42094 - Feurs
Feurs | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 42094 |
Code postal | 42110 |
Population | 8 252 habitants (2018) |
Nom des habitants | les Foréziens |
Superficie | 2439 hectares |
Densité | 338.34 hab./km² |
Altitude | Mini: 327 m |
Point culminant | 366 m |
Coordonnées géographiques |
45.741667° / 4.226667° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Ce fut une importante cité Gallo-Romaine, l'antique Forum Segusiavorum (nom gaulois signifiant« marché », « place »), capitale des Ségusiaves. (En 1984, des céramiques furent découvertes dans une nécropole).
- En 52 avant Jésus-Christ, après la défaite de Vercingétorix à Alésia, la bourgade est devenue le Forum Ségusiavorum, une capitale romaine de la cité des Ségusiaves. Feurs était située à un important carrefour de chemins. Le "Cardo maximus" conduisait à Lugdunum et à Rodoumna (Roanne). La voie Décumane menait à la route d'Aquitaine et à son compendium. Un autre tronçon de cette voie conduisait en Auvergne. Les fouilles effectuées à diverses époques montrent que, sous les empereurs Auguste et Claude, la ville grandit et s'enrichit de tous les édifices habituels d'une ville romaine: forum, temple, basilique, thêatre, thermes....avec en son centre un forum tripartite, ensemble monumental comprenant trois parties: administrative, place publique et aire sacrée.
- milieu du IIIe siècle : la crise déchire l'Empire et plonge le Forez dans une période difficile. Il est ensuite envahi, à partir de 270 par les Francs et les Alamans. La ville de Feurs tombe en désuétude et le Forez est rattaché à Lyon. Le "vicus forensis" ne réapparut qu'au Xe siècle et Feurs, alors localité insignifiante, dans l'orbite du prieuré de Randans (Prieuré Forézien dépendant de l'Abbaye Lyonnaise de Savigny), ne put en être le chef lieu comme certains historiens l'ont affirmé.
- Xe siècle, le Forez est un comté dépendant du royaume de Bourgogne.
- 921 : Les Comtes du Forez apparaissent avec Guillaume 1er.
- XIIIe siècle : Feurs connu un essor important, dû principalement à ses marchés qui, avant 1302, furent complétés par des foires au bétail et aux chevaux.
- XVe siècle : fut une époque de développement. Le trafic routier augmenta et le produit du péage fut multiplié par cinq au cours de ce siècle. La ville vu aussi se développer le tissage et la draperie.
- 1417, le Forez est annexé au Bourbonnais dont la capitale est Moulins.
- 1441 : ses comtes l'abandonnèrent pour aller habiter Montbrisson.
- 1452 : il fut conclu le double mariage du Dauphin Louis (Louis XI) avec Charlotte de Savoie et d'Amédée IX de Savoie avec Yolande de France.
- 1534 : Feurs fut rattaché au Royaume avec le Forez. Sa Renaissance accompagna alors celle de la France. Son essor fut limité vers l'ouest par l'absence de pont sur la Loire et par la présences de ramparts.
La Révolution fut très active et les horreurs de la guillotine marquèrent ses habitants. Les 80 victimes du Tribunal révolutionnaire furent presque toutes exécutées à l'emplacement de la chapelle des Martyrs.
- 1564 : les calvinistes s'en emparèrent
Sous la Révolution, le tribunal révolutionnaire dirigé par Javogues fit de nombreuses victimes.
Histoire Industrielle
Le XIXe siècle marqua la ville par les grandes orientations agricoles et industrielles.La prospérité agricole se confirma après son expansion vers l'ouest par la construction du premier pont sur la Loire en 1833 (Pont métallique suspendu) par les architectes : Marc Seguin et frères ; et la compagnie de construction : Cie Jules Seguin. La 3e ligne de France Andrézieux - Roanne ouvre sa 1ère section le 1er août 1832 entre Saint-Bonnet les Oules et Balbigny. C'est à Feurs qui se trouve sur cette section que sont installés les ateliers de la compagnie qui construiront plusieurs locomotives sous les ordres de l'ingénieur Régnié.la réalisation de la ligne ferroviaire Andrézieux-Roanne longue de 67 kilomètres fut achevée en 1833, et donna le premier essor industriel à ville (Fonderie d'acier et une fabrique de machines à vapeur).la ligne est ouverte au transport des voyageurs dès 1832 , la ligne est exploité par Mellet et Henry et utilise une locomotive anglaise STEPHENSON et une FENTON - JACKSON plus chères que les locomotives Françaises de Marc Seguin.
En Juillet 1923, comme l´ancien pont suspendu ne suffisait plus aux besoins du moment, on lança la construction d'un nouveau pont en granit sur l'emplacement du pont suspendu . Le nouvel ouvrage fut livré à la circulation en novembre 1926 et inauguré le 19 Juin 1927.
Toponymie
Le mot latin forum se retrouve également dans Forez (in agro Forensi) ; c'est la ville de Feur qui a donné son nom au Forez.
Héraldique
D'or au pot à feu de sable vomissant des flammes de gueules[1].
Histoire Administrative
- 1790 : il fut décidé d'inclure dans un même département le Forez, le Lyonnais et le Beaujolais, sous le nom de Rhône et Loire. Le chef-lieu était Lyon avec comme districts Montbrison, Roanne, Saint-Étienne et Villefranche.De nombreux maires se sont succédés au début de cette aire nouvelle.Le 27 janvier 1790 GRAS de La BEAUCHE fut le premier maire de Feurs. Il démissionna peu de temps après PLASSON De La COMBE lui succéda et en novembre 179O GEORGERET.
- Département - 1801-2023 : Loire
- Arrondissement - 1801-2023 : Montbrison
- Canton - 1801-2023 : Feurs
- Commune - 1801-2023 : Feurs
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Notre-Dame
L'église actuelle date pour l'essentiel du début du XVe siècle. Elle est de style gothique. De l'église romane du XIe, il ne reste qu'une partie du chœur (Voûte en berceau soutenue par deux murs énormes qui soutenaient l'ancien clocher. Le mur du chevet plat date du XIIIe siècle.
De grands travaux transformèrent l'église entre 1855 et 1862 à l'initiative du curé Jean BRANDON. La façade occidentale fut refaite et la nef prolongée d'environ 5 mètres. L'ancien clocher (Marqué par un petit drapeau en fer) fut démonté et remplacé par un clocher situé au dessus de la façade. Depuis le clocher a été délesté des clochetons pour des raisons de sécurité. Cette façade de style néo-gothique est l'oeuvre de l'architecte lyonnais Pierre BOSSAN et LEO.
L'église mesure à l’intérieur 40 mètres de long par 25 de large. Le clocher domine la place de la mairie de ses 40 mètres de hauteur.
Trois grandes portes en chêne massif sculpté permettent l'accès à la nef et aux collatéraux. Ces portes sont l'oeuvre d'un ébéniste forézien, Ennemond MAGAT. Sur le portail central, sont figurées des emblèmes des litanies de la Vierge.
Au tympan, une vierge à l'enfant assise sous un dais.
Au dessus de la rosace due à BÉGULE, la cloche surmontée de l'horloge est encadrée par deux personnages "JACQUEMART et sa femme" qui marquent les heures et les demies. Les originaux en bois peint sont conservés au musée.
La statue de la chapelle Notre Dame de Feurs (VI sur le plan) est l'oeuvre du sculpteur originaire de Panissières Jean BONASSIEUX. Elle est réalisée en marbre de Carrare et elle mesure 2m de haut. Elle a été exposée au salon de 1848. Le retable fut réalisé suivant des plans de BOSSAN.
La chapelle du Sacré-Cœur est éclairée par des vitraux réalisés suivant des cartons de Georges DÉCÔTE (Professeur à l'école des Beaux-arts). La réalisation est faite par Émile ADLER maître verrier parisien en 1914. Des vitraux réalisés suivant des cartons de Louis CHARRAT (Lyon) complète l'ornementation de la chapelle. La réalisation étant de L PAYET.
La chapelle Saint Pierre est ornée de vitraux de Lucien BÉGULE et d'une statue de FABISH.
Le clocher compte actuellement cinq cloches.
L'église est inscrite aux M.H depuis 1991[2]
Photos diverses
Vitraux
La chapelle des Martyrs
La chapelle se trouve dans l’allée des Rosiers, à l’endroit où ont été fusillés la plupart des 80 victimes du tribunal révolutionnaire, présidé par JAVOGUES, de novembre 1793 à février 1794.
C'est le maire, Pierre-Marie d’ASSIER, soutenu par le curé Michel VIAL, qui est à l'origine de la décision de construire la chapelle.
Le monument fut inauguré le 16 novembre 1826.
À l’intérieur du monument, une fosse ronde et murée reçut les restes qu’on exhuma du « champs des martyrs ».
Le monument édifié en pierre de Donzy à la forme d'un temple grec, il a été édifié sur un terrain donné par M. du ROSIER.
Repères géographiques
La commune de Feurs est située au cœur du Forez (région située dans la partie centrale du département de la Loire), sur la rive droite de la Loire, à environ 65 km à l´ouest de Lyon et au croisement des deux grands axes routiers Saint-Étienne/Roanne et Clermont-Ferrand/Lyon.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 2 600 | 1 796 | 1 837 | 1 937 | 2 240 | 2 571 | 2 646 | 2 816 | 2 943 | 2 894 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 2 823 | 3 060 | 3 048 | 3 216 | 3 249 | 3 451 | 3 492 | 3 719 | 3 766 | 3 983 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 995 | 3 956 | 4 337 | 4 561 | 4 759 | 5 194 | 5 381 | 6 272 | 6 649 | 8 017 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 8 012 | 7 803 | 7 669 | 7 380 | 7 922 | 8 093 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
GRAS De La BEAUCHE | 1790 - 1790 | Démissionnaire |
PLASSON De La COMBE | 1790 - 1790 | |
GEORGERET | 11/1790 - 1791 | |
Jacques BERTUEL | 1791 - | |
- | - | |
- | - | |
Jean-Pierre de MONTAIGNE de PONCINS | 1808 - 1816 | |
Pierre-Marie d'ASSIER | 1816 - 1830 | |
Aîné MONDON | 1830 - 1833 | |
Pierre Jean Baptiste ARNAUD | 1832 - 1833 | |
Jean Antoine MORRETON | 1833 - 1839 | |
Noël Benoit GALLAND | 1839 - 1841 | Notaire - Démissionnaire |
Michel GAY | 1841 - 1841 | |
Jean-Joseph D'ASSIER | 1841 - 1848 | |
PARIAT GERVAIS | 1848 - 1849 | Révoqué |
Jean-Joseph D'ASSIER | 1849 - 1852 | |
Auguste BROUTIN | 1853 - 1865 | |
Eugène DASSIER | 1865 - 1870 | |
Comte Léon de MONTAIGNE de PONCINS | 1870 - 1878 | |
C PARIAT | 1878 - 1881 | |
Jean-Marie NIGAY | 1881 - 1891 | |
Félix NIGAY | 1891 - 1896 | |
Charles DORIAN | 1896 - 1900 | Conseiller général |
Joseph ORY | 1900 - 1904 | |
Joannès MOLLON | 1904 - 1908 | Conseiller général |
Joseph ORY | 1908 - 1912 | |
Antoine DRIVET | 1912 - 1940 | Conseiller général |
Charles GERY | 1940 - 1944 | |
Félix NIGAY | 1974 - 1974 | Conseiller général |
Maurice DESPLACES | 1974 - 1977 | Conseiller général |
André DELORME | 1977 - 2001 | |
Benoit GARDET | 2001 - 2008 | |
Jean-Pierre TAITE | 2008 - (2026) | |
- | - |
Cf. : Mairesgenweb et Bibliographie
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Jean LAPRA | 1874 | |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Benoît de COMBEGRANDE | - | Mort en 1588[3] |
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Jean de COMBEGRANDE | 20/11/1595 - 1614 | Source[3] |
Pierre JAILLY | 1614 - | Décédé en 1651[3] |
Jacques DANZAT | 1651 - | Source[4] |
Jean Marie FARJOT | 23/10/1662 - 18/08/1688 - | Décédé à Feurs le 18 août 1688 (source : AD42 - Feurs.-Baptêmes, Mariages, Sépultures. - 3NUMRP1/1MIEC095X04 - De 1686 à 1691 - vue 54/134) |
Jean-François DUGUET | 25/08/1688 - 13/01/1724 | Né à Montbrison le 8 février 1660, onzième et dernier enfant de Claude DUGUET, avocat au baillage de Montbrison et de Marguerite COLOMBET - Décédé à Feurs le 13 janvier 1724 (source : GALLICA - Recueil de mémoires et documents sur le Forez. Publ. par la Société de la Diana - Tome 6 - vue 3/1880) |
Mathieu CHAMBON | 25/01/1724 - | |
Jean GAYOT | 23/07/1751 - | Source[4] |
Michel VIAL | après 1781 - | Curé en 1793, 1809, 1827 |
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Jean BRANDON | Avril 1828 - 1863 | (1785 - 1863) - Il a lancé les travaux de transformation de la façade et du clocher - Inhumé dans l'ancien cimetière |
Jean MATHEVET | Mai 1863 - | Source[5] |
Pierre BOISSONNET | (?) - 1876 (?) | (1797 - 1876) - Inhumé dans l'ancien cimetière |
Gilbert FILLON | Octobre 1869 - | Source[5] |
Jean François DUPRÉ | Août 1878 - | Source[5] - Puis curé de Saint-Charles à Saint-Étienne |
Jean Baptiste DUMAS | 1882 - 1900 | |
Antoine BROSSARD | 1900 - 1902 | (1844 - 1902) - Ancien curé de Notre-Dame à Pélussin - Inhumé dans l'ancien cimetière |
Louis Antoine DUPRÉ | 1902 - 1919 | (1845 - 1919) - Ancien curé de Saint-Priest-la-Roche |
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1919 - 1934 | (1866 - 1934) - Chanoine honoraire de la Primatiale - Ancien curé de Saint- Just-cn-Bas |
Claude BARRALON | 1934 - | Ancien curé de Saint-Isidore-en-Jarez |
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Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Michel COMBE | 19 octobre 1787 | 13 octobre 1837 | Dossier | |
Henri Mathias BERTHELOT | 7 décembre 1861 | - | Dossier - Général de Division (1915) - Membre du conseil supérieur de la guerre - Ancien élève de St Cyr - Grand-Croix de la Légion d'honneur - Croix de Guerre | |
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Monument aux morts

Ville de naissance ou de décès de
Ville de naissance
- Joseph Guichard du Verney: célèbre anatomiste du Siècle de Louis XIV, naquit à Feurs en 1648. Il est mort à Paris en 1730.
- Michel COMBE (1787-1837) né à Feurs le 19 octobre 1787 ; colonel de la Garde de Napoléon Ier. Engagé dans l'armée impériale à l'age de 15 ans. Chevalier de la légion d'honneur en 1806 à Iéna. Accompagna Napoléon à l'île d'Elbe. Il s'exila en Amérique sous la restauration de 1815 à 1830, il reprit son rang dans l'armée sous le règne de Louis PHILIPPE. Il s’illustra à la prise d’Ancône et par l’organisation de la Légion Étrangère. Mortellement blessé à Constantine à la tête du 43e Régiment d'Infanterie.
- La statue de Combes a été sculptée par M. FOYATIER ; elle a été inaugurée le 16 octobre 1839.
- Henri Mathias BERTHELOT : né à Feurs le 7 décembre 1861 et mort à Paris le 29 janvier 1931, est un général français ayant servi pendant la Première Guerre mondiale. Il est inhumé à Nervieux .
Ville de décès
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | - |
Après-midi | de 13h30 à 17h30 | de 13h30 à 17h30 | de 13h30 à 17h30 | de 13h30 à 17h30 | de 13h30 à 17h30 | - | - |
Mairie |
Adresse : Place Antoine Drivet - 42110 FEURS
Tél : 04 77 27 40 00 - Fax : 04 77 26 50 60 Courriel : Courriel Site internet : Mairie de Feurs GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Mairie de Feurs (Janvier 2011) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Sur Geneanet
Histoire de la ville de Feurs et ses environs
Librairie
- Feurs La plaine du Forez par H Ramet ; Geoffroy et Georges GUICHARD au éditions et librairie CHEVALIER de Saint-Étienne.
Sur Google Books
- Encyclopédie militaire et maritime: Dictionnaire des armées de mer - Louis Pierre François Adolphe Chesnel de la Charbouclais (marquis de) - 1865 - Google Book
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Fiche Mérimée - Église Notre-Dame
- ↑ 3,0 3,1 et 3,2 Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités / par l'abbé VACHET - Page 160
- ↑ 4,0 et 4,1 Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités / par l'abbé VACHET - Page 161
- ↑ 5,0 5,1 et 5,2 Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités / par l'abbé VACHET - Page 619
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