37079 - Civray-de-Touraine
Civray-de-Touraine | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Indre-et-Loire |
Métropole | |
Canton | 37-03 Bléré
37-03 Bléré (Ancien canton) |
Code INSEE | 37079 |
Code postal | 37150 |
Population | 1 801 habitants (2018) |
Nom des habitants | Civraisiens, Civraisiennes |
Superficie | 2 288 hectares |
Densité | 78.72 hab./km² |
Altitude | Mini : 46 m |
Point culminant | 129 m |
Coordonnées géographiques |
47.332222° / 1.048611° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Vers le milieu du VIe siècle, le domaine de Civray appartenait à saint Germain, évêque de Paris. Plusieurs siècles après, il fit partie des propriétés de la maison d'Amboise. Confisqué, en 1431, sur Louis d'Amboise, il fut annexé aux domaines de la Couronne. Les rois le cédèrent ensuite à titre d'engagement ou d'usufruit.
Jehan Gossart en était seigneur engagiste en 1480 ; Adrien de Bernaige, écuyer de Charles VIII, vers 1501. Jehan Bourtrye en fut usufruitier de 1534 à 1544.
En 1571, Henri, duc d'Anjou et de Touraine, racheta la terre de Civray de Pierre de Bray et d'Isabeau Chanteloup, sa femme, qui la détenaient comme engagistes et la donna à sa nourrice, Guillemette Bezars, femme de Denis Chereau, contrôleur général de la maison de la reine. Il était stipulé, dans l'acte, que le domaine était rachetable moyennant 2696 livres. Mis aux enchères publiques par ordre du roi, le 17 juin 1591, il fut adjugé, à titre d'engagement, à Jean-Mathias Salviatris, au prix de 8076 livres. Le 8 août 1603, pour le prix de 9756 livres, Marie de Beaucaire, princesse de Martigues et duchesse de Penthièvre, en devint adjudicataire. Elle en prit possession le 8 février de l'année suivante.
Marie de Beaucaire, fille de Jean de Beancaire, seigneur du Puy-Guyon, sénéchal de Poitou, et de Guyoune du Breuil, était veuve, en 1604, de Sébastien de Luxembourg. Sa fille, Marie de Luxembourg, dame de Civray, duchesse de Mercoeur, d'Étampes et de Penthièvre, femme de Philippe-Emmanuel, duc de Mercoeur, mourut à Anet le 6 septembre 1623.
La terre de Civray passa ensuite à Françoise de Lorraine, fille de Marie de Luxembourg, et à César de Vendôme, son gendre. Depuis cette époque, jusqu'à la Révolution, elle fut possédée par les seigneurs de Chenonceaux.
Au XVIIe siècle, l'étendue du domaine était de quarante-sept arpents. Il était affermé pour 530 livres par an.
On a vu plus haut que Marie de Beaucaire, dame de Civray, en prenant possession de cette terre, était entrée dans l'église et y avait fait acte de propriétaire des droits honorifiques attachés à la qualité de seigneur-fondateur. Il est certain cependant que ces droits ne lui appartenaient pas et qu'il faisaient partie des privilèges du seigneur de Mesvres. On en trouve la preuve dans divers titres, notamment dans un acte du 5 octobre 1731.
Avant la Révolution, Civray était dans le ressort de l'élection d'Amboise et faisait partie du doyenné d'Amboise et du grand-archidiaconé de Tours. En 1793, il dépendait du district d'Amboise.
Toponymie
Le nom de Civray-de-Touraine
- Severiacum villa, VIème siècle (Vie de saint Germain, par Fortunal).
- Parochia de Syvrayo, Sivrayio, 1150, 1207.
- Sivraia, 1253,
- Syvrais, parochia de Syvrayo, vel de Syvreio (chartes de l'abbaye de Villeloin et Cartulaire de l'archevêché de Tours).
- Ecelesia de Sivrayo super Karum, 1300.
- Sivray, Suivray, 1534 (charte de Louis d'Amboise).
- Civray, carte de Cassini
- Civray (bulletins des lois : 1801) puis
- Civray-sur-Cher elle fut renommée Civray-de-Touraine le 23 décembre 1954.
Héraldique
« D'azur au pont pointu d'une arche ogivale, d'or maçonné de sable, accompagné de trois tours d'argent, maçonnées de sable et ouvertes du champ, et surmonté d'une grappe de raisin tigée, au naturel[1]. ».
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Indre-et-Loire
- Arrondissement - 1801-2024 : Tours
- Canton - 1801-2024 : Bléré
- Commune - 1801-1954 : Civray --> 1954-2024 : Civray-de-Touraine
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saint Germain
D'après MM. J.-J. Bourassé et C. Chevalier (Recherches sur les églises romanes en Touraine, p. 85), l'ancienneté de l'église de Civray remonterait au temps de saint Germain, évêque de Paris, c'est-à-dire à la seconde moitié du VIe siècle. Cette église est dédiée à saint Germain.
Le chœur, datant du XIIe siècle, est orné de trois belles verrières de la même époque. Le mur méridional, dans lequel on a employé le petit appareil, est une construction antérieure à l'an mil.
L'ancien clocher, qui s'élevait au milieu de l'inter-transept, a été détruit de nos jours. Le clocher actuel a été bâti en 1861.
Dans les fouilles entreprises pour la construction de ce clocher, M. l'abbé Chevalier a découvert les restes du dallage d'un baptistère mérovingien et la cuve dans laquelle le baptême était administré par immersion. Cuve en poterie (un dolium) qui devait être à l'origine (IVe ou Ve siècle) une grande jarre utilisée pour le stockage du grain. Ce dolium est conservé à Tours, à l'Hôtel Goüin, musée de la Société archéologique de Touraine. Celui-ci était relié par une porte à une église de la même époque que remplaça, au XIe siècle, la nef actuelle, prolongée probablement par une abside en hémicycle. De cette église du XIe siècle subsistent le mur méridional de la nef et les murs du croisillon sud. Le mur de la nef a été surélevé ou réparé à sa partie supérieure au XIIIe siècle.
Le mur nord de la nef est percé d'une porte en arc brisé à double rouleau, qui date du XIIIe siècle.
Le chœur a remplacé, à cette époque, l'abside romane. Il est divisé en deux travées couvertes de voûtes angevines et s'ouvre d'un triplet qui comprenait des vitraux du XIIIe siècle soufflés par une bombe en 1944, mais heureusement réparables. Ces vitraux représentent des scènes de la Passion, la vie de saint Nicolas et de saint Germain.
Au milieu du XIIe siècle, l'église de Civray appartenait à l'abbaye de Villeloin, ce qui est constaté par une charte d'Engebaud, archevêque de Tours. Par des bulles des papes Adrien IV (1156) et Innocent IV (1253), l'abbaye fut maintenue dans cette propriété qui, par la suite, se trouva réduite au seul droit de présentation au titre curial.
Un acte du XVIIe siècle fait mention d'une chapelle dédiée à Notre-Dame-du-Rosaire et qui était desservie dans l'église.
Dans le logis seigneurial des Cartes, situé dans la paroisse de Civray, se trouvait une chapelle à laquelle le curé de la Croix-de-Bléré était tenu de se rendre processionnellement, tous les ans, le jour de saint Roch. On y disait la messe ce jour là seulement. Elle fut interdite par l'archevêque de Tours en 1787.
L’église est classée au titre des Monuments Historiques par arrêté du 19 juin 1946[2].
Le Château de Mesvres
Des vestiges importants de la forteresse du XIIe siècle sont constitués par d'épaisses murailles en opus spicatum qui furent conservées et utilisées au XVe siècle, lors de la reconstruction du château.
Du côté méridional se dresse un donjon carré, reconstruit à plusieurs époques, comme en témoignent les reprises. La base est du XIIIe siècle, le sommet du XVe. La porte en tiers-point aujourd'hui remplacée par une baie, était défendue par un pont-levis et par une bretèche.
A l'est du donjon, la chapelle dont le mur sud date du XIIIe siècle, fut refaite au XVe. Une cheminée indique qu'elle fut utilisée comme habitation.
Ancien fief, relevant du château d'Amboise, à foi et hommage lige.
Il existait, à Mesvres, une chapelle (actuellement désaffectée) dans laquelle on devait dire quatre messes par an. En 1787 , ces messes n'étaient plus célébrées. Cette chapelle est mentionnée dans le Registre de visites du diocèse de Tours (1787).
La collégiale de Saint-Martin, les Carmes et les Jacobins de Tours possédaient des métairies faisait partie du hameau de Mesvres.
Au nord-est du château s'ouvre dans une tranchée, la porte en tiers-point de souterrains dont la profondeur donne une idée de l'étendue de la forteresse d'origine.
Le château est inscrit au titre des Monuments Historiques par arrêté du 10 juin 1932[3].
La Chapelle Notre-Dame de Sérigny
Le lieu, placé sur le trajet de la voie romaine de Poitiers à Bourges, apparaît dans une charte de 1166 restituant à l'abbaye bénédictine de Saint-Sulpice de Bourges les coutumes du domaine de Sérigny. La plus ancienne mention de la chapelle remonte au milieu du XVe siècle.
Elle était une chapelle annexe du prieuré régulier de Saint-Pierre. La chapelle, de plan allongé, ne comprend, comme la majorité des églises romanes du Berry, qu'un vaisseau unique.
La nef longue et étroite est suivie d'un chœur plus élevé et de même largeur et se termine par un chevet plat. L'édifice a été construit en deux campagnes. La nef romane date du XIIe siècle. Vers 1500, la chapelle fait l'objet d'une restauration importante. Le chœur est reconstruit, la dernière travée de la nef (qui correspond peut-être au chœur de l'édifice roman) est remaniée et une charpente à chevrons portant fermes couvre l'édifice.
Le chœur, à chevet plat et voûte angevine, datant du XIIe siècle, est orné de trois belles verrières de la même époque. Le mur méridional, dans lequel on a employé le petit appareil, est une construction antérieure à l'an mil. À l'intérieur, une pierre d'autel armoriée (XVIIe siècle) provient du Donjon de Mesvres.
Au 19e siècle, pour aménager des pièces d'habitation et installer un atelier de maréchal-ferrant, l'espace intérieur a été compartimenté par des divisions horizontales et verticales.
Le Manoir de Thoré
Le fief de Thoré relevait du château d'Amboise et a été acquis en 1515 par Thomas Bohier. En 1557, Diane de Poitiers le fit incorporer à la châtellenie de Chenonceaux. En 1770, le fief appartenait à Étienne François de Bray. Le château passe pour avoir été construit au 17e siècle, comme le suggère le pavillon sud dont l'usage initial n'est pas connu (pigeonnier ?), mais on ne connaît pas sa configuration à cette époque. Le plan cadastral de 1825 montre que le corps de logis ouest et le grand corps des communs existaient déjà. En 1862, Thoré appartient à Henri Cochard qui le fait remanier en 1865. L'architecte chargé de ces travaux n'est pas connu. Le portail nord sur rue date vraisemblablement de cette campagne. Un logis en rez-de-chaussée situé dans le prolongement nord du grand corps de logis a été surélevé à une date indéterminée ; la disposition antérieure est attestée par des cartes postales.
Le Logis de Diane
Le manoir date du 16e siècle. Il est édifié par Diane de France, fille naturelle d'Henri II et d'une Piémontaise de petite noblesse, Philippa Ducci (Philippe Desducs). Diane cède la propriété en usufruit le 10 septembre 1605 à Didier Hénault dit La Forest, valet de chambre ordinaire. Le manoir devient en 1610 la propriété de Pierre Martineau, puis est acheté en 1614 par Henri Dadde, écuyer. Il passe au cours du 18e siècle à Charles d’Escoubleau, marquis de Sourdis. En 1787, le manoir est vendu par Philippe François Frappier, notaire à Civray, à Jean-René Diet, notaire, et à son épouse Félicité Lestourd. Il est ensuite racheté par la commune le 9 mai 1833. Aménagé au cours du 19e siècle en mairie et école, il conserve cet usage jusqu'à la construction en 1954-1955 de la mairie et de l'école actuelles. En 1974, la commune revend le manoir qui appartient depuis à un particulier.
Le Manoir de la Grillonnière
Le Manoir de la Grillonnière, situé à la sortie nord de Civray, date des XVème et XVIème siècles et a été remaniée au XIXème siècle.
Le logis est un grand corps de bâtiment qui comporte des pignons à rondelis fleuris. Il est flanqué sur la rue de deux tourelles cylindriques en poivrière à toit conique.
Une double porte d'entrée, charretière et piétonne, donne accès à la propriété.
Le closier logeait dans le grand pavillon du XVIIème siècle bâti dans la cour intérieure.
Le Château de Civray
Le château de Civray a remplacé un édifice plus ancien. Il a été édifié en 1715 pour le tourangeau Louis Lhomme de La Pinsonnière. Les plans auraient été établis par Germain Boffrand pour un premier projet de Montgeoffroy en Anjou. Il a été remanié sous la Restauration et prolongé par deux petits pavillons. La propriété, située à l'est du village, close de murs, couvre quatre hectares. Un jardin régulier précède le château orienté nord-sud, deux terrasses dominent au sud un parc paysager, arrêté en contrebas par le remblai de la voie ferrée. Dans le parc, une crypte abrite le caveau familial. L'angle nord-est de la propriété est occupé par la cour des communs, datés de 1635.
Le Château de Petit-Bois
Le château privé du Petit-Bois a été édifié au 17ème siècle et modifié au 19ème siècle.
Four a chaux troglodytiques
Le plan cadastral de 1825 figure sur la parcelle D 1971, la représentation symbolique de 2 fours, et la mention .four à chaux. Vraisemblablement, seconde moitié du 18ème siècle, non mentionné sur la carte de Cassini.
A cette date, le site appartient à Antoine Capillon, chaufournier ; en 1852, le cadastre porte la mention « ruine et démolition » la cessation de l'activité s'étant donc produite antérieurement à cette date
Actuellement, locaux troglodytiques creusés dans la masse sous les deux cuves, dépendances d'un habitat troglodytique.
Aucun chaufournier n'est relevé à Civray-de-Touraine au 19ème siècle, hormis Antoine Capillon cité en 1825. Les parties constituantes sont un hangar et une cave habitée sur la même parcelle dont la construction est datée de 1829.
Fours troglodytiques à feu intermittent et flammes longues destinés à la cuisson de pierre à chaux, leur cuve ayant une capacité brute estimée à 8 m3 pour l'un et 3,500 m3 pour l'autre.
La matière première était prélevée sur le versant sud de la pente de Vaux à proximité immédiate des fours.
Bien que la partie inférieure de ces fours se soit effondrée ou ait été détruite, afin de permettre l'aménagement de locaux troglodytiques, des observations peuvent néanmoins, être faites.
On remarque ainsi que les 2 fours étaient proches l'un de l'autre, les cuves de forme ovoïde séparées d'axe en axe de 2,30 m seulement étaient chemisées en brique. Leur bouche de foyer défournement était ouverte au sud. Les gueulards sont recouverts.
Les cuves sont creusées dans le rocher et chemisées en brique. Le site était desservi par une voie particulière. La surface était de 375 m².
La halte de Civray
En 1905, les gares de La Croix et Chisseaux étaient desservies parce qu'on appelait des trains de banlieue, ou trains « Bidault », parce qu’ils étaient dus à l'intervention du sénateur maire de Bléré, Charles Bidault. Ils assuraient un service voyageur jusqu'à Montrichard, mais passaient « au nez et à la barbe » des habitants de Civray-sur-Cher. Élus et population réclamèrent la construction d'une halte près du Passage à Niveau n° 211.
Après avoir obtenu satisfaction, dans le courrier impressionnant qui parvint à la mairie entre mai 1905 et juillet 1909, il était fait mention de la « Halte de Civray-sur-Cher ».
Jusqu'au jour où un employé de l'inspection des Chemins de fer de Tours demanda à la municipalité « une dénomination à donner à cette halte pour éviter la confusion avec les autres stations du même nom, notamment celle de Civray dans le Cher ».
Civray-de-Touraine fut le choix de la municipalité. Le 1er avril 1910, elle fut ouverte au public, avant d'être inaugurée les 16 et 17 avril. Accompagnés de la société des Amis Réunis, la fanfare locale, les officiels dévoilèrent la plaque du pignon Ouest : Civray-de-Touraine.
Pendant de nombreuses années, nous avons eu le plaisir d'entendre la voix du chef de train annoncer : « Civray-de-Touraine ! »
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 864 | 898 | 944 | 972 | 1 029 | 1 045 | 1 083 | 1 087 | 1 116 | 1 152 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 1 186 | 1 149 | 1 133 | 1 160 | 1 185 | 1 197 | 1 124 | 1 017 | 1 020 | 1 003 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 976 | 945 | 900 | 825 | 839 | 841 | 947 | 973 | 918 | 1 037 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 158 | 1 377 | 1 523 | 1713 | 1830 | 1 842 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
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Ancienne mairie -
Le pont de la Canardière -
L'écluse et le barrage -
L'écluse sur le Cher -
La maison éclusière -
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Le château de l'Isle
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Simon BOUTIN | 1703 | - |
Jean-René DIET | 1801 | - |
Jean-René DIET | 29 décembre 1807 | - |
Jean-René DIET | 14 décembre 1812 | - |
Alexis-Jacques-Louis LHOMME de la PINSONNIÈRE | 14 août 1815 | Né en 1788 - Comte et Pair de France - Conseiller général du canton de Montrésor (1833-1842) et de Loches (1842-1848) - Député (1830-1839)[4] - Décédé en 1869 |
Alexis-Jacques-Louis LHOMME de la PINSONNIÈRE | 1er août 1821 | - |
Alexis-Jacques-Louis LHOMME de la PINSONNIÈRE | 22 novembre 1831 | - |
Alexis-Jacques-Louis LHOMME de la PINSONNIÈRE | 21 juin 1840 | - |
Alexis-Jacques-Louis LHOMME de la PINSONNIÈRE | 2 juillet 1846 | - |
De La BROUSSE | 1848 | - |
CORMIER | 1806 | - |
François GODEAU-VINGEON | 16 février 1874, 21 janvier 1878 | - |
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Christian ROCHER | 1995-1999 | - |
Alain BERNARD | 1999-2018 | - |
Fanny HERMANGE | 2018 - (2026) | - |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Guillaume GLAÇON | 1290 | |
Jean de KERROP | 1300 | |
Robert PERTHUYS | 1515 | |
Pierre de PONCRAY | 1551 | |
Claude MALDANT | 1640. | |
Nicolas SUPPLIGEON | 1702 | |
Nicolas TRESSAY | 1711 | décédé le 15 mars 1766 |
Pierre DAVEAU | 1766, mai 1791 | Curé constitutionnel, 1792. En novembre 1792, il prend la qualification d'officier public |
Pierre DAVEAU | 1803 | |
François LECOMTE | 1808 | |
FAIVRE | 1821 | |
CHARTRAY | 1831 | |
POISSON | 1853 | |
CHEVALIER | 1856 | |
DUVAL | juin 1869 | |
- | - | |
- | - |
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | 8h30 - 12h00 | - | - |
Après-midi | 14h00 - 17h00 | 14h00 - 17h00 | 14h00 - 17h00 | 14h00 - 17h00 | 14h00 - 17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 1 rue des Écoles - 37150 CIVRAY-de-TOURAINE
Tél : 02 47 23 62 80 - Fax : 02 47 23 62 88 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : [1] (Septembre 2015) |
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Recensements (1911-1911)
Documents numérisés
Cimetières
Dépouillements des registres paroissiaux
Archives notariales
Patronymes
Remarques
Bibliographie
- L’origine des noms de lieux de l’Indre & Loire - Stéphane Gendron - Edition Hugues de Chivré.
- Dictionnaire géographique, historique et biographique d’Indre & Loire et de l’ancienne province de Touraine Tome I à VI - J-X Carré de Busserolle - BNF Galicia.
- Histoire de Touraine depuis la conquête des Gaules par les Romains jusqu’à l’année 1790 - J. L. Chalmel - Edition Fournier - BNF Galicia.
- Armorial général de France T 1 et 2 - Charles d’Hozier - BNF Galicia.
- Charte de l'Abbaye de Saint Julien de Tours du XIème au XIVème siècle - BNF Galicia.
- Dictionnaire Historique et Héraldique de la Noblesse Française - D. de Mailhol - BNF Galicia.
- Le Val de Loire, Patrimoine Mondial - Fondation du patrimoine.
- Histoire généalogique et chronologique de la Maison Royale de France - P. Anselme - BNF Galicia.
- Société d’Histoire, Lettres Sciences & Arts de La Flèche, Les Annales Fléchoises et la Vallée du Loir, Revue historique, Archéologique Artistique et Littéraire, Janvier-décembre 1912.
- Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze.
- L'abbé C. Chevalier, Promenades en Touraine.
- L’association « Les amis du Cher canalisé ».
- Inventaire général du patrimoine culturel.
- Le Canal de Berry (Joachim-de-Bellay).
- Les manuscrits à peintures en France 1440-1520, François Avril, Nicole Reynaud, Flammarion.
- État de la France - 1752 - Comte de Boulainvilliers par T. Wood & S. Palmer à Londres, Tome 6.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références