42168 - Pélussin
Pélussin | |
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![]() Blason de Pélussin | |
Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 42168 |
Code postal | 42410 |
Population | 3 751 habitants (2018) |
Nom des habitants | Les Pélussinois |
Superficie | 3 216 hectares |
Densité | 116.64 hab./km² |
Altitude | Mini : 240 m |
Point culminant | 1340 m |
Coordonnées géographiques |
45.419167° / 4.681667° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Époque Romaine
En 177 débutèrent à Lugdunum les persécutions des chrétiens. L'histoire ou la légende rapporte qu'à cette époque, un petit groupe de chrétiens vint se réfugier dans les montagnes et, plus précisément, à "Pulicinus ultra rhodanum" (Pélussin) où ils fondèrent l'église de Notre-Dame sous terre. En 280, l'empereur Probus autorisa l'extension de la culture de la vigne hors d'Italie. De cette époque romaine, Pélussin et le Pilat hérite la culture des pruniers, des châtaigniers, des pêchers et des cerisiers mais aussi de la vigne sur les versants bien orienté du massif du Pilat (Condrieu ;Chavanay) .
Vestiges néolithiques et gallo-romains retrouvés aux Gouttets , La Guintranie et à Collonges (Pièces de monnaie et Tégula (tuile)).
Bref historique
Paroisse dès le XIe siècle. Seigneurie de Virieu au XIIIe siècle.
Période révolutionnaire
Le 7 et 8 février 1790 élection d'un "nouvelle municipalité" , il y a 138 électeurs pour ce vote.
Le 3 mars 1790 Ollagnier est nommé maire. Le 3 juin , la milice est formée.
Le 4 octobre 1793 les "Béates" (religieuses) de Pélussin sont arrêtées.
Le 14 Octobre 1793 Javogues donne l'ordre au maire (Gabriel POURRET ) de faire arrêter toutes les "Fanatiques" (religieuses).
L'industrie de la soie
L'industrie de la soie s'installait dans le Pilat avec Antoine Gayotti (Famille de Bologne en Italie) dès le milieu du XVe siècle , en 1536 à La Valla-en-Gier, aux sources du Giers, et enfin à Saint-Chamond. Gayotti était sous la protection des seigneurs de Tournon.
Gayotti fut suivi par ses compatriotes Pierre Benay, Horace Benay en 1572, et son fils Jean-Antoine Benay s'installa à Virieu en 1586, pour bénéficier de la protection du château de Virieu qui avait été reconstruit par Jean de Fay. La première mention écrite d'une famille de fileurs concerne l'acquisition par Antoine Benay fileur de deux maisons proche du château de Virieux. En 1597 la famille Benay possède trois moulins pour filer la soie , le tordage se faisant auparavant aux fuseaux.
Cette famille Benay continua un siècle plus tard à apporter ses innovations de Bologne car en 1684, un document parle de prise d'eau pour actionner les moulins à soie de Pierre Benay. En 1717 , la banqueroute du banquier anglais LAW marque la fin de la prospérité des Benay.
En 1759 on dénombre 12 moulinages , en 1856 36 qui occupent plus de 500 adultes et 65 enfants....
Ce développement provoque des conflits avec les prises d'eau. La "rareté" de la main d'œuvre entraine de "l'immigration" de la part de la population de l'Ardèche et de la haute-Loire. La population ouvrière est essentiellement féminine , elle est logée dans des dortoires aménagés. Pour éviter que le personnel change d'employeur trop facilement , ceux ci paye les salaires en retard et ne règle plus ceux ci après le départ des employés.
Le développement de la soie a entrainé un développement de la production des cocons d'où une plantation massive de mûriers. Une délibération du conseil municipalde 1846 fait état de 16000 mûriers cultivés. La principale magnanerie était celle de Martin. La plupart des mûriers disparaissent dans la période 1887 à 1895 de maladie ("Feu Volage").
En 1905 on dénombre 4 usines de tissage à Pélussin.
La guerre des clochers
L'essor de la soierie a attiré une population nouvelle sur la paroisse. Après les italiens , ce sont les Ardéchois et les auvergnats qui émigrent à Pélussin. C'est de cette époque qu'est né la rivalité entre le quartier de Virieu et le Bourg. La population de Virieu (émigré) était plus nombreuse que celle du Bourg , mais la population du Bourg était plus nombreuse sur les listes électorales et possédait plus de propriété que celle de Virieu.
En 1834 , l'église du Bourg (Saint-Jean à l'époque) est trop petite pour accueillir la population , excentrée par rapport à la population de Virieu et en mauvaise état. L'église étant enclavée par d'autres bâtiments , il semble impossible de construire une nouvelle église au bourg d'où l'idée de construire celle ci sur un terrain libre situé sur le plateau des croix , entre le Bourg et le quartier de Virieu .
La municipalité DORRIELLE adopte le projet de déplacement de l'église le 10 Juillet 1836.
Le 19 mai 1838 , le préfet prend un arrêté fixant au plateau des croix la nouvelle église. Mais entre 1836 et 1838 , la municipalité a changé et le conseil municipal du maire (Jean FRANÇOIS ) étant contre , le 3 octobre 1838 , elle se pourvoit en appel contre la décision préfectorale.
En 1839 , la municipalité doit faire un choix , soit reconstruire au Bourg et faire une nouvelle église à Virieu , soit construire sur le plateau des Croix.
En 1840 , la nouvelle municipalité acquière les terrains du plateau de la Maladière , puis revend une partie de ceux ci pour établir des commerces. Les bénéfices réalisé sur cette vente permettent la construction de la place publique des Croix et l'acquisition du terrain pour la nouvelle église.
En septembre 1845 la construction est lancée , en 1847 l'église est couverte et le 20 juillet 1848 elle est inaugurée sous le vocable de Saint-Jean.
En juin 1848 , le conseil municipal vote pour que la commune soit divisé en deux paroisses à condition que la commune ne participe pas aux travaux de réparation de l'église du Bourg.
Le 8 mai 1852 , un décret gouvernementale coupe la paroisse en deux , l'ancienne église Saint-jean désormais baptisée Notre -Dame devenant une succursale de celle des Croix (Saint-Jean).
Jusqu'en 1957 il y aura deux paroisses à Pélussin.........
La rivalité des quartiers
En 1858 la municipalité conduite par Jullien du COLOMBIER lance la construction d'un bâtiment à usage de Mairie place des Croix.
En novembre 1881 la mairie est transférée à Pélussin le bas.
En 1884 le conseil municipal propose le transfert de la mairie place des Croix , mais les services de la préfecture et le ministère de l'intérieur refuse ce projet.
Les rivalités locales se sont maintenues jusqu'en 1940 entrainant "une électorale particulière" , ou la commune est divisée en deux sections élisant leur représentants à raison de sept pour Virieu , les Croix et quatorze pour le Bourg , Notre-Dame.
Le Tacot de Pélussin
Durant la seconde moitié du XIXe siècle , l'industrie de la soie dans le canton de Pélussin était florissante. Pour ne plus dépendre du débit des rivières comme force motrice , les moulinages se sont progressivement équipés de machines à vapeur fonctionnant soit au bois soit au charbon. Le charbon doit être transporté depuis la gare de Chavanay . Les soyeux locaux obtiennent la construction d'une ligne de chemin de fer qui va relier La Talaudière à la Grand-Croix ; La Terrasse-sur-Dorlay puis , par le col de Pavezin Pélussin. La construction débute en 1903 c'est la CFDL (Chemin de Fer Départementaux de la Loire) qui gèrera la ligne. La desserte de Pèlussin est terminée en 1904 et son inauguration a lieu le 7 juillet 1905. Pour rentabiliser la ligne , des wagons de voyageurs sont ajoutés au convois de marchandises. Le train circule sur des voies étroites (1m04).
Divers incidents marquent l'exploitation de ce train (Sabotage des opposants au train ; incidents mécaniques ; surcharge des convois ...) . Pour améliorer la régularité du trafic , les industriels de la soie (en particulier ceux de Maclas ) réclame l'extension jusqu'à Maclas (ligne "Saint-Héand- Pélussin")et la construction d'un viaduc. Celui ci sera réalisé durant la guerre de 1914 - 1918. Ce viaduc a une longueur de 170 mètres et passe à 58 mètres au dessus du "Régrillon". Mais après la guerre l'électricité remplace progressivement les machines à vapeur d'une part et les automobiles concurrencent le train dans le trafic voyageur et le 15 juillet 1931 , le trafic est arrêté , un autocar remplaçant le train.
Électrification
Le contrat définitif qui prévoit l'éclairage de l'agglomération date de septembre 1899 , celui ci prévoit l'installation de 36 lampes et du planning horaire des mis en route. Ce contrat va favoriser l'électrification des mouliniers.
Héraldique
D’azur à la montagne isolée de trois coupeaux d’argent rangés en fasce, chacun surmonté d’un sapin de sinople.
Source : Daniel Juric Conférence Héraldique de la Loire
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Loire
- Arrondissement - 1801-2023 : Saint-Étienne
- Canton - 1801-2015 : Pélussin --> 2015-2023 : Le Pilat
- Commune - 1801-2023 : Pelussin ; Pélussin
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Notre-Dame
L'église moderne de Notre-Dame-Sous-Terre est de style roman. Elle a été construite de 1865 à 1868 et inaugurée le 4 octobre 1868 par le Cardinal Louis-Jacques-Maurice de BONALD . Elle a remplacé une ancienne église du XIe siècle ou du XIIe siècle.
Église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste
La construction de l'église Saint-Jean a débuté en septembre 1847 sous la maîtrise d'œuvre de l'architecte CHAMBEYRON de Rive de Gier. L'inauguration a eu lieu le 20 juillet 1852. L'église a bénéficié d'important travaux d'amélioration en 1868. La sacristie fut construite sur les restes de la Chapelle Saint-Joseph.
Édifice de plan basilical.
le clocher abrite la cloche fondue en 1818 pour l'église Notre Dame.
une important restauration intérieure de l'église a été lancée en 2007. Après 18 mois de travaux, la restauration est achevée mi-décembre 2008, l'église rouvre ses portes pour la veillée de Noël.
Source[1]
Chapelle Sainte-Marie-Madeleine
Au XVIIe siècle, Catherine de MORGE fait construire un ermitage pour construire le frère Laurent DROUAULT. D'autres ermites rejoignent le premiers frère. En 1702, la chapelle est rattachée à la paroisse de Pélussin , elle est bénie par le curé PERRET. Le dernier ermite connu est le frère Joseph en 1719. En 1801, la chapelle est réparée.
La chapelle est placée sous la surveillance de bénévoles.
Jusqu’au milieu du siècle dernier, la chapelle est un lieu de pèlerinage.
Chapelle de plan Barlong, bâtie en pierres cassées, couverte de tuiles.
La partie destinée aux ermites a disparu au fil des siècles.
source[2]
Chapelle Saint-Georges
Chapelle Saint-Georges située au hameau de Virieu a proximité du château.
Jacques de Jarez, marié en 1292 à Béatrice d’Argental, fait construire vers 1300 la chapelle de Virieu qu’il dédie à Saint-Georges. Un petit bâtiment qui n’existe plus, faisait communiquer le château avec la chapelle et formait une tribune d’où les seigneurs pouvaient, sans sortir de leur demeure, assister aux offices. En 1633, la chapelle a été reconstruite au bas des fossés par Catherine Lamothe, veuve de François de Fay.
La chapelle est composée d'une nef prolongée d'un chœur carré surmonté d'un clocher équipé de deux petites cloches. Aujourd'hui le clocher ne possède qu'une cloche.
Texte gravé au dessus de la porte : Loué soit le très saint sacrement de l’autel qui repose dans cette chapelle des seigneurs et Dames de Virieu, dès le siècle 1300. Laquelle est tombée en ruines, a été réédifiée par eux en l’année 1633 et l’autel sacré le 14 juillet 1652. Priez Dieu pour les pauvres âmes .
Le château et la chapelle sont inscrit au titre des monuments historiques en 2001[3]
Château de Virieu
Connu depuis 1173, le château servait de sentinelle avancée chargée de garder les communications de Saint-Chamond avec le Rhône. Jean de Fay fait reconstruire la maison seigneuriale qu'il transforma en demeure de plaisance (fin XVIe ou début XVIIe siècle) , et remet le château en état de défense. L'édifice est constitué d'un corps de logis flanqué de deux tours rondes. La tour sud-ouest a été transformée en "donjon" néo-médiéval à la fin du XIXe siècle par Alexandre Jullien.
Aux environs de 1300, la chapelle Saint-Georges lui fut adjointe à sa droite.
Source[4]
Le château et la chapelle sont inscrit au titre des monuments historiques en 2001[3]
Repères géographiques
Pélussin est situé sur le flanc oriental du massif du Pilat. Les communes qui forment le canton de Pélussin s'étagent en immense amphithéâtre.Le village s'étage en pente rapide depuis la vallée du Rhône (140 m) jusqu'au Crêt de l'Oeillon (1362 m).
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 3 120 | 3 290 | 3 034 | 3 194 | 3 240 | 3 055 | 3 511 | 3 651 | 3 751 | 4 088 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 4 039 | 3 504 | 3 564 | 3 590 | 3 493 | 3 502 | 3 244 | 3 291 | 3 111 | 3 381 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 311 | 3 410 | 3 272 | 3 269 | 3 005 | 2 617 | 2 698 | 2 591 | 2 608 | 2 600 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 2 785 | 3 132 | 3 356 | 3 405 | 3 511 | 3 786 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2016 & 2018.
En photos
Cartes postales
Photos
Notables
- Patrie de Gaston BATY (né le 26 mai 1885), auteur et homme de théâtre , décédé à Pélussin le 13 Octobre 1952. Passionné de marionnettes il a écrit plusieurs scénarios.
- Hippolyte BERLIER, né le 10 mars 1919 à Pélussin, dans le hameau des Fanchises, d'une famille de huit enfants, premier évêque du Niger, entré chez les Rédemptoristes en 1932. Il vit au cœur de la Résistance puis à la première Division Blindée pour la libération de la France, ensuite on le retrouve au Niger. À partir de 1950, il est successivement directeur des écoles, responsable religieux de la vice-province rédemptoriste et enfin évêque de Niamey consacré évêque à Rome par le Pape Jean 23 le jour de la Pentecôte, le 21 mai 1961. Il le resta jusqu'en 1984. Il vit sa retraite au Niger chez les Touaregs, jusqu’à sa mort le 22 septembre 1992 dans la ville d'Arlit. Il est enterré devant la cathédrale de Niamey le 26 septembre 1992. source[5]
- André JULLIEN (1882-1964), cardinal, évêque, né à Pélussin.
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
OLLAGNIER | 03/03/1790 - 1792 | |
Jean-Baptiste BOUCHANIN | 1792 - 1792 | |
Gabriel POURRET | 1792 - 1800 | |
CHAMPAILLER | 1800 - 1812 | |
Pierre COUCHOUX | 1812 - 1812 | |
Jullien du COLOMBIER | 07/1812 - 1830 | |
Martin DAMBUENT | 15/08/1830 - 09/1830 | Maire provisoir |
Louis Francois DORRIELLE | 20/09/1830 - 09/1837 | Médecin |
Jean FRANÇOIS | 23/09/1837 - 1845 | Notaire - Conseiller général (1848-1852) |
Jullien du COLOMBIER | 1845 - 03/1848 | Maire révoqué le 06/03/1848 |
Jean FRANÇOIS | 17/09/1848 - 08/1860 | |
Alexandre JULLIEN | 12/08/1860 - 1870 | Nommé - Conseiller général (1852-1871) |
REVOLLON | 05/09/1870 - 1872 | |
Alexandre JULLIEN | 18/08/1872 - 1884 | |
André JAMET | 10/05/1884 - 1888 | Conseiller général (1871-1889) |
Auguste CHARDON | 20/05/1888 - 1892 | Conseiller général (1889-1892) |
JACQUET | 15/05/1892 - 1900 | |
Louis Edmond ROBERT | 20/05/1900 - 1904 | Révoqué en décembre 1903 |
Joanny JAYET | 1904 - 1904 | Adjoint assurant la fonction de Maire |
Louis Edmond RORENET | 20/05/1904 - 1908 | |
Alexandre REVOLON | 17/05/1908 - 1919 | |
Antoine GUMET | 10/12/1919 - 1925 | |
Alexandre REVOLON | 10/05/1925 - 1929 | |
Louis VEREY | 12/05/1929 - 1944 | |
André JAMON | 9/10/1944 - 1945 | Maire provisoire |
André SCHNEIDER | 20/05/1945 - 03/1959 | |
Pierre JACQUES | 22/03/1959 - 03/1967 | Conseiller général (1964-1967) |
Marie Antoinette PASCAL | 03/1967 - 03/1971 | |
Louis Ernest SOICHEY | 03/1971 - 03/2001 | |
Maurice Antoine LIMONE | 03/1983 - 03/2001 | Conseiller général (1970-2008) |
Georges BONNARD | 03/2001 - 2020 | Réélu en 2008 |
Michel DEVRIEUX | 2020 - (2026) | |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés de Notre-Dame
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Antoine COLLARD | - | |
Pierre GUILLOT | Janvier 1858 - | |
Benoît BOLAND | Mars 1862 - | |
PLANCHET | 1876 - 1887 | |
Jacques Michel BORNAREL | 1887 - | |
Antoine BROSSARD | Décembre 1890 - 1895 | (1844 - 1902) - Puis archiprêtre de Feurs |
Benoît FAURE | Juillet 1895 - 1902 | Puis archiprêtre de Noirétable |
Eugène Jean-Baptiste ROBERT | 1902 - 1906 | Puis curé d'Unieux |
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Louis Antoine BURIN | 1909 - 1924 | (1862-1927) - Ex curé de Chevinay |
Louis BARRALON | 1924 - 1945 | Ex curé de Thélis-la-Combe |
Louis RAFFARD | 1945 - | Ancien curé de Malleval - Originaire de La Croix |
Claudius JOURJON | 1957 - 1959 | |
FAYOLLE | 1959 - | Fusion des paroisses St Jean et Notre-Dame |
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Les curés de Saint-Jean
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
Antoine MOUCHE | Juillet 1804 - | |
Jean Marie VIAL | 1834 - | |
Jean Romain DARD | Septembre 1875 - | |
Benoît PARET | 1881 - 1901 | (1835 - 1091) - Ex curé de Charnay - Avait été vicaire à Pélussin Notre Dame de 1865 à 1867 |
Jean Marie BÉRERD | 1901 - 1921 | (1846 - 1921) - Ex curé de Pradines |
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Jean-Baptiste VINCENT | 1926 - 1936 | (1880 - 1936) - Ex curé de Saint-Maurice-en-Gourgois |
François FOURCHET | 1936 - | Ex curé de Saint- Julien-en- Jarez |
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Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1793-1914)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Liasse notariale de Me DERVIEU (1700-1702)
- Liasse notariale de Me MALLASSAGNY Fils (1755-1757)
- Liasse notariale de Me MALLASSAGNY Père (1729-1730)
- Liasse notariale de Me BOUDIER (1680-1682)
- Liasse notariale de Me CHOMAT 2 (1667-1668)
- Liasse notariale de Me LENTILHON Antoine (1771-1772)
- Liasse notariale de Me MALLASSAGNY Fils (1743-1745)
- Liasse notariale de Me LENTILHON Antoine (1767-1768)
- Liasse notariale de Me MALLASSAGNY Père (1718-1791)
- Liasse notariale de Me DERVIEU (1693-1695)
- Liasse notariale de Me MALLASSAGNY Père (1719-1720)
- Liasse notariale de Me VIGAN (1664-1664)
- Liasse notariale de Me LENTILHON Antoine (1781-1782)
- Liasse notariale de Me CHOMAT 2 (1669-1671)
- Liasse notariale de Me MALLASSAGNY Fils (1746-1748)
- Liasse notariale de Me LENTILHON Antoine (1773-1774)
- Liasse notariale de Me MALLASSAGNY Père (1721-1722)
- Liasse notariale de Me CHALAN (1700-1709)
- Liasse notariale de Me DERVIEU (1703-1705)
- Liasse notariale de Me LENTILHON Antoine (1760-1761)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | - | - |
Après-midi | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : Place de l'Hôtel de Ville - 42410 PÉLUSSIN
Tél : 04 74 87 62 02 - Fax : 04 74 87 70 12 Courriel : Contact Site internet : GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Mairie () |
Dépouillements des registres paroissiaux
Archives notariales
Patronymes
Remarques
Bibliographie
- Pélussin hier Auteur Antonin CHAVAS ISSN 0246 - 8174
- Canton de Pélussin du Docteur Jules Éraud 1885.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Une page sur Pélussin
- Pélussin sur le site Wikipédia.
Notes et références
- ↑ Site communal
- ↑ Fiche d'information sur le site de la chapelle
- ↑ 3,0 et 3,1 Fiche Mérimée - Château de Virieu et chapelle .
- ↑ Panneau explicatif près de la chapelle
- ↑ Courte biographie dans l'église Saint-Jean
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