 041 25 996 24 357 22 705 22 367 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.



Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

En photos

Notables

Les préfets

Article détaillé : Consulter la liste ...

Les sous-préfets

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Maxence DEN HEIJER 05/2021 - 25/09/2023  
Guillaume THIRARD 25/10/2023 - Auparavant sous-préfet de Saint-Omer (62) - Nommé par décret du président de la République le 25 octobre 2023, il a pris ses fonctions de secrétaire général de la préfecture de la Haute-Marne et sous-préfet de l’arrondissement de Chaumont le lundi 4 décembre 2023 - A signé son procès verbal d’installation par madame Régine PAM, préfète de la Haute-Marne
 
- -  

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Nicolas GRAILLET de BEINE en 1814 né le 13 mai 1749 à Chaumont  
- -  
César QUILLIARD - 1831 Né en 1782 - Géomètre en chef du cadastre de la haute-Marne - Conseiller général du canton de Châteauvillain (1833-1848) - Décédé en 1866  
Pierre Antoine Bernard MARESCHAL 1831 - 1848 Né le 28/02/1786 à Clefmont (52) - Chevalier de la Légion d'Honneur par Décret du 30/04/1844 [7] - Décédé le 14/11/1870 à Chaumont  
- -  
Nicolas Alexandre PETIT - Né le 5 Vendémiaire An 7 (26/07/1798) à Saint-Martin-sur-la-Renne (52) - Fils de Alexandre et de Marie Anne BRULLON - Marié avec Cécile Gabrielle Laure FLORIOT - Membre du Conseil Général de la Haute-Marne - Juge du Tribunal Civil de Chaumont - Chevalier de la Légion d'Honneur par Décret du 14/08/1867 → Base Leonore - Dr LH//2125/38 - Décédé le 23/04/1875 à Chaumont  
- -  
François Alexandre MAITRET
1870 - 1873 (1809-1878)
Avoué - Conseiller général (1851-1852) et Député de la Haute-Marne (1876-1878)
Inhumé au cimetière de Clamart à Chaumont (52)
 
Alexandre Edmond DONNOT 1874 - 1878 ou plus Né en 1827 - Banquier et juge au tribunal de commerce - Conseiller général du canton de Saint-Blin (1875-1886) - Chevalier de la Légion d'honneur en 1878 - Sénateur (1882-1886)[8] - Décédé en 1904  
- -  
- -  
Jules TREFOUSSE 1882 - 1894  
Victor FOURCAULT 1894 - 1900  
Emile GOGUENHEIM 1900 - 1910  
- -  
Léon Georges Maxime LÉVY-ALPHANDÉRY 1914 - 1940 Né en 1862 - Avocat - Conseiller général du canton de Chaumont-Nord (1910-1941) - Député (1924-1941)[9] - Commandeur de la Légion d'honneur en 1948 - Décédé en 1948  
- -  
Jean MASSON 1945 - 1958 (1907-1964) - Député de la Haute-Marne (1946-1958), plusieurs fois ministre sous la IVe République  
Marcel BARON 1958 - 1976 Ingénieur - Conseiller général du canton de Chaumont-Nord (1964-1973)  
Georges BERCHET 1976 - mars 1989 Sénateur de la Haute-Marne
 
Cyril BOURLON de ROUVRE mars 1989 - juin 1995 Chef d'entreprise  
Jean-Claude DANIEL juin 1995 - 16/04/2008  
Luc CHATEL 16/04/2008 - 2013  
Christine GUILLEMY
2013 - (2026)  
- -  

Cf. : MairesGenWeb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Voir la page consacrée à la basilique :

Article détaillé : Basilique Saint-Jean-Baptiste de Chaumont (Haute-Marne) ...

Ville de naissance ou de décès de

Naissance de :

  • BLONDEL André, le 28 août 1863. Physicien. Décédé à Paris le 15 novembre 1938.
  • BOUCHARDON Édmé, le 29 mai 1698, fils de Jean Baptiste et de Anne CHERÉ. Statuaire. Décédé à Paris le 27 juillet 1762.
Sa maison natale sise rue Chaude, rebaptisée à son nom :
  • BOUR Danièle, le 16 août 1939. Illustratrice.
  • DENYS, Comte de DAMRÉMONT, Charles Marie, 8 février 1783. Fils de Antoine, écuyer, seigneur du fief de Damrémont, et de Marie Henriette HANAIRE de VIEVILLE. Officier français de l'Empire devenu général sous la Restauration, gouverneur général de l'Algérie en 1837. Décédé le 12 octobre 1837 lors du siège de Constantine.
Une rue chaumontaise porte son nom :
Sa maison natale sise rue Bouchardon :
  • DESPREZ Louis Marie, le 21/06/1861. Fils de Claude, Inspecteur d'Académie, et de Marie Jeanne Antoinette SARAZIN. Ecrivain, naturaliste. Décédé le 06/12/1885 à Rouvres-les-Vignes (10) où il a été inhumé
  • JUVET Hugues Alexis, le 26 février 1714. Médecin thermal. Auteur, en 1750, d'une dissertation contenant des observations nouvelles sur les eaux de Bourbonne-les-Bains (52) où il est décédé le 8 janvier 1789.
Sa résidence chaumontaise :
  • LINDECKER Eugène Antoine, le 4 octobre 1868. Protonotaire apostolique, doyen du Chapitre et vicaire général, professeur au petit séminaire et curé de Bourbonne-les-Bains (52). Sept évêques de Langres (52) le reconduisirent dans sa charge de vicaire général qui dura 32 ans. Vicaire capitulaire. Décédé à Langres (52) le 19 janvier 1950. Enseveli au cimetière de Clamart à Chaumont le 24 janvier 1950 par Monseigneur CHIRON, évêque à la cathédrale de Langres (52)
Sa chapelle funéraire au cimetière de Clamart à Chaumont (52) :
  • MARIOTTE Pierre, le 28 avril 1812, fils de Edmé François et de Suzanne GUERIN. Mégissier. Grâce à un travail persévérant, dû à son génie inventif, il parvint à se trouver à la tête d'une brillante fortune. A sa mort dans le 12e arrondissement de Paris le 7 octobre 1896, il laissa cette dernière, évaluée à l'époque à près d'un million, à sa ville natale, à la charge par celle-ci de fonder un hospice de vieillards portant le nom du fondateur.
Inauguré en 1900, en témoignage de reconnaissance et de gratitude, un monument fut élevé par la ville, dans le cimetière de Clamart :
  • PINEAU Christian, le 14 octobre 1904. Homme politique. Décédé à Paris le 5 avril 1995.
  • RIEU Nicole, le 16 mai 1949. Chanteuse.
  • ROUX Joseph Victor, le 30 septembre 1871, de Jean Joseph et de Catherine Céleste Claire CHAMPION. Dit ROUX-CHAMPION. Peintre, aquarelliste et graveur. Décédé à Vars (70) le 7 décembre 1953 [10] .
Sa résidence langroise :

Décès de :

  • DIMOFF Pierre François, le 12/081890. Né le 28/05/1831 à Koenigsmacker (57). Général, Commandant la 26e Brigade de la 13e Division du 7e Corps d'armée, en résidence à Chaumont (52).
Inhumé au cimetière de Clamart à Chaumont (52) :

Monument aux morts

Monument aux Morts
Monument aux Enfants de la Haute-Marne
Morts pour la Patrie entre 1870 et 1898
Monument commémoratif
à l'amitié et à l'aide Américaines
Tombes de morts aux guerres
au cimetière de Buxereuilles


Carré militaire
du cimetière de Saint-Aignan
Mémorial du 109ème Régiment d'Infanterie
du cimetière de Saint-Aignan
Mémorial américain
du cimetière de Saint-Aignan


Carré militaire
du cimetière de Clamart
Mémorial départemental A.F.N.
du cimetière de Clamart
Monument commémoratif des victimes de la guerre 1939-1945
du cimetière de Clamart
Monument aux Morts
de Brottes

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

Cimetières

Calvaire du cimetière de Clamart

Voir la page consacrée à la basilique :

Article détaillé : Basilique Saint-Jean-Baptiste de Chaumont (Haute-Marne) ...

Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8h30 à 12h00 8h30 à 12h00 8h30 à 12h00 8h30 à 12h00 8h30 à 12h00 - -
Après-midi 13h30 à 17h00 13h30 à 17h00 13h30 à 17h00 13h30 à 17h00 13h30 à 17h00 - -

Mairie
Adresse : Hôtel de ville - 10 place de la Concorde - 52012 CHAUMONT

Tél : 03 25 30 60 00 - Fax :

Courriel :

Site internet : Site officiel de Chaumont (52)

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : Site officiel de Chaumont (52) (07/2023)

Bibliographie

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références

  1. CHAUMONT (Haute-Marne) - Croix de Guerre 1939-1945 sur le site de l'« Association nationale des croix de guerre et de la valeur militaire »
  2. L'armorial des villes et des villages de France
  3. Basilique Saint-Jean-Baptiste Fiche Base Mérimée
  4. Fontaine Bouchardon Fiche Base Mérimée
  5. Église Saint-Aignan Fiche Base Mérimée
  6. Église paroissiale Saint-Aignan de Reclancourt sur le « Portail du Patrimoine Culturel du site de Champagne-Ardenne de la Région Grand EST »
  7. Base Leonore - Dr LH/1736/19
  8. Sénat
  9. Assemblée nationale
  10. Victor Roux-Champion sur le site « Mémoires et Photos »

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