42222 - Saint-Galmier
Saint-Galmier | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 42222 |
Code postal | 42330 |
Population | 5 737 habitants (2018) |
Nom des habitants | Les Baldomériens Les Baldomériennes |
Superficie | 1 947 hectares |
Densité | 294.66 hab./km² |
Altitude | Mini: 357 m |
Point culminant | 551 m |
Coordonnées géographiques |
45.590833° / 4.318056° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Bref historique
Ancienne cité gallo-romaine, située sur les contreforts des monts du lyonnais, le village rassemblé sur une colline est dominé par une église du XVe construite à l'emplacement d'un château fort.
Pendant le Haut Moyen Age, Saint-Galmier fait partie du Comté de Forez et devient châtellenie comtale.
Jusqu’en 1280, la première enceinte renferme le château, l’église, le cimetière et quelques maisons.
Saint-Galmier s'est nommé Ville-Fontfort sous la Révolution.
Héraldique
- D'argent au chevron de gueules chargé d'une mâcle du champ.
Article détaillé : Voir la page du blason de Saint-Galmier ...
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Loire
- Arrondissement - 1801-2023 : Montbrison
- Canton - 1801-1825 : Chazelles --> 1825-2015 : Saint-Galmier --> 2015-2023 : Andrézieux-Bouthéon
- Commune - 1801-2023 : Saint-Galmier
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saint-Galmier
Édifice de style gothique flamboyant construit de 1420 à 1471 sur l'emplacement d'une église plus ancienne mentionnée dans les testaments du XIVe.
En 1570, elle fut dévastée par les protestants. En 1614 Mgr de MARQUEMONT constatait l'état de ruine de la chapelle Notre-Dame. Les réparations se sont poursuivies pendant tout le XVIIe siècle.
Le clocher d'origine est le donjon de l'ancien château. Jusqu'au XVIIIe siècle le clocher avait une flèche élancée.
En 1899 le porche et le clocher (donjon de l'ancien château) sont remplacés par une façade néo-gothique (Architecte REY) et un clocher unique alors que le projet en comportait deux. Le second est resté au stade des fondations.
Édifice avec une nef centrale et deux nefs latérales de six travées voûtées sur croisées d'ogives.
Les absidioles des bas-côtés reconstruites, celle de droite en 1619 et celle de gauche en 1671, ne sont pas dans l'axe des collatéraux.
La plupart des vitraux actuels sont de la seconde partie du XIXe siècle et ont été réalisés par Alexandre MAUVERNAY, né à Montromant (Rhône) en 1810 et possédant son atelier à Saint-Galmier depuis 1838.
L'église abrite divers œuvres remarquables dont un triptyque sculpté et peint de la fin du XVe de l'école VAN der WEYDEN, une vierge en pierre calcaire de la même époque.
La restauration de la façade date de 1987, la restauration de l'abside et des vitraux du chœur a été effectuée en 1989.
Des travaux de restauration à l'intérieur ont été exécutés en 1994 permettant de retrouver une grande partie des décors peints du XVIe siècle et XVIIe.
L'église est partiellement classée aux Monuments Historiques depuis 1972[1].
Vierge du pilier
Vierge en calcaire de 1,37 m datée de la fin du XVe ou début du XVIe siècle. Vénérée initialement sous le nom de Notre Dame des Grâces, elle était particulièrement invoquée pour les enfants malades. Elle était recouverte d'un badigeon qui a été enlevé et sous lequel on a retrouvé des trace d'or et de polychromie. Elle est vraisemblablement l'œuvre de Michel COLOMBE sculpteur de la Loire. En 1793, elle échappe à la destruction grâce à un membre de la famille POINT qui la cacha. Un buste en bronze de la Vierge trône au sommet du monument aux morts. Au XXe siècle elle était placée au-dessus du retable dans l'édicule de pierre qui orne le pilier. Mais en 1954, au retour de l'exposition mariale, le curé est confronté à un problème inattendu, le socle de la statue s'était rompu lors des manipulations de la statue. Depuis cette date elle est sur un piédestal provisoire au pied d'un pilier non loin de l'entrée devenant ainsi visible de tous. Classée au monuments historiques au titre objet depuis 1892[2].
Fonts baptismaux
Datés du début du XVIIIe siècle.
Ces fonts sont composés d'une cuve en pierre de plan carré avec les angles abattus, portée par un balustre en pierre de plan carré.
Au-dessus se trouve une armoire en bois à quatre pans dont trois sont sculptés, coiffée d'un ciborium (Baldaquin) :
- Au centre passage de la mer rouge.
- À gauche le baptême du serviteur de la reine Candace par le diacre Philippe.
- À droite, peut être le baptême de Lydie par Paul ou le baptême du centurion Corneille par Saint Pierre.
Au-dessus le baptême du Christ par Jean Baptiste.
Le couvercle des fonts baptismaux a été volé le 29 juin 2002.
Ensemble classé au monuments historiques au titre des objets depuis le 18 mai 1949[3].
Triptyque
Le donateur serai Guillaume HENRYS (vers 1548), chanoine de Montbrison et originaire de Saint-Galmier. Ensemble du XVe siècle en bois travaillé dans la masse et doré à la feuille. Ce travail semble être celui des imagiers de Flandres ou d'Allemagne.
La partie centrale abrite les statuettes. Des volets peints sur les deux faces se ferment sur cette partie centrale.
Statuettes
- Au centre la Vierge et l'enfant Jésus portant un oiseau aux ailes déployées.
- A gauche sainte Catherine foulant l'hérésie.
- A droite sainte Barbe.
- Au-dessus des anges portant des phylactères [4].
Tableaux peints
Intérieur à droite : la naissance du sauveur, et à l'extérieur : saint Jean vêtu d'un manteau rouge et portant l'agneau.
Intérieur à gauche : le mariage de la Vierge, et à l'extérieur : saint Guillaume avec le casque et au-dessous le donateur à genoux.
Classé aux monuments historiques au titre des objets depuis le 21 août 1905 [5].
Vitraux
Les vitraux du chœur représentent autour du Christ des personnages de l'ancien testament, les Évangéliste et les pères de l'église.
En haut de gauche à droite:
- Saint-Grégoire ; Saint-Augustin ; Saint Matthieu ; Saint Jean l'Évangéliste avec l'aigle ; le Christ enseignant ; Saint Pierre avec les clefs et le coq ; Saint Marc avec le lion ; Saint Luc avec le taureau ; Saint Abroise et Saint Jérôme.
En bas de gauche à droite :
Abraham en tenue de guerrier ; le prêtre Melchisdech apportant du pain et du vin ; Daniel dans la fosse aux lions ; Ezéchiel ; Moïse avec les tables de la loi ; Saint Jean-Baptiste ; Isaïe ; Jérémie ; le prophète Nathan devant le roi David avec la harpe.
Dans l'écusson du sommet Dieu le père bénissant.
Oeuvre exécutée par les Mauvernay, classée au titre immeuble aux monuments historiques le 8 novembre 1972 [6].
Article détaillé : Consulter les autres photos de l'église ...
Source [7]
Chapelle Notre-Dame-des-Pauvres
Chapelle située rue de Saint-Etienne, autrefois rue de l’Hôpital.
Du premier Hôtel-Dieu de Saint-Galmier au Moyen Âge, il ne reste que la chapelle Notre-Dame. La fondation de cette chapelle remonte à 1361. L’édifice actuel date de la fin du XVe siècle.
À l’intérieur on peut voir deux fines retombées de voûte et deux clés de voûte aux monogrammes de la Vierge et du Christ. L’hôtel-Dieu a été transféré au début du XVIIIème siècle dans la partie haute du bourg.
Aujourd’hui la chapelle a été restaurée par l’association des Amis du Vieux Saint-Galmier et a pris la dénomination de Notre-Dame des Pauvres.
Le long du mur Nord, on peut encore voir dans la ruelle Sainte-Catherine, les pavés dits « tête de chat » provenant du lit de la Loire.
Jusqu’au milieu du XXème siècle, les rues et les places du vieux bourg étaient pavées à l’identique.
Dans une pièce à l’étage, deux expositions permanentes sont consacrées, l’une aux vitraux profanes du maître-verrier Alexandre Mauvernay (1810-1898), l’autre à des photographies de Saint-Galmier d’hier et d’aujourd’hui.
Source [7]
Ancien couvent des Ursulines
Avant d'accueillir un hôpital puis de devenir successivement hospice puis maison de retraite, le bâtiment était le cloitre des Ursulines.
Le couvent des Ursulines a vu le jour en 1650, il était destiné à l'éducation des filles. Pendant un siècle il fut florissant, les religieuses étaient nombreuses, ensuite il périclita.
La chapelle du couvent date de 1673, elle n'accueille plus d'office. Elle contient un grand retable en bois sculpté inscrit aux monuments historiques depuis 1938[8], une statue de l'Assomption de la vierge classée aux monuments historiques depuis 1941[9] et l'original de la statue de Saint-Roch dont une copie en résine peinte est présente rue Saint-Philippe.
Source [7]
Pont Gavé
Pont permettant le franchissement de la Coise sur la route reliant Saint-Galmier à Saint-Étienne par Chamboeuf. L'ouvrage parfois dénommé Pont Gavet ; Pont Gavey ou Gaviel est à deux arches en ligne brisée en son milieu. Il aurait été édifié dans la première moitié XIVe siècle puisque mentionné en 1381.
Pont construit pour conduire au Manoir de Teillères édifié à cette même époque par Guy VII, comte de Forez.
Du point de vue architectural, ce pont a la particularité d’avoir deux arches à dos d’âne en ligne brisée en son milieu. Les arches sont d’inégale largeur, la plus grande légèrement ogivale, l’autre en plein cintre.
Gaviel signifiant gué vieux.
Maison sur colonnes
Maison du XVIe siècle située place des Roches, place du marché depuis le Moyen Âge, cette maison surplombait les places du Pilori et de la Boaterie.
Une maison identique sur le côté Ouest de la place a été démolie au début du XXème siècle.
Source [7]
Maison Renaissance
Maison située au bas de la rue de Saint-Étienne – n° 24, restaurée dans les années 1950.
Maison pourvue de fenêtres à meneau et à croisée appartenant à l’association des Amis du Vieux Saint-Galmier.
Le rez-de-chaussée, ouvert par des arcades, faisait fonction de boutique.
Pisé et matériaux de réemploi – recouvert par un crépi à la chaux.
Maison classée aux Monuments historiques le 27 février 1945[10].
Source [7]
Porte de Saint-Étienne
Des cinq portes qui s'ouvraient dans les remparts, seule subsiste la porte de Saint-Étienne, autrefois nommée porte de l'hôpital. De cette porte la rue conduit au pont Gavé qui permettait de rallier le manoir de Teillières, ancienne demeure des comtes de Forez.
Source [7]
Le Petit Vernay
Voir l'histoire de cette demeure : cette demeure
Bâtiment administratif de l'usine Badoit
L'ancien bâtiment administratif de l'usine Badoit, propriété de la ville, est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 26 août 2015[11].
Porte de la Devise
De style Renaissance, la porte de la Devise date de 1538 et a donné son nom à la place actuelle de la ville. Son appellation vient de la parabole de la paille et de la poutre illustrée dans la frise du linteau : « Qui voit la paille dans l’œil de son frère, ne voit pas la poutre qui est dans le sien ». Construite en grès houiller, la porte est ornée d’un décor inspiré de l’Antiquité. Au-dessus des colonnes galbées se terminant par des chapiteaux composites, deux personnages mythologiques sont représentés : à gauche, Eros tenant un arc, à droite, Héphaïstos, le maître du feu gouvernant le monde des forgerons. Le tympan ajouré est protégé par une grille portant les armoiries de la famille Tamisier, propriétaire de la maison au XVIIème siècle. Un cadran solaire indique l’heure jusqu’à quatre heures du soir. On accède aux étages de la maison par un escalier à vis. Les services de la mairie occupèrent cette bâtisse jusqu’en 1878.
Porte inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 7 décembre 1925 [12].
Source [7]
Portail de la Châtellenie
Porte située 1, rue Commarmond.
Ce portail de la fin du XVIe siècle a été conservé à la reconstruction de l’immeuble au XVIIIe siècle.
C’est l’ancienne demeure des « Forissier », juges châtelains durant le XVIIIème. Le fronton porte leurs armes : 3 épis.
Autres patrimoines
- Bassins de thermes romains, découverts au milieu du XIXe siècle, détruits dans l'Antiquité par une inondation de la Coise ; les mêmes fouilles ont révélé plusieurs médailles, dont une d'Antonin et une de Licinius (v.250-325)[13]..
- Château de la Croix de Mission.
- Château de la Doue.
- Château de la Rey.
- Château du Verney.
- Un hippodrome créé en 1899 ; avec une piste en herbe de 1 330 m et une piste de trot de 1 220 m, l’hippodrome de Saint-Galmier est appelé hippodrome Joseph-Desjoyaux, nom d'un ancien maire de la commune.
Repères géographiques
La rivière "La Coise" traverse la commune de Saint-Galmier.
Saint-Galmier doit sa célébrité à ses sources d'eau minérale, connues depuis l'époque gallo-romaine mais c'est au XIXe siècle que la ville voit sa renommée grandir grâce à cette eau minérale gazeuse naturelle lancée par Auguste Saturnin BADOIT
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 2 000 | 2 394 | 2 479 | 2 790 | 2 659 | 2 805 | 2 758 | 3 010 | 2 952 | 2 932 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 2 954 | 3 035 | 2 902 | 2 936 | 3 022 | 3 410 | 3 257 | 3 296 | 3 104 | 3 059 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 030 | 2 549 | 2 529 | 2 543 | 2 524 | 2 507 | 2 573 | 2 608 | 2 910 | 3 109 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 3 680 | 4 272 | 5 293 | 5 705 | 5 580 | 5 707 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Cartes postales
Photos
Réplique en résine peinte de la statue de saint Roch déposée à la chapelle du cloître - XVIIe siècle - La niche de saint Roch est encastrée dans la façade d'une maison du XVIe siècle. [7]
Ville de naissance ou de décès de
Décès :
- Roger RIVIÈRE, coureur cycliste né à Saint-Étienne (Loire) le 23 février 1936, décédé le 1er avril 1976
- Alexandre MAUVERNAY, peintre verrier né le 9 mai 1810 à Montromant et décédé à Saint-Galmier le 22 juin 1898.
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Jacques-Étienne AGUIRAUD | -1792 | |
Pierre PASSOT | 1792-1794 | |
VISSAGUET | 1794-1795 | |
André FESSY | 1795-1795 | |
GRANET | 1795-1800 | |
Claude BOURRIN | 1800-1801 | |
Antoine FOUJOLS | 1801-1808 | |
Charles de DAMAS | 1808-1816 | |
Pierre DULAC | 1816-1826 | |
Charles DE DAMAS | 1826-1830 | |
Jean LADEVEZ | 1830-1831 | |
Adrien DULAC | 1831-1838 | |
Bernard TEMPIER | 1838-1840 | |
Grégoire TEMPIER | 1840-1848 | |
Émile PAGNON | 1848-1848 | |
Antoine FORISSIER | 1848-1870 | |
Gilbert LADEVEZE | 1870-1871 | |
DUGAS DE LA CATONNIERE | 1871-1871 | |
Benoît CHERBOUQUET-BADOIT | 1871-1873 | |
Félix COMMARMOND | 1873-1875 | Adjoint faisant fonction de maire |
Jean-Pierre Antoine FORISSIER | 1875-1881 | (1807-1891) - Conseiller général |
Henri PEYRET-LACOMBE | 1881-1884 | |
Louis THIOLLIERE DE L’ISLE | 1884-1896 | |
Joseph DESJOYAUX | 1896-1919 | |
Jean-Baptiste ODIN | 1919-1925 | |
Jean DELANDE | 1925-1929 | |
Joseph DESJOYAUX | 1929-1930 | (1862-1935) - Maire en 1902[14] et 1930[15] |
Didier GUETTON | 1930-1937 | |
Georges FORISSIER | 1937-1937 | |
Gabriel COUSIN | 1937-1945 | Conseiller général - Docteur |
Jean ROLLIN | 1944-1946 | |
Antoine RAVEL | 1946-1959 | Né le 18 octobre 1893 à Saint-Galmier _ Décédé le 31 décembre 1970 à Saint-Galmier - Conseiller général |
Gilbert DUBOIS | 1959-1960 | |
Camille PASSOT | 1960-1971 | Pharmacien |
Maurice ANDRÉ | 1971-Avril 1981 | Décès |
Joannès MOULARD | Avril 1981-1989 | |
Jean-Pierre BOUCHARDON | 1989-2008 | |
Jean-Yves CHARBONNIER | 2008-2020 | |
Philippe DENIS | Juillet 2020-(2026) | |
- | - |
Cf. : Mairesgenweb & Association des Anciens Maire de la Loire.
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
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- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - | |
Antoine MOLANDIER | 10 août 1645 - | Source[16] |
Guillaume de SAINT-MARTIN | - | Source[16] |
Gaspard BELLISSIME | 24 mai 1656 - | Source[16] |
Jean Antoine GAZAN | 18 août 1687 - | Source[16] |
Fleury FLACHAT | 9 avril 1724 - | Source[16] |
Jean Baptiste ARNAUD-TISON | 22 août 1770 - | Source[16] |
Claude VAUDIER | 6 avril 1773 - | Source[16] |
Ennemond CONDAMIN | 21 juillet 1774 - 1789 | Source[16] |
- | - | Période Révolutionnaire |
- | - | |
Jean FOURNIER | Novembre 1814 - | |
Jacques RIOCREUX | Juin 1819 - | |
Jean Baptiste ANIER | Septembre 1826 - Octobre 1826 | Puis curé de Saint-Bonnet-les-Oulles - Source[17] |
Claude DESMURES | Octobre 1826 - | Source[17] |
Antoine BESSON | Juillet 1827 - | Source[17] |
Claude FAURE | 1852 - | Source[17] |
Pierre Marie SEON | Juin 1891 - | (1839 - 1911) - Source [18] |
VERDIER | 1911 - | Ex curé de Millery[19] - Curé en 1921 |
- | - | |
- | - | |
Antoine BOUCHET | 1992 - 1997 | |
Frédéric VILLIER | Depuis 2018 | Curé de la paroisse Saint-Timothée-en-Forez à Saint Galmier et de la paroisse Saint-Joseph-des-Bords-de-Loire à Montrond-les-bains |
Monument aux morts

Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monument aux Morts ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 08h30 à 12h30 | de 08h30 à 12h30 | de 08h30 à 12h30 | de 08h30 à 12h30 | de 08h30 à 12h30 | - | - |
Après-midi | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : Place de la Devise - 42330 SAINT-GALMIER
Tél : 04 77 52 74 00 - Fax : 04 77 52 50 46 Courriel : Contact Site internet : GPS : 45.590833° / 4.318056° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : La mairie est ouverte du Lundi au Vendredi de 8h30 à 12h30 et de13h30 à 17h00. Source : Site (07/2009) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ Fiche Mérimée - Eglise Paroissiale
- ↑ Base Palissy - Vierge du pilier
- ↑ Base Palissy - Fonts baptismaux
- ↑ Petite boîte carrée renfermant les bandes de parchemin sur lesquelles sont inscrits des versets de la Bible
- ↑ Base Palissy - Triptyque
- ↑ Base Palissy - Verrières abside ; absidioles ; chapelle latérale nord
- ↑ 7,0 7,1 7,2 7,3 7,4 7,5 7,6 et 7,7 Panneau informatif sur le site
- ↑ Base Palissy - Retable chapelle des Ursulines
- ↑ Base Palissy - Vierge de la chapelle des Ursulines
- ↑ Fiche Mérimée - Maison renaissance
- ↑ Fiche Mérimée - Bâtiment administratif de l'usine Badoit.
- ↑ Fiche Mérimée - Porte de la Devise.
- ↑ Études archéologiques des eaux thermales ou minérales de la Gaule à l'époque romaine. J. G. H. Greppo. année illisible, XIXe siècle. pp. 83-85. Citation d'une lettre de l'abbé Roux décrivant le premier bassin découvert.
- ↑ Semaine religieuse du diocèse de Lyon - 1902
- ↑ Semaine religieuse du diocèse de Lyon - 1930
- ↑ 16,0 16,1 16,2 16,3 16,4 16,5 16,6 et 16,7 Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités par l'abbé VACHET - Page 359
- ↑ 17,0 17,1 17,2 et 17,3 Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités par l'abbé VACHET - Page 625
- ↑ Semaine religieuse du diocèse de Lyon - Année 1911
- ↑ Semaine religieuse du diocèse de Lyon
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