37073 - Chisseaux

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Chisseaux
Fichier:Blason Chisseaux-37073.png
Informations
Pays    France
Département    Indre-et-Loire
Métropole
Canton   37-03   Bléré

  37-03   Bléré (Ancien canton)

Code INSEE 37073
Code postal 37150
Population 611 habitants (2016)
Nom des habitants Chisseaussois, Chisseaussoises
Superficie 1180 hectares
Densité 51.78 hab./km²
Altitude Mini: 54 m
Point culminant 136 m
Coordonnées
géographiques
47.331389° / 1.093056° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
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Histoire de la commune

Avant la Révolution, Chisseau se trouvait dans le ressort de l'élection d'Amboise et faisait partie du doyenné de Montrichard et du grand-archidiaconé de Tours. En 1703, il dépendait du district d'Amboise.

En 1521, le fief de Chisseau appartenait à Jacques Renard, qui le vendit, en 1526 à Antoine Bohier. Celui-ci le céda à Guillaume Bohier, son frère, bailli de Cotentin. Le 23 février 1555, Diane de Poitiers acheta ce domaine d’Adam de Hodon et obtint, en octobre 1557, des lettres-patentes qui l'incorporèrent à la châtellenie de Chenonceaux, avec les terres de Moulin-Fort, de Vrigny, de Coulommiers et autres.

Chisseau resta uni à Chenonceaux jusqu'à la Révolution.

Le fief de Pont, ou Bois-de-Pont, situé dans cette paroisse, relevait de Montrésor à foi et hommage-simple. Au XVIe siècle, il était réuni à la terre de Chenonceaux.

Céphoux, fief situé dans la paroisse d'Orbigny, relevait de Chisseau, ainsi que le fief de la Borde, qui s'étendait dans les paroisses de Troyes et de Saint-Branchs.

De nos jours, on a découvert, près du bourg et aux Gibets, des débris de murs gallo-romains et les restes d'un aqueduc de la même époque.

Sous les Mérovingiens, il existait, à Chisseau, un atelier monétaire. M. de Ponton d'Amécourt, dans ses "Recherches sur les monnaies mérovingiennes en Touraine", cite une monnaie provenant de cet atelier.

Héraldique

« D'azur à deux clés d'argent passées en sautoir, surmontées de trois besants d'or chargés chacun d'une tête de Minerve au trait de sable et rangés en chef, à la bordure componée d'argent et de gueules ».

Toponymie

Le nom de Chisseaux :

  • Cisomarrus, Cisomagensis virus, IVe (Greg. Tur. hist., lib. X, 31).
  • Ecelesia de Chissiau, 1219 (charte de l'abbaye de Villeloin). Chisseium,
  • Parochia de Chisseau, XIIIe siècle (Cartulaire de l'archevêché de Tours et charte de Villeloin, 1232).
  • Chisseau-sur-Cher-lez-Montrichard, 1510.
  • Chisseau , carte de Cassini.

C’est à tort que depuis le milieu du XVIIIe siècle on a ajouté un X à la fin du nom de cette localité.

Héraldique

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Indre-et-Loire
  • Arrondissement - 1801-2024 : Tours
  • Canton - 1801-2024 : Bléré
  • Commune - 1801-2024 : Chisseau

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine bâti

Église Saint-Pierre

Photo J.P. Mélinon

La tradition relate que l'église de Chisseaux aurait été fondée par saint Martin au IVème siècle ; on ignore l'emplacement précis de cette église et aucun vestige n'en a été retrouvé à ce jour. Elle aurait été reconstruite au cours du 10ème siècle.

Le mur nord de la nef constitue la partie la plus ancienne de l'église actuelle ; certains y voient un vestige de cette construction mais il peut également avoir été reconstruit au XIème siècle. La travée droite du chœur et le clocher, arasé ou inachevé, datent du XIIème siècle. Le chevet date du XIIème ou du XIIIème siècle. La charpente de la nef semble dater du XVème ou du XVIème siècle. La voûte du chœur a été reconstruite au XVIIIème siècle.

Un premier projet d'agrandissement, dressé par les architectes tourangeaux Alison et Guérin, prévoyait la construction d'un transept. Ce projet figure sur un plan daté du 15 mai 1865, auxquelles des modifications ont été apportées à la demande du conseil municipal : l'idée initiale d'un transept est abandonnée et l'on envisage la construction d'un collatéral de trois travées, doublant la nef au sud et se prolongeant à l'est jusqu'à la sacristie. Approuvé en juin 1868 par le préfet, c'est bien ce projet qui fut réalisé.

Le portail ouest est refait en 1904 d'après les plans des architectes tourangeaux P. Bataille et E. Boué. Ils réalisent également les plans de la nouvelle sacristie, construite à l'emplacement de l'ancienne.

L'église Saint-Pierre est inscrite aux Monuments historiques depuis 1947[1].

La fresque

La fresque représente la Cène, ou Institution de l'Eucharistie. Le Christ est entouré de cinq des douze apôtres assis à sa droite. Le fragment conservé est peint sur le mur le plus ancien de l'église.

Le mot fresque provient de l'italien dipingere a fresco, qui signifie peindre à frais, et désigne une technique délicate utilisant des couleurs, obtenues à partir d'oxydes de fer, diluées à l'eau et appliquées sur l'enduit frais, (fait de chaux éteinte et de sable fin) d'un mur.


Le château de Chisseaux

Le château privé de Chisseaux date de l'époque de la Renaissance.

Photo : P. Goetgheluck

Le Moulin-Fort

Photo Violette lutz

L'histoire du Moulin Fort est liée à celle du château de Chenonceau; il est représenté sur une planche des Plus excellents bâtiments de France de Jacques Androuet du Cerceau. Bien que publié en 1582, ce volume montre un état d'avancement du château antérieur à 1576 puisque la construction de la galerie sur le pont n'est pas commencée. Entre 1540 et 1542, Adam de Hodon, ambassadeur de Renée de France (seconde fille de Louis XII et d'Anne de Bretagne), acquiert les terres de la Chervière à Chisseaux et Vrigny à Saint-Georges-sur-Cher. Ayant constitué un domaine suffisamment vaste, il envisage, en 1544, de le doter d'un moulin banal, situé sur une île du Cher entre le bourg de Chisseaux et Vrigny, où un moulin à foulon avait été installé auparavant. Le projet est soumis à l'approbation de la communauté des marchands «fréquentant la rivière de Loire et fleuves descendant en icelle» qui donne son accord en 1546; la même année, Hodon acquiert les eaux et pêcheries du Cher depuis le ruisseau de Bray (commune de Saint-Georges) jusqu'au domaine de Chenonceau.

Port Olivier en est exclu. Le Moulin Fort est construit, sans que l'on connaisse précisément la durée des travaux. Le 23 février 1556, Adam de Hodon doit céder par contrat sa seigneurie de Chisseaux à Diane de Poitiers qui l'inclut au domaine de Chenonceau (le bénéfice de la vente lui permettra d'acquérir la châtellenie de Cravantles-Coteaux près de Chinon). L'ancien moulin banal de la seigneurie de Chenonceau, installé sur bateaux en aval du château depuis la construction du logis Bohier, est alors supprimé au profit du Moulin Fort. En 1560, lors de l'échange des châtellenies de Chaumont et de Chenonceau imposé par Catherine de Médicis à Diane de Poitiers, le Moulin Fort fait toujours partie de celle de Chenonceau mais il brûle entre 1560 et 1565. On ne connaît plus rien de l'histoire du moulin jusqu'en 1733, date à laquelle il devient la propriété de Claude Dupin lorsque ce dernier achète Chenonceau; le moulin semble être en mauvais état puisque Claude Dupin le fait reconstruire et relier à Chisseaux par un pont de bois. Ce pont gênait la navigation et entraîna l'aménagement d'un canal Le en rive gauche du Cher en 1739, d'après les plans de l'ingénieur Martin Pascot; la desserte de Port Olivier fut ainsi améliorée. En 1794, le conseil révolutionnaire d'Amboise procède à l'expertise des moulins ayant fait partie du domaine de Chenonceau. Le Moulin Fort est estimé 8.000 livres et nécessite pour 3.000 livres de réparations «aux dents» (c'est-à-dire aux alluchons qui s'engrènent sur une lanterne pour transmettre le mouvement de l'axe horizontal à l'axe vertical.) La commission des Bien nationaux ne saisit pas le Moulin Fort, considérant qu'il s'était toujours transmis à titre privé depuis Adam de Hodon. En 1799 le domaine de Chenonceau échoit à la famille de Villeneuve. Le plan cadastral de 1824 atteste qu'un pont comportant cinq piles à avant-becs en éperon et tablier en planches reliait la rive droite au moulin; il est encore représenté sur un plan géométrique daté de 1828. En 1825, le comte de Villeneuve transforme le Moulin Fort en moulin à tan et y adjoint une usine. Elle doit fermer lorsqu'en 1840 est construit le barrage à écluse en rive droite du Cher. À cette occasion le pont est détruit.

Élévation des façades sud et est et plans au niveau de l'eau, au niveau de l'étage et au niveau des terrassons. Lucien Roy ACMH, vers 1902-1912. Il ne restait plus à ce moment que les parties basses du moulin: piles, avant becs, escaliers sont conservés mais tout le logis a été reconstruit par la suite.

Entre 1540 et 1542, Adam de Hodon, ambassadeur de Renée de France (seconde fille de Louis XII et d’Anne de Bretagne) acquiert les terres de la Chervière à Chisseaux et Vrigny à Saint-Georges-sur-Cher. Ayant constitué un domaine suffisamment vaste, il envisage, en 1544, de le doter d’un moulin banal, situé sur une île du Cher entre le bourg de Chisseaux et Vrigny, où un moulin à foulon avait été installé auparavant. Le projet est soumis à l’approbation de la communauté des marchands "fréquentant la rivière de Loire et fleuves descendant en icelle" qui donne son accord en 1546 ; la même année, Hodon acquiert les eaux et pêcheries du Cher depuis le ruisseau de Bray (commune de Saint-Georges) jusqu’au domaine de Chenonceau. Le Port Olivier en est exclu. Le Moulin Fort est alors construit, sans que l’on connaisse précisément la durée des travaux. Rapidement, l’histoire du Moulin Fort se trouve liée à celle du château de Chenonceau. Il est d’ailleurs représenté sur l’une planche des "Plus excellents bâtiments de France" de Jacques Androuet du Cerceau (ce volume, bien que publié en 1582, montre un état d’avancement du château antérieur à 1576, puisque la construction de la galerie sur le pont n’est pas commencée).

Le 23 février 1556, Adam de Hodon cède par contrat sa seigneurie de Chisseaux à Diane de Poitiers qui l’inclut au domaine de Chenonceau. L’ancien moulin banal de la seigneurie de Chenonceau installé sur bateaux en aval du château depuis la construction du logis Bohier est alors supprimé au profit du Moulin Fort. En 1560, lors de l’échange des châtellenies de Chaumont et de Chenonceau imposé par Catherine de Médicis à Diane de Poitiers, le Moulin Fort fait toujours partie de celle de Chenonceau mais il brûle entre 1560 et 1565. On ne connaît plus rien de l’histoire du moulin jusqu’en 1733, date à laquelle il devient la propriété de Claude Dupin lorsque ce dernier achète Chenonceau. Le moulin semble être en mauvais état, puisque Claude Dupin le fait reconstruire et relier à Chisseaux par un pont de bois. Ce pont gênait la navigation et entraîna l’aménagement d’un canal en rive gauche du Cher en 1739, d’après les plans de l’ingénieur Martin Pascot ; la desserte de Port Olivier fut ainsi améliorée.

En 1794, le conseil révolutionnaire d’Amboise procède à l’expertise des moulins ayant fait partie du domaine de Chenonceau. Le Moulin Fort est estimé 8000 livres et nécessite pour 3000 livres de réparations "aux dents" (c’est-à-dire aux alluchons). La commission des Biens Nationaux ne saisit pas le Moulin Fort, considérant qu’il s’était toujours transmis à titre privé depuis Adam de Hodon. En 1799, le domaine de Chenonceau échoit à la famille de Villeneuve. Le plan cadastral de 1824 atteste qu’on pont comportant cinq piles à avant-becs en éperon et tablier en planches reliait la rive droite du Cher au moulin. Ce pont est encore représenté sur un plan géométrique daté de 1828. Le comte de Villeneuve transforme le Moulin Fort en moulin à tan en 1825 et y adjoint une usine. Elle doit fermer lorsqu’en 1840 est construit le barrage à écluse en rive droite du Cher. A cette occasion, le pont de bois reposant sur deux piles en pierre est également détruit. Plusieurs dessins de Lucien Roy, architecte en chef des Monuments historiques, réalisés entre 1902 et 1912, montrent qu’il ne restait alors que les parties basses du moulin (piles, avant-becs et bases des tourelles). La famille Menier, propriétaire du château de Chenonceau, reconstruit la partie habitable sur les piles d’origine dans les années 1920. De nouveaux propriétaires entreprennent d’importantes campagnes de restauration à partir de 1985 puis de 2012.

Manoir de la Pilette

Manoir de la Pillette

Le domaine de la Pilette dit également Grandmaison de Vauldran est un ancien fief relevant de Chissé (actuellement Chissay, Loir-et-Cher). Il est mentionné en 1401 pour un différend qui oppose son propriétaire à celui du moulin de la Pilette. Entre 1496 et 1565, il appartient à la famille de Hollefeuille. La famille Brochard en est propriétaire au cours de la seconde moitié du XVIIIème siècle. Les époux Reverdy-Ribot se rendent acquéreur du domaine de la Pilette le 21 mai 1792, puis du moulin de la Pilette en 1804, moulin qui avait toujours constitué une propriété séparée du manoir depuis le XVème siècle (actuellement détruit).

Sur le plan cadastral de 1824 figurent un bâtiment orienté nord-sud (logis) d’où partent deux allées d’arbres, un bâtiment orienté est-ouest (dépendances) au sud duquel est tracé un petit bâtiment carré (pigeonnier).

Toutes ces parties existent encore de nos jours dans l’enceinte du domaine, où une nouvelle maison a été construite en 1850-1851.

Le presbytère

Le presbytère de Chisseaux a été, selon l’historien Carré de Busserolle, presque entièrement reconstruit en 1765 par Claude Dupin, seigneur de Chenonceau et de Chisseaux. Un plan non signé ni daté, mais dont l’échelle est en toises, nous renseigne sur l'emplacement et la distribution du presbytère au cours de la seconde moitié du XVIIIème siècle.

Il comprend alors deux bâtiments parallèles orientés est-ouest, délimitant une cour fermée à l'est par un mur la séparant du jardin attenant à l'église. A l'ouest, la cour est délimitée par deux pièces en retour d'équerre de part et d'autre des bâtiments principaux, tout en ménageant une porte donnant accès à la cour.

L'écurie, la grange et la cuisine occupent l'aile nord tandis que les pièces habitables : vestibule, grand salon, salle-à-manger, deux chambres dont une à cheminée, et garde-manger sont placés dans l'aile sud.

Un plan daté du 26 mars 1881, dressé par Ernest Chauvigny architecte à Montrichard, en vue de la construction d'une chambre de bonne, renseigne sur les évolutions réalisées entre ces deux dates. Ainsi au nord, l’écurie a disparu ; la grange est conservée mais la cuisine a fait place à une basse-cour avec deux poulaillers. Des lieux d’aisance ont été installés. Dans l’aile sud, le vestibule disparaît, laissant place à un corridor longitudinal et une nouvelle cuisine empiétant sur la cour est créée. La chambre de bonne à construire communique avec cette cuisine.

Actuellement les bâtiments ont conservé leur disposition par rapport à la cour ainsi que, pour le logis, ses volumes extérieurs et les emplacements des ouvertures.

Le château de Pontcher

La première mention du lieu apparaît en 920 sous le nom de Pont Caris. Ranjard mentionne un fief de Pont ou de Bois de Pont qui relevait de Montrésor et qui fut réuni au domaine de Chenonceaux au 16e siècle sans préciser son emplacement ; peut-être est-ce Pontcher. Le château actuel n'est pas mentionné par Carré de Busserolle et a été, sinon totalement reconstruit, du moins en grande partie remanié au cours du 19e siècle ou au début du 20e siècle. Un plan non daté mais que l'on peut considérer de la seconde moitié du 18e siècle et antérieur à la Révolution, montre : un corps de logis orienté nord-sud, en retrait du chemin ; un bâtiment lui faisant face, aligné sur le chemin, qui correspond vraisemblablement aux communs ; un jardin aménagé au sud ; un verger ou un espace boisé au nord. La propriété a appartenu au duc de Choiseul.

Repères géographiques


Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 468 560 475 562 623 611 635 672 664 670
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 717 715 700 716 734 740 699 675 606 602
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 578 613 506 489 501 570 558 613 618 612
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 519 522 575 615 631 611 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2015 & 2016.

En photos

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Charles-Marie-Marthe-Jacques REVERDY 1791-1807 Ancien lieutenant-général-criminel au bailliage et siège présidial de Tours. Décédé à Chisseau le 15 novembre 1882  
-  
Jacques REVERDY 17 novembre 1834  
Jacques REVERDY juin 1840  
Jacques REVERDY 2 juillet 1844  
MORSN 1856-  
BRAULT-DANGÉ 16 février 1874  
Louis AUGER-DURAND 21 janvier 1878  
-  
-  
-  
Gilles GUIGNARD 2001-2008  
Franck AUGIAS 2008-(2020)  
- -  

Cf. : MairesGenWeb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
Simon de CORAULT 1478  
LEVESQUE 1621  
Claude ANGEVIN 1687 Décédé le 10 mai 1730. Il fut inhumé dans le choeur de l'église  
René JOUSSET 12 mai 1730 Décédé le 14 septembre 1763. Il eut sa sépulture dans le choeur de l'église  
Jacques FROUTEAU 1763-1790 Curé constitutionnel. En 1793, il se qualifie, sur les registres d'état civil, d'officier public, membre du Conseil général de Chisseau. Vers 1806, il fut nommé de nouveau curé de Chisseau  
LACOUA 1837  
PLOUZEAU 1839  
GRIFFAULT 1857  
- -  
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Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés


Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 9h00 - 12h30 - 9h00 - 12h30 - 9h00 - 12h30 - -
Après-midi - 14h00 - 17h00 - 15h00 - 18h30 - - -

Mairie
Adresse : 2 rue Nationale - 37150 CHISSEAUX

Tél : 02 47 23 90 75 - Fax : 02 47 23 95 70

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : http://www.annuaire-mairie.fr ()

Associations d'histoire locale

Bibliographie

  • L’origine des noms de lieux de l’Indre & Loire - Stéphane Gendron - Edition Hugues de Chivré.
  • Dictionnaire géographique, historique et biographique d’Indre & Loire et de l’ancienne province de Touraine Tome I à VI - J-X Carré de Busserolle - BNF Galicia.
  • Histoire de Touraine depuis la conquête des Gaules par les Romains jusqu’à l’année 1790 - J. L. Chalmel - Edition Fournier - BNF Galicia.
  • Armorial général de France T 1 et 2 - Charles d’Hozier - BNF Galicia.
  • Charte de l'Abbaye de Saint Julien de Tours du XIème au XIVème siècle - BNF Galicia.
  • Dictionnaire Historique et Héraldique de la Noblesse Française - D. de Mailhol - BNF Galicia.
  • Le Val de Loire, Patrimoine Mondial - Fondation du patrimoine.
  • Histoire généalogique et chronologique de la Maison Royale de France - P. Anselme - BNF Galicia.
  • Approche chronologique de la maison paysanne dans les pays de la Loire - François Le Bœuf - Revue des Patrimoines.
  • Société d’Histoire, Lettres Sciences & Arts de La Flèche, Les Annales Fléchoises et la Vallée du Loir, Revue historique, Archéologique Artistique et Littéraire, Janvier-décembre 1912.
  • L'abbé C. Chevalier, Promenades en Touraine.
  • Inventaire général du patrimoine culturel.
  • État de la France - 1752 - Comte de Boulainvilliers par T. Wood & S. Palmer à Londres, Tome 6.
  • Driard C. - L'aqueduc gallo-romain du Cher, in : Atlas Archéologique de Touraine, 2007.
  • Driard C. - Recherches sur l'alimentation en eau de Caesarodunum : l'aqueduc du Cher, mémoire de maîtrise, Tours, 2004. Archéologie Touraine, Indre-et-Loire, 2004.
  • Études et Mémoires - Contribution à l’étude des aqueducs romains en Touraine Camille Liot - 1964
  • Auvray (le baron) - communication, in : Bulletin de la société archéologique de Touraine, Indre-et-Loire, 1944.
  • Bousrez L. - Etude sur les aqueducs de l'époque romaine en Touraine, in : Bulletin archéologique du comité des travaux historiques et scientifiques et archéologie de Touraine, Indre-et-Loire, 1899.

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références