50085 - Bricqueville-sur-Mer

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Bricqueville-sur-Mer
Informations
Pays    France
Département    Manche
Métropole
Canton   50-03   Bréhal

  50-06   Bréhal (Ancien canton)

Code INSEE 50085
Code postal 50290
Population 1 221 habitants (2018)
Nom des habitants les Bricquais
Superficie 1264 hectares
Densité 96.6 hab./km²
Altitude Mini:3 m
Point culminant 73 m
Coordonnées
géographiques
48.916667° / -1.516667° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
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Histoire de la commune

Toponymie

« Le domaine de Briki » du latin villa, dommaine rural, précédé du nom de personne scandinave Briki[1].

Attestations anciennes

1025 env., Briquevilla. : Donation de Richard II au Mont-St-Michel[2].

Histoire Administrative

En l'an III, la paroisse de Sainte-Marguerite-sur-la-Mer a été rattachée à Bricqueville-les-Salines pour former Bricqueville-sur-Mer.

  • Département - 1801-2025 : Manche
  • Arrondissement - 1801-2025 : ....
  • Canton - 1801-2015 : ....
  • Commune - 1801-2025 : ....

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :


Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Bricqueville dépendait de la sergenterie de Saint-Pair et celle de Sainte-Marguerite dépendait de la sergenterie de Pierres. Ces deux sergenteries appartenaient à l'élection de Coutances, à la généralité de Caen.

Les deux paroisses[3] dépendaient du bailliage de Coutances, du grand bailliage de Cotentin.

Les deux paroisses dépendaient de la châtellenie de Chanteloup.


Les fiefs

  • la grande seigneurie de Bricqueville, relevant de l'Abbaye du Mont-Saint-Michel, franc fief de haubert. Elle appartint à la famille Paynel, par mariage elle entra dans celle des de Piennes. En 1673, Michel de Piennes vendit le fief de Bricqueville-sur-Mer à Elisabeth de Montgommery. Elle passa des Montgommery à Pierre Duprey lors de la vente de la marquise de Thiboutot en 1769.
  • le fief de Saint-Eloi
  • le fief des Mézières ou des Maires, franche vavassorie appartenant à la Châtellenie de Chanteloup. En 1630, René de Bouillé en rend aveu, puis elle suit les vicissitudes de celle-ci (voir seigneurs de Chanteloup)
  • le fief de Sey
  • le fief d'Annoville aussi appelé du Saulcey, En 1174, le fief d'Annoville s'étendait sur les paroisses d'Annoville, de Bricqueville-près-la-Mer et Lengronne plus tard Mesnil-Aubert après la création de cette paroisse. Il était détenu par Foulques II Paynel qui l'avait confié à l'un de ses chevaliers, Geoffroy de Bricqueville ; il dépendait de l'abbaye du Mont-Saint-Michel et devait à l'abbé le service d'un chevalier. En 1204, il figure dans le registre des fiefs de Philippe-Auguste. En avril 1248, à l'occasion du partage des biens de Foulques Paynel entre ses fils, le fief est démantelé en trois fiefs : le fief de Bricqueville aussi appelé du Saulcey, la vavassorie d'Annoville ou seigneurie d'Annoville, qui restée seule ne faisait plus qu'un demi fief de haubert, et les terres du Mesnil-Aubert (autrefois Lengronne avant la création de la paroisse) aussi appelé fief d'Annoville[4].
  • le fief de La Vallée
  • le fief de La Motte qui était un démembrement de la grande seigneurie
  • le fief de Beaumanoir dont le chef ou aînesse était situé en la paroisse de Sainte-Marguerite[5].

A l'époque où furent rédigés les deux plus anciens pouillés, c'est-à-dire les tableaux des bénéfices du diocèse de Coutances, tous ces fiefs appartenaient à deux seigneurs différents. La grande seigneurie appartenait à la famille Paynel.

A Sainte-Marguerite :

  • le fief de Sainte-Marguerite
  • le fief de Beaumanoir qui avait des extensions sur Bricqueville, Annoville, membre de fief (1/8 de haubert, 1550 ; 1/4 de haubert en 1666), mouvant de la vicomté de Saint-Sauveur-Lendelin, patronage de l’église de Sainte-Marguerite, colombier, moulin à vent (en 1651). En 1550, Adrien Louvel rend aveu au roi pour le fief de Beaumanoir à lui venu par le trépas de ses père et mère[6]. Le fief reste dans la famille Louvel jusqu'en 1664, date à laquelle Pierre Louvel, sieur de Fourneaux, fils et héritier en sa partie de feu Odet Louvel, seigneur et patron de Montmartin le vend par contrat devant les tabellions royaux de la vicomté de Coutances au siège de Lingreville le 8 avril 1664 à François-Hilarion de Franquetot, écuyer, seigneur et patron d’Auxais.

Une franche vavassorie dénommée de Sainte-Marguerite dépendait du Marquisat de Marigny. En 1394, Guillaume de Montauban rend aveu au roi pour cette vavassorie tenue par Robert de Beaumanoir († sp 16/7/1408), seigneur de Chenedolé, Montilly, Fresnes et Montsecret en la vicomté de Vire, de Sainte-Croix en Avranchin en la vicomté d’Avranches et de Sainte-Marguerite en la vicomté de Coutances. En 1532, l'aveu rendu par Louis de Rohan l'est fait pour les hoirs de Robert de Beaumanoir ; en 1610, l'aveu rendu par Alexandre de Rohan et en 1694, l'aveu rendu par Charles de Rohan seront toujours faits pour les hoirs de Robert de Beaumanoir.

XIVe siècle

Au XIVe siècle un acte de Charles V nous apprend que : « en la baronnie de Saint-Paer, il y a plusieurs porz de mer où il arrive ou peut arriver de jour en jour plusieurs vesseaulx, denrées, marchandises desqueles les coustumes et autres devoirs appartiennent aux religieulx du Mont Saint-Michel.

Un acte de juillet 1370 précise : A la requête de Guillaume de Tournebu, chevalier, sire de Briqueville, élisant qu'en sa terre de Bricqueville il a "un certain port de mer nommé l'essei de Bricqueville, auquel port toutes denrées et marchandises venans en nefs et autres vaisseaux de mer arrivent et peuvent arriver et descendre et aussi de la terre charger es diz vesseaulx" et qu'en ce lieu il n'y a ni marché, ni foire, le roi Charles V après enquête du Vicomte de Costentin érige audit lieu de Bricqueville un marché le vendredi de chaque semaine et trois foires, le jour de la Nativité Saint-Jean-Baptiste, le jour Saint-Eloy et le jour Saint-Mor, jours auxquels "plusieurs gens viennent en ladite ville de Bricqueville pour cause de pèlerinages"[7].


Les cahiers de doléances en 1789

Lire le cahier de Bricqueville
Lire le cahier de Sainte-Marguerite


Le château

Il était situé aux Salines « sur un terrain plat, et qu'on a vu inondé jadis avec les eaux de la mer... Restent deux tours dont la démolition est très avancée. Elles n'avaient ni créneaux, ni machicoulis. Leur hauteur était à peu près de trente pieds : les fossés ont été si bien comblés qu'on en devine a peine la place. L'enceinte était de forme carrée et contenait environ 40 ares... L'enceinte était flanquée de quatre tours circulaires aux quatre angles.

Un nommé Godefroy la fit démolir il y a trente ans - c'est-à-dire en 1795 et sur ordre du district -, il avait requis les habitants pour ce faire[8] ».

En avril 1388 à Orléans, permission était donnée à Nicole Paynel, chevalier, chambellan du roi, seigneur de Bricqueville " de fortifier et emparer une sienne place close de fossez assise en la paroisse de Bricqueville" après enquête faite par le bailli de Cotentin[9].


Patrimoine bâti

L'église Saint-Vigor

L'église Saint-Vigor



L'église est sous le vocable de Saint-Vigor, avec Saint-Jean-Baptiste pour second patron. La cure était divisée en deux portions. Elles étaient toutes deux de patronage laïc.

L'église de Sainte-Marguerite est tombée en ruine au XIXe siècle.

La pose de la première pierre de l'église actuelle a été réalisée en octobre 1876.

Cette paroisse sous l'Ancien Régime dépendait de l’archidiaconé de Coutances (ou de la chrétienté) et du doyenné de Saint-Pair.



La mairie

Elle fut construite en 1880 sur l'emplacement de l'ancien cimetière.


Démographie

Etat de la population en 1836

Le 28 juin 1836, fait l’envoi à M le Sous-Préfet.

1°) de l’état de la population des habitants de Bricqueville, laquelle est de 1828 âmes ;

2°) L’état récapitulatif de tous les mêmes habitants savoir :

' Garç. Filles Hom. Fem. Veuf Veuv.
Jusqu’à 5 ans 58 60 - - - -
de 5 à 10 ans 66 64 - - - -
de 10 à 20 ans 145 145 - 2 - -
de 20 à 40 ans 134 164 88 99 1 2
de 40 à 80 ans 35 107 257 241 37 101
de 80 à 100 ans - - 1 1 5 15
Totaux 438 540 346 343 43 118

3°) de l’état récapitulatif des professions d’un chacun savoir : cultes, 3 ; médecins et leurs élèves, 2 ; administration publique, comptables, leurs agents et douaniers, 13 ; militaires, 21 ; marins, 56 ; marchands en détail, 6 ; propriétaires rentiers, 16 ; ouvriers en bois, 7 ; en fer, 5 ; maçons, 8 ; cuirs et peaux, 11, tissus et fileuses, 276 ; couturières, blanchisseuses, 29 ; meuniers, boulangers, bouchers, cabaretiers, 16 ; travaux aratoires, cultivateurs, 720 ; journaliers, 94 ; domestiques, 42 ; exerçant d’autres professions, 27 ; sans profession, 476. Total étal de la population : 1828


Année 1794 1800 1806 1820 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 1 890 2 361 2 067 1 967 1 859 1 828 1 767 1 654 1 628 1 548
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 1 505 1 536 1 433 1 467 1 417 1 404 1 292 1 242 1 164 1 178
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 1 189 1 056 1 020 1 039 947 921 892 896 774 778
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 797 810 908 1 063 1 169 1 204 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2015 & 2006, 2011, 2016.

En 1760, la paroisse de Bricqueville-près-la-Mer comptait 289 feux[10].





analyse de l'évolution démographique du Canton ...



^ Sommaire

Un rapport a été demandé par le Préfet à Auguste Davodet sur la dépopulation de la Manche entre 1831 et 1931. Celui-ci a interrogé plusieurs maires dont le maire de Bricqueville[11]. Voici sa vision :

1°) La cessation de la fabrication du sel aux Salines.

2°) La brigade des douaniers, 12 hommes, réduite à deux hommes pour la surveillance de la côte en 1931.

3°) Plusieurs fonctionnaires, garde maritime, receveur du sel etc... ont disparu.

4°) L'exode des jeunes gens attirés par des emplois en ville.

5°) La conversion des terres labourables en herbages et l'emploi de machines agricoles ont supprimé beaucoup de main d’œuvre.

6°) La culture maraîchère qui diminue à cause de la concurrence.

7°) L'industrie la plus florissante, la récolte de la pailleule (le varech) est en train de disparaître : les bonnes années, elle rapportait 1 500 000 francs.

« Depuis deux ans dit le maire, une maladie sur la racine de la pailleule a fait tant de mal qu'en 1932 la récolte a été absolument nulle et actuellement, il n'y a apparence d'amélioration. De ce fait j'estime que la population communale pourra encore diminuer d'un quart, »

8°) je constate qu'il y a peu de mariages pour une population de 1039 habitants.

1930 : 5 mariages ; 1931 : néant ; 1932 : 6 ; 1933 : néant pour les six premiers mois.

A toutes ces causes, il faut ajouter et non la moindre : le déclin et la disparition de la grande pêche à Terre-Neuve.



^ Sommaire

Repères géographiques

La Vanlée est un petit cours d'eau d'une longueur de douze kilomètres qui prend sa source à Hudimesnil et se jette dans la mer dans le havre qui porte son nom. Ce havre et ses prés salés sont recouverts lors des grandes marées. Au lieu-dit Les Salines une route dite submersible permet de rejoindre le cordon dunaire.


Les communes limitrophes de Bricqueville sont : Lingreville, Muneville-sur-Mer, Cérences, Bréhal.


^ Sommaire

En photos


Notables

Les personnalités

Léon-Georges LE PESANT (1875-1944), né à Bricqueville-sur-Mer, vétérinaire, conseiller général de Bréhal (1927-1940).

La famille Paynel
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La famille de Piennes
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Seigneurs et patrons de la paroisse

  • 1390, Nicolas Paisnel (mort le 21/05/1400 à Montefiascone), chevalier, seigneur de Bricqueville, chambellan du roi, époux de Jacqueline de Haverskerque, noble et puissant seigneur.

Les maires

les derniers maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Jean-Marie FAUCHON 1951 - 1969  
Jean SAMSON 1969 - 1977 Agriculteur, (né en 1926 à Teurthéville-Hague, + 2009)  
Bernard ADAM 1977 - 1989  
Raymond COSTENTIN 1989 - 2008  
Yves DELISLE 2008 - 2014 Libraire retraité  
Hervé BOUGON 2014 -  
- -  


Consulter la liste complète...


^ Sommaire


Les curés

Pour la première portion[12] :

Prénom(s) NOM Période Observations
Pierre CIROU - en 1567, abjure le catholicisme pour le protestantisme  
- -  
Jean GARDIN - en 1611  
Jehan LE BER - en 1613  
Jehan GODEFFROY - 1625 inhumé dans l'église le 24 juillet  
François COSTEL - en 1650  
- -  
Jean BUCAILLE - 1679 cité en 1668, inhumé le 26 octobre 1679  
Nicolas HECQUARD 1679 - 1689 Aussi curé de la seconde portion  
Toussaint TESSON - 1720 cité en 1689, inhumé le 23 septembre 1720  
Nicolas DUPONT 1720 - 1761  
Pierre GALLIEN 1761 - 1803 sieur de Préval, prêta le serment constitutionnel  
M. MINCENT 1806 - 1818  
Henri LE BEL 1813 - 1820 Coadjuteur de 1813 à 1818  
Denis PITOU 1820 - 1846  
Prosper TURGOT 1847 - 1872  
Jules GERMAIN 1872 - 1906  
Louis Marie BINDET 1906 - 1911  
Eugène PAUTRET 1911 - 1947  
Jean DESHAYES 1948 - 1955  
Edmond NOLAIS 1955 - 1960  
André DELAROCQUE 1960 - 1964  
Georges MARIE 1964 - 1967  
Lucien FOLLIOT 1967 -  
- -  

Pour la seconde portion :

Prénom(s) NOM Période Observations
Gilles MUSTEL - cité en 1648, 1654  
Nicolas HECQUARD - 1689 cité en en 1668. Aussi curé de la première portion de 1679 à 1689  
Louis THEAULT 1689 - 1733  
Pierre LE MOINE 1734 - 1776 Inhumé le 10 mars 1776  
Guillaume-François LE ROND 1776 - 1803 prêta le serment constitutionnel  


Liste des titulaires de la Légion d'Honneur

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Félix Adolphe Honoré GEFFROY 27/07/1784 - Chevalier en date du 30/4/1839, Maitre-canonnier  
Aimable THUILLET 27/12/1788 - Maire de Bricqueville  
Jean GUERIN 14/06/1814 21/07/1882 Chevalier en date du 6/3/1867, Gendarme à la Compagnie des Basses-Pyrénées  
Pierre Désiré GUILLOTIN dit MARIE 07/07/1846 - Chevalier en date du 11/7/1899, Capitaine de douanes au Havre  
Maximilien Etienne HARDY 19/04/1853 24/11/1916 à Cette (Hérault) Chevalier en date du 14/2/1910, Trésorier des Invalides de la Marine  
Léon Georges LEPESANT 05/12/1875 -  

Source : Base Léonore


Morts des guerres 1914-1918/1939-1945

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Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés


Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 9h00 - 13h00 9h00 - 13h00 9h00 - 12h30 9h00 - 13h00 9h00 - 12h00 - -
Après-midi - 14h30 - 19h00 - 16h30 - 18h00 - - -

Mairie en 2015
Adresse : 1 place de la Mairie - 50290 Bricqueville-sur-Mer

Tél : 02 33 61 65 10 - Fax :

Courriel : [email protected]

Site internet :

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : (4/2011)


Dépouillements des registres paroissiaux

Registres :

  • Bricqueville : 1668 à aujourd'hui
  • Sainte-Marguerite : 1691-1712, 1714-1733, 1736-1795

Dépouillements :

  • Bricqueville : CG50 : 1761-1792 (M)

(mise à jour novembre 2009)


Les dispenses de consanguinité

Elles sont disponibles aux archives départementales de la Manche à Saint-Lô ou encore aux archives diocésaines de Coutances (sur rendez-vous).


La liste concernant la commune ...


Les recherches de noblesse

voir ...


Archives notariales

Patronymes

Remarques

Bibliographie

  • Mémoire de M. de Gerville sur les anciens chateaux de la Manche, Bricqueville, Société des Antiquaires de Normandie, pp 329 à 334, 1825.
  • RENAULT, Revue monumentale et historique de l’arrondissement de Coutances, « Annuaire du département de la Manche » 1854 et additifs de 1861.
Lire l'article sur Bricqueville...
Lire l'article sur Sainte-Marguerite ...
  • Abbé P. BEHIER, Bricqueville sur Mer, Coutances, OCEP, 1975
  • Xavier HALARD, Un parcellaire en étoile dans le marais de Bricqueville-sur-Mer en 1247, Annales de Normandie, N°3, p. 289-294, 1981.
  • Le canton de Bréhal et ses communes, éléments d'histoire et de patrimoine, 1994

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références

  1. René LEPELLEY, « Dictionnaire étymologique des noms de commune en Normandie », 1993
  2. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Manche attestés entre 911 et 1066, In: Annales de Normandie, 1e année, n°1, 1951. pp. 9-44. Source : (Cartulaire du Mont-St-Michel, fol. 20 v° ; — Hunger, Histoire Verson, Pièces just., n° 4, p. 4).
  3. Ch. Fierville, Etude historique sur le marquisat de Marigny, extrait du premier volume des Mémoires de la Société Académique du Cotentin, 1874, Daireaux Imprimeur, Coutances, p.2. référence au recensement que Foucault, intendant de la généralité de Caen, fit faire à la fin du XVII° siècle.
  4. Marcel MAHE, Annoville-Tourneville et Lingreville au XVII° siècle, éditions de l’auteur, 1999, p.107-108.
  5. Abbé Pierre BEHIER, Bricqueville sur Mer, Coutances, OCEP, 1975, p. 25
  6. AN P 268 1, n° 3031
  7. A.N., JJ 100, folio 177, No 584. Fonds Michel Lepesant (AD50 284 J 39, fiches par fiefs).
  8. Société des Antiquaires de Normandie, 1825, Mémoire de M. de Gerville sur les anciens châteaux de la Manche, Bricqueville pp 279 à 283.
  9. A.N., JJ 132, folio 209, No 202. Fonds Michel Lepesant (AD50 284 J 39, fiches par fiefs).
  10. Abbé Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, 1762, t. 1, p. 850.
  11. Auguste DAVODET, "La dépopulation de la Manche de 1831 à 1931", 1934.
  12. Abbé P. BEHIER, Bricqueville sur Mer, Coutances, OCEP, 1975, p. 43-45, p. 87