43040 - Brioude
Brioude | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Haute-Loire |
Métropole | |
Canton | 43-04 Brioude
Anciens cantons |
Code INSEE | 43 040 |
Code postal | 43100 |
Population | 6 681 habitants (2018) |
Nom des habitants | Brivadois, Brivadoises |
Superficie | 1 352 hectares |
Densité | 494.16 hab./km² |
Altitude | Mini: 414 m |
Point culminant | 622 m |
Coordonnées géographiques |
45.295° / 3.385° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Brioude : le seau du Procureur (1911)
- Au soir du 14 juillet, vers les 11 heures du soir une maison est en feu dans le quartier des Olliers. Les flonflons de la fête nationale s’interrompent. Les pompiers aidés par la foule présente s’évertuent à éteindre l’incendie.
- Dans la foule, un homme seul se tient en dehors de la solidarité collective, croisant les bras et contemplant les choses de haut …
L'histoire ferroviaire
IV - D’ARVANT À LANGEAC ET PLUS … AU COEUR DE LA VIE FERROVIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE (1891-1900)
- Voici le quatrième et dernier volet de l’arrivée du chemin de fer dans l’ouest du département de la Haute-Loire…
- Le chemin de fer a trouvé son rythme de croisière. Le nombre de circulations a considérablement augmenté et la fréquence des accidents ou incidents d’exploitation suit cette évolution. ::La série des accidents du travail n’échappe pas à cette tendance, la communauté cheminote est bien souvent endeuillée par ce phénomène engendré par l’évolution du réseau ferré. Les magasins à colis des gares sont la cible des voleurs. Le passage de trains touristiques en gare d’Arvant fait toujours le bonheur de l’activité économique du bourg, les gares de campagne deviennent des centres d’activité où s’installent de nouveaux commerces….
- En supplément une séquence nostalgie consacrée à l’ambiance et au souvenir du dépôt de locomotives de Langeac.
III - D’ARVANT À LANGEAC ET PLUS … AU COEUR DE LA VIE FERROVIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE (1881-1890)
- Le chemin de fer est entré dans le quotidien des habitants du pays. C’est l’essor des localités de taille moyenne. Pour en assurer leur ravitaillement, le train achemine des denrées diverses pour être vendues dans des commerces qui grandissent.
- Une partie de la production d’eau minérale de la source de Prades, dont les vertus thérapeutiques sont reconnues par la Médecine, est distribuée dans plusieurs régions de France .
- Il s’en suit un engouement pour le tourisme du Haut Allier patronné par le Club alpin. « Les trains du plaisir » sont mis en circulation pour permettre aux provinciaux de se rendre l’Exposition Universelle de Paris de 1889.
- « L’Auvergnat de Paris », un hebdomadaire fondé le 14 juillet 1882 par Louis Bonnet, va fédérer les émigrés auvergnats de Paris autour d’une presse générale mêlant politique, littérature, ou même faits-divers sous la plume d’auvergnats célèbres, comme Jules Vallès. Ce média va être le promoteur du voyage en chemin de fer vers l’Auvergne.
II - D’ARVANT À LANGEAC ET PLUS … AU COEUR DE LA VIE FERROVIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE (1871-1880)
- Si le chemin de fer arrive au Puy en mai 1866 depuis Saint-Etienne, on a eu bien du mal à réaliser la jonction du Puy jusqu’à rejoindre la ligne de Brioude à Langeac. Des désaccords ::sur l’itinéraire et la guerre de 1870 contre la Prusse n’ont pas été des facteurs favorables à la réalisation de cette structure.
- De leur côté, les élus départementaux recherchent des solutions pour créer les chemins et routes nécessaires à l'accès aux gares dont la construction est en cours.
- C'est ainsi que vont apparaître dans le paysage altiligérien les gares d'Aurac-Lafayette, Rougeac-Chavaniac, Lachaud-Curmilhac, Fix-Saint-Geneys, Darsac, Lissac, Saint-Vidal et Borne.
- Dans la micro-histoire de cette ligne de chemin de fer, rappelons-nous qu’en 1957, le facteur de Chavaniac-Lafayette, Abel Charbonnier, a reçu un accueil triomphal en gare de Rougeac-Chavaniac lors de son retour des Etats Unis d’Amérique.
- Lire ou relire l'article :Le facteur de Chavaniac-Lafayette à New-York
- Dans la micro-histoire de cette ligne de chemin de fer, rappelons-nous qu’en 1957, le facteur de Chavaniac-Lafayette, Abel Charbonnier, a reçu un accueil triomphal en gare de Rougeac-Chavaniac lors de son retour des Etats Unis d’Amérique.
I - D’ARVANT À LANGEAC ET AILLEURS – CHRONIQUE FERROVIAIRE DE 1857 À 1870
- En 1856, le train pénètre en Haute-Loire par le nord- ouest et la compagnie ferroviaire de l’époque prend d’abord ses aises sur les territoires des communes de Bournoncle Saint Pierre et Vergongheon.
- A partir de ce pont d’ancrage qui va être dénommé Arvant , des projets ficelés nationalement vont prendre forme pendant plus de 15 ans. L’ambition première est de réunir les bassins miniers de Brassac Les Mines, Decazeville et Saint Etienne.
- La poursuite du développement du rail se déroule au sud en direction de Brioude puis Langeac, puis Langogne. Du côté de Saint Etienne, les travaux vont s’engager pour parvenir au Puy et atteindre la section d’Arvant à Langeac.
- Côté ouest, l’objectif d’atteindre le département du Cantal va se réaliser peu à peu . Ce mode de transport tant attendu va révolutionner la vie de nos anciens….
Brioude – Un maître chanteur condamné à deux ans de prison ferme ! (1921)
- Depuis 1907, une personnalité brivadoise faisait l’objet d’un chantage récurant de la part d’un coiffeur brivadois. La « victime » reste fort discrète sur cette affaire pendant plus d’une décennie en ne cédant en aucun cas à l’individu . A sa mort, le coiffeur n’en reste pas là et reprend son inlassable pression sur la veuve.
- Celle-ci ne s’en laisse pas conter et dépose plainte auprès du Procureur. L’affaire se trouve sur la place publique. Bien que le coiffeur détienne des titres emblématiques dans la cité de Saint Julien, ses comportements délétères lui avaient attiré animosité et aversion de la part de nombreux brivadois.
- Le procès attendu allait avoir lieu …
- Lire l'article
Entre amants et à coups de revolver (1877)
- A Brioude, Antoine, fils de bonne famille, avait pris pour maîtresse une plantureuse femme surnommée « Marie sans souliers ». Marie était mariée et son époux, peu jaloux, avait conclu avec Antoine, un curieux arrangement. Avec l’accord de l’intéressée, une sorte de « location longue durée » fut menée à bien entre les deux hommes pour la coquette somme de 500 francs de l’époque ; une véritable fortune !
- La relation, malgré quelques heurts dura huit mois, jusqu’au jour où les caresses se transformèrent en coups de poings ….
- Lire l'article
Quand nos grands-pères découvraient le « Football-Rugby » (1921-1927)
- Comme pour se soulager des maux de la Grand Guerre, les français se lancent dans la pratique du sport. Le rugby – que l’on nomme « Football-Rugby » tire son épingle du jeu. En quelques années, le nombre de clubs est pratiquement multiplié par trois.
- La fièvre atteint la partie ouest du département de la Haute-Loire. Des poignées de jeunes se réunissent pour mettre sur pied une équipe locale. Bien vite, ils sont rejoints par des bénévoles qui, avec les petits moyens de l’époque, vont structurer la pratique de ce sport.
- Réalisée à p]artir des articles de presse , cette chronique tente de retracer la présence de l’ovalie dans le Brivadois et de l’enthousiasme suscité à partir des années 1920.
- Des photos d’époque, des compositions d’équipes complètent le document présenté.
- Lire l'article
Crime dans le train Saint-Georges-d'Aurac - Brioude (1934)
L'Hôpital Auxiliaire
L'histoire locale
Les personnages de la cité brivadoise
La Léproserie de La Bajasse
- En un lieu stratégique qui a vu passer les grands du royaume depuis la nuit des temps, Odilon Chambon, Chanoine de la ville de Saint Julien de Brioude, fonde en 1150 une « maladredrie » au bord de la rivière Allier.
- Le passage obligé des pèlerins, des colporteurs de toutes sortes, des courriers des rois et même des têtes couronnées va donner, pendant cinq siècles, une aura considérable tant à la léproserie qu’au Prieuré qui la jouxte.
La Confrérie de N.D de Brioude
- Comment furent installées dès 1587 en Brivadois, les premières confréries qui avaient pour siège l’église de Paulhaguet ou bien celle de Notre-Dame de Brioude…
- Lire la suite...
Anthologie des croyances, légendes,et moeurs ...de Brioude
- L’aviation et les paysans
- Le conte de saint Julien
- Les cornes du Saigneur
- La veillée chez le cordonnier
- Le prône du curé de Saint Jean
- Coutumes régionales du Brivadois
- Les vogues en Brivadois
- Les Trois Mâitresses
- Le Démon de Racle-Couenne
- L'âne du Chardonneret
- L’aiguille à tricoter de la Nanon
- Le mal marié
- La République en Paradis
- Si tu ne l’es pas, tu le seras
- Une silhouette d’autrefois « La Béate »
- Dictons et proverbes du Brivadois et du Velay
- Ce sera en plus
- Le veau de la sainte Barbe
- Il retourne
- D’un peu plus le Bon Dieu allait en enfer
- La barrique de La Poulette
- Faites payer mon gendre (Brivadois)
- Le miracle de Saint-Préjet
- La tête de Saint Julien
- Deux mutins]
- Le Bailli et le charron
- Jean de La Bruche et le curé de Saint-Préjet
- La Fontaine de Saint julien de Brioude
- La Fleur d'Oranger de La Marion
- Les oreilles du curé
- Le loup qui s'est fait moine
- Cloches et chapelles ...
- Les détenus ne sont pas des ingrats Vidéo
- Les pêcheurs de lune
Héraldique
De gueules à la ruche d'or, accompagné de six abeilles du même ordonnées en orle, au chef cousu d'azur semé de fleurs de lys aussi d'or[1].
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Haute-Loire
- Arrondissement - 1801-2024 : Brioude
- Canton - 1801-1984 : Brioude --> 1984-2015 : Brioude-Nord et Brioude-Sud --> 2015-2024 : Brioude
- Commune - 1801-2024 : Brioude
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Basilique Saint-Julien
L'église actuelle de style roman auvergnat aurait été élevée à partir de 1060 en trois étapes :
- 1060-1100 : rez-de-chaussée du narthex, parties basses des deux premières travées de la nef et du porche nord
- 1100-1140 : étage supérieur du narthex, parties hautes des deux premières travées de la nef, porche nord, porche sud
- vers 1180 : après une interruption de trente années, chevet, chœur et troisième travée de la nef.
- Seconde moitié du XIIIe siècle siècle : voûtes d'ogives
Chapelle saint Michel
La chapelle servait à veiller le corps des chanoines lorsqu’ils étaient décédés. L’ensemble de l’église était alors peint avec des couleurs vives. L’auteur est inconnu.
Pavement
Mosaïque polychrome de galets provenant de la rivière Allier, bloqués au mortier de chaux. Elle présente des motifs géométriques ou allégoriques dont des fleurs de Lys allongées. Date du début du XVIe siècle.
Vitraux
A la révolution les vitraux anciens ont été détruits. Au cours du XIXe on rééquipe partiellement l'édifice avec des vitraux signés Lorin de Chartes. En 2008, l'équipement est achevé par des 37 vitraux des baies de la nef qui ne possédaient que de simples vitrages.
Cette réalisation est une collaboration de l'artiste Kim en Joong, moine dominicain d'origine Coréenne, et de l'Atelier Loire de Chartres.
Chapiteaux
A une exception prêt les chapiteaux ne retracent pas la Bible, l'évangile ou à Saint Julien.. Les sujets sont des classiques de l'art roman auvergnat ( Tritons, Sirènes , Animaux...).
L'église Saint-Julien est classé aux monuments historiques depuis 1909[2]
Photos de l'extérieur
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Photo J. Cassagneau -
Vue latérale -
Porte et portail latéral de saint Julien -
Détail sur la porte latéral -
Façade et portail principal -
Modillons de l'abside
Photos chapelle saint Michel
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Un chapiteau et les peintures
Photos intérieur de la basilique
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Photo J. Cassagneau -
Orgue de Stein -
Vierge en lave portant l'enfant qui tient un oiseau dans sa main - XIVe -
Coupole sur trompes -
Pavement
Vitraux
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Vitrail dessiné par Kim en Joong - 2008 -
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Vitraux Lorin -
Vitraux Lorin - 1887
Chapiteaux
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Chapiteau intérieur - Le porte-mouton -
Chapiteau intérieur -
Chapiteau intérieur -
Chapiteau extérieur -
Chapiteau extérieur - Triton
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 4 983 | 5 386 | 5 486 | 5 132 | 5 099 | 5 247 | 4 940 | 4 962 | 4 804 | 4 928 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 4 950 | 4 932 | 4 616 | 4 747 | 4 987 | 5 102 | 4 928 | 4 963 | 4 841 | 4 865 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 4 903 | 4 754 | 5 104 | 5 113 | 5 039 | 5 623 | 5 687 | 6 184 | 7 195 | 7 773 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 7 483 | 7 285 | 6 820 | 6 688 | 6 637 | 6 718 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Cartes postales
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Basilique Saint-Julien -
Les dentelières -
Château de Paulhac...
Photos divers
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Fontaine saint Jean Baptiste
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | - |
- | - | - |
- | - | - |
Jean-Baptiste MARRET | 08/1823 - | - |
Claude SALVETON | 1830 - | - |
- | - | - |
Jean ESCULIER | 09/1878- | - |
Amédée MARTINON SAINT FERREOL | 01/1879 - | - |
Arthur MARSA | 11/1885- | - |
Jean ESCULIER | 04/1887- | - |
Louis DEVINS | 05/1888 - 1917 | Docteur - Député puis sénateur |
MONATTE | 02/1917 - | - |
Pierre BOUDON | 1918 - 1925 | - |
Antoine BERTRAND | 1925 - 1932 | - |
Vincent CHAZELET | 1932 - 1943 | - |
Jean PRADIN | 1944 - 1947 | - |
Paul CHAMBRIARD | octobre 1947 - juin 1964 | - |
Joseph JALENQUES | juin 1964 - mars 1971 | - |
Louis EYRAUD | 1971 - 1983 | - |
Jean-Paul CHAMBRIARD | 1983 - | - |
Pierre CHAMBON | 1989 - 1995 | - |
Jean-Jacques FAUCHER | 1995 - 2020 | Réélu en 2001; 2008; 2014 |
Jean-Luc VACHELARD | 2020 - (2026) | - |
- | - | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Louis Joseph CUSSINEL | 1840- | Ex curé de Saugues[3] |
Jean REDON | 1846- | Ex curé de Saint-Didier-en-Velay[4] |
- | - | |
Dominique PERRE | 1884- | Ex curé de La Chaise-Dieu[5] |
Antonin DUCAT | 1890- | Source[6] |
Pierre Louis Ferdinand GAILLARD | 1895- | Source[7] |
- | - | |
- | - | |
- | - | |
Jean ANGLADE | 2006 - 2013 | Source[8] |
Emmanuel CHAZOT | 2013 - 2020 | Ex curé de Montfaucon-en-Velay, Pradelles[9] |
Les titulaires de la Légion d'Honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
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Voir les 99 notices (en renseignant simplement le lieu de naissance.)
Les titulaires de la médaille de Sainte Hélène
La médaille de Sainte Hélène, créée par Napoléon III, récompense les 405000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815.
Les personnes citées dans le tableau ci-dessous sont nées dans la commune.
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
- | - | - | ||
- | - | - |
Voir les 100 fiches (en renseignant simplement le lieu de naissance.)
Source : Les médaillés de Sainte-Hélène
Militaires durant la première guerre mondiale
- Article détaillé : Consulter la liste des mobilisés ...
Ville de naissance ou de décès de
- Louis ALBANEL, Conseiller à la Cour d'Appel de Paris, Docteur en Droit, °10 Novembre 1851, † ?
Notables
- Louis DEVINS : Maire de Brioude, Député et Sénateur de la Haute-Loire
Émigration en Algérie
- JOSENCI Jeanne, née le 03/07/1834 à Brioude, décédée après 1873, fille de Antoine (+ 28/05/1862 Brioude) et de Jeanne GENTON (sans autres renseignements).
- Elle épouse à Alger, le 14/12/1869, Henri Albert LIEBICH, né le 10/04/1826 à Strasbourg (Bas-Rhin), décédé après 06/1904, chevalier de la Légion d'Honneur, capitaine d'habillement au 3e régiment d'artillerie (1869), commandant en retraite, demeurant (06/1882) à Bordj-Ménaël (Alger), fils de Chrétien Louis (+ 26/09/1838 Strasbourg) et de Henriette FARNY (+ 26/07/1875 Bordj-Ménaël), institutrice en retraite qui était domiciliée en décembre 1869 à Ingwiller (Bas-Rhin). Au mariage ils légitiment 2 enfants :
- Acte de mariage n°309, 16h. La mère de l'époux, Henriette FARNY, veuve, institutrice en retraite, absente, est domiciliés à Ingwiller (Bas-Rhin), et consent au mariage par acte en brevet passé le 3 septembre 1869 devant Me Princk (ou Brinck), notaire à Ingwiller. La mère de l'épouse, épouse actuelle de Antoine PENIDE, consent à ce mariage par acte fait et passé le 22 septembre 1869 en l'étude de Me Couyse (?) et son collègue, notaire à Brioude. Témoins au mariage : LEROY François Charles, chevalier de la Légion d'Honneur, 48 ans, domicilié à Alger, 2ème ravin d'Isly n°4 - BOUTOLLE Henri Louis, 33 ans, "même domicile que ci-dessus" - FAIVRE Ernest, chevalier de la Légion d'Honneur, domicilié à Alger, rue St. Jean de ... (un mot) - LEFEBVRE Louis, 31 ans, domicilié à Alger, rue de la Révolution, tous quatre capitaines au 3ème régiment d'artillerie, non parents ou alliés des futurs époux. Un contrat de mariage a été établi. "... les dits époux nous ont déclaré reconnaître et légitimer par le présent mariage, comme ayant été procréés de leurs oeuvres, deux enfants du sexe féminin, le premier inscrit sous le prénom d'Henriette, né le 29 avril 1858 à Lyon, 3ème arrondissement (Rhône), et le second sous les prénoms de Jeanne Antoinette Emma, né le 1er janvier de cette année à Alger, enregistrés tous deux comme filles des dits Mr LIEBICH et dame JOSENCI."
- Ils auront en tout trois enfants :
- - Henriette, née le 29/04/1858 à Lyon (Rhône).
- - Jeanne Antoinette Emma, née le 01/01/1869 à Alger, y décédée le 30/05/1872 (3 ans).
- - Albert, né le 24/03/1873 à Alger, décédé le 13/03/1880 à Constantine (6 ans).
- Vers 1898, Henri Albert LIEBICH aura une relation avec Berthe CLAYE (o 1866) de laquelle il aura quatre enfants :
- - Jeanne, née le 06/05/1899 à Birmandréis (Alger).
- - Louise, née le 06/01/1900 à Birmandréis.
- - Berthe, née le 12/02/1902 à Birmandréis, y décédée le 17/02/1902 (5 jours).
- - Henry Albert, né le 20/07/1903 à Birkadem (Alger), y décédé le 24/06/1904 (11 mois).
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1802-1942)
- Recensements (1921-1921)
- Mariages (1792-1802)
Documents numérisés
- Paroisse Saint-Geneix-Saint-Jacques. Lacunes : 1608-1635. (1605-1633)
- État civil (1927-1927)
- État civil (1855-1855)
- État civil (1859-1859)
- État civil (1811-1811)
- État civil (1892-1892)
- État civil (1928-1928)
- État civil (1931-1931)
- État civil (1923-1923)
- Paroisse Saint-Julien. Lacunes : 1828. Contient (en fin de registre) des actes de sépultures du 20 mai 1742 au 8 mars 1781, le 16 juin 1790 et quelques actes de 1751 après le mois de février 1758. Pour les années 1795-1799, Voir également le début du registre V-dépôt 72/5 de la commune de Saint-Privat-du-Dragon qui contient quelques actes de Brioude. (1795-1830)
- État civil (1832-1832)
- État civil (1896-1896)
- État civil (1888-1888)
- État civil (1915-1915)
- État civil (1815-1815)
- État civil (1826-1826)
- État civil (1842-1842)
- État civil (1901-1901)
- État civil (1878-1878)
- État civil (1909-1909)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | - | - | - | - | - | - |
Après-midi | - | - | - | - | - | - | - |
Hôtel de ville |
Adresse : 2 Place Lafayette - 43100 BRIOUDE
Tél : 04 71 74 56 00 - Fax : 04 71 74 93 98 Courriel : Contact Site internet : GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Mairie (04/2014) |
Associations d'histoire locale
- Les travaux des généalogistes
Remarques
Bibliographie
Sur Google Books
- Qui êtes-vous ? - Volume 3 - C. Delagrave
Liens utiles (externes)
- Site officiel
- Site Office de Tourisme
- Église romane de Brioude
- Site personnel de Monsieur Jean Luc MOLET
- Emigration en Algérie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Notes et références