26198 - Montélimar

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Montélimar
Informations
Pays    France
Département    Drôme
Métropole
Canton   26-08   Montélimar-1
  26-09   Montélimar-2

Anciens cantons
  26-16   Montélimar-1
  26-33   Montélimar-2

Code INSEE 26198
Code postal 26200
Population 39 790 habitants (2020)
Nom des habitants Montiliens, Montiliennes
Superficie 4 681 hectares
Densité 850.03 hab./km²
Altitude Mini:80 m
Point culminant 213 m
Coordonnées
géographiques
44.558056° / 4.750833° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)


          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

Toponymie

1157 - Castrum Montilisii, (Gall. christ., XVI, 104)
1175 - Montilium, (Chartes de Bonlieu)
1183 - Ecclesias Montilii, (Masures de l'Isle Barbe, 117)
1190 - Montalium Heimari, (Lacroix : L'arrondissement de Montélimar, IV, 36)
1217 - Al Montelh, (Histoire de la croisade des Albigeois, 293)
1226 - Montellum Aymardi, (D. Bouquet, XVII, 345)
1272 - Montilium Ademarii, (Cartulaire de Montélimar, 21)
1287 - Castrum Montilii Adzemarii, (ibid., 29)
1291 - Castrum de Montilio Adeymarii, (ibid., 32)
XIIIe siècle - Montilium Adhemarium, (Histoire de Saint-Paul-Trois-Châteaux, 72)
1328 - Montilmart, (Duchesne: Comtes de Valentinois, 27)
1348 - Villa Montilii, (Cartulaire d'Ainay, 1, 294)
1369 - Montelemart, (Compte de R. de Loupy, 112)
1422 - Montelh Aymar, (Cartulaire de Montélimar, 98)
1436 - Le Monteyl, (Choix de documents, 375)
1443 - Montelz, (Statuta delphin.)
1444 - Monteil Aymart, (Cartulaire de Montélimar, 121)
1447 - Monteill Aymar, (Inventaire Morin-Pons, 1, 133)
1449 - Monteilhaymart, (Cartulaire de Montélimar, 123)
1456 - Monteilh, (Cartulaire de Saint-Paul-Trois-Châteaux)
1465 - Montlimar, (Archives municipale de Grâne)
1467 - Monteilhemart, (Cartulaire de Montélimar, 131)
1519 - Ad Montilhii Adheymarii, (Archives de la Drôme, E 2037)
1523 - LouMontelheymar, (ibid., 6724)
1536 - Montelymard, (,ibid.,150)
1539 - Montalimard, (ibid., 162)
1548 - Monteileymar, (ibid., 2104)
1549 - Montilleymard, (Rôle de tailles)
1549 - Montillium Deymerii, (Rôle de décimes)
1561 - Montheillimar, (De Coston : Histoire de Montélimar, II, 366)
1573 - Monthellimart, (Archives de la Drôme, E 3338)
1575 - La Monteilhimar, (Mémoires des frères Gay)
1575 - Montheilimard, (Belleforest: Cosm.,1, 327)
1579 - Monteleymar, (Archives de la Drôme, E 6033)
1599 - Le Monteillemard, (Archives de Romans)
1585 - Monthelimar, (Correspondance de Lesdiguières, III, 16)
1586 - Monthelimard, (Archives de la Drôme, E 2391)
1586 - Monteillymar, Monteillimar, (Archives municipales)
1595 - Montelhemard, (États de Saint-Marcellin)
1596 - Montellimard, (Inventaire de la chambre des comptes).

Héraldique

Les armes de la ville de Montélimar sont : d'azur au monde cintré et croisé d'or.

Extrait du 'Dictionnaire topographique de la Drôme'

Montélimar

Cette ville, qui occupe l'emplacement d'Acunum mansio, station romaine dont le nom se retrouve dans celui d'Aygu, un de ses faubourgs, appartenait fort anciennement aux Adhémar, qui donnèrent à ses habitants une charte de libertés municipales en 1198 et hommagèrent en 1285 une partie de Montélimar aux évêques de Valence.

Les Adhémar, s'étant ensuite partagé cette ville, en vendirent en 1339 une partie aux comtes de Valentinois, et en 1340 une autre au Pape.

Héritiers des comtes de Valentinois en 1419, les Dauphins de France transférèrent à Montélimar, sept ans après, leur atelier monétaire de Mirabel, qui y fonctionna jusqu'en 1477, puis acquirent en 1447 la part pontificale.

Devenus ainsi seigneurs de toute la terre, les rois de France comprirent Montélimar dans le duché de Valentinois, érigé en 1498 pour les Borgia, en 1548 pour Diane de Poitiers, enfin en 1642 pour les princes de Monaco, qui en ont joui jusqu'à la Révolution.


Histoire Administrative

Avant la révolution
  • Montélimar était une des dix villes du Dauphiné, dont les consuls siégeaient à la tête des députés du troisième ordre, dans les États de cette province, le chef-lieu d'une élection et d'une subdélégation et le siège d'une sénéchaussée et d'un gouvernement de place.

L'élection de Montélimar, dont l'étendue était approximativement celle des trois arrondissements de :

comprenait 239 communautés, réparties entre quatre subdélégations :

La subdélégation de Montélimar comprenait 46 communautés.

  • Le tribunal était composé d'un président, d'un lieutenant particulier, de deux assesseurs, d'un avocat et d'un procureur du roi.
  • la sénéchaussée (Curia dalphinalia loci Montilii Adhemari, 1490 (Cartulaire de Saint-Paul-Trois-Châteaux)) fut établie en 1447. Elle connaissait en première instance de toutes les causes de Montélimar, de :
  • Saint-Marcel-de-Sauzet,
  • Sauzet et de Savasse,

et sur appel de toutes celles de son ressort, comprenant 51 communautés.

Le gouvernement militaire de Montélimar comprenait un gouverneur, un lieutenant de roi et un major.

Après la Révolution

Montélimar devint le chef-lieu d'un district comprenant les cantons de :

La réorganisation de l'an VIII en a fait le chef-lieu d'un arrondissement comprenant les cantons de

et celui d'un canton comprenant les communes de :

Histoire religieuse

La ville était une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église, sous le vocable de Sainte Croix.

  • Ecclesia Sancte Crucis Montilii Adhemari, 1183 (Masures de l'Isle Barbe, 117)
  • Ecclesia parrochialis Sanctœ Crucis de Montelio, 1334 (Cartulaire de Montélimar, 98)
  • Ecclesia collegiata Sanctœ Crucis, 1499 (ibid. , 157 )
  • Ecclesia collegiata Sancte Crucis Montillii Adheymarii, XVe siècle (Pouillé de Valence)
  • Ecclesia collegiata et parochialis Sancte Crucis Montilii Adhemarii, 1509 (Visites épiscopales)
  • Ecclesia collegiata Sancte Crucis Montilli Dey Mary, 1549 (Rôle de décimes),

C'était aussi le siège d'un chapitre ou collégiale, qui, fondé en 1444 par le dauphin Louis XI, était composé d'un doyen, d'un sacristain faisant fonction de curé et de huit chanoines, qui avaient les deux tiers des dîmes de Montélimar, dont l'autre tiers appartenait à l’évêque diocésain.
Mais il est nécessaire d'ajouter qu'antérieurement au XVe siècle, il y avait au moins deux paroisses à Montélimar dont une sous le vocable de Saint Pierre.

Saint Pierre

Saint Pierre, rue de la commune de Montélimar.

Il y avait, dans cette rue, une église de saint Pierre-Ecclesia Sancti Petri de Montilio, 1183 (Masures de l’Isle-Barbe, 117)

Traces:
- Carreria dominus Jordani Berengerii, 1406 (De Coston : Histoire de Montélimar, II, 88)
- Carreria Domini Jordani, rue Mossen Jordan Berenger 1538 (ibid.).
- Cura Sancti Petri Montilii, XIVe siècle, dépendance du prieuré d’Aygu, qui fut un moment paroissiale et dont il n’est plus question dès 1549.

Aygu

Aygu, Faubourg de la commune de Montélimar.

Sur l’emplacement de ce faubourg, existait, dès le XIIe siècle, un prieuré de l’ordre de Saint-Benoît, dépendance de l’abbaye de l’Île-Barbe, qui fut uni en 1449 au chapitre de Sainte-Croix de Montélimar.

Traces :
- wν xολείς Αχουσίου χολωνία (Ptolémée, Livre II, X, 14)
- Acunum (carte de Peutinger) - Mansio Acuno (itin. À Burdegale)
- Aiguno, 1183 (Masures de l’Isle-Barbe, 117)
- Ecclesia Beatœ Mariœ de Ayguno, 1262 (Cartulaire de montélimar, 20)
- Prior Ayguini, 1291 (ibid. 33)
- Porta Montilii de Ayguno; porta nostrœ Dominœ de Ayguno, 1378 (ibid. 71, 72)
- Ecclesia Beatœ Mariœ de Ayguno, 1412 (ibid. 165)
- Porta Eyguni, 1432 (ibid. 114)
- La porte d’Aygun, 1540 (Inventaire de la chambre des comptes)
- Nostre-Dame d’Aygues, 1591 (Bulletin de la société d’archéologie, V, 464)

Autres établissements religieux

  • Couvent de Cordeliers, qui fut fondé vers 1224 par les Adhémar, dont la chapelle était sous le vocable de sainte Agnès (Capella Beate Agnetis conventus Fratrum Minorum Montilii, 1510) et dont les religieux tinrent, à partir de 1674, un petit collège,
  • Couvent de récollets, établi en 1616 sur les ruines d'une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem (Domus ospitalis Montilii, 1221 (Cartulaire des hospices, 52) - Prioratus Hospitalis Montillii, Xve siècle (Pouillé de Valence)) qui fut uni à celle de Valence vers la fin du XVIe siècle et dont les bâtiments servent aujourd'hui pour le collège,
  • Couvent de Capucins fondé vers la fin du XVIIe siècle et dont les bâtiments sont actuellement occupés par des visitandines,
  • Couvent d'Ursulines fondé en 1624,
  • Couvent des Visitandines, fondé en 1624 et occupé de nos jours par des religieuses de Sainte-Marthe.

Ajoutons enfin à cette liste une commanderie de templiers, dont les biens furent recueillis par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1312.

Patrimoine bâti

Collégiale Sainte-Croix

Photo J-P GALICHON


L'église Sainte-Croix est citée pour la première fois dans une bulle du pape Lucius III à l'abbé de l'Île-Barbe en 1183. L'église est alors de style roman. En 1449, l'église devient alors une collégiale à la demande de Louis XI suite au rattachement de la ville au Dauphiné.
Cette église est reconstruite de 1485 à 1504 dans le style gothique flamboyant. De cette époque, il ne subsiste que le clocher et le chœur. Le clocher a été reconstruit en 1555 sur les fondations de l'ancien. La collégiale a été en partie incendiée lors de l'invasion de la ville par les troupes réformées le 1er novembre 1567.
L'orgue BECKERATH qui équipe la tribune est l'un des trois orgues du facteur d'orgue Hambourgeois Rudolf Von BECKERATH en France.

Édifice inscrit aux M.H depuis 2008 [1]


Chapelle des Carmes

Photo J-P GALICHON



La chapelle des carmes a été construite en 1860 sur un terrain cédé par la ville à l'ordre des Carmélites.

La statue de la Vierge surmontant l'édifice est érigée le 15 août 1863.

La construction en 1872 d'un escalier d'accès à la chapelle a mis en valeur la façade du bâtiment.


Ancienne chapelle de l'ancien couvent des Capucins

Photo J-P GALICHON



Puis des Sœurs de la Visitation et actuel espace culturel Chabrillan.


Chapelle Notre-Dame-des-Victoires dite aussi la Daurelle

Photo J-P GALICHON
Photo J-P GALICHON



Actuelle maison des produits régionaux après remise en état. (Lieu dit Gournier entre le canal du Rhône et la déviation de la RN7)

La Chapelle de Daurelle est une ancienne chapelle au dimension d'une église du XIXème siècle . Son fondateur est monsieur Joseph MONNARD-PELISSIER, né le 16 mars 1790 à Montélimar. Très pieux et généreux et sans descendance directe, Monsieur MONNARD-PELISSIER qui fit fortune dans le textive devient le bienfaiteur de l’hôtel Dieu. Ses voisins, dans la partie sud-ouest de la ville déplorent d’avoir à parcourir des kilomètres pour assister aux offices religieux. Il décide donc d’édifier une chapelle qui sera bénie, en 1867 par Monseigneur GUEULETTE, évêque de Valence.
En 1955 la Chapelle est achetée par la CNR dans le cadre des travaux de la chute de Montélimar. Elle est désaffectée mais en parfait état. Vers 1968, la foudre désarticule quelques pierres du clocher. Devant le danger éventuel, la CNR transfère les sépultures et lance la démolition de la chapelle. Une levée de boucliers fait stopper les travaux. Le temps fait son œuvre et tout se dégrade. La cession à la commune de la chapelle intervient le 13 février 1990.


Porte Saint-Martin

Photo J-P GALICHON



Porte édifiée de 1762 à 1763 d'après les plans de PAULMIER de la TOUR, elle est le dernier témoin de l'époque ou la ville était ceinturée de remparts.
Elle est édifiée en pierres de Cruas et de Puygiron.
A la partie supérieure, la décoration est composée de feuilles de chênes et de palmiers avec au centre un cartouche qui portait autrefois les armes du Dauphin.
Les deux guichets (portes de part de d'autre) ont été ajoutés dans les années 1849/1850.
La porte est inscrite aux monuments historiques depuis 1930[2]

Source: Panneau sur site

Le nougat de Montélimar

L'histoire veut qu'en 1701, le duc de Bourgogne et le duc de Berry s'arrêtent à Montélimar à leur retour d'Espagne. Les habitants leur offrent du nougat pour les accueillir.

Émile LOUBET, maire de Montélimar de 1899 à 1906, donnera un coup de pouce à la promotion du nougat. Il prit effectivement l'habitude d'offrir le nougat de Montélimar à tous les chefs d’État ou de gouvernement étrangers visitant la France.

Le nougat apparaît à Montélimar grâce à Olivier de Serres (1539 - 1619), un agronome, qui fait pousser des amandiers en France.

Le nougat de Montélimar fait partie des treize desserts traditionnellement proposés lors du Souper de la nuit de Noël.

Article détaillé : Les plus anciennes confiseries de nougat de Montélimar ...

Repères géographiques

Montélimar se trouve dans le département de la Drôme en région Rhône-Alpes, entre Valence et Avignon.
Cité touristique aux portes de La Provence, voisine des Gorges de l'Ardèche et au pied du Vercors.
Montélimar est divisée en ? quartiers parmi lesquels :

  • Alexis-Montluis,
  • Catalins-Gondole,
  • Bagatelle
  • Pracomtal
  • Les Blaches
  • Sarda la Dame
  • Les Champs
  • Grangeneuve
  • Saint-James
  • Saint Martin
  • Les Combes
  • Europa
  • Cabiac
  • Centre-ville
  • Nocaze-Les Grèzes

En photos

Cartes postales

Photos

Démographie

La population de Montélimar, qui se composait en 1471, de 279 familles, plus 9 juifs, était, en 1742, de 680, occupant 710 maisons, et de 5000 habitants en 1766.


Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 6 240 6 320 5 864 7 161 7 560 7 966 8 245 9 445 9 362 11 523
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 12 044 11 100 11 122 11 946 12 894 14 014 13 764 13 741 13 351 13 554
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 13 281 11 716 11 210 13 696 15 187 15 972 16 639 19 999 26 748 28 058
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 29 161 29 982 31 344 33 924 35 372 38 692 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.


Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.

Ville de naissance ou de décès de

Ville de Naissance
  • Marianne GONDOLFI : chanteuse, auteur compositrice sous le nom de Marianne JAMES, née le 18 février 1962
  • Charles Marius Auguste MOULIN : acteur, né et décédé à Montélimar les 11 décembre 1909 et 23 janvier 1992
  • Paul PAU : général, né le 29 novembre 1848, décédé à Paris le 2 janvier 1932
  • Robert PLANEL : compositeur, né le 22 janvier 1908, décédé à Paris le 25 mai 1994
Ville de décès
  • Marx DORMOY : homme politique né à Montluçon le 1er août 1888 (Allier), décédé le 26 juillet 1941


Notables

Les maires

Article détaillé : Consulter la liste des Maires de Montélimar ...

Les notaires

Article détaillé : Consulter la liste des notaires ...

Les curés

Article détaillé : Consulter la liste des curés ...

Les pasteurs

Prénom(s) NOM Période Observations
RAME 1804 - 1832 Pasteur au Désert - Décédé  
Jean ALMÉRAS 1832 - 1839  
Armand PÉDURAN 1839 - 1841  
Pierre ROMAN 1841 - 1843  
François BRUN fils 1843 - 1856  
Pierre ROCHEBLAVE 1856 - 1866  
Louis ARMAND 1866 -  

Les décorés

Les titulaires de la Légion d'honneur
Consulter la liste ...
Les titulaires de la médaille de Sainte Hélène

La médaille de Sainte Hélène, créée par Napoléon III, récompense les 405000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815.
Les personnes citées dans le tableau ci-dessous sont nées dans la commune.

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Bonaventure "Théobald" BLANCHOT 16 août 1792 4 mars 1864
Yssingeaux
(Haute-Loire)
Greffier du tribunal civil d'Yssingeaux
Fils d'André Louis BLANCHOT et de Rose RUFFIN
Marié le 25 avril 1827 à Yssingeaux, (Haute-Loire), avec Louise Gabrielle Narcisse Élisa de BRENAS
- Sous-lieutenant au 31e Régiment d'Infanterie Légère puis 7e Voltigeurs de la Jeune Garde
Campagnes: Portugal-Navarre - Période: 1808-1815
Dossier: n° 315173 [3]  
Antoine Albert LISSIGNOL 6 avril 1792 - Fils de Jean Jacques et Marie Magdeleine BERTRAND (Voir ci-dessous)
Secouru en 1866
- dossier: médaille ?  

La famille d'Antoine Albert LISSIGNOL en 1811 [4]
Les quatre juillet et trois septembre mil huit cent onze, entre Marie-Louise LISSIGNOL et Laurent Mercier, tailleur d'habits, mariés ; Rosalie LISSIGNOL et Antoine PERRIER, maréchal ferrant, mariés; Marie-Anne LISSIGNOL et Antoine ARNAUD, bourrelier, mariés, domiciliés à Montélimar, demandeurs, d'une part ; Marie LISSIGNOL et Jean FRANÇOIS, serrurier, mariés; Louis LISSIGNOL, propriétaire, tuteur spécial d'Antoine-Albert LISSIGNOL, mineur; Laurent LISSIGNOL, maréchal ferrant, tuteur spécial de Pierre LISSIGNOL, mineur; André CHARBONNIER, fabricant de petites étoffes, tuteur spécial de Louis LISSIGNOL, mineur; et Marie - Magdeleine BERTRAND, veuve de Jean-Jacques LISSIGNOL, tous domiciliés audit Montélimar, d'autre part; lesquels trois mineurs ont pour tutrice légale ladite BERTRAND, veuve LISSIGNOL, leur mère, et pour subrogé tuteur Séraphin MILAN, cordier, habitant à Montélimar, et sont cohéritiers conjointement avec lesdites femmes MERCIER, PERRIER, ARNAUD et FRANÇOIS, dudit Jean-Jacques LISSIGNOL, leur père commune duquel ladite BERTRAND, sa veuve, est usufruitière viagère de la moitié de ses biens.

Monument aux morts

Morts aux guerres

Vue d'ensemble du monument aux morts
Photo Geneanet
Plaque commémorative de la gare
Photo Geneanet


Consulter la liste des inscrits sur le Monuments aux Morts ...

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

Cimetières

Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8h - 12h 8h - 12h 8h - 12h 8h - 12h 8h - 12h - -
Après-midi 14h - 18h 14h - 18h 14h - 18h 14h - 18h 14h - 17h - -

Hôtel de ville
Adresse : Place Émile Loubet - 26200 MONTÉLIMAR

Tél : 04 75 00 25 00 - Fax : 04 75 00 25 08

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : Site de la Mairie (décembre 2015)

Mairie annexe de Chapeau Rouge

  • Adresse : Place Léopold Blanc - 26200 Montélimar
  • Téléphone : 04 75 00 25 14
  • Horaires : de 8h à 12h et de 13h30 à 18h du lundi au jeudi, de 8h à 12h et de 13h30 à 17h le vendredi et de 9h à 12h le samedi

Dépouillements des registres paroissiaux

Le Cercle Généalogique de la Drôme Provençale ( C.G.D.P. )

Sa vocation : réunir, principalement dans le cadre de la Drôme Provençale, les généalogistes amateurs afin de les aider dans leurs recherches et de mettre à disposition, de façon centralisée, des documents aisément consultables.

Archives notariales

Les AD 26 ne mettent pas les registres notariés en ligne.

Voir ci-dessus auprès du CGDP

Remarques

Bibliographie

Sur Geneanet

Sur Google Books

  • Qui êtes-vous ? - Volume 3 - C. Delagrave

Sur Gallica BNF

  • Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de la Drôme : comprenant les noms de lieu anciens et modernes - Brun-Durand, Justin - 1891

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références

  1. Base Mérimée
  2. Fiche Mérimée - Porte Saint-Martin
  3. Source : Les médaillés de Sainte-Hélène
  4. Source: Lectura Plus ; Le Journal de la Drôme 1811/09/28 - Edité en 1811