C'est en 985, dans une donation du comté de Melgueil, qu'apparaît pour la première fois le nom de Montpellier. Le 26 novembre 985, le comte Bernard de Melgueil (Mauguio) octroie au chevalier Guilhem en échange de son dévouement l'ancien territoire situé entre l'antique voie Domitienne, le Lez et La Mosson. Ses héritiers construiront sur leur nouveau fief un véritable bourg fortifié, doté d'un château et d'une chapelle qui deviendra la ville de Montpellier.
C'est sous la souveraineté des rois d'Aragon puis de Majorque que la ville connut de 1204 à 1349 son apogée. Jacques Ier, fils de Pierre II et de Marie, natif de Montpellier, considérait la ville comme « la meilleure ville de l'univers », et y entretient une cour brillante. Sous l'administration municipale du consulat, la ville se développa prodigieusement : elle s'enrichit beaucoup grâce au commerce méditerranéen et notamment la vente de draps (tissus) écarlates et d'épices, et sa population quadrupla. Après son rattachement à la France en 1349 par son achat au roi de Majorque Jaume III par le roi de France Phillipe VI, la ville devint une des plus peuplées du royaume avec Toulouse et Rouen.
En 1289, les écoles de médecine et de droit de Montpellier, en activité depuis le XIIe siècle et réputées comme centres d'érudition ouverts aux pensées juive et arabe, se virent accorder le statut officiel d'universités par le pape Nicolas IV. C'était une consécration pour les centres d'enseignement et de savoir de la ville : désormais les diplômes montpelliérains étaient reconnus dans toute la chrétienté.
La période de grande prospérité de la ville s'acheva au cours de la seconde moitié du XIVe siècle : la grande peste toucha de plein fouet la ville comme le reste de l'Europe, décimant à plusieurs reprises environ un tiers de la population. De nombreux habitants la fuient, si bien qu'à la fin du siècle Montpellier n'est plus que l'ombre d'elle-même, comme en témoigne Pétrarque, qui y passe dans les années 1360 et est horrifié par le changement qu'il découvre dans une ville qu'il avait beaucoup appréciée.
Au XVe siècle, la ville se redresse économiquement grâce à l'activité du port voisin de Lattes et au génie mercantile de Jacques Cœur, grand argentier du roi Charles VII. Ce dernier aussi séjourna à Montpellier, en mars 1436, pour cet objectif. Louis XI, quant à lui, ordonna la création d'une Cour des aides à Montpellier, par ses lettres patentes le 12 septembre 1467. La faculté de médecine de Montpellier bénéficie même, en 1593, de la création d'un jardin des Plantes, aujourd'hui le plus ancien de France.
Au XVIe siècle, la réforme protestante gagne beaucoup d'adhérents et Montpellier devient un bastion du protestantisme et de la résistance à la couronne catholique française. Mais au cours des décennies suivantes, les guerres de Religion entraînent la destruction quasi totale de tous les édifices catholiques situés à l'intérieur des murailles de la ville. La cathédrale Saint-Pierre est la seule à ne pas être détruite, même si elle en souffre durablement.
En 1598, l'édit de Nantes désigne Montpellier comme une des places fortes où le culte protestant est reconnu. S'ensuivent une vingtaine d'années de calme, rompues lors d'une nouvelle guerre de religion. En 1622, Louis XIII dirige le siège de la ville rebelle, qui capitule au terme d'un pilonnage intense de deux mois. L'autorité du roi est rétablie et est symbolisée par la construction d'une puissante citadelle.
Une fois achevée la reconquête de Montpellier par le pouvoir royal et catholique, la noblesse fait construire de nombreux hôtels particuliers, particulièrement élégants et dont l'architecture est très caractéristique du centre historique.
La place de la Comédie et l'arc de triomphe-esplanade du Peyrou datent du XVIIe siècle (architecte Augustin-Charles d'AVILER). C'est aussi le cas de la place Jean Jaurès, construite sur le site de l'ancienne église Notre-Dame-des-Tables, détruite au cours des guerres de religion, et de la promenade Royale du Peyrou construite sur ordre de Louis XIV et en son honneur, à l'extérieur des fortifications. Pour alimenter la ville et ses jardins, un aqueduc, dénommé « Les Arceaux », achemine l'eau depuis Saint-Clément-de-Rivière. Élaboré au milieu du XVIIIe siècle par les ingénieurs CLAPIER et Henri PITOT, inauguré et mis en service le 7 décembre 1765, il aboutit au superbe château d'eau qui domine l'esplanade du Peyrou (architecte : Jean-Antoine GIRAL).
Le développement de la viticulture au XIXe siècle favorise la constitution de fortunes et se traduit par une métamorphose urbaine considérable.
En 1880, la ville en pleine expansion ouvre un réseau public de tramways hippomobiles. Le premier lycée de jeunes filles de France y est ouvert en 1881. En 1897, la première ligne de tramway électrifié est ouverte.
Le phylloxéra d'abord, et la surproduction viticole ensuite, apportent pour quelques décennies un coup d'arrêt à l'expansion de Montpellier. Dans la lancée de la construction du nouveau théâtre, la ville se lance, néanmoins, dans le réaménagement urbanistique total et somptuaire de l'ensemble de la place de la Comédie entre 1885 et 1900, à l'architecture typiquement parisienne du Second Empire.
Ce jour-là, à Montpellier
Nouvelles de l'Intérieur - Montpellier, 3 novembre 1809.
« On doit prémunir le public contre un genre d'escroquerie qui vient de s'introduire à la faveur de la guerre avec l'Espagne. Certains individus, s'annonçant comme revenus de cette contrée, où, disent-ils, ils ont acquis à vil prix des bijoux de toute espèce en or et en argent, se répandent dans les villes et dans les bourgs, trompant les personnes crédules auxquelles ils vendent pour de l'or et de l'argent, une composition qui imite ces métaux. »
Source : Annales périodiques de la ville d'Orléans, département du Loiret, 6e année, no 618, samedi 2 décembre 1809, p. 387.
Héraldique
D'azur au trône antique d'or, sur lequel est assise Notre Dame de carnation vêtue d'une robe de gueules et d'un manteau du champ, tenant l'Enfant Jésus aussi de carnation, vêtu d'azur, soutenu d'un écusson d'argent chargé d'un tourteau de gueules, le tout surmonté des lettres A et M onciales d'argent rangées en chef.
Version Armorial de France : D'azur au trône gothique d'or, sur lequel est assise Notre Dame de carnation vêtue d'une robe de gueules et d'un manteau du champ, tenant l'Enfant Jésus de carnation, vêtu d'argent, le tout surmonté des lettres onciales A et M d'argent, rangées en chef, et soutenu d'un écusson du même chargé d'un tourteau de gueules[1].
Entre 1790 et 1794, Montpellier absorbe les anciennes communes Celleneuve, Montels-lès-Montpellier, Montauberon et Saint-Hilaire.
Patrimoine bâti
Cathédrale Saint-Pierre
La cathédrale Saint-Pierre
Devenue cathédrale en 1536 lorsque l'archevêché de Maguelone a été transféré à Montpellier, Saint-Pierre était à l'origine la chapelle du monastère bénédictin de Saint-Benoît. Elle fut toutefois détruite en 1567 suite aux assauts répétés de protestants avant d'être entièrement reconstruite.
Remarquable, le porche, un imposant baldaquin soutenu par d'énormes piles circulaires de 4,55 m de diamètre portant autrefois les armoiries d'Urbain V, étudiant et enseignant à Montpellier, puis nommé évêque avant d'être élu pape en Avignon (1362). Exemple représentatif du gothique méridional, c'est la seule église médiévale de l'Ecusson ayant survécu aux guerres de religions. À l'intérieur, une œuvre majeure de Sébastien BOURDON vous entraîne dans la vie artistique montpelliéraine du XVIIe siècle.
La cathédrale Saint-Pierre est classée Monument Historique[2] depuis 1906.
Un orgue de tribune de 1777 et 1878, classé au titre objet aux MH[3] en 1962.
Le chœur
L'orgue
Vitrail
Église Saint-Mathieu
Église Saint-Mathieu
L'église Saint-Mathieu de 1627 et 1829, construite par l'architecte Joseph BOUÉ, est inscrite aux MH[4] en 2016.
Un autel, tabernacle, retable (maître-autel) de 1741, en marbre polychrome, bois peint, doré, classés au titre objet aux MH[5] en 1972.
Chœur
Orgue
La chaire
Plaque des morts pour la France de la paroisse Saint-Mathieu
Église Saint-Roch
Église Saint-Roch
L'église Saint-Roch du XIXe siècle, édifiée par l'architecte J. CASSAN, est située place Saint-Roch.
Le chœur
La chaire
Vitrail
Plaque commémorative
Église Sainte-Anne
L'église Sainte-Anne, construite en 1665, est située place Sainte-Anne.
Ancienne cloche de l'église Sainte-Anne
Basilique Notre-Dame-des-Tables
Basilique Notre-Dame-des-Tables
La basilique Notre-Dame-des-Tables de 1707, de style baroque, réalisée par l'architecte Jean GIRAL, située rue du Collège, est inscrite aux MH[6] en 1938.
La tour de la Babotte (ou Babote) est un vestige des remparts érigés en 1205, bâtie en pierre de Caunelle, c'est une ancienne tour de garde qui marque la pointe sud du centre historique de Montpellier.
L'édifice est classé aux MH[7] en 1927.
Porte du Peyrou
Porte du Peyrou
La porte du Peyrou ou arc de triomphe, construite entre 1692 et 1717, fait partie de l'ensemble de la promenade du Peyrou, partiellement inscrite aux MH[8] en 1954, partiellement classée aux MH en 1954 et inscrite en 2022.
Panneau historique
Aqueduc Saint-Clément
Aqueduc Saint-Clément
L'aqueduc Saint-Clément, construit à la fin du XVIIIe siècle par l'ingénieur Henri PITOT et l'architecte Jacques NOGARET, d'une longueur de 14 km, également sur la commune de Saint-Clément-de-Rivière, est inscrit aux MH[9] en 1994.
Né à Montpellier, décédé décapité le 12/01/1794 (23 nivôse an II) place de la Révolution à Paris.
Jean Pierre Scipion GAS
10/1793 - 1795
Homme de loi.
Pierre MONTELS
03/1795 - 1795
Homme de loi.
Jean-Baptiste DUPY
04/1795 - 1795
Maire provisoire. Pépiniériste.
Pierre MOULINIER
05/1795 - 1795
Maire provisoire. Pâtissier.
Jean-Louis Marie Esprit FARGEON
06/1795 - 1795
Négociant.
Antoine BOUQUET
11/1795 - 1796
Fait fonction de maire.
Pierre MOULINIER
1796 - 1797
Jean Antoine GALABERT
03/1797 - 1798
Charles Louis DUMAS
04/1798 - 1799
Jean-Pierre THOREL
03/1799 - 1799
Président de l'administration municipale. Marchand drapier.
Joseph BESTIEU
06/1799 - 1799
Président provisoire de l'administration municipale. Négociant.
André VERDIER
07/1799 - 1800
Président de l'administration municipale. Négociant.
Jean Antoine POITEVIN du BOUSQUET
01/1800 - 1800
Nommé maire.
Michel NOUGUIER
04/1800 - 1800
Nommé maire.
Pierre Louis GRANIER
06/1800 - 1814
Né le 07/01/1759 à Montpellier, décédé le 08/01/1827 à Paris. Avocat, membre de la Chambre des Cent-Jours, baron d'Empire. Nommé maire.
Jean-Michel Ange Bonaventure de DAX d'AXAT
09/1814 - 1815
Né à Bouleternère (Pyrénées-Orientales). Marquis. Propriétaire.
Pierre Louis GRANIER
04/1815 - 1815
Né le 07/01/1759 à Montpellier, décédé le 08/01/1827 à Paris. Avocat, membre de la Chambre des Cent-Jours, baron d'Empire. Nommé maire.
Jean-Michel Ange Bonaventure de DAX d'AXAT
07/1815 - 1830
Né à Bouleternère (Pyrénées-Orientales). Marquis. Propriétaire.
Louis-Michel CASTELNAU
08/1830 - 1830
Industriel.
Guillaume Zoé GRANIER
10/1830 - 1831
Né le 08/11/1788 à Montpellier, décédé le 27/08/1856 à Montpellier. Industriel, député de l'Hérault (1830-1848)[10], conseiller général du canton de Montpellier-1 (1833-1848).
Jean-Julien GUINARD
07/1831 - 1832
Lieutenant-colonel.
Paulin DESHOURS-FAREL
07/1832 - 1833
Né en 1788, décédé en 1878. Négociant, conseiller général du canton d'Aniane (1833-1848).
Jean-Salomon DESSALLE POSSEL
04/1833 - 1833
Conseiller municipal faisant fonctions de maire. Propriétaire.
Guillaume Zoé GRANIER
11/1833 - 1844
Né le 08/11/1788 à Montpellier, décédé le 27/08/1856 à Montpellier. Industriel, député de l'Hérault (1830-1848), conseiller général du canton de Montpellier-1 (1833-1848).
Jean-Albin PARLIER
01/1844 - 1846
Propriétaire.
Louis Raymond BROUSSONNET
11/1846 - 1848
Né en 1803, décédé en 1857. Médecin chef de l'hôpital de Montpellier, professeur à la faculté de médecine, conseiller général du canton de Montpellier-2 (1846-1848 et 1852-1857), chevalier de la Légion d'honneur en 1854.
Hoche SAINT-PIERRE
02/1848 - 1848
Propriétaire.
Edouard LAFON
06/1848 - 1848
Avocat.
Jean BRUN
07/1848 - 1848
Conseiller municipal faisant fonction de maire.
Théodore HIPERT
08/1848 - 1848
Conseiller municipal faisant fonction de maire. Propriétaire.
RIGAL
1848 - 1848
Amédée ESTOR
08/1848 - 1848
Premier adjoint faisant fonction de maire. Avocat.
François-Marc VERGNES
09/1848 - 1848
Maire provisoire. Avocat.
Pierre LENTHÉRIC
12/1848 - 1848
Conseiller municipal faisant fonction de maire. Professeur à la faculté de sciences.
Léon CHIVAUD
12/1848 - 1848
Colonel.
Amédée ESTOR
05/1849 - 1849
Premier adjoint faisant fonction de maire.
Louis PARMENTIER
05/1849 - 1852
Propriétaire.
Prosper de CALVIERE
03/1852 - 1852
Premier adjoint faisant fonction de maire. Propriétaire.
Victor de BONALD
05/1852 - 1852
Propriétaire.
Jules PAGÉZY
09/1852 - 1869
Né le 28/09/1802 à Montpellier, décédé le 31/12/1882 à Montpellier. Économiste, conseiller général du canton de Castries (1847-1848 et 1852-1875), député (1863-1869)[11], commandeur de la Légion d'honneur en 1867, sénateur (1876-1879)[12].
Gustave FERRIER
07/1869 - 1870
Premier adjoint faisant fonction de maire.
Joseph BALDY
04/1870 - 1870
Conseiller municipal faisant fonction de maire.
Edouard BERTRAND
09/1870 - 1871
Né à Montpellier, décédé le 26/06/1900 à Montpellier. Président de la commission municipale.
Charles MION
04/1871 - 1871
Né à Montpellier, décédé en 1886 à Montpellier. Conseiller municipal faisant fonction de maire.
Edouard BERTRAND
05/1871 - 1871
Né à Montpellier, décédé le 26/06/1900 à Montpellier.
Léon COSTE
09/1871 - 1871
Premier adjoint faisant fonction de maire. Médecin, conseiller général du canton de Montpellier-3 (1878-1883).
Frédéric de La COMBE
04/1874 - 1876
Banquier.
Léon COSTE
05/1876 - 1878
Médecin, avait déjà assuré un mandat d'intérim en 1871, conseiller général du canton de Montpellier-3 (1878-1883).
Laurent Alexandre LAISSAC
02/1878 - 1892
Né en 1834 à Olargues (Hérault), décédé le 07/01/1913. Conseiller général du canton d'Olargues (1880-1913), président du conseil général (1895-1913), officier de la Légion d'honneur en 1890. Une place porte son nom, et un monument avec son buste est érigé à Olargues.
François BAUMEL
05/1892 - 1893
Négociant en vins.
Ferdinand CASTETS
02/1893 - 1896
Professeur de la faculté de lettres.
Laurent Alexandre LAISSAC
05/1896 - 1897
Pierre Michel VERNIÈRE
03/1897 - 1901
Né le 11/10/1847 à Montpellier, décédé le 23/10/1918 à Montpellier. Industriel, député (1882-1893)[13], conseiller général du canton d'Aniane (1895-1918), président du conseil général, officier de la Légion d'honneur en 1907.
Paul PEZET
07/1901 - 1904
Né le 19/07/1848 à Espalion (Aveyron), décédé le 05/06/1938 à Montpellier. Médecin et pharmacien, conseiller général du canton de Montpellier-1 (1894-1895), conseiller général du canton de Montpellier-3 (1907-1919), député (1914-1919)[14], officier de la Légion d'honneur en 1920. Une avenue porte son nom.
Joseph BRIOL
05/1904 - 1908
Avocat.
Paul PEZET
05/1908 - 1919
Le même - Né le 19/07/1848 à Espalion (Aveyron), décédé le 05/06/1938 à Montpellier. Médecin et pharmacien, conseiller général du canton de Montpellier-1 (1894-1895), conseiller général du canton de Montpellier-3 (1907-1919), député (1914-1919), officier de la Légion d'honneur en 1920. Une avenue porte son nom.
Pierre Paul CHAZOT
12/1919 - 1920
Né en 1883, décédé en 1953. Avoué au tribunal civil, conseiller municipal (1926-1940), chevalier de la Légion d'honneur en 1950.
François MOULENQ
11/1920 - 1920
Président de la délégation spéciale. Ancien premier président à la cour d'appel.
Auguste Henri GIBERT
12/1920 - 1925
Né le 16/02/1857, décédé le 12/04/1929. Représentant de commerce, conseiller général du canton de Montpellier-1 (1913-1914) et de Montpellier-2 (1919-1929), chevalier de la Légion d'honneur en 1920.
Albert BILLOD
05/1925 - 1929
Professeur de lycée.
Benjamin MILHAUD
05/1929 - 1935
Avocat.
Paul BOULET
05/1935 - 1937
Né le 08/09/1894 à Marseille (Bouches-du-Rhône), décédé le 27/07/1982 à Montpellier. Professeur à la faculté de médecine, député (1936-1942 et 1946-1951)[15], conseiller général du canton de Saint-Martin-de-Londres (1945-1951).
Jean Marc ZUCCARELLI
11/1937 - 1941
Né le 31/01/1901 à Montpellier, décédé le 07/01/1991 à Boisseron (Hérault). Avocat.
Paul RIMBAUD
02/1941 - 1944
Nommé.
Émile MARTIN
08/1944 - 1945
Président de la délégation municipale. Ancien secrétaire général de la mairie.
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Période de la Seconde Guerre mondiale
Paul BOULET
05/1945 - 1953
Le même - Né le 08/09/1894 à Marseille (Bouches-du-Rhône), décédé le 27/07/1982 à Montpellier. Professeur à la faculté de médecine, député (1936-1942 et 1946-1951), conseiller général du canton de Saint-Martin-de-Londres (1945-1951).
Jean Marc ZUCCARELLI
05/1953 - 1959
Né le 31/01/1901 à Montpellier, décédé le 07/01/1991 à Boisseron (Hérault). Avocat.
François DELMAS
03/1959 - 1977
Né le 24/08/1913 à Montpellier (Hérault), décédé le 03/03/2002 à Montpellier. Avocat, conseiller général du canton de Montpellier-1 (1951-1973), conseiller général du canton Montpellier-9 (1973-1979), député (1978-1979)[16], secrétaire d'État (1978-1981).
Georges FRÊCHE
03/1977 - 2004
Né le 09/07/1938 à Puylaurens (Tarn), décédé le 24/10/2010 à Montpellier. Professeur de droit, député (1973-1978, 1981-1993 et 1997-2002)[17].
Hélène MANDROUX (MANDROUX-COLAS)
04/2004 - 2014
Née le 01/12/1940 à Montpellier. Médecin généraliste, conseillère régionale (1992-2004).
Philippe SAUREL
04/2014 - 2020
Né le 17/12/1957. Chirurgien-dentiste, précédemment adjoint au maire, conseiller général de Montpellier-3 (1998-2014).
Curé de Notre-Dame-des-Tables, rappelé à Dieu le 27 août 1896 à l'âge de 58 ans.
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Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM
Naissance
Décès
Observations
Maurice Eugène Elyzée AURIOL
11 mai 1875
13 avril 1942 Paris
Dossier - Administrateur des chantiers de la Loire - Ancien élève de l'école de Saint-Cyr - Officier de cavalerie comme chef d'escadron - Chevalier de la Légion d'honneur - Croix de guerre avec palmes - Fils de Gaston Auriol et de Mme née des Hours - Époux de Yvonne de Cabrol dont 4 enfants.
Henri GIRARD , écrivain connu sous le nom de Georges ARNAUD, né le 16 juillet 1917, décédé à Barcelone (Espagne) le 4 mars 1987.
Juliette GRÉCO , chanteuse, actrice, née le 7 février 1927.
François IMBERT, officier de Maréchaussée, condamné à mort par le tribunal révolutionnaire de Paris comme convaincu d'avoir fédéralisé le département de la Lozère, né vers 1761, décédé le 24 messidor an II, 12 juillet 1794.
Recherche sur l'état civil et registres paroissiaux, les recensements 1831 à 1936, registres de matricule, actes notariés, cadastre napoléonien, annuaire de l'Hérault 1818 à 1939, presse périodique numérisée, cartes postales ... sur la page des archives en ligne des archives départementales de l'Hérault
Eugène Thomas, Montpellier : tableau historique et descriptif pour servir de guide à l'étranger dans cette ville et dans ses environsLien Gallica, 1857 ISBN 978-2019158873
Alexandre Germain, Histoire de la commune de Montpellier, depuis ses origines jusqu'à son incorporation définitive à la monarchie françaiseLien Gallica, 1851 ISBN 978-2-01-367005-0
Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire des individus envoyés à la mort judiciairement, révolutionnairement et contre-révolutionnairement pendant la Révolution, particulièrement sous le règne de la convention nationale, Volume 2, 1796 ISBN 978-0331779653