Décès - Secrétaire d’État (1951) - Député du Loiret (1945-1951)
René DHIVER
1951 - 1954
Pierre SÉGELLE
1954 - 1959
Roger SECRÉTAIN
1959 - 1971
Député du Loiret (1951-1958)
René THINAT
1971 - 1978
Gaston GALLOUX
1978 - 1980
Jacques DOUFFIAGUES
28/09/1980 - 10/1988
Démissionnaire - Conseiller général, député (1978-1981, 1986-1988), ministre (1986-1988), commandeur de la Légion d'honneur, chevalier du Mérite Agricole, grand Croix de la République d'Égypte, inhumé à Fieux (47) en 2011
Jean-Louis BERNARD
10/1988 - 03/1989
Conseiller régional (1986-1992), conseiller général (1992-), député (1993-)
La médaille de Sainte-Hélène, créée par Napoléon III, récompense les 405 000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815.
Prénom(s) NOM
Naissance
Décès
Observations
BLANCHARD Jean Pierre
29 juin 1791 Orléans
-
Commune de résidence La Chapelle Saint Mesmin (Loiret). Ancien militaire, bénéficie de la loi du 5 mai 1869. Renouvelle son brevet en 1880. Titulaire depuis le 17 mars 1870. Source : perso S. METIVIER an cote LH 3275 (Loiret)
CLERGEAU François Noël Maurice
Décembre 1790 Orléans (Paroisse St-Paul)
-
Période : 1811-1815. Fils de Edmé Jean et de Catherine HAZARD. Arrive à l'île Bourbon le 7 avril 1815, et en 1818 il est cité Caporal chef au bataillon de Bourbon.
DAUTE Jean François
14 février 1792 Orléans
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Commune de résidence Orléans. Ancien militaire, bénéficie de la loi du 5 mai 1869. Renouvelle son brevet en 1879. Titulaire depuis le 15 août 1869. Source : perso S. METIVIER an cote LH 3275 (Loiret)
Certains ressortissants d'Orléans sont partis vivre dans ce pays. On peut noter :
Gaston Louis COIGNET, né le 25/08/1874, décédé le 24/10/1896 à l'hôpital militaire du Dey à Alger, soldat de la 19e section des commis et ouvriers d'administration en Algérie. Fils de Jacques Alexis (o 16/05/1828 à Chevilly, Loiret, + 08/04/1905 Orléans) qui avait épousé à Orléans, le 30/03/1853, Hélène Henriette LELOUP (o 18/08/1830 Saint-Benoît-sur-Loire, Loiret, + 06/09/1887 Orléans). Gaston Louis avait une sœur : Hélène Lucie Aline, née le 31/07/1859 à Orléans, mariée en ce lieu le 26/04/1884 avec Pierre Ernest JOLIVET, né le 23/11/1857 à Coudroy, Loiret.
Arthur Alphonse METIVIER, né le 19/03/1862, décédé ap. 1902 en Algérie. Il est né dans le domicile de ses parents, rue Bannier n°37, fils de Félix Arthur (o 1840, + ap. 06/1892), ingénieur, demeurant au moment du décès à Baïza (Espagne), et de Rosalie Clarisse ADELAINE (o 1840, + 26/04/1871 Tours, Indre-et-Loire). En Algérie, Arthur Alphonse sera conducteur de trains à la Compagnie de l'Ouest Algérien, demeurant (1892) à Blida (Alger).
Il épouse à Tlemcen (Oran), le 30/06/1892, Rosina Francisca BLIEFELD, née le 21/03/1866 à Tlemcen, décédée après 1902, fille de Philippe Jacques (o 30/04/1819 Huttenheim, Bas-Rhin, + 01/03/1887 Tlemcen), militaire au 2e bataillon de Zouaves puis jardinier à Tlemcen, et de Hélène ROECKEL (o 07/11/1821 Billigheim, Bade, Allemagne, + ap. 06/1892). Le couple aura 4 enfants :
Xavier SAINT-MACARY, acteur né le 7 juin 1948, décédé à Paris le 13 mars 1988
Jean ZAY, homme politique français, ministre de l'éducation et des beaux arts (1936 à 1939), né le 6 août 1904, assassiné par la milice le 20 juin 1944 dans les bois de Molles (Allier). Il repose depuis le 15 mai 1948 au grand cimetière de la ville .
Jean BARDIN, peintre né à Montbard (Côte-d'Or) le 31 octobre 1732, décédé en 1809
FRANCOIS II, roi de France de 1559 jusqu'à sa mort en 1560, né à Fontainebleau (Seine-et-Marne) le 19 janvier 1544, décédé le 5 décembre 1560, fils de Henri II et Catherine de Médicis
Charles LAMY, acteur né à Lyon (Rhône) le 28 août 1857, décédé le 15 juin 1940
Médecine opératoire en 1809 - M. GLEIZE, médecin et oculiste, a opéré récemment de la cataracte madame Surget, de cette ville, rue de l'Ecrevisse, n°35; madame Cribier à Olivet; madame Gervais de la commune de Mézières; et le sieur Trepin, de la commune d'Ardon. Ces quatre personnes ont recouvré la vue, et leur guérison parfaite a eu lieu en moins de huit jours après l'opération.
M. Gleize instruira le public des différentes cures de maladies des yeux, qui sont dans ce moment l'objet de ses soins, en sa Maison de Santé, fauxbourg Saint-Vincent, n°216.
C'était le début de ce type d'opération qui aujourd'hui nous semble assez bénigne. Ce médecin en était probablement l'un des pionniers.
Notice nécrologique - M. Pierre-Alexandre-Bonaventure FOUCHER, Substitut de M. le Procureur impérial près le Tribunal civil de première instance d'Orléans, est décédé dans cette ville le 2 de ce mois (juillet 1809) à l'âge de 29 ans.
Cette nécrologie cache un drame et des circonstances bien particulières qui ont touché cette famille. Voir :
Annonces commerciales du 19e siècle. Nous n'avons pas inventé la "réclame", ce qui est aujourd'hui la publicité. En voici un exemple :
Entreprise économique des plâtres de bâtiments.
M. Sautelet entreprend les plâtres de bâtimens, tels que cloisons, plafonds, cheminées à la Rumfort, etc., à des conditions aussi avantageuses sous le rapport de la solidité que sous celui de l'économie : elles sont développées dans son prospectus qui se distribue en son domicile, rue des Murlins, près la porte Bannier, à Orléans. On trouve chez lui un fumiste bien connu par les succès qui ont constamment accompagné son travail.
M. Sautelet fabrique et vend toujours de la bière dont la qualité ne laisse rien à désirer.
Monsieur Sautelet veut faire évoluer son commerce et sa double activité : la plâtrerie et la vente de bière. D'autres annonces de ce type étaient fréquentes à l'époque. Pour s'en donner une idée, on pourra suivre ce lien. Voir : Annonces commerciales
Avis - 18 novembre 1809 - Madame BOURLIERS, connue par ses talents pour le raccommodage et le blanchissage de toute espèce de dentelles, prévient les personnes qui désireraient recevoir ses leçons, que dans l'espace de quinze jours elle met en état de travailler aussi bien qu'elle même. Elle a déjà obtenu la confiance de plusieurs dames de cette ville, et particulièrement d'une demoiselle de 62 ans.
Comme elle est sur le point de se rendre dans une autre ville où elle est demandée, elle ne peut promettre de faire encore un long séjour à Orléans.
Elle donne des leçons chez elle, ou dans les maisons particulières.
Elle demeure toujours chez M. Chassinat, au coin de la rue de la Levrette, près la place du Martroi.
Avis - 22 novembre 1809 - Le sieur BAUDU-RAGU, marchand, fabricant et blanchisseur de cire, successeur de M. DELOYNE-SARREBOURSE, rue Saint-Maclou, n°13 à Orléans, a l'honneur de prévenir ses concitoyens qu'il tient un assortiment complet de cire fabriquée. On trouvera chez lui des bougies de table, première et seconde qualité, bougies à bougeoir, de cabinet, de poste, et à lanterne depuis 36 jusqu'à 144 à la livre, bougies à ressort pour les églises, bougies d'allume, bougies filées de toute espèce, en blanc, en jaune, et en citron ployé de diverses manières et de différents poids, cierges fins, flambeaux d'honneur pour les processions, flambeaux à quatre mèches, qu'il vend et loue au plus juste prix.
Il passera à 45 s. la livre les cierges et flambeaux de luminaire pour les convois et services, et tâchera toujours de répondre à la confiance des personnes qui lui feront l'honneur de s'adresser à lui pour tous les autres articles relatifs à son commerce.
Anecdote amusante sur les femmes veuves et autres personnes
1448 - Pierre BUREAU, évêque d'Orléans, dans l'année de sa nomination, et conformément à l'article 9 du Synode tenu à Tours par l'archevêque de cette ville, Jehan DIéNON, pour la réforme des moeurs, "defend de faire devant les portes des personnes veuves qui se remariaient, des safreniers (ivrognes), des banqueroutiers, de ceux qui se laissaient battre par leurs femmes, aucunes assemblées, huées et sonneries, par dérision, avec battements de bassins, poëles, chaudrons, cloches et choses semblables, qu'on appelait "charivaris"; comme aussi de mener ces personnes dans un chariot branlant, ou sur un âne à reculons, ayant une mitre de papier peint sur la tête, de les élever sur une échelle pour les exposer quelques temps aux regards du public, et de leur faire entendre les moqueries, discours et chansons satyriques que l'on faisait contre eux, de les appeler "mitrés", le tout à peine d'excommunication et toutes autres arbitraires, à la volonté de l'évêque."