30189 - Nîmes
Nîmes | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Anciens cantons |
Code INSEE | 30189 |
Code postal | 30000 |
Population | 150 610 habitants (2017) |
Nom des habitants | Nîmois, Nîmoises |
Superficie | 16 185 hectares |
Densité | 930.55 hab./km² |
Altitude | Mini: 21 m |
Point culminant | 215 m |
Coordonnées géographiques |
43.837778° / 4.360833° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Fichier:30189 - Nîmes carte administrative.png | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Bref historique
L'évêché de Nîmes, quatrième suffrageant de l'archêché de Narbonne, supprimé en 1791, devint à l'époque de son rétablissement, en 1821, l'un des suffrageant de l'archevêché d'Avignon. De 798 (époque de l'adjonction de l'évêché d'Arisitum) jusqu'en 1694 (création de l'évêché d'Alais), le diocèse de Nîmes se composait de onze archiprêtrés suivant : Aimargues, Alais, Anduze, Meyrueis, Nîmes, Quissac, Saint-Hippolyte du Fort, Lasalle, Sommières, Sumène et le Vigan ou Arisitum, et il embrassait les vigueries d'Aigues-mortes, Alais, Anduze, Beaucaire (en partie), Nîmes, Sommières et le Vigan. Une bulle du 17 mai 1694 en détacha les archiprêtrés d'Alais, Anduze, Meyrueis, Saint-Hippolyte du Fort, Lasalle, Sumène et le Vigan, pour former le diocèse d'Alais, et ne lui laissa que quatre archiprêtrés : Aimargues, Nîmes, Quissac et Sommières. En 1791, Nîmes devint le siège d'un évêché constitutionnel, qui eut les mêmes limites que le département du Gard actuel ( au moment de la création des départements, Ganges fût échangée à l'Hérault contre Aigues-Mortes pour permettre au département d'avoir un débouché maritime et Meyrueis revint à la Lozère) . Par le concordat de 1802, l'évêché de Nîmes fut supprimé et incorporé au diocèse d'Avignon, jusqu'en 1821, époque à laquelle il fut rétabli.
La population de Nîmes se composait, en 1384,en pleine période de peste qui décima la population de seulement 400 feux ; en 1722, avec le développement fort de l'industrie textile , de 4725 feux et de 18 141 habitants ; en 1734, de 5844 feux et de 20 225 habitants ; et en 1789 de 9212 feux et environ 46 000 habitants. On y comptait 1738 maisons en 1722 ; 1967 maisons en 1726.
En 892, le comté de Nîmes appartenait aux comtes de Toulouse, dans la maison desquels il devint héréditaire. La vicomté de Nîmes passa en 956 aux Trencavel ; en 1226, elle fut réunie au domaine royal. La plus ancienne charte qui parle de l'organisation du consulat de Nîmes est de 1144.
Nîmes était le siège de la sénéchaussée de Beaucaire et de Nîmes, qui se composait des vigueries suivantes : Aiguesmortes (vicaria Aquarum-Mortuarum), Alais (vicaria et villa Alesti), Anduze (vicaria et villa Andusie), Bagnols (vicaria ressorti Balneolarum), Roquemaure (vicaria et villa Ruppis-Mauroe), Saint-André-de-Villeneuve-lez-Avignon (vicaria Sancti-Andree), Saint-Saturnin-du-Port, aujourd'hui Pont-Saint-Esprit (vicaria Sancti-Saturnini-de-Portu), Sommières (vicaria et villa Sumidrii), Uzès (vicaria et villa Ucecie), le Vigan-et-Meyrueis (vicaria et loci Vicani et Mayrosii).
Il faut y ajouter :
- Montpellier (Mons-Pessulanus, baronia et rectoria ejus) ;
- le bailliage de Gévaudan (bajulia Marologii et bailliagium Gaballitani) ;
- le bailliage du Velay (nailliaium Vellavioe) ;
- enfin le bailliage du Vivarais (bailliagium Vivariense).
Nîmes fut encore le siège d'un présidial, créé en mars 1551-1552, dont la juridiction s'étendait sur toute la circonscription de la sénéchaussée. Il y avait de plus une cour royale ordinaire, dont le ressort n'allait pas au delà des limites de la viguerie de Nîmes, et enfin un tribunal particulier connu sous le nom de Conventions royaux, créé en 1272, avec sceau royal et authentique, comme celui du Petit-Scel de Montpellier.
En 1790, lors de l'organisation du département du Gard, Nîmes devint le chef-lieu d'un district qui comprenait les cantons d'Aiguesmortes, Aimargues, Marguerittes, Nîmes, Saint-Gilles et Vauvert. Le canton de Nîmes était composé des communes de Bouillargues, Garons, Milhau et Nîmes.
Héraldique
- Les armoiries de Nîmes étaient, au moyen âge, un "simple champ de gueules".
- En 1516, François Ier accorda aux consuls les armoiries suivantes : "de gueules, à un taureau d'or passant à dextre".
- En 1535, les consuls obtinrent de François Ier de prendre pour blason de la communauté les insignes et la médaille de la colonie romaine.
- Voici comment elles sont données par l'armorial de 1694 : "de gueules, à un palmier de sinople, au tronc duquel est attaché, avec une chaîne d'or, un crocodile passant, aussi de sinople, et une couronne d'or liée d'un ruban de même, posée au premier canton du chef de l'écu". Gastelier de La Tour les blasonne ainsi : "de gueules, au palmier de sinople, au crocodile enchaîné et contourné, d'azur, la chaîne d'or en bande, une couronne de laurier, aussi de sinople, attachée à dextre du palmier, avec ces mots, d'or, en abrégé : COL . NEM".
Histoire administrative
- Département - 1801-2025 : Gard
- Arrondissement - 1801-2025 : Nîmes
- Canton - 1801-.... : ....
- Commune - 1801-2025 : Nimes , Nîmes
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
La Maison Carrée


La Maison Carrée de Nîmes est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis le 18 Septembre 2023 lors de la 45e session du comité du patrimoine mondial réuni à Riyad en Arabie Saoudite.
Il s’agit du 10e site inscrit au patrimoine mondial de l'Humanité en Occitanie.
la Maison Carrée est inspirée par les temples d'Apollon et de Mars Ultor à Rome . Ce temple mesure 26 mètres de long sur 15 de large et 17 de hauteur.
La Maison Carrée doit son état de conservation à une utilisation sans interruption depuis le XIème siècle : tour à tour maison consulaire, écurie, appartement, église.
Après la Révolution Française, elle est le siège de la première préfecture du Gard, puis aménagée en archives départementales avant d'inaugurer, dès 1823, la création de musées à Nîmes.
Source: Office de Tourisme
Les Arènes


La construction de l'édifice débute vers 90 après J.-C. . Sa fonction est alors d’accueillir des divertissements pour la population de la colonie de Nemausus. Lors des Grandes Invasions, il se transforme en village fortifié où la population va se réfugier, puis constitue du Moyen Âge jusqu'au xixe siècle un quartier avec ses rues et ses boutiques. Au xixe siècle, le monument est dégagé puis reconverti en arène en 1863. Aujourd'hui, il accueille une vingtaine de corridas et courses camarguaises chaque année et diverses manifestations culturelles (concerts, reconstitutions historiques, comme les Grands Jeux Romains, etc.). En dehors de ces événements, l'édifice est ouvert à la visite toute l'année.
Cet amphithéâtre est sans doute, du moins par l'allure générale de sa façade ayant conservé son attique de couronnement avec colonnes engagées et 60 arcades à chaque niveau, son système de circulation publique interne quasi intact et une grande partie de ses gradins, le mieux conservé au monde. Les arènes de Nîmes font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840.
Cathédrale basilique Notre-Dame et Saint-Castor


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L'orgue
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La chaire
Église Saint-Perpétue et Sainte-Félicie

L'église a été construite sur les plans de l'architecte Léon Feuchère. La décoration est de Joseph Felon. Sa première pierre fut posée en octobre 1852 par Louis-Napoléon Bonaparte. Le gros oeuvre est achevé à l'automne 1862 mais les aménagements furent terminés en 1864. L'église est consacrée en juin 1864.
Jardins de la Fontaine


Ornés de vases et de statues, les Jardins de la Fontaine figurent parmi les premiers jardins publics d'Europe. Ils furent créés au 18ème siècle sur le site antique de la Source qui intègre la Tour Magne et le Temple de Diane.
Au 18ème siècle, les embellissements de Nîmes furent nombreux, mais le grand travail de cette époque fut la création des Jardins de la Fontaine par Jacques-Philippe Mareschal, ingénieur militaire du roi, amplement secondé par l'architecte nîmois Pierre Dardailhon. Des travaux de régularisation du débit d'eau de la source sont à l'origine de la découverte d'un site romain abandonnée depuis le Moyen Age.
Le temple de Diane


On ne connaît pas sa fonction exacte... C'est le monument le plus romantique mais aussi le plus énigmatique de Nîmes, certainement associé au sanctuaire impérial.
Ses couloirs latéraux menant autrefois à un niveau supérieur, ses différentes voûtes de couvrement, les niches de sa grande salle ne correspondent pas aux éléments constructifs typiques des temples gréco-romains. L'origine de son appellation est également mystérieuse.
Vers 1570, L'architecte vénitien Palladio lors de son séjour à Nîmes en fit de multiples croquis avant qu'un incendie ne donne son apparence actuelle au Temple de Diane. Aujourd’hui, il ne se compose plus que d'une nef voûtée en berceau, et de deux couloirs latéraux, dont un, celui du Sud-Est, est presque totalement détruit.
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Historique
Tour Magne


La Tour Magne était la plus haute et la plus prestigieuse tour de l'enceinte romaine. Visible de loin, elle signalait la présence de la cité et du sanctuaire impérial de la Source, situé au pied de la colline.
Elle a été bâtie autour d'une tour de pierres sèches de l'Age du Fer dont il ne reste aucun vestige.
De forme régulièrement octogonale, elle se composait vers l'an 15 avant notre ère de trois niveaux édifiés en retrait l'un sur l'autre au-dessus d'un soubassement. Aujourd'hui, le dernier étage a disparu et elle s'élève à une hauteur de 32 mètres.
Repères géographiques
La ville de Nîmes se trouve dans l’étroite plaine du bas Languedoc .
Nîmes se trouve à environ 27 kilomètres d'Arles, 95 kilomètres d’Aix-en-Provence et à 110 kilomètres de Marseille à l’est . Au nord-est, elle est distante de 40 kilomètres d'Avignon.Au sud-ouest, une distance de 52 kilomètres sépare Nîmes de Montpellier .
La rivière le vieux Vistre traverse la commune de Nîmes.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 40 000 | 39 594 | 41 195 | 37 908 | 41 266 | 43 036 | 44 697 | 53 497 | 53 619 | 54 293 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 57 129 | 60 151 | 62 394 | 63 001 | 63 552 | 69 898 | 71 623 | 74 601 | 80 605 | 80 184 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 80 437 | 82 774 | 84 667 | 89 213 | 93 758 | 91 667 | 89 130 | 99 802 | 123 292 | 127 933 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 124 220 | 128 471 | 133 424 | 144 092 | 144 940 | 151 001 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017.
En photos
En photos
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Place de l'horloge
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La maison Romane
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Maison natale d'Alphonse Daudet
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Carrée d'art
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Square Antonin
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Monument aux morts
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Cartes postales anciennes
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Vue générale -
Le Théâtre -
Les Arènes, galerie supérieure dite « Promenoir Romain »
Notables
Les préfets
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
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François Jean-Baptiste DALPHONSE ou d'ALPHONSE | 1804 - 1811 | Né le 22/10/1756 à Bonny-sur-Loire (Loiret), décédé le 24/09/1821 dans son château de Beaumont à Agonges (Allier), homme politique, haut fonctionnaire et jurisconsulte, député, il fut préfet de l'Indre, du Gard et de l'Hérault. Baron d'Empire (09/03/1810), commandeur de la Légion d'Honneur (1804). Fils unique de Jean-Baptiste DALPHONSE, receveur du grenier à sel de Souvigny (Allier) et de Catherine DUFAUD. Il épouse à Souvigny, le 06/02/1777, Marguerite DELEAGE (née le 04/01/1743 Souvigny), fille de Antoine (1700-1774), sieur de la Tour, greffier en chef au présidial de Moulins (Alliers). Il eut une fille unique, Elisabeth Virginie, née en 1795. |
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Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Jean-Antoine De TEISSIER baron De MARGUERITTES | 03/1790 - 05/1790 | |
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ALIZON | 03/1795 - 05/1795 | |
Vincent VALZ | 1795 - 1796 | |
Antoine ALLUT | 1796 - 1798 | |
PARIS | 1798 - 1799 | |
AURIVEL | 1799 | |
BLACHIER | 01/1800 - 04/1800 | |
Dominique-Casimir FORNIER De VALAURIE | 1800 - 1811 | |
Perrin De VERTZ | 1811 - 1812 | |
Scipion-Charles Barnabé BOILEAU De CASTELNAU | 1812 - 1814 | |
Paul-Guillaume baron De DAUNAND | 1814 - 1815 | |
Louis-Marie-Casimir marquis De VALLONGUE | 1815 - 1817 | |
Charles De La BOISIERE | 1817 - 1819 | |
Augustin-Antoine CAVALIER | 1819 - 1824 | |
Louis-Marie-Casimir marquis De VALLONGUE | 1824 - 1825 | |
Eugène De CABRIERES | Mai 1825 | |
Marie-Joachim-Isidor De CHASTELLIER | 1825 - 1832 | Conseiller général du canton de Nîmes-2 (1833-1839) |
Ferdinand GIRARD | 1832 - 1848 | |
Émile CAUSSE | 02/1848 - 04/1848 | |
Octavien TROUPEL | 04/1848 - 06/1848 | |
Frédéric FARGEON | 06/1848 - 08/1848 | |
Philippe EYSSETTE | 1848 - 1851 | |
Frédéric VIDAL | 1851 - 1854 | |
Jacques-Philippe PÉROUSE | 1854 - 1856 | Conseiller général du canton de Nîmes-1 (1856-1865) |
Jean DUPLAN | 1856 - 1861 | Conseiller général du canton de Nîmes-3 (1858-1861) |
Fortuné PARADAN | 1861 - 1865 | |
Auguste FABRE | 1865 - 1866 | |
Gaston BALMELLE | 1866 - 1870 | Conseiller général du Canton de Génolhac (1866-1870) (1871-1877) |
Auguste DEMIANS | 1870 - 1871 | |
PERRIER | 02/1871 - 03/1871 | |
Irénée GIROUX | 03/1871 - 05/1871 | |
Hyacinthe LAMARQUE | Mai 1871 | |
Adolphe BLANCHARD | 1871 - 1880 | |
Louis MONTEILS-NOUGAREDE | 07/1880 - 11/1880 | |
Ali MARGOROT | 1880 - 1885 | |
Henri BERTRAND | 04/1885 - 06/1885 | |
Gaston MARUEJOLS | 1885 - 1888 | Conseiller général du canton de Nîmes-1 (1882-1912) |
Numa GILLY | 05/1888 - 11/1888 | |
JOLY | Novembre 1888 | |
Alexandre BOUCHET | 1888 - 1889 | |
Numa GILLY | 01/1889 - 02/1889 | |
Lucien PASCAL | 1889 - 1889 | |
Jules DELON-SOUBEIRAN | 09/1890 - 10/1890 | |
Numa GILLY | 10/1889 - 12/1889 | |
Antoine ALLEMAND | 1890 - 1891 | |
Jules DELON-SOUBEIRAN | 02/1891 - 03/1891 | |
Alexandre BOUCHET | 1891 - 1892 | |
Émile REINAUD | 1892 - 1900 | |
Gaston CROUZET | 1900 - 1908 | Conseiller général du canton d'Aramon (1907-1912) |
Jules PIEYRE | 1908 - 1909 | |
Marius VALETTE | 06/1909 - 07/1909 | Conseiller général du Canton de Saint-Ambroix (1919-1925) |
Hubert ROUGER | 1909 - 1910 | Conseiller général du canton d'Aigues-Mortes (1919-1928) |
Charles VAURIOT | 08/1910 - 10/1910 | |
Marius VALETTE | 1910 - 1914 | |
Élie CASTAN | 1914 - 1919 | |
Gustave DOMJEAN | 09/1919 - 12/1919 | |
Josias PAUT | 1919 - 1925 | Conseiller général du canton de Nîmes-2 (1904-1913) |
Hubert ROUGER | 1925 - 1940 | |
Étienne VELAY | 1940 - 1944 | |
Paul CABOUAT | 1944- 1945 | |
Georges BRUGUIER | 01/1945 - 05/1945 | |
Léon VERGNOLE | 1945 - 1947 | |
Edgar TAILHADES | 1947 - 1965 | |
Émile JOURDAN | 1965 - 1983 | Conseiller général du canton de Nîmes-1 (1967-1973) - Conseiller général du canton de Nîmes-2 (1988-1999) |
Jean BOUSQUET | 1983 - 1995 | |
Alain CLARY | 1995 - 2001 | Conseiller général du canton de Nîmes-3 (2004-2011) - Conseiller général du canton de Nîmes-6 (1982-1998) |
Jean-Paul FOURNIER | 2001 - (2026) | Réélu en 2008 - Conseiller général du canton de Nîmes-1 (1988-2008) |
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Source : Tableau dans la Mairie
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Photo JP Galichon
Les sénéchaux
- de Broce Pierre II Sénéchal de Nîmes et Beaucaire en 1308. Ses armes étaient sculptées dans une des salles du Palais de la sénéchaussée de Nîmes "trois gerbes d'or, liées de gueules et posées 2 et 1, sur champ d'azur" Le Roi Philippe le Bel, l'an 1308, lui donna ordre de se rendre à Avignon pour y poursuivre auprès du Pape, au nom du Roi, la condamnation de la mémoire du feu Pape Boniface VIII, à cause des démêlés qu'il avait eus avec ce Pontife.
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Liste des titulaires de la Légion d'Honneur
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Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations |
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Paul François Guillaume PIERRE de BERNIS (baron) | 9 Novembre 1852 | - | Dossier - Directeur du Service Central de la Société des Mines de Carmaux de Paris - Chevalier de la Légion d'Honneur - Chevalier de l'Ordre de St Grégoire le Grand - Epoux de Marie de Solages dont 5 enfants | |
Jules Georges Alexandre BÈZE | 24 Mai 1866 Nimes | - | Dossier - Trésorier Payeur Général de l'Yonne - Officier de la Légion d'Honneur - Officier de l'Instruction Publique | |
Albert Hippolyte GROS | 5 Août 1860 | 18 Février 1939 | Dossier - Proviseur du Lycée Victor Hugo à Besançon - Ancien élève du Lycée Louis-le-Grand - Professeur agrégé de grammaire - Chevalier de la Légion d'Honneur - Epoux de Mle Rousselot dont 2 enfants | |
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Ville de naissance ou de décès de
Naissances :
- Manuel AMOROS, footballeur né le 1er février 1962
- Henry BATAILLE, écrivain né le 4 avril 1872, décédé à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) le 2 mars 1922
- Isabelle BLANC, snowboardeuse championne olympique 2002, née le 25 juillet 1975
- Jean BOUSQUET, dit CACHAREL, parfumeur né le 30 mars 1932
- Jean CARRIÈRE, écrivain né et décédé à Nîmes les 6 août 1928 et 7 mai 2005)
- André CHAMSON, écrivain, né le 6 juin 1900, décédé à Paris le 9 novembre 1983
- Adolphe CRÉMIEUX (ses vrais prénoms étant Isaac Jacob), avocat et homme politique né le 30 avril 1796?, décédé à Paris le 10 février 1880
- Alphonse DAUDET, né le 13 mai 1840 et mort à Paris le 16 décembre 1897, écrivain et auteur dramatique
- Bernard DOMBS, matador sous le nom de Simon CASAS, né le 2 septembre 1947
- Vernon DOBTCHEFF, acteur né le 14 août 1934
- Ludivine FURNON, gymnaste née le 4 octobre 1980
- François GUIZOT, homme politique né le 4 octobre 1787 et décédé à Saint-Ouen-le-Pin (Calvados) le 12 septembre 1874
- Frédérique HÉBRARD, écrivaine née le 7 juin 1927
- Bernadette LAFONT, actrice, née et décédée à Nîmes les 25 octobre 1938 et 23 juillet 2013
- Pauline LAFFONT, née Pauline Aîda Simone MEDVECZSY, actrice née le 6 avril 1963, décédée à Barre-des-Cévennes (Lozère) le 11 août 1988
- Christian LIGER, écrivain né le 24 août 1935
- Marguerite LONG, pianiste, née le 13 novembre 1874, décédée à Paris le 13 février 1966
- Jean-Pierre MICHEL, magistrat né le 5 août 1938
- Jean NICOT, ambassadeur qui a introduit le tabac (l'herbe à Nicot) en France, né en 1530, décédé à Paris le 4 mai 1600
- Jean PAULHAN, écrivain, né le 2 décembre 1884, décédé à Paris le 9 octobre 1968
- Jean Alexandre dit Ferdinand POISE, compositeur né le 3 juin 1828, décédé à Paris le 3 mai 1892
- Claude RÉGY, metteur en scène de théâtre né le 1er mai 1923
- Claude VIALLAT, peintre né le 18 mai 1936
Décès :
- Raymond Antoine Marie Emmanuel ESCOLIER, écrivain sous le nom de Raymond ESCHOLIER, né à Paris le 25 décembre 1882, décédé le 19 septembre 1971
- Jacques JOUANNEAU, acteur né à Angers (Maine-et-Loire) le 3 octobre 1926, décédé le 18 juillet 2011
- Christian d'ORIOLA, escrimeur né à Perpignan (Pyrénées-Orientales) le 3 octobre 1928, décédé le 29 octobre 2007
- Maurice TRINTIGNANT, surnommé PÉTOUET, pilote automobile né le 30 octobre 1917, décédé le 13 février 2005
Morts à la Révolution française
Prénom(s) NOM | Naissance-Décès | Grade | Métier | Domicile | Commentaires |
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Joseph IDALO | 15 germinal an II | - | Agriculteur | Nîmes | Condamné à mort comme conspirateur par le tribunal criminel du département |
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Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Archives protestantes (1788-1788)
- Mariages (1793-1920)
Documents numérisés
- Listes départementales du contingent du Gard - 1866 (1866-1866)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1909 (1909-1909)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1917 (1917-1917)
- Arrondissement de Nîmes - 1814 (1814-1814)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1880 (1880-1880)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1917 (1917-1917)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1901 (1901-1901)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1888 (1888-1888)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1909 (1909-1909)
- Nîmes - 1867 (1867-1867)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1892 (1892-1892)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1877 (1877-1877)
- Listes départementales du contingent du Gard - 1860 (1860-1860)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1887 (1887-1887)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1905 (1905-1905)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1905 (1905-1905)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1894 (1894-1894)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1913 (1913-1913)
- Listes départementales du contingent du Gard - 1859 (1859-1859)
- Bureau de recrutement de Nîmes - 1897 (1897-1897)
Cimetières
- Cimetière privé protestant de Nîmes
- Cimetière du Pont de Justice
- Cimetière privé Israélite de Nîmes
- Cimetière Saint-Baudile de Nîmes
- Cimetière de Courbessac
- Cimetière de Saint-Césaire Rouquairol
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 8 h … | de 8 h … | de 8 h … | de 8 h … | de 8 h … | 9 h - 12 h * | - |
Après-midi | … à 18 h | … à 18 h | … à 18 h | … à 18 h | … à 18 h | - | - |
![]() Mairie |
Adresse : 1, place de l'Hôtel de Ville - 30033 NÎMES
Tél : 04 66 76 70 01 - Fax : Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : * Accueil ouvert le samedi matin uniquement pour l'état civil. Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Avril 2021) |
Associations d'histoire locale
Archives & dépouillements des registres paroissiaux
État civil récent :
Tables en ligne (liens cassés)
Dépouillement
- Les relevés des mariages depuis l'an II/1810 effectués par A. Dantoni sur Gard-GenWeb.
Remarques
Les archives des registres paroissiaux de l'Algérie française peuvent être demandées au Monastère des Clarisses - 34, rue de Brunswick - 30000 Nîmes.
Bibliographie
- Nîmes et ses tombeaux chrétiens
- Recherches sur deux monuments antiques de la colonie de Nîmes
- Notre-Dame-et-Saint-Castor - Cathédrale de Nîmes depuis son érection le 22 février 1686 jusqu'à nos jours
- Essai sur le nymphée de Nîmes
- Statuts et réglements l'Archiconfrérie de Notre-Dame-du-Suffrage
- La "bagarre" à Nîmes
- Nîmes (1950-1980) - Tome II
- En Rome française : Cuisine nîmoise
- Monographie des monnaies frappées à Nîmes
- Le crocodile de Nîmes
- La révocation de l'édit de Nantes à Nîmes et dans le Gard
- La porte d'Arles et le château royal de Nîmes
- Le charroy de Nismes
- Exécutions de Camisards faites à Nîmes
- Dictionnaire topographique statistique et historique du diocèse de Nîmes
- Les spectacles à Nîmes en Gaule romaine
- Nîmes à la Belle Epoque
- Nîmes - Esquisse d'une ville
- L'histoire de la terreur à Nîmes et dans le Gard
- Le lézard sur la pierre antique - Nîmes
- Une enfance nîmoise (1938-1958)
- Nîmes de A à Z
- Mémoire sur Jean Nicot - Le Nîmois
- Nîmes au jour le jour - Année 1918
- Némausus Nîmes
- Petite Histoire de Nîmes
- Guide aux monuments de Nîmes au Pont du Gard et aux environs
- Saint-Baudile, martyr et patron de Nîmes
- Petit vocabulaire à l'usage des gens de Nîmes
- Histoire des évêques de Nîmes
- Dictionnaire Topographique du Département du Gard, Eugène GERMER-DURAND, 1860, Imprimerie Impériale.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Nîmes sur le site Wikipédia.
- Site de la Mairie
Notes et références
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